Magali

Je demande depuis longtemps à mon mari, Jacques de me trouver une autre femme pour que j’essaie l’amour au féminin. Ce n’est pas que je n’aime pas qu’il me baise, au contraire: c’est je crois, pour moi en tout cas, l’as de la baise, surtout quand il arrive, comme souvent à me satisfaire par les deux orifices l’un après l’autre. J’aime qu’il commence toujours pas la chatte: il m’a déjà faite jouir plusieurs fois avec ses doigts et avec sa langue. Il m’a donné une rasade de sperme. Je continue à le sucer pour qu’il reste en forme.
Je pense que la nature est mal faite, pour les hommes. Il faut qu’ils rechargent leurs batteries alors que nous, les femmes nous pouvons jouir coup sur coup.
Quand il bande à nouveau, là il peut me baiser longuement. J’adore sentir sa queue dans mon ventre. J’aime accompagner ses vas et vient. J’aime beaucoup qu’il continu les mouvements quand je jouis.
Quand je lui demande de m’enculer il me fait jouir toujours deux ou trois fois de suite. Je fais plus qu’aimer quand je sents son jet de sperme dans mes intestins.
J’ai donc besoin de connaitre un nouveau plaisir avec une femme. Je serai sans doute déçue: je veux faire l’essai.
Nous vivons dans une petite ville et Jacques qui en est chargé, ne veux pas chercher ma future amante ici, car il est bien entendu que c’est lui qui fera le tri avant moi. Nous avons décidé qu’il pourrai baiser aussi cette fille.
Jacques demande à un copain s’il connait une call girl à Paris: il obtiens les coordonnées de cette fille. Vers 17 heures un jour devant moi, il appelle la fille en question, j’écoute, et en gros la conversation est celle-ci.
- Oui, je suis Magali (-sans doute son nom de guerre), que puis-je pour vous?
- Je cherche quelque chose d’un peu particulier,
- Oui, dites toujours.
.- Ma femme a envie de connaitre l’amour avec une autre fille. Je participerai également. Pouvez vous me donner des adresses ?
- Ce n’est pas la peine, je fait l’affaire étant bisexuelle.


- C’est gentil. Où et quand pouvons nous nous voir ?
- Quand vous voudrez, je préfèrerais un vendredi soir, mettons la semaine prochaine, au bar du ……….à 18 heures. Je serai libre jusqu’au dimanche soir.
- D’accord. Je voudrai savoir combien vous demandez pour cette prestation ?
- Ce n’est pas une prestation, c’est un plaisir pour moi, c’est rare quand je peux faire l’amour avec une autre femme pour mon propre plaisir.
- Oui, mais je veux participer.
- Ca fait parti de mon plaisir: je suis libre de jouir avec qui je veux, à vendredi prochain.
Pendant la conversation je ne pouvais ne pas être excitée, je me branlais tranquillement. Je voyais Jacques la bite dehors avec une main dessus: la vue de ma masturbation lui fait toujours cet effet.
Nous nous dépêchons d’aller au lit: je me jette sur lui, je l’embrasse en lui prenant la bite. Je le masturbe à peine, pour le prendre dans la bouche. Il me fait tourner pour que je puisse être dans la bonne position pour un 69.
La semaine nous parait longue, surtout à moi. Je passe tout mon temps libre à me caresser la chatte. Vers le mardi je commence à penser à ce que je vais mettre. Jacques à qui j’en parle est partisan d’une tenue correcte, juste un peu dénudée sur la poitrine pour montrer que j’ai de beaux seins. Moi je préfère une mini jupe, très mini, avec un simple t-shirt transparent. Il me rappelle que nous avons rendez vous dans un bar huppé. Certainement que Magali sera bien habillée;
Je me range à ses arguments.
Enfin nous sommes au bar à l’heure. Nous nous asseyons à une table pas loin du bar. Un jeune femme vient vers nous. Je la regarde ne pensant que c’est Magali. En tout cas, si c’est elle, elle est bien fichue, habillée grande classe, je remarque ses cheveux blonds très longs qui descendent jusqu’à ses fesses. Jacques me dit que ce doit être elle.
