Gilberte

Je connais de vue un couple bien assorti: deux filles qui s’aiment à ce point, c’est rare. Elles habitent dans le même immeuble que moi, de l’autre coté de la petite cour, à peine à 10 mètres, à l’étage inférieur. Il fait très beau et chaud, elles ont pris l’habitude agréable pour moi de se déplacer chez elle complètement nues. Quand elles se meuvent chez elle je les voit bien se faire de petits câlins: un baiser sur un sein, une main sur une fesse ou sur le pubis. Rien de méchant.
Ce soir elles se couchent, sans doute persuadées que personne ne les voit elle se font l’amour en pleine lumière. Au début c’est encore chaste si on veut. La fin elle est quand même très osée. Leur 69 sont particulièrement pornos. Je dois être la seule spectatrice puisque personne ne fait de tapage.
Je ne me cache même pas quand je me caresse. Il me semble être l’une d’elle, celle de dessus. Ma main caresse ma chatte. Je ne sais combien de temps elles vont mettre avant de jouir. J’aimerai le faire en même temps qu’elles. Je vois une langue lécher je ne sais quoi dans le sexe de son amoureuse.
Ma position debout ne me plait pas tellement. Pourtant si je veux jouer à la voyeuse, je dois en payer le prix. Alors je continue éblouie par ces deux corps de femmes enlacées, se baisant. Arrive le moment final pour moi: je sens monter de mon ventre les prémices d’un orgasme. Je cesse, ho, tout juste 2 minutes, mes caresses. Je ne peux pas tenir d’avantage; j’ai trop besoin et envie de jouir. Tant pis, Je reprend la masturbation et là, en quelques secondes je suis au 7° ciel. Je vois des étoiles partout dans ma tête, je ne sens rien d’autre que le plaisir qui monte, monte pour éclater partout.
Je me couche sans pouvoir m’endormir, je cherche un moyen de rencontrer ces filles ou au moins une d’elles pour leur proposer…….quoi? Je ne vais quand même pas leur dire qu’elles m’ont excitée en le regardant et que je me suis soulagée. J‘aurai l’air fin.

