Apprentissage
Elle mattends assise à la terrasse du bistrot, comme tous les jours, vers 16 heures. Je marrête à une cinquantaine de mètres rien que pour la voir. Quand je pense que tout à lheures nous serons allongés sur le même lit, je ne peut retenir ma bite, je bande. Je ne suis pas timide, mais me présenter à elle dans cette état mest pénible. Alors jattends en pensant à des choses pas très excitantes, la feuille dimpôt que va arriver, jimagine le montant que je trouve déjà exorbitant. Je suis présentable.
Je lui fait signe en arrivant: elle se lève pour membrasser. Nos langues se disent bonjour. Bras dessus, bras dessous nous allons chez elle, dans sa chambre de bonne au 6° étage sans ascenseur. Elle est devant moi et comme tous les jours je regarde sous sa jupe: elle ne porte pas de culotte depuis que je lui ai dit quen étant derrière elle jaimais voir son intimité. Et quelle intimité: je vois bien ses fesses, son entre jambes, jusquau milieu de sa magnifique fente. Jaime imaginer ma langue qui la léchera tout à lheure quand elle me je demandera.
Arrivés devant sa porte un dernier baiser avant le bonheur.
Elle ne mattend même pas, elle est aussi pressée que moi. Nus en un rien de temps, nous nous embrassons encore, bien serrés. Ma bite a pris les bonnes proportions, sa main le vérifie. Il ne me reste plus quun chose à faire: jouir après lavoir envoyée au ciel des amants. Si maintenant elle est très chaude, cest grâce à moi: au début, elle me laissait la baiser pour me faire plaisir. Petit à petit jai réussi à lui faire aimer ce quelle ne voulait surtout pas que je lui fasse.
Les premiers temps jentrais dans son con après lavoir faite mouiller assez facilement, pas question de mégarer vers son anus.
Je crois que cest grâce à ma langue que jai réussi à la décoincer. Jaurai pu facilement trouver une fille plus facile. Non elle me plaisait trop.
Un jour, avant de la baiser, après lavoir masturbée jai ouvert ses jambes pour y mettre ma tête.
Enfin elle comprenait que baiser était une façon de prendre son plaisir multiple.
Ensuite, après lavoir sucé, je lui demandais de me sucer aussi. Cette fois elle comprenait que si ma bouche lui donnait du plaisir, la sienne pouvait men faire autant. Assez maladroite au début, elle saméliorait au cours de sa première fellation. Si elle me tenait encore la base de la queue avec une main, sa langue au début et ses lèvres ensuite me donnait ce que jattendais. Jallais jouir, je le lui disais; jajoutais que jaimerai quelle goute à mon sperme.
Je mattendais à ce quelle en recrache la plus grande partie. Elle ma étonné beaucoup quand finalement, après que mon sperme soit parti en elle, elle déglutisse.
En se relevant elle me disait quelle avait aimé le gout particulier du sperme. Elle était fière delle, de mavoir fait jouir surtout.
Ce nest quune semaine après que je lui ai demandé de me donner son cul. Elle nattendait que cette demande: elle nosait pas être dépucelée de ce coté. Cétait son seul trou vierge.
Je ne voulait surtout pas quelle ait mal. Je lai préparé comme jai pu: jai mis dabord un doigt que jai enfoncé profondément. Elle attendait la suite qui est venue avec un autre doigts.
Maintenant elle a pris gout à tous ce qui a trait à la baise: elle se branle souvent, se baise seule avec le gode que nous avons choisi ensemble.
Jai maintenant une petite amie à mon gout, sur le plan affectif et sur le plan sexuel.
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