Retour Aux Plaisirs
Il y a quinze jours Paul nous invitait à lanniversaire de son épouse Sonia qui a lieu aujourdhui. Et, à cette occasion, la mienne lui a acheté une robe très bizarre. Il me tarde de voire Sonia avec cette tenue. Surtout si, comme à son habitude, elle est nue dessous.
Quand nous arrivons, Paul est déjà en bas de son immeuble. Avec un grand sourire il me serre la main et embrasse Rosy à pleine bouche (décidément, il va se la payer un de ces jour). Il la regarde comme quand on admire une belle femme et lui dit quelle est encore plus belle que dans ses souvenirs.
Puis nous montons à son appartement. Sonia nous attend sur le palier et dès quelle aperçoit Rosy son visage séclairci par un large sourire rayonnant de joie. Elle accoure pour lembrasser fougueusement à pleine bouche (Décidément elle a un sacré succès avec eux !). Quand cest mon tour, elle membrasse de la même manière mais sa langue explore la mienne et je la reçois avec grand plaisir (Ce nest pas possible !... Il se passe quelque chose dont jignore le sens).
Nous entrons et Rosy sempresse de donner son cadeau à Sonia. En le découvrant son visage, une fois de plus, rayonne de joie et embrasse Rosy. Le baiser dure longtemps, puis elles se taquinent des lèvres et de la langue, dans le cou, sur les joues et autour de la bouche. Puis la main de Sonia caresse la gorge de Rosy qui réveille en elle des frissons. En suivant le bord de léchancrure de sa robe Sonia en arrive à la hauteur des seins, ses caresses en font gonfler le mamelon et nous le distinguons fort bien au travers du tissu. Bien entendu Rosy nest pas restée inactive et ses mains se sont mises à remonter, depuis les hanches, dans le dos en suivant la colonne vertébrale. Arrivées sur la nuque elle appuis fermement pour mieux serrer Sonia à elle.
Je constate que devant ce spectacle la braguette de Paul a sérieusement augmenté de volume et dailleurs ma tige elle aussi a bien gonflé. Sonia parvient à se dégager de Rosy qui semble soûle de désir.
Après avoir pris ma douche je mhabille et je rejoins Paul dans le salon. Il me propose une boisson et, en attendant, nous papotons de tout et de rien. Après bien des minutes dattente nous entendons une porte claquer, mais personne ne vient. Alors Paul sourit et me dit « tu vas, enfin, connaitre le but de la journée qui était prévue à Cannes (il y a deux mois maintenant) et que nous avions dû annuler ». Puis, il se lève et me fait signe de le suivre en mettant le doigt devant sa bouche. Il va droit vers notre chambre. Colle son oreille à la porte. Il écoute, sourit et ouvre avec mille précaution la porte et me fait signe de venir. Je glisse ma tête par lentrebâillement de la porte. La place étant juste, ma cuisse effleure son bas ventre et je sens quil bande dure.
Là le spectacle mérite dêtre vu. Sonia est debout, au beau milieu de la pièce. Elle est vêtue de la robe que Rosy lui a offerte. Le tissu est si fin quil permet de distinguer parfaitement les zones de chaire qui y sont en contact, alors que les autres parties se perdent dans une hombre plus que suggestive. Lensemble en est encore plus érotique que si le corps était entièrement nu. La robe est attachée par un gros médaillon sur lépaule gauche comme une toge. Alors que la droite est nue et le tissu sen trouve échancré jusquà la taille. Léchancrure passe entre les deux seins et une broderie très aérée semble vouloir vainement cacher cette partie du corps. Ce qui fait que le sein et la taille sont parfaitement visible et lon peut même distinguer une partie de son ventre quand elle se penche un tant soit peu en avant. Au-dessous de la ceinture le tissu suit mieux les courbures du corps. Le bas est taillé en biais. La coupe du biseau démarre très haut sur la cuisse gauche et passe juste un peu au-dessous de son sexe.
