La Fête Des Mères
Il y a quelques temps, je vous ai raconté comment ma femme m'avait éconduit et comment j'avais remédier à ce fait un certain dimanche. Depuis, elle a changé et j'ai découvert une autre personnalité. Elle répond à toutes mes attentes même celles qu'elle me refusait avant. Toutefois, depuis quelques semaines, j'ai l'impression qu'elle s'ennuie et lorsque je lui pose la question, elle me répond, en haussant les épaules :
« Qu'est-ce que tu vas chercher. Je suis simplement fatiguée ».
Mais je ne suis pas dupe. Je suis certain qu'elle me répond ça pour me contenter. Elle a souvent l'air ailleurs et, peut-être, repense-t-elle à cette matinée et qu'elle ne sait pas comment m'en parler. Je n'ai jamais souhaité qu'une seule chose pour ma femme : c'est qu'elle soit heureuse quoi qu'il peut m'en coûter. Alors, comme la fête des Mères est passée et que je ne lui ai donné encore aucun cadeau, voilà ce que je lui est offert.
Le dimanche suivant, je lui demande d'aller à la piscine car j'ai une surprise à préparer pour la fête des Mères et, bien que c'était la semaine dernière, c'est aujourd'hui que je vais t'offrir ton cadeau.
Vers 11 heures 30, elle rentre avec un sourire et me demande :
« Alors, tu as eu le temps de tout préparer. Tu as remarqué, pour l'occasion, je me suis changée ».
En effet, je l'ai vu tout de suite. Il est rare qu'elle s'habille d'un chemiser et d'une jupe courte un dimanche.
« Tu es superbe. Je termine à l'instant. Maintenant, tu vas venir t'asseoir sur cette chaise, au milieu du salon et je vais te bander les yeux. Surtout ne regardes pas ».
S'asseyant, elle me dit
« Qu'est-ce que tu as encore inventé et pourquoi cette musique ».
C'est alors que je lui retire le bandeau et lui crie :
« Bonne fête, chérie. Je te présente Steve».
Devant elle, se trémoussant sur la musique, se tient un homme en tenue de pompier. Hébétée, elle ne dit pas un mot lorsque celui-ci ôte sa veste, découvrant un torse hâlé et musclé.
« Toi aussi chérie, si tu le voudrais, tu pourrais te déshabiller en dansant ».
M'attendant à un refus, je suis surpris de la voir se lever et de commencer, tout en se dansant, à déboutonner un par un son chemisier. Arrivé au dernier bouton, elle l'ouvre d'un coup sur ses 2 seins nus. Elle n'a pas de soutien-gorge, ce qui lui arrive très rarement. On peut voir ses 2 tétons dressés d'excitation et, après avoir jeté son chemiser au travers du salon, elle se retourne et se baisse brusquement. La jupe courte remonte sur un shorty noir. Remuant les fesses, elle fait glisser doucement la fermeture de sa jupe qui tombe sur ses chevilles. Petit à petit, déhanchement après déhanchement, elle baisse son shorty jusqu'au sol. Dans cette position, on peut voir les poils de sa chatte qu'elle a rasé partiellement pour la piscine. Lorsqu'elle nous fait face, on peut apprécier qu'il reste un beau triangle brun. Levant les bras au-dessus de sa tête, elle demande :
« Alors, ça vous a plu ? A ce que je vois, je dirais oui.
En effet, j'avais sorti ma queue et les 3 hommes avaient leur sexe très à l'étroit dans leur string. N'y tenant plus, ils l'enlèvent et apparaissent 3 sexes dressés, gonflés avec un gland rouge d''excitation. Steve et John ont une queue un peu plus longue que la mienne mais plus fine tandis que celle de Franck est courte mais bien plus grosse. C'est vers celle-là que se dirige ma femme et, la prenant en mains, commence à la branler. Sa main ne fait pas le tour de l'engin. Les bourses sont à l'avenant de la pine. Elles ont la taille de mandarines. Elle s'agenouille et lui lèche le gland. Elle fait de subtils va-et-vient le long de sa hampe et, ouvrant grand la bouche, elle l'enfourne d'un coup jusqu'au fond de la gorge, déclenchant un râle de satisfaction de l'homme.
« Putain, qu'elle est bonne ».
Les 2 autres, la bite en main, en veulent aussi et chacun leur tour, lui présente leur membre qui est aussi vite englouti. Cette séance de fellation dure un bon moment pendant laquelle on entend que soupirs et mots crus. Franck me jette un coup d'oeil et m'apostrophe
« Tu ne dois pas t'ennuyer avec une salope pareille ».
« Je dois reconnaître qu'elle a le talent de bien sucer, et bien d'autres encore ».
Me prenant au mot, Franck installe mon épouse sur la table de salon et entreprend de lui lécher sa chatte dégoulinante de mouille. John lui pétrit les seins tout en lui léchant et mordillant les tétons tandis que Steve se sert de sa bouche comme d'un sexe lui enfonçant sa queue jusqu'au couilles. La langue de Franck lui titille le clitoris et, après quelques minutes, génère un orgasme que ma femme ne peut retenir. A genoux devant sa chatte grande ouverte, Franck lui enfonce d'un coup sec, sans problème, sa grosse bite. Un petit cri étouffé par le sexe de Steve dans sa bouche se fait entendre mais d'autres, de plus en plus fort, s'élèvent car, pilonnée comme elle est, elle jouit une seconde fois. Les autres ne voulant pas être en reste, Steve s'extirpe de sa bouche et la relève pour l'empaler sur son sexe.
« Elle a une grosse chatte, non ».
« 3 s sont passés par là, ça doit faire de la place. Et ma main y pénètre sans difficulté».
Il se rapproche et, tandis que Steve est toujours en elle, petit à petit enfonce sa verge. Avec ses 2 bites, elle ne tarde pas à jouir encore une fois et les 2 hommes en elle la suivent presque aussitôt. Cette double vaginale a excité au plus haut point Franck qui forçant ma femme à rester à 4 pattes, l'entreprend en levrette. Cette position m'ayant excité, je m'agenouille face à ma femme et lui introduit mon sexe dans sa bouche. A peine quelques instants après, Franck se vide à l'intérieur de mon épouse tandis que je lui crache toute ma semence qu'elle avale jusqu'à la dernière goutte.
Epuisée, couchée au milieu du salon, elle me regarde et, dans un sourire, me dit
« Merci, chéri. Merci pour cette fête d'une Mère ».
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