Les Femmes Du Hammam Episode 1 : Baya Et Djamila Dans La Librairie
« Comme chacun sait, les hommes jaloux peuplent villes et campagnes. Ils oublient que les femmes
parviennent toujours à leurs fins. Par-delà les murs, les mers et les montagnes»
« Mon cher époux ! Tu crois que cest en menfermant que tu mempêcheras de te tromper ? [
] Sache,
mon mari, que ta surveillance nassure en rien ma fidélité. Si je le veux, je peux te tromper, à ta
barbe»
Nora ACEVAL, Contes libertins du Maghreb
Cest en lisant le recueil de contes quelque peu grivois, quavait publié en novembre 2008 Nora
Aceval El Khaldia, auteure française née en 1953 dans la région de Tiaret en Algérie, que mest
revenu en mémoire tout un pan de ma jeunesse. Cétait surtout les histoires du livre qui se
déroulaient dans des hammams pour femmes ou qui y faisaient allusion, qui mavaient rappelé
lexquis parfum dérotisme intimement lié à ce lieu, doù je voyais sortir, surtout les samedis
après-midi (veille de la journée hebdomadaire de repos qui était encore le dimanche, à cette époque
là) un chapelet de femmes - voilées ou pas - qui venaient de quitter le hammam dà côté de la grande
librairie tenue par mon frère aîné.
Le hammam pour femmes a toujours été pour moi un lieu mystérieux et merveilleux qui titillait mon
imagination de jeune adolescent, en pensant à tous ces corps de femmes nus entrain de se baigner,
sépiler, se parfumer et se faire belles pour leurs maris. Je fantasmais beaucoup en regardant ces
femmes qui passaient devant la librairie, laissant derrière elle cette odeur si caractéristique de
vapeur deau et de savon, de propre, et pour certaines, de parfums traditionnels orientaux à base
de musc ou dambre.
Mon imagination déjà très débridée memmenait vers des mondes de beauté et de plaisirs
érotiques, remplis de corps nus de femmes lascives, offerts à ma luxure et à mon bon plaisir.
fois que je voyais une de ces femmes sortir du hammam, je ne pouvais mempêcher dimaginer son corps
blanc, propre, sans aucune trace de poil, préparé pour être offert la nuit venue, à un homme
certainement son mari qui allait en prendre possession. Jétais fortement émoustillé une manière
polie de dire que je bandais comme un cochon - rien quà lidée que cette femme qui passait devant
moi, sans même me lancer un regard, ne pensait en fait quaux moments de plaisir quelle allait
offrir à son mari. Et que, peut-être elle allait elle aussi prendre son pied, si elle avait la
chance davoir un époux compréhensif, qui ne soit pas quun mâle prétentieux, imbécile et égoïste.
Il y avait de tout dans ces femmes qui quittaient le hammam : des jeunes et des moins jeunes ; des
femmes seules et des femmes venues en groupes ; celles qui portaient le haïk traditionnel
(magnifique voile blanc, que certaines femmes portaient avec un art consommé de la séduction) et
dautres habillées à loccidentale; des femmes pressées de rentrer à la maison et dautres qui
traînaient sur le chemin du retour à la maison, en faisant du lèche-vitrines.
Parmi toutes les femmes qui fréquentaient le hammam du quartier, il y en avait deux qui se
singularisaient très nettement et qui avaient attiré mon attention et ma curiosité. Elles faisaient
partie de celles qui portaient le voile traditionnel (le merveilleux haïk Mrama typiquement
algérois, blanc, en satin ou en soie, qui laissait subrepticement apparaître le mollet de celle qui
le portait, ce qui titillait la libido de tous les hommes qui la mataient sur son chemin) et qui
trainaient longuement avant de rentrer chez elle. Cétait la deuxième fois quelles entraient dans
la librairie et passaient beaucoup de temps à entre les rayons à chercher des livres tout en
discutant très longuement avec mon frère Moussa.
beaucoup damabilité, bien quelles naient acheté quun tout petit cartable décolier.
Moussa était de deux ans mon aîné; à cette époque, il venait de boucler ses vingt six ans. Il avait
commencé par être enseignant, après avoir suivi une formation à lécole normale supérieure. Mais
très vite, il avait abandonné lenseignement, quil trouvait trop barbant, pour ouvrir et gérer une
grande librairie dans le quartier. Moi, jétais sur le point de terminer une licence en économie, et
jespérais décrocher une bourse pour une post-graduation en France. En attendant, tous les soirs et
les week-ends jaidais Moussa à la librairie.
Lui et moi formions un binôme très complémentaire. Nous nous entendions très bien, y compris pour ce
qui concernait les filles. La faible différence dâge entre nous, faisait que nous étions plus des
amis que des frères. Il y avait entre nous une complicité évidente. Nous draguions même ensemble -
cétait surtout lui qui draguait et me faisait parfois profiter des ses conquêtes - sans tenir
compte de cette pudeur hypocrite qui interdisait à un garçon dune famille de faire quoi que ce soit
« dimpudique » devant un proche. Nous nen étions pas encore arrivés au point de partager la même
femme, mais nous ne nous gênions pas pour tirer nos conquêtes dans le même endroit, et au même
moment. Nous avions dailleurs aménagés un lieu de « débauche » dans un local libre au fond de la
librairie, où quand la chasse était bonne pour lun ou lautre, ou pour les deux à la fois nous
prenions quelques moments de plaisir. Nous y avions installé un grand canapé et un lit de camp qui
devenaient nos champs de bataille.
