Amour, Sexe, Vie
Bonjour, je mappelle Thomas jai 26 ans. Bruns, assez musclé (j ai fait 10 ans de natation), 1m 76.
Jai envi de vous raconter une histoire qui mest arrivé il y-a un peu plus dun ans. Avec la fin des vacances, des amis mavaient invités à une soirée dans leur maison à la campagne, une amie en commun ma amenée, mais elle ne pouvait pas me ramener. Soirée sympa, j ai dormi sur place et revu plein de potes, vraiment cool. Au matin jai regardé les horaires de trains, aucun ne correspondaient avec mes horaires, je suis donc allé voir les covoiturages sur internet et jai trouvé un mec qui remontais sur Paris le soir même. On peut dire que ça marrangeait, il passait par chez moi et a accepter de faire un petit détour pour venir me chercher directement chez mes amis. Un mec cool.
Il arrive vers 20h30, autrement dit après plusieurs apéros et accepte de prendre une bière (une seule !) avant de repartir. On discute un peut, ambiance sympa, il est plutôt mignon, blond, yeux noisettes, il est pompiers de Paris (plutôt bien foutu) et remonte sur Paris après un weekend end chez sa copine. On part vers 21h, et on continu la discussion en voiture. Je ne le regarde déjà plus de la même manière depuis que jai vu son regard quand il a relevé la connerie de mon pote au moment de partir (« Eclate toi bien, vous avez un peu de temps devant vous avant darriver
») : A ce moment la, mon covoitureur à fait un sourire en coins genre lubrique, mais en même temps un peu gêné, réservé. Un sourire dont je me souviens très bien, a la fois mignon et totalement excitant.
On reprend la route comme si de rien nétait, on continu la discussion et on en vient à parler couple et sexe. Il na pas lair gêné en apprenant que je suis bi (on parle vraiment très librement, comme de vieux amis, je suis dailleurs étonné de cette complicité qui s »est très vite créée), et me parle librement des problèmes avec sa copine : Il travaille à Paris (il est pompier de Paris), et elle habite dans une petite ville de campagne dans le Loiret.
Cest alors que je lui tape sur la cuisse en lui disant que les meufs sont faites pour ça : nous faire chier ! Mais que les mecs ne valent pas mieux ! Je remarque alors son regard quil ne porte plus du tout sur la route
, un regard plein denvi, de désir sexuel mais aussi de désir dêtre serré dans les bras, de partager des sentiments. « Je pensais quavec un homme serait peut être plus simple
». Il sarrête sur le bas-côté (nous navions pas encore regagné lautoroute). Il se penche vers moi, je nen crois pas mes yeux, il membrasse. Avec une telle tendresse
mais aussi une telle fougue !... Alors il sest mis à parler, à se confier. Il en avait besoin, il paraissait vraiment désespéré : il ma touché au plus profond de mon âme
Il faisait encore bon dehors, on est sorti , nous avons marcher un peu et on sest assis sur lherbe ; lui lové dans mes bras et me parlant, me racontant sa vie et ses espérances. On a fini par sendormir la, ne se réveillant que vers 4-5 heures du matin, avec la fraicheur matinale ; je lai regardé relever la tète, me sourire
Un bonheur tout simple, mais tellement merveilleux. On sest embrassé et on est reparti vers la voiture, sans rien dire, en se tenant la main comme deux ados. Avant de repartir il a appelé sa caserne ; il a dit à son chef quil avait eu un problème mécanique et quil pensait pouvoir être à lheure mais que finalement ce ne serait pas le cas. (Il a finalement reçu un blâme pour ce « retard » dune journée.) Nous repartons, moi un peut gêné car je ne savais pas comment il allait réagir après la veille ; mais ses sourire et ses regards mont vite rassurés et on sest remit à parler naturellement. Une heure et demi plus tard, on arrive chez moi, je lui propose de monter pour un petit dej, il accepte avec plaisir
Je prépare café, chocolat, fruits, et ufs aux plats (un ptit dej comme je les aime) pendant quil prend une douche.
