Une Voisine Très Coquine
Comme c'est ma première histoire, je vais d'abord vous faire une brève description de moi, 1.80m, 41 ans, plutôt sportif, carré (certains dirons physique de rugbymen... Même si tous ne se ressemblent pas... Je vous laisse à votre imagination...), de grosses mains bien fermes et une grosse queue bien épaisse. Il est a noté dès à présent que j'ai toujours aimé baiser et que j'ai pas mal d'histoires en stock.
Bon maintenant que les présentations sont faites, je voulais vous raconter une histoire qui m'est arrivée il y a 4 ans environ, suite à mon emménagement dans mon nouveau logement, ou plutôt devrais-je dire, notre nouveau logement puisque je suis marié et que je suis l'heureux papa de 4 s.
J'ai donc commencé, au fur et à mesure de mes nombreux allers et retours entre mon domicile et l'école, a faire connaissance avec les voisins et surtout, les voisines, qui, comme moi et inlassablement, répétait le même trajet chaque jour d'école. Une de ces voisines a particulièrement retenue mon attention... Nous l'appellerons Farida pour préserver son anonymat et le mien. Farida est une Marocaine de 38 ans, d'environ 1.70m pour 63-65 kilos je dirais (au jugez), de longs cheveux bouclés qui descendent en cascade jusqu'en bas de son dos, un cul à réveiller un mort et un visage d'ange. Si au départ nos relations se sont strictement bornées aux banalités d'usage, j'ai commencé à accélérer le pas, ou le ralentir, pour pouvoir faire un bout de chemin avec elle et entamer la conversation. Après environ un mois, nous papotions assez régulièrement sur les s, les anciens occupants de mon logement, la vie du quartier, le travail, bref... rien de bien excitant mais j'avais quand même noté que ses tenues vestimentaires, bien que nous soyons en automne, étaient de plus en plus féminine, même si j'adorais la voir en legging (je traînais un peu derrière elle pour mater son cul dans ces moments là) j'avoue que ses petites robes commençait à m'exciter de plus en plus et ce n'est pas la dizaine de branlettes et les différents outrages qu'elle avait subit dans ma tête qui arrivaient à me calmer.
Je me suis retrouvé un peu con mais je l'ai fait entrer...
- Entre, entre. Bienvenue chez moi
- Merci c'est gentil. Wahou pas mal chez toi, ta femme a bien décoré, elle a du goût.
- A vrai dire... La déco c'est moi, tu veux boire un café ? Un jus ? De l'eau ?
- Non rien merci, je vais pas trainer...
Merde... C'est pas bon signe mais bon d'un autre côté la situation est risquée... Si je me lance et qu'elle me repousse il y a toute les chances du monde pour que je sois complétement grillé dans le quartier... Pire, elle pourrait tout balancer a ma femme... C'est peut être mieux comme ça... Après tout je ne la connais pas tellement.
- Ok, je comprends, on est tous toujours entrain de courir à gauche à droite... Tiens regarde ce que je disais, t'as vu l'état du jardin ?
- Ah bon ? Tu cours a droite et a gauche ? Elle a dit cela avec un air malicieux et je crois que j'ai dû rougir car elle m'a lancé un clin d'il en rajoutant, ahh je te taquine t'inquiète.
Elle s'était approché de la baie vitrée et je ne pouvais pas m'empêcher de lui reluquer le cul. J'avais une gaule d'enfer et en même temps j'avais le trouillomètre à zéro... Qu'est ce que je devais faire... J'avoue je n'ai plus réfléchi, en tout cas pas avec mon cerveau. Je me suis approché doucement derrière elle et j'ai collé ma queue gonflée contre son cul. J'ai empoigné ses deux seins en même temps, putain... Ils étaient lourds, fermes... Et je lui ai susurré a l'oreille
- Je ne vais pas à gauche à droite...mais toi tu me rends fou...
Elle était immobile, m'offrant sa nuque sur laquelle je laissais courir mes lèvres, ma langue.