/
Deux Samedis de suite, je surpris Moussa entrain de discuter un long moment avec les deux femmes
voilées qui étaient entrées dans la librairie, en sortant du hammam.
pas prêté beaucoup dattention. Dautant quen sortant, javais vu que lune delle avait acheté un
petit cartable décolier, destiné certainement à son fils. Mais la deuxième fois, javais remarqué
que la discussion des deux femmes avec mon frère durait plus que nécessaire, sagissant de clientes.
De temps en temps, je voyais Moussa qui jetait un regard vers moi, comme sil réfléchissait à
quelque chose qui avait une relation directe avec moi. En plus, il avait ce regard du chasseur sur
le point dattr une proie.
Le salaud, me dis-je, il vient de faire une touche ! Ma curiosité fit que je me rapprochais pour
mieux voir et entendre ce qui se tramait. Jentendis clairement prononcer en arabe :
- Le mien est beaucoup plus grand que celui-ci ! Il est aussi grand que celui dun âne !
(Entaai kbir bezzaf aala hadha ! ki taa lahmar !)
Jentendis les deux femmes des fantômes blancs, dont je ne voyais rien de précis, si ce nétaient
deux silhouettes informes emprisonnées dans de la soie blanche glousser comme des dindes, nosant
pas rire franchement à la remarque obscène de mon frère. En mapprochant, javais vu que Moussa
avait ouvert un livre que je reconnus tout de suite, parce que cétait un livre licencieux, que la
censure avait miraculeusement laissé passer entre les mailles, dhabitude imperméables, de ses
filets. Il sagissait dun récit érotique « Le jardin parfumé » de Cheikh Nefzaoui - écrit en
Tunisie au début du seizième siècle et qui, en plus du texte, comportait des illustrations sans
équivoque.
Moussa était entrain de montrer aux deux femmes les images de positions sexuelles que décrivait
lauteur et avait ainsi très fortement attisé leur curiosité. Elles riaient maintenant aux éclats,
sous leurs voilettes qui ne laissaient voir que leurs immenses yeux noirs. Je mapprochais pour
mieux voir, et, ave le secret espoir de participer à la discussion et
à plus, si affinité.
connaissais trop bien mon frère pour ne pas avoir deviné quil était entrain de dérouler un plan
quil avait concocté depuis sa première rencontre avec le due, le samedi dernier. A ses yeux qui
brillaient et au rictus quil avait sur les lèvres, je savais quil venait de ferrer le poisson. Il
ne sadressait en fait quà une seule des deux femmes la plus grande et celle qui, sous son haïk,
semblait la plus plantureuse des deux. Et je connaissais la préférence de Moussa pour les femmes
bien en chair. Il avait donc fait son choix, et me laissait la deuxième femme. Cela faisait partie
de nos accords tacites : quand lun dentre nous choisissait le premier une proie, lautre acceptait
le choix et devait se contenter du lot de consolation ; si lot de consolation, il y avait.
Je me mis donc à accorder un intérêt particulier à la deuxième femme elle sappelait Baya (alors
que sa compagne avait pour doux nom Djamila). Elle avait de magnifiques yeux. Cétait la seule
chose- avec le mollet droit - que je pouvais distinguer nettement. Tout le reste était caché par la
soie blanche du Haïk. Je ne savais absolument pas ce qui se cachait sous le voile. Moussa non plus
dailleurs, mais pour lui, cétait moins grave, puisque ce quil aimait par-dessus tout chez une
femme, cétait son côté callipyge (cest-à-dire avec de magnifiques fesses et par extension, une
femme avec des formes très prononcées). Et même sous le haïk, on voyait que Djamila était
plantureuse et avait un superbe fessier.
A lépoque, on disait entre garçons, quand on avait affaire à des femmes voilées que lon draguait,
quon avait affaire à de véritables pochettes surprises : on ne savait jamais, qui se cachait sous
la blancheur immaculée du voile et sur quoi on allait tomber. Avec Baya, cétait bien de surprise
quil sagissait : tout ce que pouvais voir cétaient ses magnifiques yeux noirs non maquillés -
et un sublime mollet tout blanc et superbement galbé quelle exhibait avec un art consommé de la
provocation, à chacun des pas quelle faisait. Quelque chose pourtant me disait que cette femme
devait être exceptionnellement bandante. Peut-être à sa démarche ondulante ; peut-être à la manière
dont elle tenait son voile sous le menton, pour quil ne séchappe pas : tout en élégance ; peut-
être aussi à sa manière directe et effrontée de nous regarder Moussa et moi. Si javais eu à
choisir, mon choix se serait porté sans aucune hésitation sur Baya. Le hasard ayant bien fait les
choses, je me décidais à entrer en scène pour participer à la faire évoluer.
Ayant compris le plan dattaque de mon frère il sagissait pour lui de séparer les deux femmes
pour pouvoir soccuper pleinement de Djamila, - je fis la proposition de montrer à Baya la deuxième
copie du livre qui se trouvait dans la chambre du fond.
- Cest une très bonne idée ! répondit Moussa. Comme cela toutes les deux pourront profiter du
livre, sans avoir à le faire passer de lune à lautre. Vas-y frérot, montre lui tout ce que savait
faire notre bon Cheikh Nefzaoui.
Il y eut un petit moment de silence chez Baya, que je croyais être de la gêne. Cela mavait rendu
hésitant sur la manière de my prendre avec la femme. Ce fut Moussa, avec son sans gêne légendaire,
qui me montra la voie à suivre Il prit Djamila par la main et, sans autre forme de procès et
surtout, sans quelle ne protestât, lentraina derrière le comptoir, en lui disant :
- Installe-toi, pendant que je ferme la porte du magasin.
