A La Piscine

La nuit est tombée sur la ville, en cette soirée d’hiver.

Au fond d’une rue, un bâtiment reste allumé. C’est la piscine municipale.

L’heure de la fermeture de celle-ci approche. Le maître-nageur fait le tour pour inviter les derniers baigneurs à se rendre vers les vestiaires.

En fait dans la piscine, il ne reste plus que deux personnes : un homme et une femme. Celles-ci quittent le bassin pour se diriger vers leurs vestiaires respectifs.

La jeune femme va chercher son savon et son shampooing, puis s’oriente vers les douches. Là, elle se déshabille, ouvres les robinets de la douche et commence à se laver le corps et les cheveux. Elle a du savon partout et il commence à lui dégouliner dans les yeux. Elle cherche à tâtons sa serviette, dés sur le sol glissant et tombes lourdement par terre dans un bruit sonore.

Le maître-nageur qui était en train de ranger les vestiaires, accourt dans les douches des femmes pour voir ce qui s’y passe. A son arrivée, il aperçoit la femme étendue sur le carrelage, un peu étourdi par sa chute. Il s’approche d’elle pour l’aider à se relever et voir si tout va bien.

La femme se relève difficilement, encore sur le choc. Ses jambes flagellent et ont du mal à la soutenir. Elle tombe littéralement dans les bras du maître-nageur qui approchait pour lui porter assistance. Il la sert contre lui afin de la maintenir droite et lui laisser le temps de reprendre ses esprits.

Après une à deux minutes dans cette position, la demoiselle reprend petit à petit conscience de sa nudité et du corps chaud du maître-nageur contre lequel elle est blottie. Le maître-nageur, ayant passé le stade de la première frayeur, commence à regarder de plus près ce corps qu’il tient dans ses bras. Il admire la chute de rein qui aboutit sur de larges fesses qui semblent relativement fermes. Il sent contre sa poitrine celle de la donzelle dont la taille le laisse pensif.

Son inspection ne le laisse pas insensible aux charmes de jeune femme et son sexe commence à grossir malgré lui. Pour essayer de détourner son attention du corps de la jeune femme, le maître-nageur, lui demande : « Est-ce que cela va ? Vous vous sentez bien ? Voulez-vous que j’appelle un médecin ? »

Tout doucement, elle lève les yeux et sort peu à peu de sa léthargie. Lentement, elle prend conscience de la situation : Elle est nue dans les bras d’un inconnu, et pourtant elle s’y sent bien.

Lui continu à lui demander si elle va bien. Mais elle n’entend pas, Elle ne regarde que ses yeux. Lui, la voyant grelotter, prend la serviette de bain qui était accrochée, et commence à frictionner la jeune femme avec, tout en continuant à essayer de parler avec elle. Il commence par essuyer les épaules, puis il va en descendant : le dos, les reins, les fesse où un énorme bleu commence à apparaître. La jeune femme se laisse faire, toute étourdie qu’elle est par ce qui lui est arrivée. Cette séance de séchage met le maître-nageur dans tous ses états. Caresser ce corps pulpeux mais ferme, même à travers une serviette de bain, lui fait de l’effet et son maillot de bain devient de plus en plus étroit.

Ayant terminé le dos, il s’apprête à essayer le devant et pour cela il l’a fait s’asseoir sur le banc qui se trouve près de l’entrée. Elle se laisse guider sans dire un mot comme une poupée de chiffon. Une fois assise, le maître-nageur s’applique à essuyer le reste du corps en prenant un soin particulier pour la généreuse poitrine de la jeune femme qui semble réagir enfin, où du moins ses seins qui se gonflent et durcissent sous les caresses qui leur sont appliquées. Il passe plus de temps que nécessaire à l’essuyer d’ailleurs. Puis il descend s’occuper du ventre et des jambes qui d’ailleurs s’ouvrent largement pour qu’il puisse accéder à tous les recoins. Il s’attarde donc un peu sur cette jolie toison qui cache deux lèvres gonflées par le plaisir procuré par ces caresses.
La jeune femme pousse un léger soupir lorsque l’un des doigts du maître-nageur effleure sa vulve. Leur regard se croise. Leur bouche se rapproche, sans qu’ils s’en rendent compte, jusqu’à ce que leurs lèvres se touchent et qu’ils s’embrassent à pleine bouche.

