Exhib Et Baise Sur Une Aire D'Autoroute
La journée avait été magnifique... Le soleil avait brillé de tous ses feux de septembre, et un léger vent frais avait balayé la plage toute l'après-midi. Nous avions partagé notre temps entre siestes joyeuses, baignades hilares, discussions ouvertes, pleines d'écoute et de compréhension... J'avais aussi profité de cette jolie luminosité pour contempler la peau de Sophie avec émerveillement, et prendre des clichés prometteurs. Son nombril, sa poitrine, ses yeux, ses bras, ses chevilles accrochaient le soleil avec insolence. Nous nous sentions emplis de nous mêmes.
Nous nous sommes arrêtés sur une petite terrasse au bord de la plage. Plus une paillote qu'un restaurant, dont les haut-parleurs crachotaient une musique hispanique au goût d'été. L'environnement n'avait rien d'un palace, et nous étions investis de cette joie douce et sauvage que procure la jeunesse. Quelques tapas, une bouteille de vin... Les sous-entendus coquins se faisaient plus appuyés, les gestes plus sensuels. Mon regard plus direct. Sa robe d'été joliment décolletée sur ses seins nus me rendait fou de désir. Ils pointaient nettement à travers le tissu. Sophie s'amusait de mon trouble, avec une totale indifférence pour les regards sans discrétion des clients alentours. J'adorais la liberté de son esprit, son goût immodéré pour le jeu.
En quittant la table, nos yeux brillaient. Je la désirais puissamment, et seul le lieu nous empêchait de nous donner l'un à l'autre.
Je pris le volant, conscient que j'avais probablement trop bu... Mais nous avions 1h30 d'autoroute devant nous, et je ne pensais plus qu'à l'intimité qui nous attendait. Nous aurions pu nous arrêter quelque part, mais ce n'était pas notre jeu. La frustration devait monter encore. Alors seule une danse longue, langoureuse, lancinante, pouvait nous libérer pleinement. Nous le savions, et le partagions jusqu'au creux de nos ventres.
Sur la route, Sophie jouait encore.
Ses mains participaient au manège avec douceur, tantôt flattant ses cuisses, tantôt se posant sur son ventre, ou remontant légèrement jusqu'aux tétons durcis. Elle soupirait profondément.
Parfois, elle repérait un 4x4 conduit par un homme accompagné. Elle me demandait de ralentir, et descendait sa robe pour offrir sa poitrine au conducteur. Elle la caressait ostensiblement, et lui souriait, puis nous continuions notre route. Leur compagne ne voyait rien d'où elle était, et eux n'osaient pas suivre. Il leur restait cette magnifique image. Quant à nous, ce jeu nous excitait profondément. J'étais admiratif de son sang froid, et le plaisir que lui procurait ceci multipliait le mien. Je bandais comme un fou depuis le restaurant.
Au 4eme 4x4, elle se débarrassa de sa culotte. Cette fois, en plus de la vue de sa poitrine, elle offrit son petit trésor. Lorsque son doigt entra en contact avec la fente, un soupir venant du fond de son âme envahit sa gorge. Elle n'était plus que désir... Quant à moi, je visualisais ma main caressant son entrejambe. Mon coeur explosait, mes mains tremblaient. Ma langue appelait son sexe. J'avais l'impression que le bas de mon ventre gonflait de sperme, prêt à l'éclatement.
Sa main se tendit vers la bosse qui ornait mon bermuda, et montait jusqu'au niveau du volant. La sensation était électrique, et contagieuse, je crois... Je vis les muscles de ses jambes se crisper. Nous étions toujours au niveau du 4x4. Les yeux du conducteur étaient comme sortis de leur orbite, la bouche pendante. Sophie haletait. Je savais que cela présageait d'une conclusion prématurée.
Je stoppai à une station service, quelques kilomètres plus loin. Le jour commençait à défaillir. Nous nous sommes garés derrière la boutique. Un jeune homme était là, perplexe, devant le capot levé d'une vieille 205. Un couple âgé promenait un chien noir et blanc un peu plus loin. Sophie descendit sans prendre la peine de remettre sa culotte. Elle l'avait mise dans la boîte à gants. Je lui souris, et partis sans un mot vers le bâtiment. Je savais ce qu'elle voulait. Elle alluma une cigarette, et attendit dans le soleil qui rougeoyait... Le petit vent faisait voleter légèrement sa robe. Si j'en avais pris le temps, j'aurais sûrement pu apercevoir ses jolies fesses... Le jeune homme baissé sur son moteur jeta un oeil vers elle, puis reprit son exploration, non sans avoir tressailli... Il était intéressé, cela se voyait... Et ce n'était en fait pas pour me déplaire
Sophie était séduisante, et savoir maîtriser ma jalousie était le prix à payer.
