Ma Tante Et Babe

La pluie fait courber les passants. Les plus courageux sortent avec leur impers ou leur parapluie. Je ne fais pas parti de ceux là. J’aime trop le soleil pour m’aventurer sous l’eau. J’ai la chance d’être recueillie par un vague copain dans sa voiture. Il m’emmène chez ma tante, une femme d’une gentillesse extraordinaire. Je le fait entrer pour sa récompense: une tasse de café: ça lui suffit. Par contre dès son départ j’ai droit à ma récompense: un baiser sur la bouche. Ma tante, sœur de ma mère est à peine plus âgée que moi: 5 ans.
Notre première fois c’était quand j’avais 16 ans, quand elle m’avait surprise ma main sur ma chatte me faisant des câlins. Oh, elle ne m’a pas grondée: elle m’a aidé à mieux jouir. Elle a fait tombé mon pantalon et ma culotte pour d’abord me voir faire et ensuite pour me remplacer. Sa main connaissait parfaitement les chattes. Elle a fini de me caresser le clitoris pour me faire jouir.
C’est après que notre aventure a commencé. J’étais heureuse d’avoir joui, elle l’était également, sauf qu’il fallait sans doute que je pense à elle. Elle baissait son jean, son string et me montrait son pubis sans un poil. Je n’avais pas le temps d’être étonnée: elle prenait ma main pour la poser sur son sexe. C’était à moi de la caresser. Je me souviens encore de ce que je lui ai fait ce jour là, j’ai commencé par fouiller toute sa moule, pour faire la bête constatation que nous étions pareilles. Ensuite j’ai mis deux doigts sur son bouton qui sortait de sa gaine. Je le faisais briller à ma façon. J’ai toujours en tête ses soupirs d’aise et son petit cri quand en se crispant elle jouissait.
Sa vie l’avait emmenée à se marier puis divorcer presque aussitôt. Je n’ai jamais compris pourquoi. Ce bref mariage lui avait appris à aimer les bites, en tout cas pas celle de son mari: les amants défilaient déjà à son âge. Puis, elle avait rencontrer une femme plus âgée qui lui avait appris le lesbianisme. Ces rapports sexuels n’avaient lieu qu’avec des femmes.


Les fois suivantes je devait venir assez tôt pour que nous puissions passer du temps à nos amours.
C’est elle qui m’a tout appris. Enfin presque tout. J’ai fait mon premier 69 avec elle, c’est elle qui m’a appris ce qu’il y avait d’agréable d’avoir une langue dans le cul, et un peu plus tard d’avoir au même endroit une bite ou plutôt un gode qu’elle maniait. La seule chose qu’elle ne m’ai pas faite est de me dépuceler. Elle m’y avait longuement préparée: depuis plusieurs jours elle voulait que je puisse prendre dans mon nid une vrai bite. Il le fallait parce qu’elle aimait baiser ses amies avec un gode.
Un samedi soir, elle me présente un garçon plus âgé que moi.
- Voici ton futur amant: il va te la mettre au con.
- Déjà ?
- Oui déjà, embrasse le sur la bouche comme si c’était moi.
Je m’exécute: sa bouche sentait un peu le tabac: il m’a prise dans ses bras, m’a caressé agréablement un peu partout. Il m’a mise nue avant de se mettre lui aussi nu. Je voyais un bite pour la première fois, un bite bandée en plus. Ma tante m’a demandé de me coucher sur le dos, les jambes ouvertes. Je me suis retrouver avec lui dans mon compas. Il a été très câlin. Quand il me la mise, au début je ne sentais pas grand-chose. J’ai poussé un petit cri de douleur quand il m’a déflorée. Je l’ai senti quand il venait au fond de ma chatte. Je l’ai même sentis quand il a jouit.
Depuis, Dieu merci je ne me suis plus jamais faire pénétrée par un homme. Par contre notre vie, elle a changée. Maintenant nous ne baisons plus sans qu’elle me mette le gode devant ou derrière. Je préfère derrière, elle me suce en même temps. A dire vrai elle ne me suce pas vraiment: elle prend le clitoris entre ses lèvres, l’aspire, le lèche un instant avant de le remettre dehors et recommencer, le tout très rapidement. Entre se genre de suçons et le gode, je jouis comme une folle.
Elle préfère que je le baise directement devant. Elle est toujours couchée, les genoux levés, les jambes bien écartées.
Elle commence par se caresser le bouton. Je la laisse bien mouiller et ensuite, quand elle me le demande, j’entre très lentement dans son ventre. Je vais et viens: elle accompagne mes mouvements. J’aime voir le gode qui entre et sort, j’adore surtout la voir jouir autour de cet engin. Dans ces cas, elle ferme toute sa chatte avec deux mains, comme pour retenir l’orgasme.
L’autre semaine, elle a invité pendant que j’étais chez elle une de ses amies, qui devait avoir un dizaine d’année de plus que moi, Babe. Quand j’ai vu cette femme blonde elle m’a donné envie d’elle. Ma tante m’a présenté comme étant sa nièce et son amante. Elle me disait:
- Si tu veux nous pouvons faire l’amour toutes les trois, ça nous changera.
- En plus je ne suis pas contre, ajoute Babe en me regardant avec gourmandise.
- Je veux bien, et je me précipite sur Babe.
Elle m’accueille à bras ouverts, c’est le cas de la dire. Nous échangeons un long baiser pour faire connaissance. Je trouve que sa salive a bout gout. Pendant ce baiser, ma tante me déshabille pour que je soit prête à recevoir les caresses bien ciblées. Mon sein droit est la proie de Babe qui me lèche et me suce le téton, le sein gauche devient la propriété de ma tante. Etre entre ses deux femmes m’excite tellement que je jouis pour la première fois rien qu’en me faisant caresser la poitrine.
Pour ces deux ça n’est pas un orgasme qui compte; elle me caresse entre les cuisses, viennent en même temps dans ma fente: je ne sais même plus laquelle s’empare de mon bouton et qui me doigte. J’ai les yeux fermés pour profiter des caresses prodiguées. J’ai beau essayer, je n’arrive pas à retenir mes jouissances.
Elles se sont acharnées sur mon corps: j’ai eu tous mes orifices visités avec des jouissances à chaque fois. Délicieux.
Ma tante avoue enfin que ce n’était que pour me faire jouir seule qu’elle avait monté l’affaire avec cette copine.
Il me tarde qu’elle ait une autre idée de ce style.

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