Puis d'un seul coup elle s'est dégagée, retournée et m'a collé une baffe magistrale. J'avoue que je ne l'avais pas vu venir !
- Ça va pas, qu'est ce qu'il te prends ?! Je suis mariée et je suis une femme respectable !
- C'est ma faute, excuse moi, je...je... j'ai pas pu me contrôler...tu me plais et je comprendrai que tu ne veuilles plus jamais me parler. Je suis désolé. Je sais pas ce qu'il m'a pris... Tu m'excite tellement... Je...je.... Ah... excuse moi... je m'enfonce, je ferais mieux de me taire.
- Oh oui tu ferais mieux de te taire ! C'est quoi cette histoire ? Tu dis que je t'excite... Mais ça sors d'où ça ??
- Depuis le début tu me plais et plus je discute avec toi et plus j'apprends à te connaître et plus j'ai envie de toi.
Son regard passait de mes yeux a ma queue pendant que je lui confessais mon histoire et je n'avais pas débandé, bien au contraire, la situation m'excitait encore plus.
- J'ai essayé de me raisonner en me disant que c'était pas bien, mais je suis désolé c'est le désir qui a été plus fort, j'ai pas su contrôler mes pulsions quand je t'ai vu, là, dans mon salon... Ta robe légère, tes talons... Je suis comme un fou et tu me fait bander comme un âne !
En disant ça j'avais machinalement attr ma queue comme pour me soulager un peu.
- Sors la !
- Quoi ?
- Tu comprends pas ?! Fais moi voir ta queue gros pervers !
Ni une ni deux j'ai baissé mon pantalon et mon boxer jusqu'aux chevilles et je me suis planté devant elle, les jambes un peu écartées, les mains sur les hanches comme si je venais de planter un dau sur la lune !
- Voilà l'effet que tu me fait !
- Putain... Elle est énorme... Tu vas me déchirer avec ça...
Sans s'en rendre compte elle avait fait deux pas vers moi et tendu sa main vers ma queue qu'elle effleurait maintenant du bout de ses doigts.
- Je veux te faire jouir. Lui avais-je susurrer.
Nous étions maintenant quasiment coller l'un a l'autre et ce qui au départ ressemblait à une caresse légère s'était transformé en véritable branlette qui me rendait complètement dingue.
- Vas-y branle moi la teub Farida, j'adore ça... J'ai envie de te bouffer la chatte en même temps... tu me rends fou, je veux te baiser comme une chienne...
J'avais maintenant ma main sur sa chatte, que je sentais parfaitement à travers le tissu de sa robe, et je m'appliquais a lui rendre du mieux possible la carresse qu'elle me prodiguait.
- Hannnnn... Oui.... Non... arrête... Putain continue... Frotte ma chatte j'aime ça... ça m'excite comment tu me parles...
Je l'embrassais a pleine bouche et me décidais a remonter sa robe pour glisser ma main dans sa culotte. Quelle surprise de constater que cette petite salope n'en portais pas...
- Ah salope... T as même pas de culotte et tu joues les vierges effarouchées... Crois moi je vais te baiser comme tu le mérites... Tu vas prendre cher petite chienne !
Je n'ai pas pris de pincettes, je l'ai retourné sans ménagement, pousser sur le canapé et remonter sa robe au dessus de son cul magnifique... J'ai claqué fortement chacune de ses grosses fesses bombées avant de plonger ma langue dans sa chatte dégoulinante de mouille... Je me regalais avec son nectar qui coulait abondamment sur ma langue, mes lèvres... Elle m'en mettait plein le visage... J'étais aux anges...
- Oh oui c'est bon... Oh putain oui... Ta langue sur mon clito j'adore ça... Vas y lèche moi comme une salope... Je suis ta pute... Bouffe moi !
Je lui ai enfilé deux doigts dans la chatte et planté en même temps ma langue en plein dans son trou de balle ! Ses pieds branlait ma queue et il n'en fallait pas plus pour m'encourager à la baiser.