Djamila obéit sans rien dire, pendant que mon frère alla fermer la porte du magasin et installa sa
fameuse petite pancarte qui indiquait : « Je reviens dans une heure ». Il la plaçait, sur la vitre
de la porte dentrée, chaque fois quil était occupé, à lintérieur du magasin avec une dame. Je
pris Baya par la main et lentraînai vers le fond. Elle opposa une toute petite résistance qui
mobligea à tirer un peu plus fort sur son bras - et puis elle se laissa faire et se dirigea presque
toute seule, vers le canapé installé tout au fond de la petite pièce. Je la regardais avec
curiosité. Elle était restée debout, tenant de sa main droite son voile sous son menton pour quil
ne glisse pas et libère sa tête; la main gauche, quant à elle, était restée ballante à ne rien
faire.
Je mapprochais delle et tendit la main pour quelle lâche les bouts du haïk qui le retenais sur sa
tête. Elle fit non de la tête, mais avant même que ma main ne touche la sienne, elle desserra ses
doigts et laissa le tissu glisser le long de son dos, libérant ainsi une longue chevelure noire
corbeau tressée grossièrement et encore toute humide du bain quelle avait pris tantôt. Les femmes
qui allaient au hammam, attendaient de rentrer chez elle pour se sécher les cheveux, se coiffer et
se maquiller, en attendant larrivée du mari, à qui toute la cérémonie était destinée.
Ma pochette surprise me réservait une vision des plus agréables. Je me disais que si le reste de la
tête et du corps étaient à limage de sa chevelure, je venais de décrocher le gros lot. Mais pour le
confirmer, il me fallait maintenant me débarrasser de la voilette qui soustrayait son visage à mes
yeux. Je tendis mes deux mains pour la lui enlever. Elle ne voulut pas que je men occupe; elle le
fit elle-même et en une fraction de seconde, elle défit le nud qui la tenait derrière sa nuque et
offrit à mes yeux émerveillés, un superbe visage de madone. Elle devait avoir environ trente ans.
Elle était brune une vraie brune au teint mat avec un visage rond, des joues de poupée et une
petite bouche entourées de la plus merveilleuse paire de lèvres que je navais eu à admirer dans ma
jeune vie de mâle. Des lèvres pleines, comme des fruits bien mûrs des cerises dont elles avaient
la couleur - superbement ourlées et légèrement avancées comme pour quémander un baiser. Des lèvres
que je voulais déjà embrasser et croquer pour en connaitre le goût et tester leur fermeté.
Baya était restée debout face à moi. Elle ne disait absolument rien je venais de me rendre compte
que je navais pas encore entendu le son de sa voix et se contentait de me regarder de manière
presque ironique et provocante. Comme si elle me disait : « mon salaud, tu ne tattendais pas à ce
que je sois aussi belle ! »
- Tu es vraiment superbe ! Est-ce que le reste de ton corps est du même acabit ? Tu ne veux
pas enlever ton voile ?
Elle me regarda encore un moment, comme si elle pesait le pour et le contre de la proposition que je
venais de lui faire, puis dun geste gracieux, elle fit passer toute la pièce de tissu par-dessus sa
tête elle tenait par un élastique autour de sa taille et resta avec une robe en coton de couleur
orange, qui sarrêtait juste au dessous de ses genoux. Cétait vraiment une belle plante : de taille
moyenne et merveilleusement proportionnée ; avec une poitrine ferme et arrogante, bien que de taille
modeste. Jétais sûr quelle ne portait pas de soutien gorge, tant ses tétons étaient visibles sous
le tissu de la robe. Sa taille était fine, mais elle avait un tout petit ventre rond qui
transparaissait, lui aussi, sous le tissu de sa djebba. Un ventre tellement mignon et érotique !
Ses hanches étaient larges je me fis la remarque quelle avait dû avoir au moins deux s et
son fessier rond et haut perché, comme celui dune belle pouliche. Ses jambes étaient bien dessinées
longues et galbées et, à ce que jen devinais, étaient surmontées par des genoux ronds et
brillants et des cuisses longues, fermes et bien pleines. Je sentais mon cur battre la chamade. Je
commençais même à être un peu intimidé. « Elle est trop belle pour toi » me disait une partie de
moi-même. Tu ne peux pas être à sa hauteur. Elle a certainement plus dexpérience que toi. Jétais
resté là debout devant elle, à hésiter, ne sachant pas comment my prendre pour paraître à mon
avantage et non pas comme un garçon gauche et inexpérimenté.
Elle avait certainement deviné tout ce qui se passait dans ma tête. Elle devait se dire que jétais
encore très jeune et que je navais pas lexpérience des femmes. Elle se décida donc à prendre les
choses en main.
- Et le tien, il est comment ?
/
Elle mavait lancé cette phrase avec sa voix rauque - en me regardant dun air moqueur. Javais
mis du temps à comprendre de quoi elle parlait. Surtout quelle sexprimait en arabe. Quand je
compris quelle parlait de la taille de mon sexe, je sentis tout mon sang remonter à mon visage.
- Kbir kima en-taa khouk ? (Aussi grand que celui de ton frère ?) Warri hou li ! (Montre-le
moi !) Garab liya, en-khardjouh men essaroual ! (Approche-toi de moi, que je le sorte du pantalon !)
Je mapprochais delle, presque timidement. Elle tendit la main droite vers le devant de mon
pantalon. Javais presque honte de moi et de mon comportement : ce nétait pas celui dun homme !
Cétait, dans mes principes de jeune macho, lhomme qui devait prendre des initiatives ; pas la
femme. Javais le sentiment quelle mavait mis la honte ! Il me fallait absolument que je lui
montre que jétais un amant à la hauteur. Il me fallait faire quelque chose pour lui montrer que
jétais un homme, un vrai ! Et que je savais prendre des initiatives ! Et je ne trouvai rien de
mieux, que de lui prendre la main avant quelle natteigne mon bas ventre, pour la guider vers
limpudique renflement que faisait mon sexe sur le devant de mon pantalon. Elle se laissa faire et
obéit à la pression que jexerçais sur sa main pour lamener à caresser lengin à travers le tissu.
