Provocation Adolescente
Je m'appelle Florent, j'habite en bord de mer. J'ai un frère, de plusieurs années mon ainé, qui fêtait au temps de
cette histoire ses vingt-cinq ans. C'était un soir d'aout et deux nos cousins d'environ trente-cinq ans chacun
étaient pour l'occasion venu nous rendre visite. Ils étaient tous les deux grands mais de taille nettement
différente, le cheveux très courts, tous les deux la petite bedaine, mais bien baraqués. Mon frère et mes cousins,
étant très fétards nature décidèrent de prolonger la soirée en ville en l'honneur de l'anniversaire de mon frère.
Ils réussirent à me convaincre de les accompagner, ma foi sans trop de difficultés. Mon cousin ayant recemment
acheté un petit voilier, ils nous emmena vers l'embarcadère de la ville où il n'y avait pas un chat. Des amis à lui
nous ont rejoints, tous d'une quarantaine d'année, parfois bien entammée, mais la plupart étaient mieux fichus
que mes cousins.
"Ah oui vous les connaissez pas alors: James, Antoine, Maxime, André, et Eric, et eux c'est mes cousins Loïc,
Clement et Florent."
Les présentations faites, un des gars, Eric, s'écria :"alors Titi ou t'as caché le sky?"Mon cousin sorti alors d'une
glacière pastis, whisky, eau, coca. Nous allions prendre un apéro là; entre mec. Après s'être bien marré, que
certains ait montré leur nouvelle voiture puis que d'autres l'essayaient, je commençais comme je le craignais à
me lasser un peu: de naturel reservé et ne portant pas d'intêret particulier aux voitures, je buvais mon verre
tranquilement.
Mes pensées furent interrompues par l'un des gars qui voulait aller en boite. N'étant pas majeur, on alla dans
une boite ou je pouvais rentrer sans trop de probleme en me dissimulant etre les mecs. L'un d'eux, André, était
parti rejoindre sa maitresse comme il l'avait ouvertement signalé.
C'était le première fois que j'allais en boite, c'était excitant, et en même temps j'essayer de réprimer cette cynique
envie de rentrer chez moi pour me tapper une queue devant mon écran d'ordi.
qui m'avait emmené. Pendant la soirée, tout le monde sifflait allègrement ses verres, et on commençait tous à
être bien joyeux. L'un des mec, Eric, me faisait un drole d'effet; il était grand, brun, sympa, drole, il avait une
grande gueule, fan de voiture, lui même s'étant acheté une nouvelle caisse recemment. Je le distinguais des
autres gars dans ma tête mais je ne savais pas pourquoi. Quelque chose m'attirait chez lui, et avec les effets de
l'alcool, je devenais beaucoup plus ouvert et desinhibé.
Un moment, Eric, un autre gars (je n'ai meme pas remarqué lequel c'était) et moi sortames de la boite, le gars
alluma sa clope, Eric alla vers un parking plein mais desert, et moi je fis mine d'aller ailleurs. Ne sachant pas ou
j'allais, je retournais vers éric, que je vis de profil, en train de pisser. A moitié penché, les effets de l'alcool
s'intensifiant je lui lançai un "tu fais quoi tu pisses?" toujours en me rapprochant de lui. Il me répondit par
l'affirmative d'une voix douce et assurée. Sans savoir ce qui me prenais, j'étais maintenant à à peine un mètre de
sa bite, il venait de finir de pisser lorsque sans gène, pour le taquiner je lui sortis "Hé t'as une p'tite bite toi!". Il
enleva les mains de sa bite les laissa pendantes le long du corps, toujours la
teub sortie, pendant que j'étais presque à 90° en train de mater sans vergogne son entre jambe. Du tac au tac, il
me répondit sur un air de déconnade, avec un sourire de défi "Ben vas y mets tois à 4 pattes tu veras si elle si
ptite". "Tu déconnes?" Voyant qu'ils remet ses mais sur les bords de sa braguette, je me mets à genou et lui lance
d'un air défiant à moitié en train de rire, "bah vas y moi j'ai peur de rien!".
Mais qu'est ce qui me prends?? voila ce que je me suis dit sur le moment surtout que j'en avais une plus petite que
lui et que je disais ça juste pour le faire réagir!! Il repart vers la boite, et j'en fais autant et il se marre en me
disant "Haaa t'es énorme! J't'aime bien toi!" et il ria comme il avait l'habitude de le faire à la fin de ses phrases.
L'alcool renforçant mon audace, je le taquinais en l'insultant de petite bite à plusieurs reprises, je ne sais
combien exactement. La dernière fois, il m'a même lancé un "et bien vas y sors ton popol qu'on voit un peu!".
