Les Essais
Depuis quelques jours je me réveille tôt: des travaux dans la rue font un boucan du diable. Jai beau tourner et retourner dans mon lit, pas moyen de retrouver le sommeil. Quand je me lève jai une figure affreuse. Le teint me semble même délavé. Le seul endroit « calme » est la cuisine: quand je déjeune il me semble revivre dans cette pièce. Je ne vais pas passer mes nuit allongée sur la table !!!
Je vais prendre ma douche ensuite. Le bruit de leau estompe celui du chantier. Cest le seul moment de la journée où je me sens libre: je suis nue, sans entrave, avec de leau presque trop chaude pour les autres alors que je me détend. Souvent laccompagne cette détente mécanique par une autre plus physique: je dirige le jet deau sur ma foufoune. Je ne le laisse pas immobile, je le fait aller dans toute ma fente que jouvre exprès. Il y a deux endroits en particulier où jaime bien le recevoir, en haut sur mon clitoris et en bas sur mon anus. Je jouis toujours.
Pendant toute la durée de la masturbation je suis dans un cocon, je nentend rien.
Je suis tentée daller chez un copain, Julien que je connais très bien, trop bien, il ne pense quà me sauter. Pour une nuit sans bruit je suis obligé de me faire prendre partout pendant la moitié de la nuit, merci. Un jour Julien ma présenté une de ses camarade de classe quand il était au lycée. Nous avions sympathisé. Je vais la chercher pour savoir si elle ne peut pas mhéberger. Elle mavait donné ses coordonnées. Jattends midi, lheure de la pose pour lui bigophoner.
Ouf elle est daccord. Jaurai même une chambre. Cocagne. Elle me propose de venir vers 18 heures pour que nous nous mettions daccord. Je suis à lheure: elle est chez elle (chez nous). Nous claquons une bise sur les joues. Elle me montre la chambre. Ca me convient, surtout pour le mois qui vient.
Je dois aller chez moi prendre mes affaires principales, elle prépare un repas pour tout à lheure. Quand je revient jai les bras bien encombrés, je file dans la chambre pour tout jeter sur le lit.
Je me demande si cest le fait davoir en vue une nuit normale: je dévore tout.
Bien sur nous bavardons de nous, travail, famille. Et enfin elle attaque ce qui fait le sel de la vie:
- Tu nas plus de mec.
- Non, je lai plaqué, il ne pensait quà baiser, sans réfléchir.
- Tu as bien fait, il ne mérite que ça. Pour lui une fille ne sert quà être baisée.
- Remarques bien quil nest pas le seul. Sil savait bien faire lamour encore. Avec lui je ne jouissais quune fois sur trois et en encore.
- Jai couché avec une seule fois: jai refusé à cause de ce même problème.
- Maintenant jai ce quil faut.
- Tu as quoi ?
- Un gode.
- Comme moi.
- Il est comment le tient ?
- Je peux te le montrer si tu veux; après manger.
- Avec plaisir, je te montrerai le mien aussi.
Cet échange damabilité me met sur les charbons ardents: nous allons voir le gode de lautre. Davance je sais quen me couchant je me le mettrai. Je laime bien, il est en alu, cannelé, assez gros presque 5 centimètres. Je lai bien en main et quel plaisir il donne. Le seul ennuie est le temps de chauffage: je naime pas me mettre des machins froids dans la chatte. Jai trouvé le moyen, je le mets dans de leau chaude un moment avant de le mettre: cest excitant dêtre nue en regardant la casserole qui contient de leau et mon amant chauffer. Je peux caresser mes seins en attendant un peu et même passer toute ma main dans la chatte.
Nous passons dans le séjour où il y a une télé, deux fauteuils et un divan. Nous allons chercher nos trésors; Je met plus longtemps quelle avec le bordel que jai sur mon lit, jai du chercher un moment.
Je vois sa merveille en verre violet, cannelé aussi. Elle me le donne et je le prend en main come si jallais men servir: cest vrai quil est agréable, froid encore mais certainement agréable quand on la dans la chatte.
