La Perte De Mon Frein
Comme chaque été mes parents m'emmenaient un mois dans un camp naturiste dans les Landes et cette
année la je venais d'avoir 16 ans. Je fantasmais sur les belles bites que je rencontrais et je me
branlais chaque soir en m'imaginant que j'étais le propriétaire de ces beaux engins.
Quelques jours après notre arrivée un beau garçon de 35 ans environ se présenta à mes parents et
leur dit qu'il faisait des photos de nus pour une revue allemande et qu'il aimerait bien me prendre
en photo. Moi j'étais ravi d'être une vedette et je me rendis comme convenu à son bungalow à deux
heures de l'après-midi.
La rencontre fut assez sèche et Éric, c'était son prénom, me dit qu'il ne prenait que des photos de
garçons circoncis ou décalotté et me demanda si je décalottais facilement. Je bafouillais car si je
disais oui c'était avouer que je me branlais sans vergogne, ce dont je culpabilisais quelque peu.
Alors que j'étais debout, et lui, assis sur son lit, il s'empara de mon sexe et fit apparaître le
gland. « T'inquiète je suis infirmier » me dit il et il commença à m'examiner et à tirer par petite
saccade sur le prépuce au maximum de ce qu'il était possible de faire et il m'annonça: « tu as le
frein trop court cela pourra te gêner plus tard, étend toi sur le lit je vais essayer de te
l'allonger ». J'étais surpris de ce diagnostic car jamais je n'avais été gêné par mon frein mais
j'étais tellement émoustillé par l'idée que j'allais être pris en photo que je m'exécutais.
Il entrepris sur moi une masturbation consistant à tirer au maximum le prépuce et à placer deux
doigts en bas de la verge avec lesquels il tapait sur mes couilles. Cela me faisait mal mais en même
temps j'avais du plaisir et j'étais émerveillé car c'était la première fois qu'une main étrangère me
faisait du bien et que je ne contrôlais pas la manuvre. C'était horrible de sentir ce gland se
gonfler et devenir sensible sous l'effet des tiraillements subis par le frein et qui ne recevait
aucune caresse qu'aurait pu procurer un recalottage du gland.
éjaculer mais Éric avait une intuition extraordinaire et au moment où j'atteignais le point de non
retour il arrêtait tout et sans me parler il faisait semblant de s'occuper de son appareil photo
puis au bout de 5 à 10 minutes il recommençait son travail d'allongement. Ces moments d'attente
étaient affreux et si j'avais osé je me serais fait jouir en un seul aller et retour de prépuce sur
le gland tuméfié.
La dura bien une heure puis il entrepris de prendre des photos avec le gland bien décalotté
juste derrière dans la forêt alors que je n'avais pas encore entièrement débandé ce qui donnait du
volume pour ses créations artistiques!
Inutile de dire qu'en rentrant chez moi, je m'arrêtais derrière le premier bosquet et que je me
branlais pour libérer toute cette jouissance contenue.
Les jours suivants les manipulations continuaient de plus belles et eurent lieu dans la nature.
Elles étaient suivies de prise de photo à la plage, dans les dunes, dans la forêt et sur le terrain
de sport. Lors du sixième jour Éric me présenta François qui était aussi un de ses modèles et qui
nous accompagna. Quel beau mec ce François! Il avait 17 ans et était superbement bronzé et brun mais
ce qui me subjuguait c'était son pénis magnifiquement sculpté, fort allongé et circoncis surmonté
d'un gland bien renflé et patiné par le soleil. Ses poils pubiens étaient lisses et d'un noir
corbeau.
C'est ce jour la qu'Éric, après m'avoir torturé le frein sous les yeux compatissant de François, me
dit qu'il y avait encore du boulot pour encore plusieurs semaines et qu'il valait mieux procéder à
une petite incision du frein. Libre à moi, certes en rentrant à Paris d'aller voir un urologue,
d'être hospitalisé et d'aller au lycée avec des pansements dans le slip, mais il y avait plus
simple d'après Éric qui me proposa de procéder lui-même à l'ablation du frein, ce qu'il prétendait
parfaitement savoir faire sans douleur avec le gros avantage de permettre une cicatrisation rapide
du fait que je vivais nu encore pendant deux semaines.