Autant dire quon laisse tomber le petit dej pour se diriger vers la chambre, il me jette sur le lit et en riant se jette sur moi, on roule, on rit, sa serviette se détache, il est nu, sur moi jai envi de la caressé partout, de découvrir se corps qui me fait tant deffet. Mais il marrête me dit de ne plus bouger. Il se met à parcourir mon corps entier de ses mains, de ses lèvres,
je frissonne de partout, je me sens si bien, lextase. Il enlève mon jeans, maintenant bien trop serré, il parcours mes jambes, et embrasse ma bitte au travers de mon boxer
putain que cest bon ! De la tendresse, de la fougue, et un peut de maladresse : il enlève mon boxer (enfin !) Mais jessai de larrêter, il rejette mes mains en me disant quil veut me découvrir, alors je profite, mon tours viendra une autre fois
Il embrasse ma bitte de la base au gland, arrivé la, il donne de petits coups de langue de moins en moins timides et fini me sucer le gland. Il est maladroit, je sens ses dents par moment, mais sa langue chaude me caresse à lintérieur de sa bouche
Je lui caresse la tète, il entame la première fellation de sa vie, mais apparemment il sait comment sa « fonctionne » : Je sens alors une de ces mains dériver de plus en plus souvent vers mon anus, pendant que lautre continu de me parcourir le corps.
Puis il fait un échange qui ma montré quil a de la suite dans les idées, sa main remplaça sa bouche, et vice-versa : Il me retourna sur le coté, fit passer une main entre mes jambes, de manière à pouvoir me caressé la bitte et à maintenir mes jambes écartées
Il entama alors un cunnilingus, jétais complètement soumis à ses caresses et à cette langue qui me dilatait la rondelle, en faisait le tour puis essayait de se faire un passage de plus en plus large
Je lui caressais la tète, la main, le dos,
et au milieu de tout ça, je réussi à sortir de ma table de chevet une capote et du gel
Je lui tendis, il me retourna sur le ventre, jy plaçais un coussin pendant quil enfilait la capote autours cette bitte que je nai même pas pu caresser. Elle avait lair plutôt imposante, et était véritablement très dure au vu de la sensation quil me fit en la plaquant entre mes fesses. Il me caressa le dos, me murmurant des mots tendres, il était la tendresse même
Il me mit du lubrifiant sur la rondelle et commença des va et viens sur toute ma raie. Il se pencha vers moi, membrassa et se recouvra la bite de gel puis la plaça sur ma rondelle. Il me dit de larrêter si javais mal. Sa bitte devait être plus grosse que je ne le pensais, lentrée était assez difficile, même après ses nombreuses caresses. Je lui ai demandé darrêter, jai mis une main en arrière et « pris les choses en main ». En serrant sa bite, je me rendis compte que je ne pouvais pas en faire le tour avec mes doigts ! Après une entrée assez difficile il entama une superbe sodomie
Tout dabord lentement il progressa jusquà se que je sente ses poils de pubis se presser contre mes fesses. La douleur avait complètement disparut, ne restait plus quun plaisir qui se diffusait petit à petit à mesure quil entamait des vas et viens de plus en plus rapides.
Jétais si bien la
Il sest retiré, a enlevé la capote, et est venu me retrouvé dans le lit, ou on est resté dans les bras lun de lautre en retrouvant nos esprit. Puis je suis allé prendre un plateau pour y installé le pti dej, on a mangé quasiment sans parler, mais cétait tellement magique. Puis nous avons pris une douche ensemble, et on a passé laprès midi à parler. On a parlé de tout : Du fait quil était étonné davoir pu « tout rentrer », il navait jamais pu avec une fille ; de sa copine, de nos sentiments naissants, de nos boulots,
Trois mois plus tard il quittait sa copine et la caserne pour venir sinstaller chez moi
On est resté ensemble, on était bien, on saimait, tout simplement. Jusquà ce quun camion le percute en moto
Il est resté un mois dans le coma et ne sest pas réveillé. Il disait que la vie nous réservera toujours des surprises, quelles soient bonnes ou mauvaises il faut savoir se relever et vivre, je vivrais donc, mais en gardant toujours dans un petit coin de mémoire une énorme pensés pour cet homme avec qui jai tant partagé.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!