Mariette
Jai besoin de faire un tour chez mon esthéticienne: mon prochain vol memmène sur Rio. Je connais intimement un patron dune boite qui me fait lamour divinement: il connais mes points sensibles, il apprécie surtout quand je lui caresse le cul en entrant jusquà sa prostate: il jouit rapidement. Il sais me rendre tous les plaisirs: il me lèche particulièrement bien, surtout lanus.
Les affectations diverses sont fantaisistes: Je ne vais pas toujours où je voudrai. Aujourdhui cest sur je vais voler vers le Brésil.
Mon rendez vous est le dernier de la semaine. Jespère avoir celle qui me réussit toujours le maillot. Jaime bien aller à cet institut, dabord il est près de chez moi, ensuite les relations clientes/employées sont très particulières pour les clientes fidèles.
A mon arrivée la patronne me dit que je serai peut-être déçue, lemployée qui normalement soccupe de moi est malade. Elle me confie à une autre qui parait-il fera laffaire, sinon mieux. Mariette, la remplaçante me parait sympathique. Elle me fait entrer dans une cabine où nous devrions être à laise. Elle me fait passer derrière le paravent pour que je me mette nue. Jen frémit davance. Jaime assez être nue devant dautres filles, surtout si la suite est ce que jespère.
Quand je suis à Paris, je suis lesbienne. En escale, je me paye toujours des mâles bien montés: jaime sentir une bonne grosse bite dans le cul. Chez moi jai une bonne collection de jouets intimes venus du monde entier ( sauf de Chine). Je suis donc très libre dans mes choix, hommes ou femmes ou même gode: je prend tout ce qui fait du bien. Pourtant on dit de moi que je suis collet monté
Sils savaient
Donc je me déshabille, prend la serviette pour my envelopper, et ressort. Mariette me fait allonger dabord sur la table pour me masser, massage décontractant. Elle me fait enlever la serviette pour la poser pliée sur mes fesses. Elle enduit mon dos dun produit légèrement gras et ses mains commencent leur travail.
Nous bavardons de mon métier: elle ne me connait pas encore, cest logique. Je regarde de plus en plus ce corps qui lentement se dévoile. Ses mains arrivent sur ma poitrine. Elle ne masse plus, elle caresse. Ce nest pas encore très sensible, moi je le sens. Je le sens tellement que je commence à mouiller: jai envie de cette fille. Elle me donne encore plus envie quand elle me demande douvrir les jambes pour épiler le bas ventre. Elle fait son travail en regardant bien ce quelle fait. Sa blouse est maintenant totalement ouverte. Si elle peut voir ma chatte, moi je vois ses seins, son bas ventre. Elle se tourne le dos vers moi. Je sais ce qui me reste à faire: je caresse ses cuisses. Sa réaction est favorable: elle entrouvre les jambes me permettant ainsi de monter vers ses fesses.
Mariette narrête pas son travail, laccélère au contraire et le fini rapidement. Maintenant je nai plus affaire quà ses mains qui ne restent pas immobiles: elles me caressent maintenant lintérieur des cuisses. Elle a commencé aux genoux, elle me fait écarter les cuisses. Quelle caresse bien, dune façon très sensuelle.
Je continu moi aussi à monter vers son paradis. Nous arrivons pratiquement ensemble sur le sexe de lautre. Elle se penche en avant pour que je trouve son bouton. Elle prend le mien entre deux doigts. Cest une des rare fois quun femme me traite ainsi: cest plus quagréable. Je sens quelle va me faire jouir.
De mon coté, malgré lorgasme qui se prépare jarrive à la doigter. Jai mis deux doigt dans son vagin, jai trouvé son point G. Jen profite pour la faire partir vers Eros. Nous jouissons pratiquement ensemble, sauf quelle jouit longtemps.
Je me lève de la table de massage.
- Tu branle bien, lui dis-je
- Toi aussi, tu sais bien faire jouir les filles.
- Tu ne veux pas venir chez moi pour passer la nuit.
- Cest lheure de la fermeture, OK je te suis.
Rhabillées nous allons chez moi, je préfère plutôt quun hôtel anonyme. En plus jy ai mes jouets.
Ce nétait pas la peine de se rhabiller puisque nous sommes nues dès lentrée. Mon premier soin est de téléphoner à un traiteur.
