Les Femmes Du Hammam Episode 2 : La Vengeance De Baya
Baya et moi, nous nous rhabillâmes, après quelle eût constaté que près de deux heures sétaient
écoulées depuis quelle était entrée dans la librairie en compagnie de sa belle-sur Djamila. Par
manque de temps et non pas parce que jétais fatigué, lui dis-je, par besoin de maffirmer comme
un amant extraordinaire - javais renvoyé à notre prochaine rencontre, ma décision de lenculer. Le
cul de Baya était tellement bandant (avec son fessier rond, bombé et haut perché) quil me fallait
absolument en prendre possession. Et puis, dans ma naïveté de jeune blanc-bec inexpérimenté, je me
disais que la sodomisation dune maîtresse était la preuve pour lhomme qui la pratiquait, quil
était un as du libertinage. Je navais pourtant pas eu le courage de lui en parler. Je remettais
cela à nos prochaines étreintes. Nous nous étions donné rendez-vous pour le samedi suivant.
Nous sortîmes rapidement de la petite chambre pour nous retrouver à lintérieur de la grande salle.
Nous entendions maintenant très distinctement les cris et gémissements que faisaient Moussa et
Djamila entrain de copuler. Nous nous regardâmes Baya et moi avec des yeux dans lesquels se lisait
la surprise. Nous étions tout étonnés que le couple soit encore entrain de faire lamour. Ils
avaient pourtant commencé en même temps que nous ! Je lisais dans les yeux de ma compagne comme de
ladmiration et jen fus un peu jaloux. Je me disais quelle faisait la comparaison entre mon frère
et moi et que cette comparaison était très largement en faveur de Moussa.
Nous tombâmes sur un spectacle dun érotisme plus que torride. Moussa, debout, le cul en lair, le
pantalon baissé coincé sur ses chevilles, était entrain de sodomiser Djamila, debout elle aussi,
mais penchée sur le comptoir, de manière à mettre ses grosses fesses à la même hauteur que le pubis
et limmense sexe de lhomme.
les uns aux autres et se mélangeaient à lintérieur de la librairie.
Djamila était aussi plantureuse quelle le laissait transparaître sous son haïk blanc. Elle était
maintenant toute nue et je voyais ses chairs qui tremblaient sous les furieux coups de reins de son
amant. Moussa la tenait fermement par les hanches et la tirait en force, en ahanant comme un
bucheron à chaque poussée et en gémissant à chaque retour. Je voyais les gros seins blancs et nus de
Djamila qui balançaient au rythme des coups de boutoir de son amant. Elle criait elle-aussi à chaque
pénétration brutale de limmense sexe de mon frère dans son anus. Il lui faisait mal et elle le lui
montrait en criant. Mais elle ne voulait pas quil sarrête de la tirer. A côté de la petite
douleur, elle semblait éprouver beaucoup de plaisir de recevoir lénorme engin de son amant. Je ne
voyais pas son visage ni celui de Moussa dailleurs mais au sifflement quelle produisait après
chaque cri, je devinais quelle salivait beaucoup, signe qui ne trompait jamais, dune énorme
satisfaction.
Baya et moi nous arrêtâmes à environ deux mètres du couple qui navait pas encore remarqué notre
présence. Nous regardions les ébats du couple avec les yeux exorbités. Le spectacle nous avait
émoustillé et avait réveillé en nous le désir de refaire lamour. Nous nous regardions en nous
interrogeant si lon nallait pas reprendre notre séance de copulation de tantôt. Nous neûmes pas
le loisir de répondre à cette question muette. Les deux tourtereaux étaient entrain de montrer par
leurs cris qui sintensifiaient et par le rythme endiablé que Moussa avait mis dans ses allers-
retours dans le cul de sa belle quils étaient sur le point de jouir. Ce fut Djamila qui la
première poussa un long cri en hurlant quelle jouissait :
- Rani en-ferragh ! Rahi djat ! Djaaaaaaaat ! (Je décharge ! Je jouis ! Je jouiiiiiiiiiiis !)