Très vite, je sentis que je navais pas besoin de la guider. Elle reprit très rapidement les choses
en main et plutôt mieux que moi !- et se mit à palper mon membre dune main experte, qui me fit
rugir de plaisir. Tout mon égo de mâle venait de disparaître sous la douceur de la caresse et du
plaisir quelle me procurait.
- Hadha zeb ! Kbir ou smin ! Kima en-habhoum ! (Ça cest un zob ! Grand et gros ! Comme je
les aime !) dit-elle en ouvrant la fermeture de ma braguette et en introduisant la main sous le slip
pour le palper. Lazzem en-chouffouh ! (Il faut que le voie !)
Même à travers le tissu du slip, le contact de sa main, si douce et si experte, sur mon sexe
menvoya une légère décharge électrique qui me fit frissonner et me fit pousser un long gémissement
de contentement. Elle manipula quelques secondes mon gourdin sous le pantalon, puis se décida à le
sortir pour le mettre à lair libre. En un tour de main, elle défit le ceinturon, ouvrit le bouton
et descendit le zip de la braguette.
- Lazzem en-chouffouh ! (Il faut que le voie !), répéta-t-elle, tout en sactivant
fiévreusement sur le pantalon.
Elle fit descendre en même temps le pantalon et le slip le long de mes cuisses jusquau dessus des
genoux. Je restais ainsi debout, le sexe dénudé, frémissant dexcitation, brandi vers le plafond,
tel un sabre menaçant. Elle regarda, les yeux brillants de gourmandise, lengin que le désir avait
rendu encore plus grand et plus gros.
- Machi zeb ! Yed el mahraz ! (Ce nest pas un zob ! Cest un manche de pilon ! ) Hlou ou
khchin ! (Doux et dur !) Bghit en-hakkou ! Bghit en-boussou ! Bghit en-lahsou ! Bghit en-raaadhou
! (Jai envie de le caresser ! Jai envie de lembraser ! Jai envie de le lécher ! Jai envie de le
téter !)
Et, sans plus attendre, elle se mit à le branler. Cétait si bon ! Sa main était une vraie machine à
donner du plaisir. Elle tâtait et palpait vigoureusement mon membre en me faisant tirer des
gémissements de plaisir. Javais même failli éjaculer de manière très précoce, tant la branlette
quelle mappliquait était délicieuse ! Je lui retins la main pour limmobiliser, le temps de
reprendre mes esprits. Elle me regarda avec des yeux qui brillaient de mille feux, me questionnant
silencieusement sur ce que je voulais quelle fasse.
- Diri-li pipa ! (Fais-moi une pipe !) Bghit i dkhal fi foumek ! (Je veux quil pénètre dans
ta bouche !) Bghit en-feragh fi foumek ! (Je veux me vider dans ta bouche !)
Elle me regarda en souriant et se mit immédiatement à genoux devant moi. Elle navait pas lâché le
membre quelle serrait fermement dans sa main droite. Brusquement elle plongea sa tête sur mon bas
ventre engloutissant au passage le gland de mon sexe. Il pénétra difficilement jusquau fond de la
bouche ses dents, pourtant très écartées, raclaient légèrement la hampe de mon mât, provoquant une
petite douleur, que le délice de sa langue titillant le gland, rendait supportable.
Une fois que lengin eût atteint lentrée de sa gorge, Baya arrêté un moment le mouvement avançant
de sa tête et lui fit faire le chemin inverse, jusquà lentrée de sa bouche. Elle refit plusieurs
fois le mouvement dallers-retours, en faisant bien attention à ne pas laisser aller trop loin la
queue quelle pompait. Je métais déjà fait sucer pas des filles et des femmes. Et javais toujours
apprécié le plaisir que la pénétration buccale me donnait. Mais avec Baya, le plaisir était beaucoup
plus intense. Elle semblait connaître parfaitement la technique de la fellation avec la
participation de sa main qui masturbait la hampe au même rythme quelle allait et venait dans sa
bouche, et celle de sa langue qui titillait au passage le gland. Il y avait bien ses dents qui
raclaient un peu la queue - à cause des fortes proportions de lengin dans sa bouche aux dimensions
étroites - mais la légère douleur que cela me procurait navait aucune commune mesure avec
lintensité du plaisir quelle me donnait.
La cavité buccale de ma belle était super accueillante : chaude, humide et aussi moulante que sa
main qui, à lextérieur, masturbait la hampe. Cétait divin ! Mais au bout dun moment, jeus
lenvie folle de pousser lengin encore plus loin dans la gorge. Jappliquais une forte pression
avec mes hanches pour lui faire comprendre mon envie de lenfoncer très loin. Elle me laissa faire
sans rien tenter pour résister. Il dépassa la glotte et alla senfoncer dans sa gorge.
Je sentais quelle faisait un effort pour ne pas , mais égoïstement, je faisais celui qui
navait rien remarqué. Cétait tellement bon ! Je ne voulais pas que mon sexe quitte cette bouche
humide, chaude et tellement douce. Je serrais sa tête entre mes mains pour lempêcher de la retirer
et pour quelle garde lengin enfoui dans sa gorge le plus longtemps possible. A mon grand
étonnement, elle ne résista pas et fit même tout ce quelle pouvait pour me donner le maximum de
plaisir. Elle fit imprimer à sa tête un mouvement de va-et-vient, lent au départ, puis de plus en
plus rapide. Mon membre suivait un itinéraire de plus en plus long ; il allait au-delà de la glotte,
y stationnait une fraction de seconde et revenait en sens inverse, jusquà quelques centimètres en
dehors de sa bouche. Puis il repartait de plus belle vers lintérieur.