J'avoue que l'idée de ne plus subir ces tiraillements pendant tout l'été, fit très vite son chemin
et si quelque part j'avais été amoureux d'Éric, la vue de François me remplissait d'aise et j'avais
envie de prendre mes distances avec Éric
J'acceptais donc le rendez-vous pour le lendemain au bungalow en vue de l'opération. François
m'assura qu'il serait la pour me soutenir moralement et cette marque d'affection m'emplit de joie.
Le lendemain donc je me présentais au bungalow, sans appréhension et me réjouissant d'avance de
revoir François qui serait le témoin de ce que j'appellerais plus tard mon initiation au monde
adulte. Certes, je ne serai pas circoncis comme François mais j'aurai de commun avec lui de ne plus
avoir de frein.
Éric fut une fois de plus peu aimable et dit à François « Je ne vais pas l'inciser comme ça, il va
se mettre à bander et il a comme un mouton égorgé! Occupe t-en, branle le bien et puis vous
revenez quand ce sera fini! » Tout de suite François essaya d'atténuer ces propos choquants et me
prenant par l'épaule me dit « Viens, je vais bien m'occuper de toi ». Nous sortîmes et allâmes nous
cacher dans la pinède. Ayant aperçu une souche d'arbre, François s'y assis puis me tendit les bras
et me plaça sur ses cuisses. Il me ramena à lui jusqu'à ce que mon dos et sa poitrine se collent,
passa sa tête sur mon épaule gauche et commença avec une infinie douceur à me caresser une cuisse
puis mon ventre mon thorax puis il redescendit sur mon sexe qu'il effleurait par petite touche. Je
me mis à bander d'un seul coup et François s'amusait avec mon prépuce tout en me faisant des bisous
dans le cou. Je sentais sa queue sous moi qui se raidissait et venait se blottir dans la raie de mes
fesses. Je n'en pouvais plus, c'était la première fois qu'un garçon qui me faisait tant d'effet
était aussi gentil avec moi et me donnait tant de bonheur.
éjaculateur précoce mais l'excitation était à un tel point que lorsque François s'avisa de me
titiller les mamelons je partis dans une éjaculation phénoménale et mes cris furent étouffés par la
bouche de mon amour naissant qui venait de se plaquer contre la mienne. Nous nous embrassâmes un
long moment à en perdre souffle. Sa queue était sous moi et je ne pouvais pas l'attr. François
me dit: «tu m'as mis dans un état pas possible, je voudrais bien que tu me suces ». Je n'avais
jamais procédé à une fellation mais pour François qui me rendait fou de bonheur j'aurai fait
n'importe quoi. Alors François s'allongea sur le sol composé d'aiguilles de pin et de sable et,
m'agenouillant je suçais ce magnifique gland qui lui aussi ne fut pas long à exploser. Je comptais
huit jets de sperme chaud qui se projetaient dans ma bouche. La cambrure du dos de François ses
gémissements, ses cris et son sourire étaient le plus beau cadeau qu'il puisse me faire.
Mais il fallut bien aller au bungalow après avoir pris une douche.
Éric me fit m'assoir en bord de table puis me demanda de m'allonger et d'enrouler mes jambes autour
des pieds de la table. Il s'assit donc en face de mon sexe puis il coinça toute la longueur du frein
entre les deux mâchoires d'une tenaille qu'il serra petit à petit et très doucement jusqu'à ce que
je ne sente plus aucune douleur. Il demanda à François de tenir la tenaille pendant qu'il se
saisissait d'une lame de rasoir afin de retrancher ce petit morceau de peau blanc qui dépassait de
l'instrument.
Éric reprit la tenaille en main et François vint se placer près de ma tête et me caressa tendrement
les cheveux et la joue en me disant « il y en a pour une seconde ».
J'enroulais mon bras autour des fesses de François et regardais son magnifique sexe que j'avais eu
tant de bonheur à sucer posé sur le bord de la table.
avait entaillé sur trois centimètres de longueur mon frein sans que je sente rien.
Pour fêter l'évènement François m'embrassa tendrement sur les lèvres mais Éric le rappela à l'ordre
car ce signe d'amour commençait à me refaire bander.
Je n'avais désormais plus qu'une seule idée en tête, étrenner, dès que je le pourrais, ma nouvelle
queue débarrassé de son frein avec mon merveilleux amour.
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