Baise Publique

Nous revenons de nous promener à pied dans la ville. Je suis excité, comme
ma compagne du spectacle d’un jeune couple qui s’aime sous un porche:
elle a baissé complètement son jean sur les chevilles, lui a seulement la
bite dure dehors, si on peut dire: il s’en sert pour baiser sa compagne.
Nous entendons leur commentaires:
- Regarde encore deux voyeur. Tu aimes
- Oui j’aime baiser devant les autre je jouis bien mieux.
J’avoue que je prend beaucoup de plaisir à les regarder: j’en bande. Pour
Carole c’était la même excitation: elle me dit
- J’aimerai un jour faire comme eux. Ca doit ère excitant si tu me la
mettais devant les autres.
- Quels autres ?
- Je ne sais pas, si nous le faisions sur le balcon un samedi après midi,
tous les voisins nous verraient.
L‘idée fait son chemin: un samedi vers 15 heures Carole sort sur le balcon:
elle regarde autour d’elle, la plus part des fenêtres sont ouvertes. Il
fait très beau, les premières chaleurs sont là.
Carole entre à nouveau, se met toute nue devant moi. Je pense qu’elle a
envie que je la baise. C’est exactement ce qu’elle désire. Elle m’embrasse
sur la bouche, sa langue vient chercher la mienne. Son baiser s’éternise.
Elle me demande de me déshabiller: je le fait. Au moment de la prendre dans
les bras pour me mettre bien contre elle, elle se retire, me prend la main
et m’entraine je ne sais où.
Avant d’aller dehors elle me dit qu’elle a envie d’être en vue de tous pour
bien jouir. Je revoit la scène du couple baisant sous un porche.
Elle a raison: allons baiser sur le balcon: il est assez grand pour que
nous puissions y baiser à l’aise.
Nous sommes sur le balcon, elle appuyée sur le garde fou sur ses avant
bras, ses seins sur ses bras, les jambes écartées posées de telle façon que
je puisse passer entre elle et les barreaux:
- Vas-y suces moi, je regarde si on nous voit.

- J’espère bien qu’on nous verra.
Je colle ma bouche du bas. J’écarte ses lèvres avec mes deux mains. Je sors
ma langue pour la mettre sur son bourgeon. Elle s’y attendais et se
tortille au fur et à mesure que son plaisir vient. Elle me tient au courant
de l’extérieur. Juste avant de jouir, elle aperçoit un tête de femme qui
nous regarde un instant. Je me lève pour passer derrière elle. En effet un
tête de femme réapparait derrière un rideau. Quand je suis contre le cul de
Martine, elle ouvre sa fenêtre pour mieux voir.
Je passe ma bite entre les cuisse de ma femme. Je surveille la femme qui me
semble assez jeune. Elle est rejointe par un homme qui passe un bras autour
des épaules de la femme. Une main descend sur la poitrine de la nana et la
caresse. Si je les vois si bien, eux nous vient en détail également.
Martine leur fait un signe qui en gros leur demande s’ils aiment ce que
nous faisons. Il répond en levant le pouce. Je répond pareil. J’allais lui
crier « bonne baise ». Je me retiens;
Une qui prend son pied est bien Martine. Elle a joui je ne sais combien de
fois. Elle se dégage pour se retourner: elle veut que je la baise en étant
devant. Je me baisse un peu pour être à sa hauteur.
J’entre dans sa chatte: elle commence à gémir comme à chaque fois que nous
baisons. C’est moi qui fait le guet. Le couple est toujours devant sa
fenêtre: je ne crois pas qu’il nous regarde. Ils sont, d’après de que
j’aperçois dans la même position que nous. Il la lui met certainement
derrière à voir sa position. Je crois bien que j’ai raison et Martine qui
jette en vitesse un coup d’œil me dit qu’elle se branle donc elle en
profite pendant la sodomie.
Maintenant Martine veux que je la sodomise dans les règles: elle est en
levrette, positionnée pour être en vue du couple « ami ». Je veux bien
l’enculer, j’aime ça, un inconvénient, je risque de jouir trop vite pour la
satisfaire. Je la monte comme une jument: elle aime ça. Je regarde le
couple qui il me semble baise normalement. J’entre lentement dans le fion
de Martine. J’entame les allers et venues: elle les accompagne toujours. Il
jouit trop la garce, à chaque fois son sphincter se referme emprisonnant la
queue dans son cul: elle m’excite toujours trop dans ces cas là. Je ne peux
retenir un jet de sperme qui se perd dans son ventre. Je me retire d’elle.