Moussa lui répondit presquimmédiatement par un autre râle de mourant et en accélérant encore plus
les va-et-vient de son engin dans le cul de Djamila.
dehors du rectum de sa maîtresse. Quand il se retira totalement, Moussa avait laissé sur le bas du
dos de Djamila une véritable mare de foutre tout blanc et tout visqueux. Il y avait une autre partie
qui dégoulinait de son anus et coulait le long de ses grandes lèvres, avant de retomber sur le
carrelage. Et je vis et nous vîmes Moussa et moi - un spectacle vraiment ahurissant : Baya, les
yeux brillant de gourmandise, se précipita sur sa belle sur pour lécher tout le sperme quelle
avait gardé sur le bas du dos. Nous voyions sa langue rose et agile aller à la recherche de la
moindre trace de foutre et lavaler en accompagnant son geste dun tout petit gémissement de
satisfaction. Elle alla même lécher le cul de Djamila qui dégoulinait encore du sperme que Moussa
avait éjaculé à lintérieur. Quand elle eût fini elle sattaqua aux grandes lèvres entre lesquelles
elle alla chercher ce qui restait de foutre. Pendant ce temps, Djamila se laissa faire, sans donner
aucun signe détonnement.
Moussa et moi, nous nous regardions ébahis. Nous ne savions plus quoi penser. Je savais, pour
lavoir vécu, que Baya adorait le sperme et quelle aimait le boire. Elle lavait fait avec le mien
moins dune heure plus tôt. Mais de là à se précipiter comme une folle pour avaler celui qui se
trouvait sur le corps de sa belle-sur, je ne laurais jamais imaginé. Nous nous disions, mon frère
et moi, que les deux femmes avaient lhabitude de ce genre de comportement. Quelles lavaient
pratiqué souvent. Et bien nous avions tout faux. Aussi bien pour Baya que pour Djamila, cétait la
première fois. Une vraie découverte !
Baya néprouva absolument aucune honte à ce quelle venait de faire. Djamila non plus, dailleurs.
(En fait Djamila suivait sa belle-sur, comme un vrai toutou. Tout ce quelle lui disait de faire,
elle le faisait.
- En-mout aala ezzel ! Aacel ! (Jadore le sperme ! Cest comme du miel !) Echhrabt bezzef
mennou ki kount sghira ! Maa çahbi ! Ou ki chouft en-taaek ou en-taa khouk ma en-djemt en-ched
rouhi ! (Jai bu beaucoup de sperme quand jétais jeune ! Celui de mon petit ami ! Et quand jai vu
le tien et celui de ton frère, je nai pas pu résister !)
Djamila, que sa nudité devant deux hommes ne semblait pas gêner, sétait entretemps rhabillée. Elle
le faisait lentement, comme pour nous laisser le temps à Moussa et moi, dadmirer ses formes
plantureuses quelle savait bandantes. Puis toutes les deux remirent leurs haïks. Nous nous donnâmes
rendez-vous pour le samedi suivant et elles quittèrent la librairie, en papotant et riant,
visiblement très contentes delles et de ce quelles venaient de vivre.
/
Baya était la plus heureuse ; et elle le montrait sans la moindre honte. Elle était heureuse, non
pas davoir joui et superbement bien joui, mavait-elle affirmée tantôt mais davoir fait
pousser des cornes sur le front de son mari. Elle avait une vengeance à réaliser et elle venait de
commencer. Elle en avait fait une véritable obsession. Elle voulait lui faire payer sil ne le
saura peut-être jamais - toutes les années de frustration quelle avait passée à ses côtés, depuis
une dizaine dannées.