Je revins avec deux canettes fraîches d'une boisson énergisante... Elle était de l'autre côté du moteur, à discuter avec le jeune homme. Il était assez grand, plutôt du genre hippie. Au goût de Sophie, je crois... Elle se penchait légèrement au dessus du moteur pour lui parler. Le vent jouait d'autant mieux avec le bas de sa robe. Les yeux du garçon tentaient de soutenir son regard, mais ne pouvaient s'empêcher de glisser vers sa poitrine...
Lorsqu'il me vit arriver, il changea de posture. Je ne l'entendais pas d'ou j'étais, mais je pense aussi que le ton changea
Sophie, elle, resta naturelle. Je m'approchai d'elle par derrière, me collant, en lui tendant sa canette. Mon sexe encore dur était contre ses fesses. Je souris au jeune homme.
"- Un problème ?"
- Qui, moi ? Ah, non, non .
- Avec le moteur...
- Ah, oui. Ca, oui .. Il.. Enfin, c'est le boîtier d'allumage. Il est mort.
- Ah, ça, les vieilles voitures...
- Oh, c'est pas si grave, j'en ai un de rechange
Mais bon, il est chez moi..."
Sophie prit la parole
"- Et c'est loin ?
- Ben, Toulouse... Je vais bien trouver quelqu'un."
Sophie se tourna alors vers moi :
- On l'emmène ?
J'allais trouver une excuse bidon
J'attendais toujours la conclusion de notre jeu, et je n'avais pas envie de la retarder... Mais apparemment Sophie en avait vraiment envie. Alors je hochais la tête : "Après tout... "...
Rapidement, il ferma sa voiture, prit son sac, et partit se laver les mains. Nous sommes montés en voiture en l'attendant. Je posais ma main sur sa cuisse, remontai... Elle était trempée, brûlante, jusqu'à mi-cuisses. Le souffle court.
-"Tu es sure ?
- Bien sur, on n'allait pas le laisser...
- Bien... Comme tu veux."
J'avais prononcé ces mots machinalement. Je ne voyais que sa gorge qui palpitait alors qu'elle rejetait sa tête en arrière. Mes doigts avaient pénétré son intimité. Ils allaient et venaient doucement, pendant qu'elle se tordait pour me faire entrer plus profondément. Nous ne l'avons vu arriver que très tard. Elle eut juste le temps de se réajuster. Lorsqu'il monta, je me suçais les doigts. Sophie me jetait un regard complice.
Je démarrai. Les premières minutes furent silencieuses, mais Sophie déclencha rapidement la conversation. Tout en discutant avec enthousiasme, elle avait repris son manège initial, à la différence qu'elle prenait garde cette fois à replacer le tissu juste avant que le jeune homme ne puisse jouir de la vue. Sa main gauche venait régulièrement se poser sur ma jambe, et vérifier mon érection à travers le bermuda. De sa main droite, elle utilisait la canette pour se rafraîchir. Elle la posait sur sa joue, dans son cou.
Lorsque la nuit fut assez sombre, Sophie commença à oublier de remettre sa robe en place. Il faisait trop sombre pour distinguer clairement l'entrejambe... Mais le simple fait de savoir me rendait fou. Je voyais parfois dans la lumière des phares le regard de notre invité se fixer sur l'endroit en tentant d'apercevoir quelque chose... Son imagination aussi, travaillait. Sous le prétexte du bruit, il s'était approché de Sophie. Sa main, posée sur le dossier frôlait son épaule nue. Elle ne manquait pas une occasion de s'approcher... De faire glisser sa peau contre le bout des doigts.
"- Pfff, qu'est-ce que j'ai chaud... je suis trempée..."
Elle avait apparemment décidé d'entamer une phase de sous-entendus... L'ambiance dans l'habitacle était devenue électrique. J'avais l'impression de pouvoir ressentir le moindre mouvement d'air...
"- C'est vrai qu'il fait chaud, mais on a vu pire, non ?
- Quoi, tu n'as pas chaud, toi ?
- Si.. enfin, n.. non, pas vraiment ...
- Moi, si, je n'en peux plus... Tiens, donne ta main." Il hésita.
"- Allez..."
Elle lui prit la main avec autorité... Puis la posa directement entre ses jambes. La paume juste contre son clitoris. Il restait bouche bée. Quant à moi, mon coeur s'était emballé d'un coup. Il tambourinait si fort qu'un goût de sang envahit ma bouche. Sophie et moi avions déjà parlé de fantasmes à trois... Mais je n'aurais jamais pensé qu'elle oserait, avec un tel aplomb. Un violent élan de jalousie me prit, et je tournai la tête... Pour voir le regard clair, tout à fait détendu de Sophie... Un regard qui suffit à me calmer. Cela restait un jeu. Je me mis à rire, les yeux rivés à ceux de Sophie. Le garçon restait silencieux.