Je voyais que la belle souffrait beaucoup ; ses yeux coulaient de larmes et ses narines ruisselaient
comme une fontaine ; son visage était devenu tout rouge et je sentais quelle luttait
désespérément pour ne pas vomir. De temps en temps, elle crachait sur le membre qui sortait de sa
bouche tout le surplus de salive quelle produisait en quantité. Jétais aux anges ! Je navais
encore jamais fait lobjet dune fellation aussi intense. Cétait comme si jétais entrain de la
baiser par sa chatte - ou par son cul - Cétait divin ! Je savais quelle ne prenait pas autant de
plaisir que moi (et en fait, elle nen prenait pas du tout) mais je nen avais cure ! Jétais
heureux comme ça, et, jeune blanc bec prétentieux que jétais, cela me paraissait tout à fait
normal. Elle était à mon service ! Cétait ma chose !
Baya, faisait des efforts surhumains pour continuer ainsi. Elle voulait me donner du plaisir, et me
montrer quelle était experte en amour. A aucun moment, je ne me posais de question sur cette femme
et ses, motivations. Il me paraissait tout à fait normal quelle soit à ma disposition et non le
contraire et que mon plaisir passe avant le sien. Je croyais même que jétais irrésistible : que
jétais jeune, beau, viril, et quaucune femme ne pouvait résister à mon charme! Ce ne fut quun peu
plus tard, une fois mon désir assouvi, que je me mis à réfléchir sur tout ce qui venait de se passer
et me mis à me questionner sur Baya et ses motivations. Mais pour linstant, rien dautre que
lorgasme que je sentais arriver, navait dimportance
Baya, sentit instinctivement que jétais tout près de la jouissance. Elle chercha mes couilles avec
sa main gauche - la droite étant toujours occupée à masturber le manche qui entrait dans sa bouche
et en ressortait - et se mit à les pétrir doucement. Malgré tous mes efforts pour faire durer un peu
plus longtemps le merveilleux moment que jétais entrain de vivre et où la belle avait mis en action
tous les moyens quelle possédait pour porter mon plaisir vers les plus hauts sommets, je ne pus pas
tenir plus de vingt secondes, avant que je néclatasse comme une bombe au fond de sa gorge. Je
poussai un énorme râle de plaisir au moment où je lâchais la première grosse giclée de foutre, épais
et brûlant.
Elle arriva avec une telle force au fond de sa gorge quelle faillit l. Elle réussit
rapidement à maîtriser la situation et avala tout le foutre de la première giclée, avant que je nen
lâchasse trois ou quatre autres, quelle garda dans sa cavité buccale et sur sa langue. Repu, je
sortis de sa bouche et me mis à observer le spectacle ahurissant et tellement érotique ! quelle
moffrit entrain davaler avec délectation - par petites doses et en me regardant avec ses grands
yeux noirs, brillant de lubricité - tout le foutre quelle avait en bouche. Elle finit par faire
claquer sa langue de contentement, comme pour mindiquer que ce quelle venait davaler était aussi
délicieux quun nectar ! Ce fut quà ce moment là que je compris que Baya avait une véritable
histoire damour avec le sperme, quelle adorait boire. Je me promis de lui faire expliquer cela, un
peu plus tard.
/
Mais pour le moment, je voulais aller plus loin dans ma relation avec cette magnifique femme, que le
hasard avait mise sur mon chemin. En mâle prétentieux que jétais encore à cette époque, je voulais
satisfaire sa libido, autant quelle venait de le faire pour moi. Je voulais la faire jouir très
fort ; lemmener au septième ciel ; la faire hurler de plaisir ; et en redemander ! Je ne doutais de
rien ! En fait malgré, la forte jouissance que javais eue quelques minutes auparavant, je bandais
toujours très fortement. Dabord parce que le spectacle de Baya avalant avec délectation mon sperme,
mavait très fortement émoustillé ; et puis, soit par expérience, soit dinstinct, elle navait pas
lâché mon membre quelle tenait encore dans sa main droite et quelle caressait légèrement pour le
maintenir en érection.
Je sentais que maintenant elle le voulait en elle. Elle voulait sentir toute sa force dans sa
chatte. Elle se remit debout et me tira par la queue pour rejoindre le canapé à un mètre de là. Elle
lâcha prise deux ou trois secondes, pour faire passer sa djebba (sa robe) par-dessus sa tête. Elle
resta avec seulement sa culotte en coton dun blanc immaculé. Elle me laissa le temps dadmirer sa
beauté elle était exactement comme je lavais imaginée à travers le tissu de sa robe, avec un
coquin petit ventre rond, qui accrut encore dun cran lintensité de mon désir pour elle. Elle
enleva aussi sa culotte et resta ainsi toute nue devant moi en me regardant avec ses immenses yeux
noirs et brillants. Elle savait que je la trouvais belle et elle jubilait. Et belle, elle létait au
delà de tout ce que je pouvais mimaginer !
Ses seins de marbre brun étaient de taille modeste ; mais ils avaient la fermeté et larrogance
dune vamp de cinéma. Ses épaules étaient rondes et brillantes et donnaient une très forte
impression de douceur. Elle avait une silhouette très nettement dessinée et aux proportions
harmonieuses: taille de guêpe, hanches larges, jambes longues qui finissaient sur des chevilles
étonnamment fines. Et un fessier denfer ! Rond, ferme et haut perché, à limage dune jeune
pouliche ! Mais la merveille des merveilles, se situaient entre ses cuisses : sa chatte! Le paradis
tout entier était là ! Pas une trace de poil ni sur le pubis, ni sur et autour des lèvres. Elle
sétait épilée très soigneusement - au hammam, pendant quelle prenait son bain - et limage que
javais sous les yeux était dune beauté à couper le souffle. Les grandes lèvres étaient longues,
dodues et brunes. Elles brillaient de mouille, preuve quelle était très excitée.