En effet cette fille nous parle:
- Je suis Magali. Je suis contente de vos voir.
- Nous aussi.

- Voulez vous que nous passions à table avant d’aller régler nos affaires: nous avons le temps jusqu’à dimanche soir.
Elle fait ce qu’elle veut, après tout elle va me baiser. Jacques va la baiser aussi.
Le repas n’est pas riche, sur sa demande nous ne nous régalons pas des plats de la carte mis à part les fruits de mer. Nous partons en taxi chez elle: bel appartement où dit-elle, personne n’entre. Bel appartement avec un séjour immense et une chambre avec un lit qui peut contenir facilement quatre personnes.
Elle pose son manteau sur une patère, nous demande d’en faire autant. Je ressens un instant de gêne devant elle: c’est vrai-je vais demander à une prostituée de luxe de me faire jouir.
Elle n’a pas mes scrupules: elle connait mes désirs et je connais les siens. Elle vient vers moi, et devant Jacques, elle pose sa bouche sur la mienne. Je suis débloquée et ma langue va à la recherche de la sienne. Je me serre contre elle plus qu’avec Jacques. Je sens ses formes féminines contre les miennes. Je l’ai prise par le cou, pendant qu’elle me serre les hanches. Lentement, elle cherche le haut de ma fermeture éclair, tire dessus et ouvre en grand le haut de la robe. Bien sur elle dévoile mes seins nus. Elle oublie ma bouche pour un moment; ses lèvres prennent les tétons et les lèche avant de les sucer. Je ne sais comment elle fait avec les hommes, en tout cas avec moi, c’est au moins aussi bon qu’avec Jacques.
Je ne reste pas comme un bout de bois, je cherche aussi ses seins que je dénude pour les caresser. Je sens qu’elle a la chair de poule qui cesse dès que j’arrête.
A nouveau nous nous embrassons. Cette fois c’est moi qui prend l’initiative de passer ma main sous sa jupe. Je monte lentement, je monte vers son sexe. Jusqu’à présent nous n’avons rien fait de franchement répréhensible. Sauf que quand j’arrive sur sa chatte, elle m’arrête.
Elle me déshabille complètement. C’est facile je ne porte pas de sous vêtement.
Je m’applique à lui rendre la pareille. Elle n’est pas totalement nue, ses cheveux forment une sorte de rempart
Je jette un coup d’œil sur Jacques. Je vois qu’il bande. Magali le voit aussi: nous allons ensemble vers lui. C’est Magali qui s’occupe de lui; elle sort la bite, le branle un peu, me la donne pour la suite. Moi j’ai envie de l’avoir dans la bouche. Je ne m’en prive pas: ma langue lèche son gland avant que je l’enfourne. Je suce mon mari quand je sens sur mes fesses les mains de Magali qui les caresse et essaie de passer un doigts entre les globes. Elle m’excite trop: je laisse Jacques avec sa bite bien bandée. Magali pose son doigt sur mon anus. Après mes tétons c’est mon cul qui lui sert pour me donner du plaisir. Elle enfonce complètement deux doigts, les fait aller et venir. Je serre mon cul quand je sens venir le premier orgasme. Elle sait bien branler un cul. J’espère qu’elle en sait autant dans un sexe. Elle me fait aller sur le lit. Une fois couchées, nous commençons à nous faire du bien. Elle commence d’abord puisque je suis la cliente. Elle prend mon clitoris je manœuvre je ne sais trop comment: je suis sur le point d’hurler de plaisir quand j’ai cet orgasme dévastateur. La seule chose que je sais c’est qu’à mon tour je pose deux doigts sur son bouton. Je la caresse sans cesse: elle aussi jouit en gémissant. Nous sommes enlacée toujours bien collées. Je me met sur elle pour être poitrine contre poitrine. Je fait aller mes seins de droite et de gauche. Nous aimons que nos seins se frôlent. Elle me tourne sur le dos. Jacques voyant son cul libre se précipite sur elle. Je le voit arriver avec sa pine bien épaisse, plus qu’à son habitude: il va me tromper devant moi. C’est quand même moi qui ai commencé. Il vient sur Magali qui le laisse faire, elle dirige sa pine sur son cul déjà pas mal trempé. Je sens les vas et vient de Magali: elle suit les mouvement de Jacques. Je passe une main entre elle et moi pour arriver à sa chatte, je peux caresser ainsi le clitoris.
