Emma

J’exerce une profession honorable. Je suis notaire. C’est toujours bizarre de m’entendre appeler Maître. Mes affaires marche bien, ma clientèle c’est agrandie. Une agence immobilière envoie ses client chez moi. Sa directrice que je ne connais que par téléphone vient enfin un jour accompagner des clients pour la signature d’un acte. Je me garde bien de lui parler personnellement: je crois la reconnaître: une camarade d’école.
Quand nous pouvons parler, c’est sous couvert d’une conversation d’affaire. C’est bien Emma, ma copine de collège en 4°. Nous évoquons les souvenirs de cette époque. C‘est décidé, ce soir nous allons au restaurant ensemble.
Nous sommes assises presque au milieu de la salle. Elle me rappelle la fois où nous avons échangé un baiser sur la bouche. Pas un baiser d’amour, un baiser pour rire, à la suite d’un pari idiot comme on peut en faire à cet âge.
- Tu sais que je ne l’ai jamais oublié.
- Moi oui, sinon parce que tu me le rappelle.
- J’en ai rêvé souvent et même maintenant que je t’ai en face, j’ai encore le gout de ta bouche sur la mienne.
- Ne me dis pas que tu voudrai recommencer.
- Si justement.
- Sois sérieuse un peu.
- Je suis sérieuse, j’ai envie de t’embrasser et même plus.
- Tu ne veux pas dire….
- Si je veux dire.
Emma me prend la main, la caresse, ne la lâche pas au contraire. Son regard est fixé sur le mien. Je sens qu’elle est très sérieuse: elle a envie de moi. Moi qui aime faire l’amour en cachette à un homme marié, qui ne jure que par les amours hétéros, me voila presque prête à céder aux envie d’une femme.
Elle insiste en passant ses jambes entre les miennes. Je sens son pied nu monter lentement vers mes cuisses. Je me laisse faire en écartant les jambes. Je lui ouvre la porte: je me rend, j’ai perdu.
Mes deux mains sont sous les siennes: elles me semblent douces, dans mon subconscient il me semble les sentir sur mon corps, aussi douces.