Je lançais ma main droite sur le pubis rond et bombé et jy appliquai une légère caresse ; rien que
pour en tester la douceur et la fermeté. De la soie et du marbre en même temps ! Je fis descendre ma
main et les doigts vers les grandes lèvres pour les caresser. Ma mie, qui était toujours debout
devant moi, au contact de sa chatte avec mes doigts, sursauta en poussant un petit cri de plaisir.
Ma main se remplit immédiatement dune mouille abondante, chaude et visqueuse. Les petites lèvres
cramoisies, qui apparaissaient en dessous, palpitaient au rythme de son cur et de larrivée de sang
quil y envoyait. La position debout de Baya ne me permettait pas den voir plus, mais le spectacle
que javais sous les yeux était tellement magnifique, quil avait encore augmenté lintensité de mon
excitation et avaient donné à mon sexe des dimensions monstrueuses.
Javais besoin de voir et dadmirer lensemble de la chatte de la femme. Je la fis assoir sur le
bord du canapé et lui fis écarter les cuisses de manière à avoir accès à son paradis. Elle écarta
ses jambes et me regarda - avec ses yeux qui brillaient de désir - pour deviner ce que javais
lintention de lui faire. Je ne savais pas ce quelle voulait que je lui fasse en priorité. Et pour
dire la vérité, cela ne me préoccupait nullement. Javais décidé dy aller à linstinct et de lui
faire exactement ce quil mordonnait. Et à la vue du spectacle de sa merveilleuse chatte ouverte et
offerte, ce que javais envie de faire à ce moment là cétait dapprocher ma tête pour menivrer du
parfum dambre qui se dégageait delle et dy plonger ma bouche pour lembrasser, la lécher, la
sucer et boire tout le jus que je voyais briller à lintérieur.
Javançai la tête vers la chatte de ma belle et plongeai ma bouche pour un énorme cunnilingus. Je
voulais la faire jouir avec ma bouche, comme elle lavait fait tantôt avec moi. Je me mis à
embrasser et sucer les grandes et les petites lèvres. Je fis pénétrer la langue dans son tunnel et
la fis aller et venir le plus loin quelle pouvait aller. De temps en temps jattrapais avec mes
lèvres, son clitoris quelle avait tout petit pour le titiller et accroître lexcitation de
Baya. Le fort parfum dambre qui se dégageait de la chatte de ma belle avait sur moi un véritable
effet aphrodisiaque ; il réussit même à intensifier on excitation, que je croyais pourtant être à
son paroxysme. Baya qui jusque là ne faisait que pousser de petits cris de plaisir, se mit soudain à
avoir de longs râles rauques, qui provenaient du plus profond de sa gorge. Elle accompagnait ses
râles par des mouvements saccadés de ses hanches, qui montaient et descendaient au rythme des
allers-retours de ma bouche sur et dans sa chatte. Elle serrait très fortement ma tête à laquelle
elle appliquait des pressions pour la guider dans ses mouvements et dans le rythme quelle lui
faisait prendre.
Jentendais, comme sils provenaient de très loin - parce quelle avait enserrée ma tête entre ses
cuisses - ses râles qui augmentaient dintensité, ainsi que les phrases quelle prononçait pour
donner plus dintensité au plaisir quelle prenait. Elle parlait en arabe, en lançant à voix haute
des mots crus ou des bouts de phrases impudiques, qui étaient destinées non pas à moi, son amant,
mais à son mari. Elle semblait, en même temps quelle jouissait, être entrain de régler ses comptes
avec Mourad, son mari.
- Ya ettahane, ya Mourad ! Chouf martek ! Radjel yakoul-lha hatchounha ! (Mourad espèce de
cocu! Regarde ta femme ! Un autre homme est entrain de lui bouffer la chatte !) Hleft en-direlek
groun ! (Jai juré de te faire pousser des cornes !) Ou dertlek groun ! (Et je tai fait pousser des
cornes !)
Baya finit sous leffet conjugué du cunnilingus denfer que je lui appliquais et des mots de
vengeance quelle prononçait - par perdre tout contrôle sur elle-même; elle leva ses jambes très
haut, en maintenant lune delle avec sa main droite et en augmentant la pression quelle appliquait
avec sa main gauche sur ma tête, pour lui faire accélérer le mouvement de va-et-vient de ma
bouche et de ma langue sur et dans sa chatte. Ses râles devenaient de plus en plus puissants et
rapides et sa respiration de plus en plus difficile et saccadée. Je sentais quelle nallait pas
tarder à avoir un immense orgasme.
Jétais content quelle jouisse comme cela, sans attendre que je la pénètre. Je voulais quelle
jouisse plusieurs fois avec moi et je savais que jétais incapable de la tirer plusieurs fois de
suite. Cette jouissance à travers ma bouche, était pour moi une bénédiction. Elle allait me
permettre de lui en donner au moins une deuxième, avec mon membre qui piaillait dimpatience. Et si
jétais incapable de la faire jouir une troisième fois, ce ne serait pas trop grave. Mais pour le
moment, ce qui comptait cétait cet orgasme que je sentais arriver et que je me préparais à
accueillir. Baya lança un long cri rauque vers le ciel et déchargea dans ma bouche une quantité
incroyable de jus salé et un peu acide. Je tentais de tout boire, sans totalement y arriver. Une
bonne partie méchappa et coula à lextérieur pour aller sétaler sur le canapé. Quand je pus sortir
ma tête dentre ses cuisses et que je pus la contempler de nouveau, je fus accueilli par un superbe
sourire de contentement.