Soudain, je réalisais que ce n'étais pas si annodin, et que me branler sur internet n'était peut-être pas la seul
envie sexuelle présente en moi. Nous fumes interrompus par mon frère, visiblement énervé (surement par la nana
avec qui il flirtait) qui m'ordonna de rentrer expressément avec lui. Pretextant une envie de m'amuser, je lui dis
que je rentrerai avec un des gars. A présent, nous n'étions plus qu'Eric, mes cousins, Antoine et moi. Mes cousins et
Antoine tiennent difficilement debout, Eric avait l'air de tenir mieux l'alcool, mais il était nettement bourré
quand même. De plus petit gabarit, j'ai bu moins qu'eux et pourtant je reste dans le même état qu'eux. Plus tard,
les gars décidèrent de rentrer. On était venu avec peu de voiture, le reste étaient garés à l'embarcadère, toujours
désert. Antoine parti rejoindre sa copine, Mon cousin ramena mon autre cousin qui était dans un très mauvais
état et proposa à Eric
de me ramener, ce qu'il accepta.
Sortis de la boite depuis plus de vingt minutes, on redescendait un peu, mais on était toujours ivres et la
conduite restait dangereuse.
Heureusement à cette heure là, il n'y personne sur les routes, surtout qu'Eric prenait des routes peu fréquentées
pour me montrer de quoi sa nouvelle caisse était capable. Lui ne sachant pas ou j'habite, et moi je sachant pas ou
on était, il prit les routes au hasard en espérant trouver un endroit que je reconnaitrais, mais toujours en
empruntant les grandes routes de campagne. Il avait mis la musique assez fort, c'était la fête dans la
voiture, on chantait surla chanson "tombé la chemise" alors sur le coup j'ai enlevé mon polo pour deconner en le
faisant tourner tant bien que mal en l'air, puis j'ai oté mes chaussures qui me génaient à cause de la
transpiration pendant qu'il essayer de déboutonner sa chemise.
sous mon short, qui demeurait mon seul et unique vêtement. Un
moment, il ralentit rapidement et se gara sur le coté de la route, une route que j'ai tout de suite reconnue
puisqu'elle était à 2 km de chez moi, au loin, les éclairages d'une piste cyclable isolée allégeait la noiceur du
paysage. Eric détacha sa ceinture, ouvrit la portière et sortit en titubant "je vais pisser". Il revint en passant son
bras pile au dessus de ma trique pour saisir un peu de papier toilette dans la boite à gant. Mon érection
s'intensifiant, j'avais envie de le provoquer davantage: "tu vas aérer ta petite bite?". Il répondit par un "ouais"
avec un rictus crâneur. J'attendis le
bon moment pour sortir discrètement de la voiture. Il était dos à moi et je marchais pieds nus sur la route,
poussé par l'excitation de voir sa sexe de
nouveau. Comme sur le parking, je me suis penché vers sa queue comme si je voulais l'analyser. Je me rendis
compte que j'avais peut etre mal vu sur le
parking, je voyais clairement son gland décalotté et sa tige qui sortait de son jean. Je lançai soudain pour qu'il
réagisse:
"Ah ouais, une ptite bite, pas de couilles, t'es vraiment pas gâté!" A ces mots, il pivota légèrement vers moi et me
pissa sur la joue!
"T'es dégueu!" Lui se marrait pendant que j'essayais d'égouter le peu qu'il m'avait mis sur la joue. Il fallait que
j'évacue cette excitation, et au risque
de me répétais, je continuai:
"Y'a que la vérité qui blesse t'assume pas ou quoi?" avec un brin de malice
"C'est ça mets toi à genoux tu vas voir si elle est petite!"
"Tu radotes la!"
"A GENOUX!"
Alors que je m'exécutais, il plaça sa queue sur ma face, et j'en profitai alors pour donner un coup de langue
fugace sur sa tige, ce qui sembla le tetaniser, puis il lança:
"La tu la vois bien la taille? Elle est ptite ma bite?"
"Ouais!"
"Suce!"
Il s'enfonça dans ma bouche presque avec colère, mais je vis à son sourire sadique que j'avais bien réussi à le
provoquer, cette fois! C'était la premiere fois pour moi que j'avais un sexe en bouche et j'avais rapidement des
crampes.
"Wow wow! calme toi c'était pour deconner ptit gars, je veux pas que tu me suce c'était juste pour voir jusque où tu
irais! ... ... non serieux arrete... hmm ...ahhh ... et puis merde, allez suce ma bite je vais t'apprendre à me
provoquer, moi!". Ma bouche était pleine, j'avais sa trique entière dedans, son gland allait jusqu'a ma gorge, ce
qui me rendait nauséeux et me montait les larmes aux yeux. Mais qu'est ce que c'était jouissif! Peu de temps après
il ejacula sans prévenir tout son sperme dans ma bouche en un râle viril de jouissance. Rien à voir avec mes
deux petites gouttes qui sortaient quand je me branlais. J'eu dailleurs beaucoup de mal à tout avaler, je pense
même en avoir fait tomber par terre. Dégoulinants tous les deux, il commença à rire comme sur le parking, en
me disant que j'étais vraiment enorme comme gars, mais qu'il fallait surtout rien dire à personne..
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