Je m’endors insatisfaite. Le matin au réveil je les ai encore dans les yeux: je suis obligée de me branler encore. Je recommence en prenant la douche et en m’habillant. Trois fois en si peu de temps, c’est sans doute agréable, mais pas sérieux pour moi en tout cas.
J‘arrive en retard au travail. J’en suis excusée, c’est je crois la première fois en 5 ans. J’ai encore envie de me caresser. En gros j’ai bien du aller au toilettes 5 à 6 fois dans la matinée, à tel point que ma collègue me demande si je ne suis pas dérangée. Je n’ose lui dire la vérité. Pour ne plus me faire remarquer je passe une main sous ma jupe pour mieux me caresser. Seulement quand je jouis je gémit toujours un peu. Ma collègue Gilberte entend maintenant mes petits bruits. Elle comprend vite ce que je fais;
- Qu’est-ce que tu as aujourd’hui, tu passe ton temps à te branler.
- Je ne me branles pas.
- A d’autres: sors ta main de sous la jupe et donne là moi.
Je suis prise en flagrant délit.
- Allez, n’est pas peur, donne ta main.
Je suis obligée d’obtempérer. Dès qu’elle prend ma main, elle s’aperçoit que je suis mouillée, elle la sens et la goute. Plus rien à faire, elle a la preuve que je me touche.
- Pourquoi te ne m’en a pas parlé, je t’aurai caressé, j’aime bien le faire avec d’autre femmes.
- Je ne savait pas.
Je lui explique ce que j’ai vue cette nuit.
- J’aurai bien aimé voir ces eux filles, j’aurais fait comme toi, au début en ensuite on se serait fait l’amour. Tu as déjà essayer avec une autre fille ?
- Non, j’aimerai.
- Attends en sortant nous irons chez moi, je t’apprendrai.
Elle m’a calmée. J’attend la sortir avec impatience, elle parait impassible.
Nous sortons bras dessus, bras dessous, rien de suspect dans notre tenue. Si les gens savaient ce que nous allons faire…
Chez Gilberte, nous restons un bon moment immobile, enfin moi, elle pose son sac, mets des machins dans la cuisine, elle semble ignorer ma présence.
C’est pourtant bien elle qui m’a demandé de venir apprendre chez elle.
Elle disparait même un bon moment. Enfin elle revient vers moi, elle est nue. J’admire son corps, je la pensais plus grosse, moins pourvu en poitrine. Son sexe n’est pas rasé. Elle ne parle pas, elle agit en me déshabillant: ce n’est qu’ensuite qu’elle s’occupe de moi comme il faut: elle m’embrasse, en me prenant dans ses bras. Je sens sa poitrine contre la mienne: c’est délicieux, c’est même si bon que je mouille; je la tiens uniquement par le cou. Elle descend une main sur mes fesses pour les caresser. Je sens son pubis se frotter au mien. Elle me met dans un drôle d’état de surexcitation. Il me semble que je coule entre les jambes.
Ma langue n’en peut plus de caresser la sienne. Elle me prend par la main, me passe un bras sur mes hanches pour me guider vers le lit. Elle me fait coucher gentiment, se met contre moi, se penche pour prendre le mamelon d’un sein dans sa bouche, pendant qu’elle caresse l’autre. Je ferme les yeux de plaisir et de bonheur.
Le début de mon initiation se passe à merveille. Elle remplace sa bouche par une main. La bouche de Gilberte descend vers le milieu de mon corps que je tend vers elle. Sa langue se met de la partie quand elle arrive sur le nombril. Ensuite elle descend encore: je suis prête à la recevoir dans ma chatte. Elle est totalement en bas, ses pieds débordent du lit. Je suis surprise par la douceur de sa langue qui lèche le clitoris. Je suis plutôt surprise du plaisir délicat qu’elle me donne. Où sont les langues mâles, loin derrière, très loin. Je déguste la caresse, j’aimerai qu’elle n’arrête pas.
Je ne peux me retenir, je pousse un soupir de jouissance et de satisfaction. Je ne pensais jamais jouir ainsi grâce à une simple langue de fille.
Elle n’a pas fini; sa langue lèche mes lèvres en descend tout en bas: elle me lèche l’anus. Première découverte. Je ne sais comment elle met sa langue, elle pénètre dans le cul. C’est plus facile, j’aime la sodomie: elle me fait jouir, c’est moins bon qu’une bite.

Maintenant je dois rendre à Gilberte ce qu’elle m’a appris. Je peux facilement sucer ses seins. Je peux, avec appréhension, aller lui lécher le clitoris. Je craint le gout de sa chatte. Je m’arme de courage pour sortir ma langue. Sa cyprine est agréable, comme la mienne, même si son clitoris bande, il est souple pour ma bouche. Je la sens jouir. Je suis fière de moi, j’ai fais jouir une autre fille. Je vais dans son vagin, y entre la langue. Finalement je ne la fait jouir, comme elle qu’avec la langue. Je rajoute deux doigt quand je vais sur son anus, je l’encule un peu. Elle aussi commence à gémir. Elle est secouée par l’orgasme que je lui donne.
Maintenant je me sent prête à faire n’importe quoi avec Gilberte. Elle me demande de me branler devant elle. Je le fait avec un plaisir pervers, surtout qu’elle aussi me montre sa masturbation. C’est beau une chatte masturbée, maltraitée par ses propres doigts, et en plus quand on le fait devant une autre fille.
Elle me couche sur le dos, vient sur moi, je sens sa poitrine sur mon abdomen, Je sens au début son souffle chaud sur mon pubis et sa langue qi reprends là où elle a commencé tout à l’heure, sur le clitoris. Nous sommes maintenant deux à échanger les mêmes caresses, les même plaisirs, les mêmes jouissances. Mon Dieu que c’est bon de faire l’amour avec une fille.
Je ne sais ce que sera l’avenir, j’en voit ne bonne partie avec Gilberte qui m’embrasse un sein.

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