Fernanda...
- Alain ! Arrête de me resservir. Cest déjà le quatrième verre. Fit Fernanda. Une petite brune aux cheveux grisonnant attaché en queue de cheval. Très typée Méditerranéen. Le visage fin, la bouche pulpeuse et les yeux très noirs. Elle était vêtue dune simple jupe noire, sur un chemisier de la même couleur, qui lui donnait beaucoup de classe.
- Et alors ? Où est le problème ?
Fernanda prit le temps de boire une gorgée avant de répondre :
- Le problème, cest que je fais nimporte quoi quand je suis bourrée.
- Ah ! Fis-je. Et je peux savoir quel genre de chose au juste ?
- Des choses que je naurais pas faites en temps normal, voilà tout !
- Cela ne me dit pas quelle chose ?
Elle sourit et senvoya une nouvelle gorgée en regardant droit devant elle. Je lobservais, suspendu à ses lèvres, attendant quelle men apprenne un peu plus. Javais bien ma petite idée, mais je voulais que cela sorte de sa bouche. Parce que javais devant moi une femme qui chercher sans aucun doute une relation dun jour, et ça je le percevais parfaitement. Cétait même un don chez moi.
- Jai honte de le dire ! Fit-Fernanda.
- Vraiment ? Ai-je répliquais.
- Vraiment.
- Fais un petit effort, Fernanda. Je veux en savoir un peu plus. Je te promets que cela restera entre nous.
- Je veux bien te le dire, mais
mais je ne trouve pas les mots
tu sais très bien que le Français et moi
- Toi comme moi savions bien, que tu te débrouilles parfaitement avec le Français, alors je técoute, dis-moi le avec tes mots.
- Eh bien je fais du nimporte quoi, comme
- Comme ? La coupais-je.
- Tu vas te moquer de moi ?
- Mais non, allez vas-y je técoute.
- Bon, bon si tu insistes. Je vais te le dire. La dernière fois que jai bu plus que de raison, jai faits du rendre dedans à un type.
- Non !
- Comme je te le dis. Un besoin chez moi de provoquer la chose.
- Tu as déjà trompé ton mari ?
- A ton avis ?
- Ce nest pas une réponse ça. Allez Fernanda, oui ou non ?
- Mais tu membêtes avec tes questions à la con. A-t-elle réfuté, en se saisissant de la bouteille posée en face delle et demplir son verre. Tiens je préfère boire.
- Mais pourquoi continus-tu alors ?
- Peut-être pour de nouveau faire du rendre dedans. Surtout que je peux jouer les célibataires ce soir, mon mari nétant pas à la maison.
- Ah bon ! Fis-je. Cest très intéressant ça
- Il est parti avec les gosses rendre une visite à son con frère Paulo.
- Il nhabite pas Bordeaux ?
- Oui.
- Et tu ne les as pas accompagné ?
- Le thé dansant, mon beau. Pas question pour moi de passer à côté de ça. Jadore la fête. Cest dans mes gènes.
Bien plus tard, sur le parking, alors chacun et chacune prirent leurs voitures. Édite, une copine de lassociation, ne se priva pas de lancer une dernière vanne à légard de Fernanda, qui emboiter mes pas pour que je la ramène chez elle comme convenu.
- Ce nest pas la peine de te demander pourquoi cest lui qui te ramène ?
- Si on te le dit, tu répondras que tu ne le sais pas ! Fit-elle en ouvrant la portière passagère de ma voiture.
- Tu me déposes toujours ? Me fit-elle.
- Ai-je le choix ? Ai-je répliqué.
- Non ! A-t-elle répondu en se laissant tomber sur le siège.
- Restait sage ! Balança Édite.
- Je suis sûr quelle meurt de jalousie, cette salope.
- Jalouse de quoi ?
- Cherche et tu trouveras. Bon ! Tu la démarres cette voiture, je suis pressé.
- Tu as des ufs sur le feu.
- Tu ne crois pas si bien dire.
Arrivé au pied de son immeuble, je me laissais aller en lui proposant de laccompagner jusquà chez elle.
- Tu nas pas peur que cela fasse jaser. Répondit Fernanda.
- Nous sommes pas obliger de le gueuler sur les toits. Ai-je dis, le cur battant très fort, impatient de vivre la suite.
- Bon daccord ! Juste un verre et après tu pars.