Nous regardons les voisins qui nous font signe de sucer. Martine ne calle
pas, elle prend ma bite et malgré l’endroit d’où elle sort elle me la
nettoie avec la langue avant de la sucer complètement. Elle m’apporte un
plaisir nouveau: être sucer devant d’autres personnes.
Quand je fini de jouir, nous entrons chez nous. Nous nous demandons qui
sont ces gens. Nous pourrions les reconnaitre en le revoyant.
Quelques jours plus tard, Martine en rentrant un soir me dit qu’elle a
invité des gens. Je ne voit pas de qui il s’agit.
J’aurai du m’en doter, Martine a fait une petite enquête et trouvé nos
admirateurs.
La femmes est plus jeune que nous. Bien sous tous rapports, d’après ce que
j’en sais plutôt sensuelle. Lui est plus grand que moi, beau gosse de mon
âge. Quelque chose me dit qu’il irait bien à Carole. La jeune femme est
habillée très court, presque trop. Lui est normal en simple chemise.
Martins sort des verres et des alcools. Personne ne se sert. Nous nous
examinons comme des coqs avant un combat, sauf que notre combat se
terminera dans un lit. Enfin ils se présente:
- Moi c’est Antoine et elle est Liliane.
- Moi c’est Yvon, elle est Martine.
Les filles se font la bise et nous nous serrons les mains. La première
reprise va commencer. Nous nous déshabillons tous. Je commence le premier,
j’attaque en embrassant Liliane sur la bouche: nos langues connaissent le
langage de l’amour. Martine est aussi embrassée. Antoine commence à la
caresser. Je sais qu’elle aime se faire caresser les seins; il a l’air de
savoir s’y prendre: tant mieux elle aura un bon souvenir.
Avec Liliane, nous attendons pour voir ce qu’ils vont faire. Une fois nus,
ils se couchent: ils attaquent par un 69. Je ne sais si elle va accepter
qu’il jouisse dans sa bouche. Il a sa tête entre les jambes de ma femme.
Nous pouvons voir que sa langue lui sert à calmer ou accen les désirs
de Marianne. Elle connais bien son affaire, en lui mettant deux doigts dans
le cul elle le fait sursauter avant de le calmer quand elle les fait aller
et venir. Lui suce au début le clitoris et entre sa langue dans le vagin.
Elle a droit elle aussi à deux doigt dans le cul. Maintenant nous nous y
mettons avec Liliane; elle voudrai me sucer maintenant: je ne la connais
pas et c’est la première fois que nous allons baiser. Je préfère qu’elle
oublie ma bite pour le moment; je la lui donnerai comme sucre d’orge plus
tard. Par contre je ne me gêne pas pour lui sucer la chatte et
particulièrement le haut du vagin et les lèvres pour aller vers son anus
dans lequel ma langue part à la découverte. Son cul est drôlement sensible:
elle jouit presque de suite.
Je la fait mettre sur mon ventre. J’ai la bite bien dressée, alors j’en
profite pour qu’elle me chevauche. Et ça elle sait faire. Elle monte et
descend sans arrêt jusqu’au moment où je jouis. Elle attend que je débande
pour partir.
Martine est dans la même attente, elle vient de se faire enculer et il a
jouit. Les deux femmes n’ont pas eu leur content d’orgasme. Elle se font un
signe pour s’embrasser sur la bouche: les voilà parties vers les paradis
uniquement féminins. Je ne savais pas que ma femme aimait ce genre
distraction.
Elles s’entendent bien pour un 69 intéressant à regarder. Liliane dessous
semble la plus heureuse. Martine quant à elle semble attendre quelque chose
qui finalement arrive: les doigts de Liliane dans son cul. Je regarde avec
envie ce couple de fille qui s‘aiment.
C’est bizarre l’effet qu’elles nous font en se suçant: elles arrivent à
nous faire bander. Nous leur disons que nous sommes prêt à le honorer à
nouveau, elles s’en fichent complètement: elles ont trouvé un bon moyen
pour jouir, elle ne le lâchent plus.
Il ne nous reste que la masturbation. C’est moi qui commence, debout devant
les filles, Antoine suit mon exemple. Il va au-delà puisqu’il me propose de
me branler. J’accepte son offre. Il me fera jouir plus fort. C’est vrai que
quand sa main commence à aller et venir sur ma colonne, j’apprécie. Je le
branle aussi. Je vois ses yeux rivés sur sa bite dans ma main. Nous allons
très lentement pour faire durer ce simple plaisir. Nous ne faisons plus
attention aux filles: elles nous regardent en se masturbant chacune de son
coté. Quand nous les voyons nous n’arrêtons pas ce que nous sommes sur le
point de finir; nos mains vont à toute allure jusqu’au moment le plus
intense: l’orgasme et quel orgasme.