Et maintenant elle rêvait de lui faire vivre lenfer, tout en étant consciente quil devait ignorer
ce quelle faisait. Elle savait quelle paierait très cher si elle se faisait prendre en état
dadultère. Mourad pourrait se venger sur elle de la pire des manières qui soit : lui enlever ses
s et la traîner devant les tribunaux qui la condamneraient à des années de prison. Elle
navait ni métier, ni entrées dargent qui auraient pu la rendre indépendante et lauraient incité à
demander le divorce.
quelle pouvait faire, cétait de le rendre cocu et de jouir secrètement de la chose. Elle
mavait même avoué quelle faisait volontiers lamour avec lui chaque fois quil le lui demandait
- rien que pour se moquer discrètement de ses pauvres capacités damant. Il ne faisait lamour que
dans le noir et son petit sexe était incapable de la faire jouir ou de lui donner la moindre once de
plaisir. Elle comparait ses tristes ébats avec Mourad avec ceux flamboyants - quelle avait avec
moi, et qui lemportaient régulièrement vers les plus hautes cimes de la jouissance sexuelle.
Djamila semblait aussi dans les mêmes dispositions desprit. Bien que chez elle, ce ne fut que du
suivisme. Elle adorait Baya et lui était toute acquise. Elle lui obéissait au doigt et à lil et
elle y trouvait son compte. Elle aussi avait découvert, avec Moussa, le plaisir charnel, que son
mari ne lui procurait pas. Ils sétaient mariés, comme la plupart des gens se mariaient à cette
époque là : un mariage arrangé par les parents. Ali était plus beau et plus grand que Mourad. Il
était aussi plus jeune. Mais il était tout aussi traditionnel et machiste que son grand frère. De
plus, il lui était totalement dévoué. Ils géraient ensemble un grand magasin de tissu pour robes de
soirée et tenues de mariage dans la Basse Casbah. Mourad en était en fait le vrai patron. Il lui
obéissait au doigt et à lil. Ce que Djamila nadmettait pas ! Mais elle ne se révoltait jamais,
sachant quelle navait rien à gagner.
Djamila mit un certain temps pour er. Ce qui lavait fragilisée auprès de sa belle-mère qui la
menaçait souvent de la faire répudier. Elle se tint donc à carreau, grâce aux conseils de sa belle-
sur, qui elle ne se gênait pas elle était déjà mère de deux garçons pour se disputer violemment
avec son mari et même avec sa belle-mère. Et puis la voilà, maintenant, en compagnie de sa belle-
sur entrain de cocufier son mari et dy prendre un immense plaisir. Elle avait découvert avec
Moussa les plaisirs de la chair. Et, elle qui navait connu que le corps et le sexe de son mari,
venait de découvrir dautres horizons et dautres plaisirs que les pauvres allers-retours dans son
intimité du petit zob de son mari, la nuit dans le noir, qui la laissaient complètement inassouvie.
Elle raconta même à Baya, quelle devait se caresser souvent après que son mari eût « fait son
affaire » pour prendre, elle aussi, un peu de plaisir.
Les deux femmes sépanouissaient dans ladultère. Et aucune des deux ny voyaient du mal et surtout
de faute morale. Elles savaient bien que ladultère était condamné par la société et même par la
Loi. Mais elles sen accommodaient très bien tant que la chose restait secrète. Et tant quelles en
éprouvaient du plaisir et tant quelles Baya, surtout ressentaient les bienfaits psychiques
de la vengeance envers leurs maris, elles étaient heureuses. Baya voulait même aller plus loin dans
sa vengeance. Elle attendait avec impatience, le moment où sa belle-mère allait sabsenter un temps
de la maison et quelles allaient rester seules Djamila et elle pour nous inviter à les rejoindre
dans leurs chambres respectives, sur leur lit conjugal.
Pour Baya, ce serait le sommet de sa vengeance : baiser avec un autre homme dans la chambre
conjugale et sur le lit où elle dormait toutes les nuits avec son mari et garder ainsi
éternellement, le souvenir de sa victoire sur le sort qui avait rempli sa vie de frustrations et
avait fait delle la prisonnière de son mari. Je bandais très fort à cette idée de batifoler avec
Baya dans la chambre où elle dormait et faisait lamour avec son mari. Moussa était plus
dubitatif, parce quil avait peur cela ne tourne très mal et finisse en scandale et en drame.