Puis elle se met à tourner sur elle-même pour mieux sadmirer dans la glace. Et là, nous voyons deux femmes dans la même, lune est nue en haut et présente son sein et lautre est nue en bas et présente sa chatte. Le spectacle ferait bander un régiment deunuques
Cest à ce moment que Rosy entre dans notre champ. Elle vient de sortir de sa douche et elle sest partiellement épilée le sexe. Elle va directement vers Sonia et la prend par la taille. Et les voilà reparties dans leurs baisers. Elles se butinent les lèvres, sescriment à coups de langues sur les tétons gonflés. Les mains ne sont pas en reste. À ce jeu, Rosy perd vite pied. Prise de tremblement elle se met à gémir de plaisir. Elle bascule la tête en arrière, les yeux mi-clos. Sans cesser de la caresser Sonia lentraine vers le lit où elles basculent ensemble.
Le soleil, qui est assez bas, éclaire le lit comme le ferait un projeteur et le contre-jour fait ressortir le modelé de leur corps. Le spectacle est bandant au possible. A vouloir mieux voire la scène Paul est contre mon dos et je ressens sur mes fesses son membre raidi. Cela devient hallucinant. A un moment je le sens poser ses mains sur mes épaules et sa queue se frotte le long de ma raie. Je suis si absorbé par ce qui se passe dans la chambre que je ne bouge pas et il prend cela pour un encouragement. Un sentiment de plaisir étrange menvahit. Je me rends compte que jai accentué la cambrure de mes reins.
Des deux mains, Rosy essai de diriger la tête de Sonia vers son minou gonflé de désir. Je connais suffisamment ma femme pour savoir que ce geste révèle un degré dexcitation proche de lenvole pour le septième ciel. Sonia passe sa langue sur le minou englobant tout le sexe ou agaçant le clitoris. Ondulant du ventre, Rosy sagrippe des deux mains au couvre-lit. Sa tête bascule à droite et à gauche.
Quand je reviens sur terre, les bras de Paul mont ceinturé et je découvre quil a débouclé ma ceinture. Il en est, même, au troisième bouton de ma braguette. Du bout des doigts, il me titille le gland et ma bite a pris des proportions monstrueuses. En cet instant je prends pleinement conscience de ses intentions. Une onde brûlante me traverse le bas ventre. Je me retourne pour protester. Cest linstant quil choisit pour me plaquer sa bouche sur la mienne. Une excitation incontrôlable menvahie et je réponds, avec fougue, à ses baisers. La seconde daprès jai honte de mes réactions. Mais rien ne semble pouvoir stopper ce désir qui me vrille le ventre et la tête.
Il saisit ma queue. A ce contact, je sursaute. Il se met à me masturber. De son autre bras il menserre et sa langue continue de me fouiller. Emporté dans mon désir, à mon tour, jouvre sa braguette et, tremblant comme une feuille, je sors sa verge toute raide et je le branle. Bon Dieu ! Que cest bon ! Alors que jen gémis de plaisir. Quand je me décide de porter le regard sur ce que jai dans la main, je vois un gland énorme, violacé et bien décalotté. Jen ai la tête qui bouillonne.
A-t-il lu dans mes pensées ?... Car le voilà quil mappuie fermement des deux mains sur mes épaules. Au début je résiste
Un peu
Heu vraiment pas beaucoup. Puis je maccroupis docilement les yeux rivés sur cette magnifique chose qui, irrésistiblement, mattire. A présent, elle se présente à la hauteur de mon visage et, toujours aussi tremblant, je la branle. Paul tend son ventre. Dune main, il attire ma tête vers sa queue en disant « Elle te plait ?... Tu en as envi mon salaud, hein ?... Crois-moi cest un vrai sucre dorge !... Tu vas te régaler !...Allez, suce-la !... Suce-la bien à fond ». La belle chose sapproche irrésistiblement vers ma bouche qui est attirée par ses paroles. Je fais glisser son gland sur le bord de mes lèvres. Puis je lèche de ma langue tout autour du frein. Son goût est sublime, jadore. Son odeur me remplit les narines, augmentant mon désir de lui plaire. Alors je gobe la tige en effectuant plusieurs aller-retour pour mieux la goûter. Jai peur de lui faire mal par maladresse tant elle est grosse.
