Pris Au Piège (Premier Épisode)
Je suis hétéro, marié, bon père de famille. Jéprouve depuis longtemps du plaisir à porter des sous-vêtements féminins. Je le fais occasionnellement quand ma femme me laisse trop longtemps en manque de câlins.
Il y a huit mois, elle a du partir pour son travail pendant deux semaines à lautre bout du pays.
Son régulier coup de téléphone du soir ne ma plus suffit dès le premier jeudi. Seul, jen ai profité pour essayer quelques uns de ses sous-vêtements. Devant le miroir, je trouvais cela plutôt excitant. Jai cherché une de ses paires de chaussures pour voir leffet de marcher en me déhanchant, je me suis clairement fait rire en me voyant dans le miroir du couloir. Trébuchant, maladroit, jétais parfaitement ridicule. Je me suis pris au jeu et jai essayé de mappliquer à marcher sans hésitation sur des chaussures à petits talons de cinq centimètres.
Au bout dune heure dessai, je devenais crédible. Jai essayé des sandales qui me serraient moins les pieds avec un talon de sept centimètres et après plusieurs allez retour dans le couloir, je commençais à avoir un déhanché qui ma surpris. Je me suis dit quavec une robe ou une jupe leffet serait presque celui des filles qui me font rêver chaque jour. Me voila donc parti pour chercher une jupe. Malheureusement ma femme fait du 38, pas de problème pour mes hanches, mais la taille
Après de multiples essayages, je trouve une jolie jupe droite qui marrive sept ou huit centimètres au dessus du genou et veut bien se fermer autour de ma taille. Cest une découverte, un plaisir de ce sentir entourer, serré par cette jupe qui en même temps laisse passer lair entre mes jambes. Je ne comprends décidément pas les femmes qui mettent des pantalons.
Devant le miroir du couloir leffet est saisissant. Jen suis très excité. Je décide de compléter ma tenue dun chemisier et de mettre des bas opaques pour cacher ma pilosité.
Mon excitation va grandissante lorsque je me voie ainsi déguisé.
Je me colle du rouge à lèvres et reviens devant le miroir. Je ne me reconnais pas. Cest à la fois perturbant et très excitant. Je saute sur le clavier de lordi pour aller sur des sites coquins que je fréquente de temps à autres. Je créé un pseudo au nom de sophie coquine en indiquant que je suis un homme qui cherche à être dominé et travesti et je colle la photo de la superbe jeune femme qui me faisait face dans le miroir. A peine mis en ligne, je reçois dix sept messages. Malheureusement dix sept hommes. Un plus intelligent que les autres engage un dialogue sur ce que jéprouve. Nous conversons longuement et il me propose de passer sur MSN. Jaccepte émoustillé par la situation. Nous nous connectons et il me fait rougir par ses remarques et allusions. Je me prends au jeu. Il me propose de mettre la webcam en marche et là je me dis que je suis très peu reconnaissable, si je ne montre pas mon visage. Jaccepte après avoir mis un coussin sur mon siège pour ne pas être dans le champ de la caméra.
La connexion sétablit et là sur lécran en face de moi mon voisin de palier. Je reste cloué de stupeur. Sans voix. Terrorisé. Je tremble de tous mes membres et il sen aperçoit. Il comprend instantanément lorigine de mon tremblement. Me dit de montrer mon visage. Je refuse et il éclate dun grand éclat de rire. Je sais qui tu es petite lopette ta voix ta trahie ainsi que le joli chemisier transparent de ta femme. Je suis tétanisé. Alors ta femme sen va et en moins dune semaine tu révèle ton penchant pour les hommes. Son rire accroît mes tremblements, je suis perdu. Je narrive plus à penser clairement pris en flagrant délit. Ecoutes me dit-il, si tu fais ce que je souhaite je nen dirai rien à ton épouse. Dans le cas contraire, je lui raconte tout dès le jour de son retour. Tu es daccord ? je ne répond pas.
Que veut-il dire ? Il disparait de son écran et jen profite pour modifier la position de la caméra. A ce moment jentends une clé dans la serrure de la porte dentrée. Pris de panique, je me lève pour tomber nez à nez avec mon voisin de palier.
Alors petite salope tu avais oublié que tu mavais confié la clé de chez toi lors de vos dernières vacances. Et bien je crois que je vais les garder encore un moment, pour mes loisirs.
Allez ouste on va chez moi !
Et il me prend le poignet et me pousse devant lui.
Avant que je ne réagisse je suis sur le palier, il claque la porte, je suis à sa merci, seul lui a la clé de mon appartement.
Contre toute attente, il me pousse vers le haut de lescalier en me disant de lui montrer comment une pétasse monte bien les escaliers en se déhanchant.
Je tremble, lui demande de me donner mes clés. Il rit. Si tu ne fais pas ce que je veux tout de suite, jalerte tout le voisinage en gueulant et tes penchants de femelle seront dévoilés à tous.
Son ton monte. Jessaie maladroitement dattr la clé. Il me cueille dune droite dans lestomac. Je manque tomber, je tousse, jai les larmes aux yeux. Il me tord le bras et me pousse vers le haut de lescalier. Je monte les premières marches.
Jentends un bruit et me retourne, il est en train de défaire sa ceinture et me dit « Trémousses toi ou gare ! » Je monte en me déhanchant de mon mieux, il me claque les fesses avec sa ceinture et me dit de mappliquer sinon il va falloir rester dans lescalier jusquau soir. Je blêmis en mimaginant rencontrer tous les voisins un à un lors de leur rentrée du travail. Je mapplique et il semble content car jentends des rires étouffés. Il me complimente, continue comme ça ma salope tu es vraiment doué.
Merci de vos mails
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