Ce baiser est le déclencheur. Le maître-nageur serre contre lui la jeune femme pour sentir sa poitrine contre son torse. Ses mains laissent tomber la serviette pour mieux caresser ce corps voluptueux. D’ailleurs l’une de ses mains explore doucement le sexe de la femme qui se cambre pour mieux libérer le passage vers sa vulve et son clitoris. Cette dernière est toute humide et ce n’est pas en raison de la piscine. L’homme caresse donc doucement ce sexe gonflé de désirs, et fait rouler le clitoris entre deux de ses doigts. La jeune femme ferme les yeux et s’abandonne totalement aux mains du maître-nageur. Ses seins se dressent au rythme de sa respiration qui devient de plus en plus haletante.

Le maître-nageur couche la jeune femme sur le banc, les jambes écartées, lui dévoilant l’objet de son désir. Il s’agenouille et s’approche du Mont de Vénus et commence un langoureux cunnilingus qui alterne entre l’entrée du vagin et le clitoris. Parfois quand il aspire ou mordille ce dernier, la jeune femme pousse un petit cri de souris pris au piège. A tel point qu’en à peine quelques minutes de ce traitement, la jeune femme se crispe, se mord les lèvres et est secouée par les spasmes d’un plaisir intense.

N’attendant pas que la donzelle reprenne ses esprits, le maître-nageur se redresse un peu afin de positionner sa bite devant l’entrée de ce sexe tout rempli de cyprine. D’un coup sec, il enfonce son pieu jusqu’à la garde, ce qui fait sursauter la jeune femme qui pousse un cri mêlant surprise et plaisir. Le maître-nageur commence lentement ses va-et-vient, puis il accélère la cadence. Plus les coups de boutoir se font rapprocher, plus la jeune femme augmente le niveau sonore de ses soupirs qui se terminent par de vrais cris de plaisir que l’on peut entendre résonner dans toute la piscine.
Les cris agissent comme des aphrodisiaques sur le maître-nageur qui n’est pas long à jouir aussi. Au moment crucial, il sort sa bite du fourreau où il se trouvait pour éjaculer sur le corps de jeune femme qui arbore un large sourire car elle vient jouir une seconde fois.

Alerté par les cris de plaisir de la jeune femme, le second nageur s’est approché du vestiaire des femmes. Voyant le couple s’affairer, il reste au coin de la porte tout en matant leur batifolage. Le spectacle qui s’offre à lui ne le laisse pas de marbre. Il commence à bander dur, à tel point qu’il baisse son maillot de bain et commence à se masturber callant la vitesse de sa main sur les va-et-vient du maître-nageur. Il est tellement pris par ce qu’il voit, qu’il jouit en même temps qu’eux en poussant un puissant grognement.

Tétanisé, il reste figé la main sur son sexe à l’air, alors que le couple se tourne vers lui. Le visage de la jeune femme s’empourpre en le voyant, puis son regard passe de la surprise à l’envie. Elle fixe le sexe du nageur dont la taille l’impressionne avec ses 20 bons centimètres.

Malgré sa jouissance, la queue du nageur pointe toujours avec vigueur vers haut. La jeune femme, comme hypnotisée, s’approche de la bête, tend la main pour la toucher afin de s’assurer que cela n’est pas un rêve. Elle la touche donc, la caresse, lui soupèse les couilles.

Sans comprendre pourquoi, alors qu’elle vient de se donner à un quasi-inconnu, elle a envie de cette nouvelle « bite », de se sentir « chienne ». Elle a envie de goûter à cette immense queue qui s’offre à elle. Elle l’a prend donc dans sa bouche qui est complètement rempli par l’engin. Le nageur grogne de contentement et son sexe reprend rapidement le peu de vigueur perdue. Bien qu’elle adore sucer, lécher cet énorme « sucre d’orge », elle a envie de plus. Elle a envie de le sentir au fond de son ventre. Elle se relève et présente sa croupe généreuse à son second amant.

Il n’est pas long à comprendre les désirs de la donzelle, il positionne sa bite à l’entrée de son vagin et accroche ses mains sur les hanches de la belle.
D’un coup de rein puissant, il rentre la quasi-totalité de son sexe et va buter au fond du vagin. La jeune femme pousse un cri où se mêle contentement et surprise. L’homme, fou de désirs, pilonne littéralement la chatte de cette « salope » qui crie « Encore… », « Plus fort… », « Baises moi fort… ».