- Taaref ett-nik belfoum! (Tu sais baiser avec la bouche !) Weqt ett-weri li kifach ett-nik
be zeb ! (Cest le moment de me montrer comment tu niques avec ton zob!) Wari li tahane entaa
radjli kiffach ett-nik martouh ! (Monte à mon cocu de mari comment tu baises sa femme !) Werri lou !
(Montre-lui !)
Elle avait gardé ses jambes relevées et écartées. Elle était toute prête à accueillir ma queue. Elle
tendit le bras pour me signifier que je devais maintenant moccuper de la tirer. Elle avait gardé
ses jambes relevées ; je vins me placer entre elles, pour pouvoir positionner le gland de mon engin
frémissant entre ses grandes lèvres entrouvertes. Elle avait fait leffort, pour garder la position
et me permettre dinvestir plus facilement les lieux, dattr lintérieur de ses genoux pour
empêcher ses jambes de retomber. Baya regardait le monstre avec un merveilleux air de gourmandise.
Elle bavait rien quà lidée de se faire empaler par ce manche quelle trouvait de bonne taille.
- Nik Baya be zeb touil ou smin ! Dakhlouh fi saouti ! Warri-li qawtouh ! Lazzem en-has qouwa
en-taaou !(Nique Baya avec zob grand et gros ! Enfonce-le dans ma chatte ! Montre-moi sa force !
Fais-moi sentir sa force !)
Je ne me fis pas prier pour faire exactement ce quelle me demandait. Je posai le gland à lentrée
du tunnel, après avoir les grandes lèvres à sécarter encore plus quelles ne létaient, et je
la pénétrai dun violent coup de rein. Malgré sa taille, il entra assez facilement dans le vagin de
ma belle étroit, mais abondamment lubrifié. Le tunnel de Baya semblai ne pas avoir accueilli de zobs
de grandes dimensions. Il était très élastique et moulant. Je me disais, tant était fort le plaisir
que me procurait le frottement avec toute la surface de la paroi, que ce vagin là avait été moulé
sur mon engin. Il avait été créé pour lui ! Il allait et venait en force dans létroit tunnel inondé
de mouille, créant, à chaque aller-retour, de forts clapotis à la sonorité indécente.
Baya regardait, avec des yeux brillant de luxure, lengin qui entrait et sortait de sa chatte. Elle
semblait autant aimer le spectacle de ce sexe qui allait et venait dans son vagin, que la chaleur
quil lui procurait en frottant vigoureusement sur la paroi de son tunnel. A chaque pénétration,
elle poussait un petit cri de plaisir et attendait impatiemment la sortie de lengin pour le voir la
pénétrer de nouveau et la posséder avec autant de force. Elle en bavait littéralement, laissant
couler des litres de salive entre ses lèvres entrouvertes. Elle hurlait des mots et des phrases qui
avaient toutes une relation directe avec son cocu de mari. Des mots et des phrases qui la mettaient
en transes. Elle semblait totalement prise dans son plaisir et avait perdu toute notion de la
réalité. Elle soffrait à mes coups de boutoir sans aucune retenue:
- Dir legroun li Mourad ! Amar-lou dmaghou ! Aaradh souat Baya ! Wari li radjli wach idir
zeb en-taa radjel ! Zeb en-taa çah ! (Fais des cornes à Mourad ! Remplit lui le front ! Elargis la
chatte de Baya ! Montre à mon mari ce que peut faire le zob dun homme ! Un véritable zob !)
Je la sentais au bord de lapoplexie. Je savais quelle nallait pas tarder à décharger et à avoir
un orgasme beaucoup plus intense que celui que lui avait procuré le cunnilingus précédent. Elle
parlait en même temps quelle poussait des cris de contentement. Je la regardais avec curiosité et
en même temps avec une fierté non feinte. Jétais aussi fier quun coq dêtre parvenu à mettre Baya
dans cet état où elle avait perdu toute maîtrise delle-même et où elle ne dépendait plus que de la
seule force de mes coups de reins. Je la sentais défaillir, au bord de lévanouissement, tant sa
jouissance était forte. Elle avait perdu le contrôle de ses muscles : sa tête se balançait de tous
les côtés, à limage dun pantin désarticulé; les muscles de son visage étaient figés, comme
paralysés ; ses lèvres étaient devenues toutes blanches, figées par un rictus qui semblait avoir
évacué tout le sang quelles contenaient quelques minutes auparavant ; de la salive coulait de sa
bouche, sans même quelle en eût conscience. Elle respirait de plus en plus difficilement et avait
ouvert très grande sa bouche pour y laisser pénétrer le plus doxygène possible.
Elle était complètement prisonnière de son plaisir et totalement soumise aux coups de rein du mâle
qui la possédait avec force et violence. Le spectacle de Baya entrain de jouir était un baume pour
mon amour propre de garçon. Je navais encore jamais fait jouir une femme avec autant dintensité.
Et rien que pour cette raison, je sentais que jétais entrain de tomber amoureux delle. Elle
mavait fait découvrir mes capacités damant. Elle mavait rendu fier de moi. Je voulais que la
scène durât encore très longtemps. Je me sentais capable de continuer à la piner ainsi pendant
encore de très longues minutes. Je voulais lui montrer toute ma virilité. Le fait davoir éjaculé
une première fois, avait fait que je pouvais maintenant résister à lenvie déjaculer. Et de fait,
ce fut elle qui sabandonna la première à lorgasme.
