Maria Et Laurence

Maria se demande ce qu’elle fait encore avec son mari. Elle est jeune, à peine 25 ans, il est déjà vieux, pas tellement par l’âge: 60 ans, mais par son caractère atrabilaire. Rien de lui convient, ni la nourriture, ni même et surtout l’amour. Déjà qu’il baise rarement, il trouve qu’elle ne s’occupe pas bien de lui, il jouit à peine.
La seule consolation est sa camarade de toujours: Pascale. Au moins avec elle, elle peut s’épancher. Pascale la fait patienter jusqu’au jour où Maria n’en peut plus: son mari la surprise pendant qu’elle se masturbait: grand scandale dans la maison. Totalement écœurée, Maria décide de quitter sa propre maison.
- Tu comprends, explique Maria, il ne me fait pratiquement jamais l’amour, quand il le fait c’est pour lui seul. Il ne m’a jamais faite jouir. C’est pour ça que je suis obligée de me branler. Tu le fait toi ?
- Bien sur que je me branle, souvent même.
- Si tu m’héberges et que je me branle tu ne me dira rien ?
- Bien sur que non. Tu es libre de ton corps.
- Héberge moi s’il te plait.
C’est ainsi que Maria est chez Pascale. Maria travaille dans une grande entreprise et gagne bien sa vie. Pascale est la principale collaboratrice d’un avoué près la court de cassation. A elle deux leur revenus sont coquets. Quelque fois Pascale fait venir chez elle un ou plusieurs amis pour passer une nuit agitée avec. Pascale aime bien se donner ainsi à plusieurs hommes à la fois. Elle aime surtout la sodomie. Maria la laisse faire: elle reste dans sa chambre. Seuls les bruits de partouze parviennent jusqu’à elle. Elle se laisse aller à sa passion, se faire jouir.
Un matin en se lavant elle voit que son amie est encore sous la douche. Il n’y a rien d’étonnant, sauf que Pascale se passe le jet sur le sexe et a oublié de fermer le rideau. Maria la voit se branler sous le jet d’eau.
Elle reste étonnée un moment, puis excitée elle aussi se déshabille et là, devant son amie, elle se caresse aussi.

Chaque fille regarde l’autre jusqu’à l’orgasme. Laurence sort de la douche et demande à Maria de l’essuyer. Un peu godiche Maria entame le séchage. Elle commence par les épaules, le dos, les fesses, en les survolant, les jambes. Elle oubli volontairement la poitrine et l’entrejambe. Or c’est justement là que Laurence avait besoin de la serviette ou plutôt de la serviette et de la main qui pouvait compléter ce qu’elle venait de se faire.
Elle le fait remarquer à Maria qui en rougissant un peu, l’essuie ou plutôt la caresse. Laurence ferme les yeux pendant que la main de Maria de plus en plus sure se glisse d’abord sur les seins en s’attardant longuement sur le tétons. Laurence commence à être excitée. L’excitation de Maria arrive quand elle commence à passer la serviette sur le sexe de Laurence. Elle la passe partout dans la fente. Finalement la serviette la gêne plus qu’autre chose, elle se contente de ses mains. Bien sur c’est plus commode pour toucher directement le clitoris. Sans rien demander Maria branle le bouton. Laurence se crispe au moment de jouir. Pour elle jouir rime avec baiser. Pour le baiser, c’est facile: elle prend la bouche de Maria pour y entrer sa langue.
Maria après un instant de surprise lui donne sa langue. Laurence prend dans sa main un sein qu’elle caresse comme elle aime. Les deux filles se livrent maintenant à un échange de baisers et de caresses plus intimes à chaque fois.
Elle vont dans la chambre de Laurence, se couchent et recommencent à se caresser. Deux filles nues, allongées sur un lit, se caressant ne peut mener qu’à une seule chose qu’elle ne manquent pas: un 69. Laurence, à l’origine de leurs échanges passe dessus Maria, l’enjambe et se retourne pour avoir sa bouche très près de la chatte de Maria. Elle commence directement à la lécher.
Pour toutes les deux c’est la première fois qu’elle pratique l’amour avec une autre femme. Elle n’inventent rien, seul parle l’instinct. Et l’instinct est de faire jouir l’amante.
Pour elle tous les moyens sont bons.
Ainsi, Maria, la plus prude des deux, lèche pratiquement toute la fente de Laurence d’un seul coup de langue. Elle part du clitoris pour s’arrêter sur l’anus et remonte au point de départ. Laurence se sert de sa langue et la déplace lentement sur les lèvres d’abord de bas en haut puis sur le clitoris où elle s’attarde puis sur l’anus. Bizarrement les deux jeunes femmes vont sur l’anus de l’autre.
Laurence sort de sa table de nuit son gode. Normalement elle s’en sert quand elle a une brusque envie de bite. Cette fois se n’est pas pour elle: elle va enculer Maria. Elle prend de la cyprine de la chatte à Maria, lui mouille bien l’anus. Elle pose le bout du gode, hésite sur la tenue à avoir. Elle décide que Maria a un cul fait pour la sodomie: elle agit comme pour elle en rentrant lentement dans le cul. Maria arrive à écarter ses fesses largement. Elle essaie d’ouvrir son cul: il y a tellement longtemps qu’elle n’a pas eu de bite dans le cul qu’elle a mal quand elle se fait sodomiser. Elle sait que la douleur supportable passera vite, ce qui est le cas. Maintenant elle a son bouton dans la bouche de Laurence et son cul envahi par le gode. Elle se laisse aller au plaisir complet que lui donne son amie. Elle éprouve un tel plaisir qu’elle en oublie de caresser sa compagne. Pour cette première fois c’est un véritable succès: Maria ne pensait jamais, d’abord faire l’amour avec son amie, et ensuite jouir autant. Elle se rend compte enfin qu’elle a oublié de la faire jouir encore: elle chipe le gode à Laurence; la lèche toujours cette fois dans la vagin, mouille l’anus de Laurence et lui rentre d’un seul coup pratiquement toute la longueur du gode. Laurence est surprise par l’entrée brusque mais se reprend aussitôt: elle aime se faire sodomiser. Elle a en plus une langue dans sa chatte, une langue qui devient de plus en plus agile pendant cette séquence de la séance. Elle retiens la main de Maria pour faire durer son plaisir anal.
Elle ne peut la retenir longtemps: son besoin de jouir par cet endroit est trop fort. Alors Maria comprenant le besoin d’orgasme va de plus en plus vite dans le cul offert. Laurence se crispe quand elle mord le clitoris et qu’elle gémit fortement. Enfin elle a eu une sodomie comme elle les aime; meilleures qu’avec ses copains.
Il a fallut qu’elle téléphonent à leur employeur pour leur raconter qu’elles étaient malades. Pour des malades, elle faisaient ce qu’il fallait: elles restaient eu lit, pas ment pour prendre des remèdes, mais un seul: les 69 à répétition.

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