Djamila, quant à elle, même si elle appréhendait la chose, suivait comme dhabitude les décisions de
sa belle-sur. Elle était prête à tenter lexpérience : elle riait même très fort à lidée des draps
salis du foutre de Moussa, dans lequel son mari Ali dormirait.
Avant que loccasion ne se présentât de nous retrouver tous les quatre entrain de batifoler dans les
chambres et sur les lits conjugaux de deux couples, nous continuâmes, une fois par semaine, à nous
retrouver dans la librairie. Nous avions tout fait, dabord séparément (chaque couple de son côté)
puis en groupe, au moment où Baya avait pris la décision de se faire tirer par Moussa. Elle avait
flashé sur le bel engin de mon frère pas beaucoup plus grand que le mien, mais certainement plus
beau. Il lentretenait avec soin, ne laissant jamais aucune trace de poils dessus. Et puis, il avait
un engin plus lisse et bien plus clair que le mien qui portait des gros vaisseaux sanguins très
apparents et qui tendait vers la couleur noire.
Baya, qui avait peur que je ne moffusque à lidée même de la partager avec mon frère, mit
longtemps avant de men parler. Et puis un jour où nous étions tous les trois à attendre Moussa -
qui était très en retard, parce quoccupé à résoudre un problème dapprovisionnements de la
librairie - la discussion dériva sur mon envie évidente de tirer Djamila, que Baya lisait sur mon
visage comme dans un livre ouvert. Elle avait en effet remarqué que je ne quittais pratiquement pas
des yeux sa belle-sur qui avait enlevé son haïk, sa voilette et était restée en robe, de deux
tailles trop petite, qui mettaient en valeur ses formes généreuses. Elle avait peut-être même
remarqué la bosse impudique sur le devant de mon pantalon.
- Aadjbatek! Wougaft aaliha ! Bghit ett-nikha! Wach testenna ? (Elle te plait! Tu bandes
pour elle! Tu veux la tirer ! Quest-ce que tu attends ?) Netbadlou ? Ett-nik Djamila ou Moussa i
nik-ni ! (On sachange ? Toi tu baises Djamila et Moussa me baisera moi !) Wach et-khamem ? (Quen
penses-tu ?)
Je ne mattendais pas à une telle sortie. Mais en y réfléchissant, elle ne me scandalisait pas. Au
contraire, javais vraiment envie de tirer Djamila qui avait tout ce quil fallait pour me donner du
plaisir. Et puis je savais quelle était ouverte à tout. Le problème était Moussa. Allait-il
comprendre et accepter. Je nen étais pas très sûr, bien que nous avions toujours été très proches,
y compris dans notre philosophie de la vie : lui et moi étions de épicuriens. Nous aimions tous le
plaisirs que la vie nous offrait et nous étions prêts à toutes les expériences. Nous chargeâmes
Djamila dannoncer la nouvelle à Moussa. Nous pensions que cétait elle la plus indiquée pour faire
la démarche et annoncer à mon frère, avec ses mots à elle, ce que nous souhaitions faire. Elle
devait lui dire quelle avait flashé sur moi et quelle voudrait bien que je la tire. Et quelle
voulait quil soccupe de Baya.
Et les choses se passèrent exactement comme cela. Djamila fit la proposition ; Moussa me regarda un
petit moment en silence, puis me posa la question.
- Quen penses-tu ? Tu la trouves bandantes ? Tu la veux pour cette après-midi ?
- Oui !
Jemmenais Djamila dans la petite chambre du fond et nous fîmes lamour plusieurs fois et dans
toutes les positions. Djamila était vraiment un superbe coup ! Elle ne discutait jamais une
proposition. Elle était partante pour tout. Elle me proposa même de me faire jouir avec ses seins.