Elle arrêta brusquement tous les mouvements de son corps, relâcha les muscles de son visage et de sa
bouche et fit retentir dans la petite chambre un très long râle de jouissance, qui semblait provenir
du plus profond de ses entrailles.
- Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! hurla-t-elle en essayant de maintenir ses hanches relevées pour me
permettre de continuer de la piner avec la même force.
Elle déchargea une forte quantité de cyprine, qui vint inonder encore plus son tunnel et accroître
lintensité des clapotis créés par les furieux allers-retours de mon engin à lintérieur du vagin.
Je continuai à la piner en force, jusquau moment où elle saffaissa totalement, vaincue par la
fatigue. Jarrêtai de la tirer, tout en gardant mon gourdin, toujours en érection, à lintérieur du
tunnel. Je ne cherchai même pas à jouir. Je nen avais pas besoin. Jétais déjà très heureux comme
cela avec Baya, vaincue par la fatigue et me dis-je, très fier de moi par ma virilité dhomme.
Je me sentais en forme pour lui prouver que jétais un « super coup », même pour une femme
expérimentée comme elle !
Je me disais que jallais si elle le voulait bien lenculer pour lui montrer que malgré mon
jeune âge, je connaissais toutes les manières de faire lamour. Je la laissai reprendre son souffle
et se reposer un peu, tout en bougeant lentement mes hanches de manière à maintenir mon sexe en
érection à lintérieur de sa chatte. Baya reprenait lentement ses esprits. Elle ouvrit les yeux
quelle avait tenu fermés pendant tout le temps quavait duré lorgasme. Elle avait sur les lèvres
un sourire mystérieux dont je narrivais pas à saisir la signification. Elle était heureuse de
cela jétais très sûr mais elle semblait aussi un peu triste. Je me dis quelle avait peut-être un
sentiment de culpabilité pour ce quelle venait de faire. Elle ne dit rien pendant un long moment,
puis se rendant compte quelle avait gardé mon zob à lintérieur de son vagin elle se tortilla
pour mobliger à le faire sortir, puis prononça une phrase qui sonna comme un jugement :
- Enta radjel ou taaref ett-nik ! Ach-hal hebit radjli i-chouf-na ki kount ett-nik-ni !
Bghit i-hass rouhou ettahane! (Tu es un homme et tu sais baiser! Jaurais tant aimé que mon mari
nous ait vus pendant que tu me tirais ! Je voudrais quil sente quil est cocu !)
Devant mon air ébahi, elle se mit à me raconter son histoire et celle de Djamila par la même
occasion - avec son mari Mourad. Jappris ainsi quelle et Djamila étaient des belles-surs (elles
étaient mariées à deux frères) et quelles habitaient ensemble dans un appartement du centre ville,
avec leur belle-mère et leurs s (Baya avait deux s de six et huit ans, Djamila avait un
bébé dune année).
Baya sétait mariée, contre son gré - elle navait que dix-neuf ans - parce que ses parents
lavaient surprise entrain de flirter avec un jeune voisin, dont elle était amoureuse. Il était lui
aussi très amoureux delle affirmait-elle. Elle avait été demandée en mariage juste auparavant par
la maman de Mourad qui la connaissait à travers une relation familiale commune. Elle ne put pas
faire autrement quaccepter, parce que sa mère lavait menacée dinformer son père sur sa relation
avec le voisin. Et connaissant les idées rétrogrades de son père, elle avait eu peur quil ne sen
prenne physiquement à son amoureux et ne le tue.
Mourad savéra être un mari traditionnel et encore plus rétrograde que son père. Pour lui, comme
pour son frère Ali qui épousa plus tard Djamila, une femme est faite pour rester à la maison et
soccuper de son foyer. Il nest pas question pour elle de sortir, de se faire des amies et davoir
une quelconque liberté. Et quand les choses dérapaient (quand ils se disputaient) il réglait le
problème à coups de gifles et parfois même, à coups de poings. Il lui répétait souvent que les
femmes toutes les femmes, à lexception, par respect, de sa mère étaient des putes. Si on leur
laissait la moindre espace de liberté, elles en profiteraient pour copuler à droite et à gauche. Il
avait quant à lui trouvé la solution pour sassurer de la fidélité e de sa femme : la mettre
sous la coupe de sa mère, et lui interdire ainsi toute idée de liberté.
La seule liberté quil acceptait, parce quelle était traditionnelle dans la société et était donc
devenue naturelle, cétait le bain le hammam pour femmes le samedi en compagnie, bien entendu,
de sa belle-mère. Ce ne fut que quatre années plus tard, quand son beau frère Ali se maria, que Baya
eut un peu de compagnie et commença à aller au bain avec elle, en présence de leur belle-mère au
début, puis seules, après que la mère de leurs maris avait eu un accident cardiaque qui lui
interdisait, désormais, de fréquenter le hammam.
Elle sentendit très vite avec Djamila, qui était une femme qui aimait la vie. Mais elles comprirent
toutes les deux que leur entente déclarée était pour elle un handicap qui les empêchait de
sémanciper de leur belle-mère. Elles firent donc semblant de se disputer et de se détester :
chacune allant raconter à la belle-mère ce que lautre faisait de mal. On leur permit donc de sortir
ensemble les jeudis pour aller au hammam (leurs maris respectifs, et bien entendu leur belle-mère,
pensant quelles se surveilleraient lune lautre). Et cétait comme cela quelles pouvaient se
permettre de flâner après le bain. Cétait ainsi aussi quelles sétaient jurées - dès que
loccasion se présenterait - de faire pousser des cornes sur le front de leurs maris. Et cest comme
cela quelles avaient fini par atterrir dans la librairie de Moussa.
/
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!