- Haaaaaaaaaaannnnn, ta langue dans mon cul... Salaud personne me lèche jamais le cul.
Putain elle venait de m'envoyer un jet de cyprine en plein sur le cou et le menton... Y en avait partout sur le canapé... Quelle chienne ! Ça m'a rendu complétement hors de contrôle ! Je me suis redressé et au moment de présenter ma queue a l'entrée de sa chatte, j'ai appuyé sur ses reins pour la cambrer davantage et j'ai posé ma queue sur son anus trempé de salive...
- Non... pas par là...je prends pas dans le cul bb..
- Ferme ta gueule salope ! Je viens de te faire jouir de la chatte... Tu vas jouir du cul maintenant !
Et avant qu'elle ne puisse protester encore j'ai claquer sa fesse droite a y laisser la marque de ma main dessus et poussé doucement mon gland à l'intérieur de son anus serré.
- Écarte ton cul avec tes deux mains pétasse ! Je vais te le dépuceler ton cul de salope et je te baiserai que par la puisque que ton connard de mari ose pas te la mettre... Je suis ton maître et ton cul est à moi ! Tu as compris ??!!
Pas de réponse... Une seconde claque sur sa fesse, devenu alors rouge vif, l'avait fait tressaillir et par la même enfoncé ma queue de 5cm d'un coup dans son boyau brûlant... C'était vraiment serré et je prenais un pied phénomènal a la dominer comme ça !
- Tu as compris petite pute ??!!
- Oui maître, j'ai compris... Mais fait doucem...
Troisième claque sur sa fesse ! Violente, rapide, rageuse ! Elle a la fesse en feu... Elle a sursauté et reculé jusqu'à mes couilles... Ses jambes trembles... Nouveau jet de cyprine... Putain mais elle joui cette salope...
- Quand je te donne un ordre tu obéis et tu la boucles ! Je vais défoncer ton fion de chienne et me faire jouir avec tes grosses fesses !
- Oui maître... Défonce moi... Je suis a toi ! Ta queue est énorme tu me déchires les entrailles !!
Je la tenais fermement par les hanches et initiait mes va et viens sans aucun ménagement, je ne pensais qu'à me vider les couilles et a lui défoncer le cul tellement fort que même dans une semaine elle est toujours l'impression d'avoir ma bite au fond de son cul... Je la tirais par les cheveux pour la cambrer encore plus ! Ses grosses fesses qui s'ecrasaient sur moi et son fion serré allaient pas tarder à avoir raison de moi !!!
Je sortait ma queue au bord de l'explosion...
- Viens la salope... Ouvre la bouche !
Elle s'était mis à genoux devant moi, bouche ouverte, langue tirée... Elle avait la tête en vrac, son rimel avait coulé, son fond de teint avait partiellement disparu et le traitement que je lui avait infligé l'avait quelques peu marqué...
- Souille moi !
Cette phrase et ses ongles sur mes couilles avait eu raison de moi... Je lui envoyait deux jets en pleine face qu'elle encaissa sans broncher et un troisième, à cheval sur la bouche, la langue et le menton, fini de parachever son nouveau maquillage... Elle fini par me prendre en bouche et me pomper les dernières gouttes comme une chienne enragée. J'étais aux anges.. quelle baiseuse !
Je lui indiquait la salle de bain, lui attrapa une serviette propre et pendant qu'elle essayait, j'imagine, de se rendre de nouveau à peu près présentable, j'allais lui préparer un café bien serré. Je ne pu m'empêcher de sourire en me demandant si elle trouverait ce café aussi serré que moi son cul...
Elle réapparu une quinzaine de minutes plus tard, bu son café sans un mot puis déposa un baiser sur ma joue avant d'ajouter :
- Tu as réveiller la pute qui dormait en moi, tu as intérêt d'assurer...
Puis elle sorti sans un mot...
J'attends vos retours et si vous voulez la suite, n'hésitez pas à me le faire savoir !
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