Prise des deux cotés elle ne tient pas longtemps. Pourtant elle a l’habitude de se donner souvent et d’en jouir, sinon elle changerait de métier.
Quand Jacques jouit, il se retire la bite pendante. J’ai besoin d’un bon 69. Magali aime sucer les sexe des filles, elle aime la cyprine: elle me laisse sur le dos, reste sur moi, se retourne et met sa tête entre mes cuisses. Elle commence la première par me lécher la fente, sa langue explore tous mes secrets: rien ne lui échappe. Au début, elle passe de grands coup de langue du haut en bas, elle insiste ensuite longuement sur le clitoris, me fait jouir au passage, entre dans le vagin, y trouve mon point sensible, s’y attarde longuement, en sort pour aller se poser juste sur l’anus. Je relaxe tous les muscles du sphincter et sa langue entre dans mon cul.
Moi, je fais à peu près pareil, sauf que je reste plus longtemps qu’elle sur son point G. Elle apprécie ma langue dans son cul.
Nous sommes obligées d’arrêter: nos langues n’en peuvent plus.
Jacques intervient à nouveau. Cette fois il vient sur moi, me fait écarter les jambes, m’embrasse longuement, jusqu’à ce que le bouche de Magali le remplace et me la met longuement dans le con. Magali ne reste pas immobile, si sa langue est dans ma bouche elle a mis deux doigts dans le cul de Jacques qui réagit fort bien. Il me fait jouir encore plusieurs fois.
Maintenant il se tourne vers Magali, la couche sur le dos, lui fait écarter les cuisses et entre dans son jardin secret. Je regarde de très près la bite de mon mari qui baise Magali. J’y prends également mon plaisir en voyant cette queue que j’aime entrer et sortir du sexe d’une autre femme. J’ai plaisir à voir sa queue sortir quand il jouit: elle est pleine de sperme et de cyprine. Nous nous disputons le nettoyage de la bite avec Magali. Nos langues se rencontrent souvent avec tendresse.
Nous n’en pouvons plus, aussi nous nous endormons, nus sur le lit. Le lendemain matin, c’est Jacques qui nous réveille: il a préparé un plateau avec tout ce qu’il faut pour le petit déjeuner. Il est assez amusant de le voir avec ce plateau, sa bite qui est en l’air. Il pose le plateau sur le lit, nous embrasse toutes les deux sur la bouche, permet à Magali de le sucer un peu. Après le déjeuner nous nous amusons un peu avec la bite de Jacques. Magali le prend dans la main, la fait descendre en entier vers le bas, la relâche: elle remonte rapidement vers le haut. C’est distrayant. Jacques est moins d’accord. Il risque de débander. Je ne le veux pas: mon mari doit bander pour me la mettre à moi, pas même à Magali. Elle entre en moi jusqu’au fonds, comme j’aime, je suis les mouvements. Je suis sur le point de jouir quand Magali vient me donner tout son sexe dans la bouche. Je commence à la lécher pendant que mon bas ventre commence a se manifester; je jouis encore.
C’est bien simple nous avons baisé pratiquement tout le temps. J’ai eu mon plein de sensation avec une autre femme. Je ne le regrette pas, au contraire, je ne regrette pas que Jacques ai baisé cette fille devant moi. Lui ne regrette rien non plus. Il nous arrivent quelques fois en baisant de parler de Magali. Il est probable qui si je la voyais encore j’aurai envie d’elle, sans plus.

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