Maintenant, je lai entièrement absorbé alors, il me tient la tête et le voilà me baisant par la bouche. Il la fait pénétrer de plus en plus profondément pour ensuite la retirer jusquà ce que le gland revienne jusquau bord de mes lèvres. Dans ces cas-là je laspire de peur quelle ne méchappe. Je salive tellement que cela coule jusquà ses bourses et, aussi, à mon menton puis dans mon cou. Progressivement je prends de lassurance et cest moi, qui à présent, la fais coulisser dans ma bouche. Ma fellation devient plus précise, donc mieux contrôlée. Parallèlement je continu à le masturber au même rythme que ma bouche. Par instant, une liqueur amère sécoule.
Quand elle ressort, jen profite pour jouer de la langue derrière le frein. Ou bien, je pars en exploration vers les bourses que jaspire. Le plaisir, peu à peu le prend. Ses mouvements se font plus virils et sa bite devient très raide. Mais je commence aussi à avoir mal à la mâchoire. Cest à ce moment-là quil me fait comprendre que je dois me relever. Puis cest lui qui se baisse et me prodigue les mêmes plaisirs. Je suis surpris par la douceur de sa fellation et je ne tarde plus à plonger au plus profond de mon plaisir. Dailleurs les pulsions de plaisir me vrillent la tête et je lance mon ventre en avant pour le pénétrer aussi loin que possible.
Pendant ce temps, sur le lit. Rosy est allongée sur le dos. Sa chatte dégouline de mouille. Au-dessus delle, Sonia lui agace le clito dun doigt quelle enfonce aussi dans son vagin. De lindex de lautre main, quelle a glissé par-dessous la cuisse, elle lui caresse la rosette et entre aussi dans le petit trou. Elle va et vient à la fois dans la chatte et dans le cul. Rosy ne cesse de gémir tout en lançant des « Oui
Oh ouuiiiii ».
Les yeux rivés sur son ouvrage. Sonia a, aussi, le souffle court. Lexpression de son visage révèle toute lampleur de son excitation.
Paul se relève, il matt par la taille et, tout en me roulant une pelle qui maffole, mentraine vers le lit. Et, bien sûr, nous passons dans le champ de vision des deux femmes. Alors, souriante, Sonia dit
- Je crois que léducation de ton mari est en bonne voie.
- Tu sais, cela fait si longtemps quil en rêve.
Puis elles reprennent leur activité. Paul mallonge en travers du lit, les fesses au bord du matelas. Il me retire mon pantalon et sagenouille. Quand il se met à me lécher la face interne du haut de mes cuisses, je suis tétanisé. Il continu par les bourses et arrive, en finale, par une bonne mise en bouche de mon petit bambou. En même temps, parallèle à ça il se mouille le doigt et me caresse la rosette, jusquau moment où il pénètre dans mon petit trou.
Une chaleur de bien être me monte au visage. Même si au début je nappréciais pas beaucoup le traitement. Mais maintenant jadore et en plus jen redemande. Des ondes de plaisir me parcourent lanus et le bas ventre. Jai lesprit entièrement pris par le désir daller plus loin
Beaucoup plus loin, au point que jentends à peine les femmes exploser de plaisir. Paul arrive à mintroduire deux doigts quil a bien mouillés et aussitôt le plaisir monte un peu plus. Puis, je vois ma femme entrer dans mon champ de vision. Elle se penche et, avec un grand sourire, me demande si cela me plais et de la tête je réponds que oui. Alors elle bascule du côté de lentre-jambes et voilà que sa bouche remplace celle de Paul. Mais aussi, chose quelle navait jamais voulu faire, elle se met à me triturer en profondeur mon anus et la nouveauté fait encore monter mon plaisir. Entre-temps Paul cest enfilé un préservatif et revient avec un tube de gel quil utilise pour me lubrifier le trou et sa gaine.
