Un Après-Midi...

Nous avions discuté tard sur le net Christophe et moi, et comme à chaque fois une partie de notre
conversation avait viré au sexe, je lui avais avoué mon fantasme : deux hommes, il était évidemment
prêt à le réaliser. Suite à cette longue conversation, nous nous donnions rendez-vous chez lui le
lendemain sur le coup de midi.
J’avoue avoir été me coucher assez excitée.
Le lendemain, je me suis donc préparée à cette rencontre, mais de la nuit une idée avait germé en
moi, et j’avais décidé de la suivre.
Me voilà donc partie, je lui envoie un message en partant de chez moi « je démarre, nous serons deux
ou trois ».
J’attendais une réponse, mais elle ne vint pas, je pris la décision de continuer mon petit scénario,
qui se déroulerait sur le 35 kilomètres qui séparaient nos maisons.
Au bout de 10 minutes, je lui renvoyais un nouveau message : « je porte une petite jupe noire, un
chemisier rouge, des bas autoportants, et des bottes », je savais que je ne recevrais pas de réponse
mais je savais aussi que cela lui plairait.
N’ayant pas tant de route que cela à parcourir, le troisième message ne tarda pas : « je viens de
retirer mon soutien-gorge, mmm », et je me disais que finalement ne pas recevoir de réponse de sa
part était assez excitant.
A environ cinq kilomètres de chez lui, je lui envoyais l’avant dernier message : « Je viens de
retirer ma petite culotte, je me suis mise un œuf vibrant, la télécommande sera sur le siège
passager, je suis d’une humeur s…. j’ai hâte ».
C’est vrai que j’avais hâte de me faire prendre par cet homme que je connaissais déjà depuis un
certain temps. Je continuai ma route, en faisant vibrer l’œuf, j’étais chaude.
Arriver devant chez lui, je lui envoyai le dernier message : « je suis là et à toi ».
Il vint m’ouvrir et prit place à mes côtés, il avait récupéré la télécommande qu’il mit aussitôt en
route.

Il m’embrassa et ses mains caressaient déjà mes seins et mon clito, j’allais en prendre
c’était certain, je l’avais cherché aussi.
Arrivé à l’intérieur, il me fit mettre à genou, et me demanda de le sucer, quel bonheur !!! l’œuf
vibrait toujours en moi, ses mains attrapèrent ma tête afin que j’enfonce bien son sexe dans ma
bouche, il me dit :
- « et bien il est vrai que madame est de charmante humeur, elle suce à merveille, lève toi ma
petite salope »
Il me releva, et m’attira dans sa chambre :
- « retire cet œuf, et écarte bien tes jambes, ne bouge plus »
J’exécutai, il m’embrassa puis enfonça son doigt dans ma chatte :
- « hummm, c’est trempé, j’aime ça »
Il commença à me lécher longuement, je jouis une première fois :
- « vas y prends du bon temps, tu es venue pour cela non ?? tu me l’a bien fait comprendre »
Juste après, il remit deux doigts dans ma chatte tout en continuant à me lécher :
- « ça te plait hein !!! mais je sais que tu en veux plus, et tu vas avoir, attends je sais ce
que tu aimes !! »
Il remit sa langue au travail et m’enfonça un doigt dans l’anus, je lui dis :
- « ho oui j’aime, c’est bon »
Je me faisais aller afin de profiter des deux pénétrations qu’il me donnait, de plus sa langue
finissait le travail, je jouissais, c’était tellement bon.
Au bout de cinq minutes il se redressa, sa queue était bien raide et rien qu’à la voir bien dressée,
je rêvais de la pénétration qu’il allait me faire.
Quand il me la mit, je poussai un grand cri de satisfaction, il me dit :
- « tu aimes quand je te défonce, tu es vraiment une belle salope, je ne te pensais pas comme
ça, mais ce n’est pas grave ça me plait »
Je lui répondis :
- « oui vas y, plus fort, j’aime ça »
Il continua à me défoncer, j’étais sur un petit nuage, c’était merveilleux. Au moment venu, il me
dit :
- « mets toi à genou, je veux que tu me boives »
Aussi tôt dit, aussi tôt fait, il m’envoya son délicieux breuvage sur la langue et je l’avalais
délicatement dans le but de ne pas en perdre une goute.
Il me releva en me demandant si ça allait, je lui dis que oui.
Il me proposa de manger un morceau, ce ne fut pas de refus, il me demanda néanmoins de rester nue et
de garder les jambes écartées pendant que nous mangions, je savais déjà que j’y repasserais encore
une fois, pour mon plus grand plaisir…