Je navais encore jamais fait cela. Javais bien éjaculé entre les seins de Baya ; mais cétait en
fin de parcours, après lavoir enculée et que je voulais éjaculer sur sa poitrine pour quelle
puisse avaler mon sperme. Javais éjaculé sur elle en me masturbant. Mais Djamila me proposait toute
autre chose : elle allait me masturber avec ses immenses seins. La branlette espagnole ! Rien quà
lidée, jen étais tout émoustillé.
Elle vint se mettre à genoux devant moi, qui étais debout et prit dans sa main mon engin en érection
maximale, qui frétillait dimpatience. Elle avait auparavant rempli ses doigts de mouille quelle
avait ramassé à lintérieur de sa chatte que je venais dhonorer quelque minutes auparavant, et se
mit à létaler sur mon sexe pour le lubrifier. Elle refit lopération plusieurs fois avant dêtre
satisfaite du résultat. Elle en étala encore un peut à lintérieur de ses seins puis tira sur le
membre pour linstaller entre ses immenses mamelles quelle pressa avec ses deux mains pour
lenserrer.
- Nik-ni dhork ! Nik zouaïzi ! (Nique-moi maintenant ! Nique mes seins !)
Je fis aller et venir mon engin, de bas en haut, entre ses seins quelle continuait de presser pour
bien lenfermer et lui donner limpression dune chatte ou de fesses bien serrées. Le sexe bien
lubrifié glissait facilement entre ses seins et créait en moi une merveilleuse sensation de
pénétration. Cétait comme quand je faisais pénétrer mon membre entre les fesses dune belle femme,
et quelle les serrait lune contre lautre. Et puis, je voyais le gland sortir du dessus des seins
et se rapprocher de la bouche de Djamila. Et quand sa bouche se mit de la partie pour lécher, puis
sucer le gland qui sortait de dessous les seins, jétais aux anges. Je sentais que jallais avoir un
bel orgasme et que jallais éjaculer ce qui me restait de foutre dans la bouche de ma maîtresse du
moment. Et cela se passa exactement comme cela. Elle sy prit tellement bien avec ses seins, ses
lèvres, sa langue et sa bouche, quau bout de très peu de temps je me mis à gémir de plus en plus
fort, jusquau moment où je lâchais le peu de jus qui me restait. En plein dans la bouche de Djamila
qui menvoya un merveilleux sourire de contentement et but le liquide, en me regardant des ses
immenses yeux noirs qui brillaient de gratitude.
Elle mavoua par la suite quelle navait encore jamais pratiqué la branlette espagnole, mais que
dans sa jeunesse, elle avait entendue des voisines en parler. Jeus du mal à la croire tellement
elle avait su sy prendre pour maintenir très haut mon désir et me donner un immense plaisir rien
quen serrant et desserrant ses magnifiques obus sur mon zob. Mais je savais que Djamila ne mentait
pas. Elle était simplement très douée pour les choses de lamour : elle était faite pour donner du
plaisir à ses hommes. Elle était du genre altruiste, qui cherchait avant tout à satisfaire ses
compagnons. Dailleurs Moussa ne tarissait pas déloges sur sa manière de toujours être à lécoute
des besoins de son homme. Il disait delle quelle ne jouissait réellement que quand avait fait
atteindre le nirvana à son homme cest-à-dire lui. Le bonheur de son compagnon de lit devenait le
sien. Et lheure quelle venait de passer avec moi confirma complètement ce jugement. Djamila était
naturellement faite pour donner du bonheur à ses hommes. Et cétait cela la signification de la
gratitude que je lisais dans ses yeux : la gratitude davoir été heureux avec elle.