Linstant fatidique approche. Langoisse me prend au ventre. Les tremblements mont repris mais en réalité je nattends plus que cela. Paul retire ses doigts de mon cul. Il me fait mettre à genoux sur le bord du lit, le cul en lair. Jai limpression que mon trou est si dilaté, quà présent il pourrait y mettre la main. Mais cest son gland qui ly appui fermement. Je le sens quil commence sa pénétration mais il est arrêté dans sa progression. Mon anus me brûle. Je grimace, mais mon désir est plus fort pour ne rien dire. Heureusement Paul reste très attentif et pratique des petits moments où il arrête sa progression mais sans jamais relâcher la pression. Mon sphincter se décontracte petit à petit et le gland poursuit son avancé. Puis le gland passe de lautre côté de lanneau. Je me sens complètement rempli quand tout son sexe est au fond de moi. Jai comme une envie daller aux toilettes qui me prend. Alors, je matt la bite et je me lance avec rage dans une branlette effrénée. Plus jaccélère et plus le plaisir de la sodomie augmente.
Paul aussi accélère ses va et vient. La sensation de brûlure a disparu. Puis japerçois Sonia qui me sourit et se glisse sous moi tête-bêche pour moffrir son minou plein de mouille à goûter, alors quelle-même prend en bouche ma verge que je viens de lâcher. Son odeur mexcite, je me mets à jouer de la langue. Je me sens pris de partout et le plaisir va grandissant. Je sens les prémisses de la jouissance quand Sonia sarrête et Paul se retire. Oh ! la vache, il ne va pas me laisser ainsi ?. Mais il me bascule sur le côté et me relevant la jambe, me pénètre à nouveau.
Sonia et Rosy passent derrière lui et se mettent à jouer avec ses bourses et son anus. Ses coups prennent de lampleur et mon plaisir augmente comme jamais je naurais cru que cela soit possible. Parfois il se retire complètement pour mieux me sabrer ensuite. Je suis dans un état dexcitation maximal. Je geins, je couine, je lui demande darrêter pour le supplier immédiatement après de me défoncer encore plus loin.
Ses pénétrations deviennent violentes. Son souffle court est ponctué de « hang » ce qui augmente mon désir. Il ne cesse de me répéter des mots obscènes et des encouragements :
- Alors petit pédé, tu en prends plein le cul hein ? Et tu aimes ça mon salaud.
- Oh, oui
Vas-y défonce-moi la rondelle.
- Ne te contracte pas, tu vas voir, cest encore meilleur !
Puis en me léchant derrière loreille « Allez, petite pute, va jusquau bout ». Ce qui déclenche dans tout mon corps une violente décharge. Le plaisir est si intense que brusquement je sens mon cur monter dans ma gorge. Mes yeux se ferment et japerçois des éclairs darc-en-ciel. Ma tête nest plus que feu et voilà que je me mets à cracher mon venin sans même me toucher. Pendant léjaculation, mon anus se contracte et se relâche. Le braquemart de Paul se raidit, gonfle un peu plus, puis il simmobilise en me serrant fortement contre lui. Il menvoie des coups de butoir qui me projettent en avant. Je ressens les soubresauts de sa queue. Il vient, lui aussi, de décharger sa purée.
Nous restons ainsi le temps de reprendre notre souffle. Cette baise ma ramené à ma jeunesse. A lépoque où je me suis fait enculer plusieurs fois dans une même séance. Finalement, je regrette énormément davoir perdu autant dannée par convenance. Et maintenant jespère bien avoir le plaisir de subir à nouveau le même traitement.
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