"- Tu vois comme j'ai chaud ? Tu es sur que tu n'as pas chaud, toi ?
- Si, c'est vrai que je commence à avoir très chaud !"
Il avait rapidement compris. Sophie s'amusait, et il n'avait qu'à entrer dans la ronde.
Elle alluma le plafonnier, et fit entrer un des doigts du jeune homme en elle. Elle avait écarté ses jambes le plus largement possible, pour que je voie clairement la scène. Elle le faisait entrer, sortir, lentement, tout en me regardant et se trémoussant.
"- Sors-la". Elle s'adressait à moi. Je m'exécutai et libérai un sexe plus gonflé que jamais, luisant de désir. Elle s'adossa à la portière, et posa un pied sur le tableau de bord, et commença à me caresser de l'autre. Puis elle lâcha la main du jeune homme, en lui ordonnant de continuer à la pénétrer de ses doigts, doucement. Et elle lui demanda de baisser son short, et de se caresser lui aussi. Elle était magnifique dans cette position, offerte à nous et au plaisir. Il continuait à entrer et ressortir très régulièrement, tout en stimulant son clitoris avec le pouce. Elle caressait sa poitrine, ondulait sous la caresse, puis de temps en temps venait pincer son clitoris avec force. Elle avait inventé cette technique lors de nos jeux, pour retarder le plus possible la jouissance. Le garçon avait commencé à se caresser de plus en plus vite. Mais elle lui demanda de prendre son temps. Puis elle planta ses yeux dans les miens :
"- Il va falloir s'arrêter".
Je reconnaissais mal cette détermination, mais elle lui allait superbement. Une petite aire de pique-nique était indiquée un peu plus loin. Je me retenais d'accélérer, mais je voyais, je sentais sa jouissance monter. Ses mouvements se faisaient plus saccadés, ses râles plus appuyés... Je ne voulais pas rater l'explosion.
Je choisis un coin sombre de l'aire. Elle était déserte. Le moteur à l'arrêt, tout devint silencieux. Seule Sophie continuait à onduler sur les doigts du garçon, et je percevais ce bruit humide de frottement qui m'excitait tant. Elle prit l'initiative. Ouvrit sa portière, puis celle du jeune homme, qui n'avait pas osé bouger. Elle entra la tête la première dans l'habitacle encore éclairé, puis saisit son sexe, et l'engloutit rapidement dans sa bouche. Je sortis, fis le tour de la voiture, sans quitter des yeux son va et vient... Puis j'arrivai derrière elle. Je soulevai sa robe. Elle m'offrait sa croupe, cambrée, son sexe ouvert par toute cette excitation. Ses fesses bouillantes. Je quittai mon bermuda, et tout en regardant sa chevelure monter et descendre, je glissai ma verge contre ses fesses. Elle se cambra plus fort. Je me présentai à l'entrée de son vagin, puis la pénétrait d'un coup, profondément. Elle cria, fort. Si fort que je crus lui avoir fait mal. Je n'eus pas le temps de bouger qu'elle fut secouée de multiples tremblements. Ses cris allaient diminuant, et elle se reculait pour s'emplir le plus possible de mon sexe. Elle jouissait. Déjà. Puis très vite, elle tourna la tête : "Derrière". Puis comme je ne réagissais pas, elle insista "Allez, par derrière ! Prends moi !". Cette fois, j'entrai plus délicatement. Mais cela passait tout seul. L'humidité avait gagné tous ses orifices. J'entrai donc de plus en plus profondément, de plus en plus fort, et à chaque aller-retour, elle m'encourageait :" Oui, plus fort ! Baise moi !". Sans oublier de continuer à sucer et branler vigoureusement le jeune homme, qui contemplait la scène avec un air béat. Ma main descendit sur son clitoris. Elle la prit, et la guida vers sa poitrine, contre laquelle elle pressa vigoureusement. Puis prit celle du jeune homme, qu'elle pressa contre son autre sein. "- Serre, vas-y, serre. Toi aussi". Je serrai son sein puissamment entre mes doigts, tout en la pénétrant avec toujours et encore plus de force... C'est là qu'elle fut prise d'une nouvelle crise épileptique, cette fois accompagnée d'un hurlement perçant, comme je n'en avais jamais entendu. Le garçon jouit aussi, badigeonnant de sperme tout le haut de son torse. Je me laissai aller, moi aussi. Sorti d'elle, j'aspergeai ses fesses et son dos de toute ma semence, dans une longue et puissante explosion.
Je mis quelques minutes à reprendre mes esprits. Elle était debout, dos à moi, les mains appuyées sur la carrosserie, tête baissée.
Puis elle se tourna vers moi, me sourit. M'embrassa longuement, avec gourmandise. Puis se tourna vers le garçon qui arborait un sourire radieux :
"Tu vas être en retard, non ?".
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