Nous en étions là dans nos relations, quand Baya déboula dans la chambre, complètement nue, tirant
derrière elle Moussa qui avait gardé sa chemise, mais sétait débarrassé de son pantalon. Il bandait
encore très fort. La femme vint en courant vers le lit de camp installé de lautre côté de la
chambre et obligea mon frère à sallonger sur le dos. Telle une amazone, elle vint le chevaucher et
sempaler sur son engin, dressé comme un glaive vers le plafond. Elle poussa un grand cri de
satisfaction et entama deux ou trois mouvements montants et descendants. Tout en chevauchant
furieusement le manche de mon frère elle mappela pour venir les rejoindre :
- Edjri ! arrouah ett-nik ni men gaari ! Bghit ett-nikouni fi zoudj ! Ouahed mel goudam,
lakhor mel lour ! (Vite, vient me niquer par le cul ! Je veux que vous me niquez tous les deux !
Lun par devant, lautre par derrière !)
Baya voulait une double pénétration ! Et Moussa était certainement daccord, puisque sil lavait
suivi dans la chambre, cétait dans ce seul but. Je navais encore jamais pratiqué la double
pénétration. Cétait probablement lun de mes fantasmes ; mais jusque là, je ny avais jamais
réellement pensé sérieusement. Et voila que Baya lextraordinaire Baya venait de me proposer de
lenculer, pendant quelle était empalée sur le membre de mon frère ! Je nhésitais pas une seule
seconde ! Je courus vers la banquette, abandonnant lâchement Djamila qui resta assise sur le canapé.
Je pris Baya par les hanches pour la positionner de manière à ce que son anus soit à la hauteur du
gland de mon sexe, qui avait repris de la vigueur à la seule idée de cette double pénétration. Elle
se retourna pour essayer de voir la scène mais ny arriva pas. Moussa - un peu plus expérimenté que
moi avait attrapé notre maîtresse par la taille pour la faire remonter à une dizaine de
centimètres, de manière à laisser de lespace aux va-et-vient quil allait entreprendre, en même
temps que moi.
Moussa sétait immobilisé un moment pour me permettre dentamer les hostilités. Jappliquais, à sec,
une première poussée qui fit pénétrer le gland de mon sexe à lintérieur de lanus. Baya ressentit
une vive douleur au moment de la pénétration et poussa un petit cri. Bien sûr, elle nétait plus
vierge du cul, mais elle avait gardé celui-ci encore très étroit et très sensible. Je ne tins pas
compte de la douleur que je provoquais et poussai plus fort pour atteindre le fond. Je fis ainsi
deux allers-retours, avant que mon frère et moi commencions le manège de faire croiser nos manches
à lintérieur des trous de la belle. Le seul fait déjà des faire des allers-retours dans le rectum
chaud, étroit et moulant de Baya était divin ! Mais le croisement et le frottement lun contre
lautre, à travers les fines parois du vagin et du rectum, de nos zobs donnait encore plus
dintensité au plaisir que je ressentais ; et que mon frère et notre femme, ressentaient aussi!
Moussa et moi, comme si nous étions dans un concours sportif, tirions en force Baya qui était entre
nous, comme une poupée désarticulée. Lui et moi ahanions fortement à chacune des montées et
descentes de nos hanches et chaque pénétration de nos engins dans les trous de notre maîtresse.
Baya elle criait de plus en plus fort quelle était au paradis ; que jamais de sa vie elle navait
ressenti quelque chose daussi fort ! Daussi délicieux ! Quelle en voulait encore et encore ! Elle
appelait même sa mère, pour quelle la voie comme cela entre deux hommes qui lemportaient au
septième ciel !
- Yemma ! Ach hal mlih ! Chouffi bentek kiffach taati rouhha le rdjel! Kiffach i-nikouha
bezzour! Kiffach et-hab zboub fi tqabiha! Yemma! Yemmaaaaa ! (Maman ! Comme cest bon ! Regarde
comment ta fille se donne à des hommes ! Comment ils la niquent en force ! Comment elle adore les
zobs dans ses trous ! Maman ! Mamaaaaaan !)