La jeune femme est complètement déchaînée, baisée profondément par le nageur, elle admire le maître-nageur dont le sexe reprend doucement de la vigueur en se branlant tout en admirant le spectacle de cette furie. La vision du maître-nageur en train de se masturber excite encore plus la femme qui s’imagine suçant ce sexe qui l’avait si bien baisé, pendant qu’elle continue à être burinée si habillement par le nageur. Tout ceci l’excite à tel point qu’elle se met à jouir d’un coup en lâchant un long gémissement aigu. Ses jambes la trahissent et elle s’écroule au sol entraînant par là même son partenaire.

Est-ce la soudaineté de la jouissance de la jeune femme ? Où est-ce le fait que le corps de sa partenaire se dérobe ? Mais le nageur est pris violent orgasme et il décharge tout son foutre sur le dos de celle-ci.

Elle reste, quelques instants, allongées par terre sur le carrelage froid. Toute étourdies qu’elle est par cette divine « parties de jambes en l’air ». Elle reprend doucement conscience. Elle ouvre les yeux et relève la tête. Là, elle tombe nez à nez avec le sexe de ses deux comparses qui se sont agenouillés pour voir comment elle allait. Cela lui fait comme un électrochoc. Elle reçoit une nouvelle décharge d’adrénaline qui lui chauffe le bas-ventre.

Elle saisit d’une main le sexe du nageur tout en gobant de sa bouche le sexe du maître-nageur. Et très vite leurs sexes renaissent à la vie. Elle alterne fellation et masturbation pour chacun des deux hommes. Mais cela ne lui suffit pas.

Elle allonge sur le dos, le nageur sur lequel elle s’empale vigoureusement. Elle fait jouer son bassin ce qui rend fou son partenaire. Il râle de plaisir les yeux mi-clos. Le maître-nageur n’est nullement oublié car elle le suce avec délectation tout en lui titillant les couilles. Ce dernier affiche un sourire béat.

Mais cela n’est pas assez pour notre petite coquine. Elle en veut plus…. Beaucoup plus !!!!

Elle cesse de sucer le maître-nageur et lui intime l’ordre : « Encules moi, Salaud !!! ». Tout en restant empaler sur le nageur elle se penche en avant afin de dégager son trou du cul. Elle a envie d’être prise en double. De se sentir complètement offerte et rempli.

Le maître-nageur ne se fait pas répéter l’ordre deux fois. Il se place derrière la donzelle. Crache sur l’anus de celle-ci afin de l’humidifier, et y glisse un puis deux doigts pour détendre ses sphincters. Cela a un effet immédiat sur la femme qui se met à hurler : « Vas y baises moi, salaud !!! », « Mets ta grosse queue dans mon cul !!! », « Défonces moi le cul !!! » tout en continuant de se dandiner sur le sexe du pauvre « malheureux » qui se trouve sous elle.

Sans plus attendre plus longtemps, le maître-nageur se place face aux larges fesses de la femme et d’une pression de rein, il enfonce la totalité de sa bite d’un seul coup. La femme lance un cri mélangeant douleur et plaisir. De ses mains, il l’empêche de bouger pour laisser le temps à son trou du cul de s’adapter au diamètre du monstre. Après quelques secondes, il relâche la pression et la « petite salope » entame un va-et-vient effréné sur ces deux monstres qui la comble pleinement.

Plus elle agite son bassin, plus elle sent grossir les deux bites qui emplissent chaque parcelle de ses deux orifices. En même temps, elle sent monter du bas de son ventre un bouffé de chaleur qui lentement irradie dans tout son corps. Elle pousse des gémissements de plus en plus aigus accompagnés des grognements de plaisirs de ces deux partenaires.

Elle accélère le rythme déjà soutenu. Et comme frappée par la foudre, elle sent exploser sa jouissance entre ses jambes en éjectant un flot impressionnant de cyprine.

Quasiment en même temps, les deux hommes se raidissent et jouissent dans un grognement bestial à l’intérieur de la belle.

Ils s’écroulent tous les trois enfin rassasiés.



Epilogue
Après avoir repris leurs esprits et un peu soufflé, ils se dirigent tous les trois vers les douches pour se rafraichir un peu, puis vont s’habiller.

Au seuil de la porte, ils se donnent rendez-vous pour la semaine prochaine à la même heure.

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