- Essaie le si tu veux.
- Mais je ne vais pas me mettre ton gode dans mon conduit.
- Pourquoi pas, si tu me donne le tien.
- Et on se regardera pendant quon se branle ?
- Moi ça ne me dérange pas que tu me vois me branler et toi ?
Je nose pas lui dire que je ne lai jamais fait devant quelquun. Je vais paraître pour une attardée: de nos jours beaucoup de choses se font sans problème.
- Non ça ne me dérange pas.
Elle sassoit sur le fauteuil, me désigne le divan. Sans gêne elle se déshabille pour être à laise. Je la regarde: elle est bien roulée: je comprends quelle ait du succès. Je suis bien obligée de faire comme elle:
- Tu es bien fichue: je te trouve même sexy.
- Tu es attirante toi aussi.
Elle écarte les jambes sans pudeur: je vois toute sa chatte. Japerçois ses lèvres, son clitoris qui il me semble est un peu gonflé. Elle passe ses main à lintérieur des cuisses. Le gode est posé sur son aine. Quand ses mains arrivent sur son sexe, elle monte jusquen haut pour se caresser le bouton: elle ferme les yeux. Je la vois se crisper au moment de son orgasme, enfin je crois. Elle pend mon gode pour le sucer, sans doute pour le chauffer un peu. Jen suis presque jalouse. Enfin elle le pose sur son conduit pour le rentrer doucement. Elle en frémit un peu, surtout que la tête est plus large que le reste. Elle lenfonce au fond de son ventre. Elle le garde immobile, sans doute pour que son vagin en prendre possession. Maintenant, avec sa main droite bien serrée sur le haut du miché, elle entame la série de vas et viens qui va lemmener à lorgasme puissant que je ressens toujours que je men sert. Je le lève pas mes yeux de sa main.
Je me rend compte que depuis un moment je suis drôlement excitée: je pose le « gland » de son gode sur mon entrée. Il glisse tout seul à lintérieur. Il a un gland démesuré par rapport au reste. Ses cannelures sont les bienvenues. Que je le rentre ou le sorte elles accentuent le plaisir.
- Tu sais, cest bon de nous branler comme ça, toutes les deux: Tu mexcite beaucoup quand je vois que tu te met le gode au fond.
- Et toi, tu crois que tu nes pas excitante aussi quand tu te baise.
- On pourrait peut-être se branler, je te branlerai et tu me le rendra en même temps.
- Pourquoi pas.
Jai drôlement évoluée en un instant. Elle vient à mes cotés sur le divan les jambes écartées, tellement écartées quelle est obligée de placer une cuisse sur la mienne. Elle entre le gode dans mon con, commence déjà à me baiser avant que jai le temps de le lui faire; Quand jarrive sur son sexe, et que je lui ai mit ce quil faut elle commence à gémir. Comme pour moi, le plaisir est supérieur. Seulement en étant assises cote à cote nest pas très commode. Nous essayons plusieurs solutions. La seule qui convient est en 69. Faire une 69 pour des essais de godes, nest pas banal. Ma foi tant pis. Elle se couche sur le divan, les jambes écartées, minvite à me mettre sur elle la tête entre ses jambes. Je ne sais pourquoi ni comment nous sommes maintenant attirées par le sexe de lautre non pas pour lui mettre un gode, mais pour passer nos langues. Bien sur nous continuons jusquà une jouissance commune. Je prend son gode et le lui met. Elle nhésite pas à me rendre la baise. Que cest bon de se faire mettre par une autre fille. Nous narrêtons plus de nous baiser: nos cons sont devenus réceptifs plus quavec une vrai bite. Nous finissons tard, très tard. Je suis tellement fatiguée que je mendors sur elle. Elle en fait autant. Je crois que cest son odeur de cyprine qui me réveille. Je remet le gode dans son vagin, je la réveille bien sur. Elle me laisse faire jusquau moment ou je vois les spasmes sur son entrée. Je nai plus quitté son appartement, sauf pour déménager
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