Nos ahanements à Moussa et à moi se transformèrent rapidement en des cris rauques de plaisir qui se
mélangeaient à ceux de Baya. Ni Moussa ni moi, ne parlions pendant que nous tirions notre femme.
Mais au moins pour moi les paroles que prononçait Baya et qui devenaient de plus en plus
incompréhensibles accroissaient lintensité de notre désir, qui était pourtant déjà à son maximum.
Javais limpression dêtre dans un autre monde ; un monde irréel ; un monde où je pouvais planer et
nous regarder entrain de copuler à trois et de prendre un plaisir immense ; un monde où la moindre
parcelle de mon corps et de mon âme nétait que désir et plaisir. Un monde où je voyais réellement
la jouissance la mienne et celle de mes deux autres partenaires débouler sur nous comme un
torrent impétueux et nous emporter.
Je navais encore jamais vécu cette sensation de quitter mon corps et de me dédoubler pour devenir
en même temps lacteur et le spectateur de la scène qui se déroulait. Cétait vraiment merveilleux
! Je pense avoir perdu un moment connaissance, parce que je ne me rappelle pas qui de nous trois
avait joui le premier. Tout ce dont je me rappelle, cest que tous les trois nous nous sommes
retrouvés complètement vidés, à bout de souffle et imbriqués les uns dans les autres. Nous mîmes
plusieurs minutes pour sortir des brumes dans lesquelles nous nous étions enfoncés et pour entendre
Djamila qui me demandait de me lever pour me nettoyer.
Je mis un certain temps pour comprendre ce qui se passait. Quand je compris que Djamila me demandait
tout simplement de lui présenter mon sexe, complètement ramolli, pour quelle le nettoie avec sa
bouche, je nhésitai pas une seconde. Je me levai difficilement permettant ainsi à Baya de se
libérer de mon poids et de sallonger aux côtés de Moussa et massis au bord de la banquette.
Djamila, toujours toute nue, et toujours aussi bandante, vint se mettre à genoux devant moi et se
mit à lécher et sucer ma bite, pour la nettoyer des restes de sperme et des sécrétions anales de
Baya. Javais déjà été sucé comme cela après une sodomisation, et à chaque fois, cétait un plaisir
renouvelé. Un plaisir étrange - quelque peu scatologique - mais dun érotisme qui était capable de
me faire encore bander, même après avoir été complètement rassasié.
Baya, les yeux cernés par les efforts quelle venait de faire, regardait sa belle-sur avec un
sourire ému. Elle semblait apprécier les efforts que faisait Djamila pour la suivre dans le chemin
du libertinage. Elle se leva précipitamment, en criant quil était temps quelles partent, avant que
leur belle-mère ne sinquiète de leur retard et ne commence à avoir de soupçons. Elle caressa au
passage les gros seins de Djamila en la regardant avec des yeux qui brillaient de luxure. Je
commençais à bien la connaître et je devinais quune idée coquine venait de lui traverser lesprit.
Et je le lui dis :
- Tu as envie de coucher avec ta belle-sur, nest-ce pas !
- Oui ! Comment las-tu deviné ?
- Oh, jai fini par te connaître par cur ! Promets-moi de ne pas le faire entre vous ! Nous
voulons voir ! Nest-ce pas Moussa ?
- Quoi ? Je nai pas entendu ! De quoi sagit-il ?
Aucun de nous ne lui répondit. Nous voulions lui laisser la surprise pour le samedi prochain. Les
filles partirent comme à leur habitude, en riant aux éclats et en papotant tout le long de chemin
qui les ramenait chez elle.
Nous nous revîmes deux jours plus tard, chez elles. La belle-mère était partie rendre visite à sa
grande fille au bled, amenant avec elle les deux garçons de Baya qui étaient en vacances scolaires.
Baya tenait là le moyen dapprofondir sa vengeance envers son mari : faire lamour avec ses amants
dans sa propre maison.
Mais ceci est une autre histoire.
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