Nous allons dans la chambre. Nous reprenons les baisers sans nous presser; Je pense que sa langue est bien meilleure que dautres, sans doute parce que sa langue est plus agile. Jai pris le commandement au moins à titre provisoire simplement parce que je suis chez moi. Nous nous serrons simplement pour avoir nos tétons qui se caressent. Je mouille de plus en plus.
- Jai envie de toi, dit Mariette.
- Maintenant, tu ne veux pas attendre que le traiteur soit là ?
- Je me fous du traiteur, si jai faim je te boufferai la chatte.
- Sil sonne jirai lui ouvrir.
- Toute nue ?
- Non avec un serviette simplement.
Nous ne trainons plus, nous avons envie de jouir toutes les deux. Cest elle qui commence après un baiser: elle embrasse mes seins et sa main est sur mon mont de vénus. Il est doux grâce à elle. Elle y passe deux doigts qui vont directement sur mon clitoris. Elle le branle comme une bite. Cest extraordinaire le plaisir quelle donne. Je ne peux retenir mes soupirs et mes mouvements du bassin qui lui montrent que jaime ce quelle me fait. Jarrive à mon tour sur sa chatte. Elle est douce, je passe vite sur le clitoris, plante mes doigts dans son vagin pour recommencer à caresser le point G. Pour elle commence la grande saison de la jouissance. Jaime bien mettre mes doigts dans le vagin dune fille et la faire bien jouir.
On sonne à la porte; je prend une serviette qui menveloppe à moitié, étant un peu exhibitionniste, jaime bien me montrer nue ou presque, surtout si cest une femme.
Je retourne à la chambre. Mariette est toujours sur le lit, les jambes écartées: elle se branle. Quand je lui parle de la livreuse elle me dit que jai eu tord de ne pas lui avoir demander de faire lamour avec nous. Cest trop tard maintenant.
Nous arrêtons de baiser le temps de manger.
Je lui raconte mon aventure à Rio avec un homme bien monté. Elle pensait que jétait simplement lesbienne. Je lui montre mes jouets. Elle en est étonnée et curieuse. Elle me demande si elle peut les essayer pour voir leffet que ça lui fera. Je lui confit un uf vibrant quelle se met rapidement dans son vagin , pas tout à fait au fond, là où est la partie sensible du vagin. Comme jai la télécommande, je le fait vibrer. Je fait vibrer en même temps Mariette. Je me précipite sur son clitoris, je le lèche longuement pendant toute la durée des vibrations de luf. Mariette se tord dans tous les sens. Elle voudrai men faire autant: je suis déjà occupé par un gode vibrant.
Elle le prend en main, le fait aller et venir dans ma cage. Je lui demande de changer dorifice: elle est étonnée que jaime la sodomie.
- Moi, jaime tout en amour, même les filles comme toi.
- Je tencule, tu es la première que jencule. Je voudrai essayer après toi.
- Comme tu veux, si tu veux tout connaitre je peux de lappendre.
En attendant que je lui apprenne plein de chose, elle entre le gode dans mon cul. Elle sy prend fort bien: je jouis rapidement.
Je lui prend la bite factice, la lui pose sur son anus. Je ne veux pas lui faire mal alors jentre très lentement. Elle est crispée. Quand elle comprend que je narrêterai pas elle se détend. Je peux le lui mettre à fond.
- Tu ma fait mal, et maintenant cest bon, je crois que je vais jouir.
- Branle toi en même temps, tu verra comme cest bon.
Mon conseil doit avoir du bon puisquelle jouit.
Jai envie avant de nous reposer de faire ce que je préfère avec les filles: un 69 et un con à con.
Pour le 69, elle en connait un rayon: sa langue sait où et quand aller. Je la sens du cul au clitoris en passant par les lèvres et le vagin. Je lui rend ce quelle me donne. Par contre elle ne connait pas le surfin.
Nous sommes pratiquement assises sur le lit, les cuisses emmêlées et nos clitoris qui se touchent. Les légers mouvements que nous faisons suffisent à nous sonner des orgasmes supérieurs.
Je lui propose de devenir ma « correspondante » à Paris: elle baise trop bien. Cela signifie que quand je serai chez moi, ce sera elle mon amante, sans obligation de fidélité.
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