Jen étais un peu près sûr de cette réponse. Cela faisait partie des préliminaires.
- Comme tu veux ! Répondis-je, en mettant pied à terre.
Avec une petite idée dans la tête, sur ce qui allait se dérouler dans cet appartement. Dailleurs en me permettant de franchir la porte de son appartement, elle me regarda comme en regarde quelquun quon désire.
Il lui fallu deux verres supplémentaires avant que le courage lui vienne, quelle prenne les choses en main. Commençant par me toucher, les yeux luisant de désir.
- Nous avons tous nos vices. Se défendait-elle. Tu comprendras plus tard quand tu seras vieux.
- Ah oui ! Ai-je répondu, sans chercher à comprendre où elle voulait en venir.
Dailleurs lheure de la parlotte était prescrite. Il fallait passer aux actes. Si jétais monter jusquà chez elle, cétait pour lentendre gémir sous mes caresses. De voir son trou du cul. De savoir si elle avait une chatte touffue ou non.
Alors pour cela, et comme elle avait du mal à ce décider, je pris linitiative de poser ma main sur son genou gainé dans un lycra noir opaque.
- Mais Alain, enfin ! Que fais-tu ? Sinsurgeait-elle, juste pour la forme.
Un besoin sans doute pour elle de passer pour une victime.
Pas un instant, et je dis bien jamais, elle navait essayer de séloigner de la main fureteuse. Oh contraire !
- Jai comme un besoin de toucher, vois-tu ! Me justifiais-je.
- Oui
mais !
- Chut Fernanda ! Laisses-toi aller ! Lui lâchais-je. Toi et moi nous allons prendre du bon temps et demain nous ferons comme si rien ne cétait passé entre nous. Comme si cétait un rêve, vois-tu, ajoutais-je en faisant grimper ma main le long de sa jambe. Retenant mon souffle, alors que mes doigts sinfiltrèrent à lintérieur de sa jupe. Poursuivant centimètre après centimètre son ascension, jusquà arrivait aux abords de son sexe.
- Tu es sûr que cest raisonnable ?
- Et comment que cest raisonnable. Jai envie de toi. Regarde la bosse que fais mon érection sous mon pantalon. Répondais-je, alors que mes doigts palpèrent son sexe à travers sa culotte. Que je sentais être en soie. Attendant quils effleurèrent les poils de chatte pour quelle se retire de nouveau.
- Je ne sais si je dois. Fit-elle.
- En as-tu envie ?
- Autant quun aveugle de retrouver la vue !
- Alors tu vois !
Malgré ma contrariété dêtre constamment troublé, jétais très excité par ce jeu, et je mourrai denvie de faire connaissance avec ce putain de sexe que je devinais poilu.
Alors jai changé de tactique et au lieu de lui caresser la jonction de ses cuisses, jattaquais à la face externe. Et cette fois, comme par enchantement, quand ma main arriva en haut de ses jambes, elle ne bougea pas. Ni par le geste, ni par la parole. Alors avec laide de mes doigts jemprisonnais sa fesse. Enfin domptée, elle sabandonna à mon bon vouloir. Je pu aisément, la palper et la caresser à ma convenance. Elle se soudoyait à mes doigts inquisiteurs. Et cela alors même, que je les faisais profondément plonger, pas sans mal, dans le sillon fessier. Lendroit était tout moite, et jirai même jusquà dire un peu collante.
Mais alors que jeffleurais le bord de son anus, elle se tournait sur elle-même comme pour me refuser laccès de cette région si alléchante pour moi. Derechef, et encore une fois, je modifiai mon plan dattaque. Ma main se mis à lui masser doucement la hanche puis le ventre. Mes doigts taquinèrent le nombril, y enfonçant une moitié de phalange dindex comme pour lui donner un avant-goût de ce que je désirais lui faire entre les fesses.
Tout en lembrassant, peu à peu je délaissais son nombril pour descendre la pente bombée de son ventre. Une caresse que je désignerai étant légère, qui effleurer à peine sa peau. Si aérienne que ses poils répondaient à ma tendresse en shérissant, et dont la peau se couvrait de chair de poule.