Je tombe dans un précipice de dépravés. Je tombe et en suis presque heureuse de me donner ainsi sans préméditation à une ancienne copine qui va devenir mon amante.
Nous prenons sa voiture pour aller chez elle. En cours de route nous ne parlons que d’avant, pas un mot sur le futur proche. Je pense que je suis en train de faire une bêtise.
Emma me fait entrer dans un salon joliment meublé, je m’assois sur un fauteuil très confortable. Elle ne m’offre rien sinon qu’elle est assise sur l’accoudoir, qu’elle me caresse les cheveux avant de me caresser le cou et venir m’embraser sur la bouche. Cette fois c’est un vrai baiser avec nos langues qui œuvrent à notre rapprochement. Sa bouche dérive vers mon cou pour y déposer de petits bisons qui me font frissonner. Sa main me caresse la joue: j’avais raison sa main est très douce. Elle la descend d’abord sur une épaule puis vers ma poitrine. Elle passe sous la veste de mon tailleur pour aller chercher un sein. Je n’ai sur moi qu’un simple soutien gorge en dentelle. Elle a vite fait de sortir ce sein de sa cachette pour le caresser.
Je ne sais pas pour Emma, mais moi je sens mon slip tout mouillé. Pour être plus à l’aise j’ouvre totalement la veste: elle en profite pour défaire totalement le soutif. Mes seins sont à sa disposition. Elle continue à caresser le même pour embrasser l’autre.
J’ai envie qu’elle me mette nue, qu’elle me fasses des choses agréables, qu’elle me doigte par exemple.
Elle me fait lever, enlève ma jupe et le slip. Je ne garde que les bas. Heureusement que je me suis rasée hier matin en prenant ma douche (à dire vrai j’ai fait plus que me raser, je me suis caressée avec le jet de la douche) Il me semble que je suis encore plus que nue.
Emma me prend dans ses bras, m’embrasse encore sur la bouche, me caresse les fesses cette fois. Je sens qu’un doigt passe dans la raie entre mes globes. Elle le fait aller très lentement, trop lentement à mon gout. Enfin je le sens sur l’anus.
J’espère qu’elle va s’y arrêter. Non, elle le survole pour aller dans ma chatte. Elle y entre deux doigts. Que c’est bon, de l’avoir dans ma chatte. J’ouvre les jambes presque trop pour ce qu’elle fait. Ses allers et venues sont pour moi une bénédiction. Je sens le grand plaisir monter au fond de mon ventre. Je ne peux pas retenir l’orgasme qui me fait presque tomber.
Qu’Emma sait bien branler, je voudrai qu’elle recommence au moins une fois. Elle va recommencer, j’en suis sure. Pourtant elle me fait me rassoir sur le fauteuil, les jambes toujours ouvertes. Je les écarte déjà avant qu’elle me le demande. Elle est à genoux devant mes cuisses ouvertes. Je sais qu’elle peut me voir ce que je cache habituellement: je n’en ai pas honte puisque je me donne à elle. J’avance mes fesses au bord su fauteuil.
Elle passe ses mains à l’intérieur de mes cuisses: malgré mes bas je sens la douceur de ses mains. Je la sens mieux quand elle est sur la partie où la peau est apparente. Je me demande ce qu’elle veux faire quand elle arrête ses caresse juste à l’aine, sa tête qui regarde vers mon sexe ouvert approche, sa langue sort, je le voit bien s’avancer. Je la sens surtout quand elle lèche le clitoris.
Emma n’est pas la première à me lécher à cet endroit, tous mes amants l’ont fait, pourtant il me semble que c’est bien meilleur avec elle. Elle détache une main pour qu’un doigt, un seul vienne sur mon anus. Mon Dieu, faites qu’elle me le mette. Elle me le met, justement là où je le voulais: elle me caresse à peine avant de le faire entrer dans mon cul. Je ne peux plus tenir, entre sa langue et son doigt je vais mourir de plaisir. Je jouis encore. Je ne sais pas me faire jouir moi-même ainsi et pourtant je me mets souvent un doigt au cul et me caresse les clitoris.
Il me semble que si un client de l’étude me voyait dans la position de dominée comme je suis, il abandonnerai le notaire que je suis.
Emma se relève, m’embrasse, se déshabille enfin. Je peux voir son corps, surtout ses seins qui me donnent envie de les embrasser.
Je me lève, elle se colle à moi. Nos seins se caressent sans restriction. J’ose mettre ma main sur sa chatte, quand elle écarte à peine les cuisses. Je trouve aussitôt son bouton. J’espère lui faire autant de bien qu’elle m’en a donné. Je le gratte à peine avec un ongle pour finalement caresser avec la pulpe de deux doigts. Elle écarte encore les jambes. J’ai libre accès à sa chatte. Qu’elle est mouillée, depuis qu’elle m’a entrainer dans ce tourbillon elle n’a pas une seule fois joui.
Je n’ai pas à forcer longtemps: elle soupire rapidement et se crispe en jouissant. Je cherche à la doigter: ce n’est pas la peine: l’heure est passée nous devons nous faire du bien de la façon la plus normale pour les filles: un 69, rien qu’un seul au moins;
Nous nous allongeons sur son lit, après avoir rejoint la chambre. Elle passe sa langue sur tout mon corps depuis les joues jusqu’aux pieds. Je reste comme une poupée immobile, ne profitant que de ses caresses excréments efficaces: je suis encore plus mouillée.
Emma enfin m’enjambe, me met son sexe juste sur la bouche, avant de prendre le mien avec sa langue et ses doigts.
Qu’elle odeur de femme excitée exhale son sexe. Je dois sentir à peu de chose près la même chose. Je goute sa cyprine: elle m’étonne elle est moins forte que la mienne quand je me branle. Ma langue d’hésite pas une seconde. Je vais me perdre dans toutes sa moule. Il y a plus de place dans une chatte, même en y ajoutant l’anus. Pourtant je passe absolument partout: je veux tout donner à Emma qui de son coté de me fait que des cadeaux jouissifs.
Je ne me souviens que de ma dernière jouissance: elle avait sa langue dans mon cul, deux doigts dans le con et un autre sur le clitoris alors que je n’avais pas ma langue dans son anus.
Je crois que de temps en temps quand elle viendra à l’étude nous pourrons baiser. En attendant je conserve mon gout pour les hommes et mon amant actuel, même et surtout s’il est marié.

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