Millimètre après millimètre les bouts de mes doigts frôlèrent lintérieur de ses cuisses. Jusquà ce que mon pouce vienne frotter son bouton aussi dur quun téton. Ce qui fit vaciller Fernanda doucement sur place, davant en arrière. Ma caresse était loin ne la laisser indifférente. Je profitais de son trouble pour faufiler la paume de ma main entre la culotte et sa peau. Profitant de lopportunité qui métait donner pour peigner ses poils, que je devinais encore une fois très abondant. Elle se mit à trembler, alors que je continuais à la toucher à petite dose. Essayant de la mettre parfaitement à son aise. Refusant de prendre tout de suite ce que je mourrais denvie de conquérir depuis la minute où javais franchis la porte de cet appartement.
Et heureusement pour moi ma patience fut récompenser, quand elle prit linitiative de chercher le contact. Déposant sa plaie humide sur ma paume. Une chair molle et chaude, gluante que mes doigts commençaient à fouiller, dépliant ses pétales, explorant les replis. À linstant où je dénichais son orgasme caché, un sanglot sortit de sa bouche. Cela ne mempêcha pas de memparer du petit appendice charnu, et de le faire rouler sous mon pouce. Une brève giclée de liquide brûlant séchappait delle. Suivit de beaucoup dautres jets. Que jidentifiais étant de lurine.
Tout de suite elle eut un réflexe de honte, qui lui fit resserrer les cuisses et se rejeter en arrière. Je tentais bien de la retenir, en lui pinçant la chair intime, mais elle me glissa entre mes doigts comme laurait fait une anguille.
- Bon Fernanda à quoi joues tu, là ?
- Je ne sais pas, si tu veux savoir.
- Tu veux que je parte ?
- Non
non ! Reste
Encourager par ses derniers mots, javais de nouveau avancé ma main jusquà atteindre son sexe. Dont jeffleurais lorée de sa forte toison. Lui ébouriffant les poils. Constatant quelle était cette fois domptée pour de bon, puisquelle ne cherchait plus à éviter mes caresses. Alors je menhardissais. Palpant les bords humides des grandes lèvres. Constatant à quel point elle transpirait de plaisir. Je ne tergiversais plus, introduisant mon index dans sa faille. Comme pour me faciliter la tache, elle écartait les cuisses pour me permettre de mieux la fouiller. Et croyez-moi, je ne men étais pas privé. Logeant un deuxième doigts dans la fente. Que je fis aller et venir, la branlant avec une régularité dun essuie-glace. Au début mon mouvement fut
lent, et très doux, mais au fur et à mesure que je la sentais sexciter, jaccélérai le rythme de mon branlage. De même, sans préliminaire, avec vice et violence, jentrais un doigt dans son anus. Fouillant son cul sans ménagement. Je sentais son plaisir grandir. Jusquà ce quelle jouisse très fort. Dans le même temps, son sphincter serrait mon doigt alors que je continuais à le faire gigoter entre ses fesses.
Un laps de temps plus tard, alors quelle cuvait son orgasme tout en me regardant humer le doigt qui lui avait fouillé le cul, je lui ordonnais de se dévêtir.
- Tu es sûr ?
- Si je te le demande.
- Mais je nai pas le corps dune fille de vingt ans !
- Et alors !
- Comme tu veux.
Elle se leva et se déshabilla comme un automate. Une fois nue, elle simmobilisa. Elle resta gauchement devant moi, les bras le long du corps légèrement voûtée par la gêne. Je savourai longuement ce quelle moffrait. Les yeux fixés sur la fourche de ses cuisses avec son grand manteau de poils. Je lui demandai de sapprocher. Elle obéit. Quand elle fut à porté de main, je lui flattai les fesses du plat de la main.
- Pose ton pied sur mon genou.
Elle sexécuta. Son pied tremblait.
- Tu as aimé que je te tripote. Non je me trompe ?
Elle répondit à voix basse :
- Tu ne peux pas savoir à quel point je me dégoûte.
- Tu te dégoûtes, mais tu as joui.
- Conard !
- Le conard veut que tu lui montre ton cul.
Malgré son soit disant déshonneur, elle se tourna servilement, présenta ses fesses et attendit. Jécartais les globes.
- Tu ne peux pas savoir à quel point jadore voir un trou du cul. Lui fis-je, en lobligeant à se pencher en avant. Résignée à tout, elle sexécuta. Je passais mon index au creux de la raie, appréciant sa couleur mauve au creux de poils.
Japprochais le nez tout proche des petits plis en étoile. Je lentendais soupirer. Je pointai mon index contre lanneau contracté, et elle protesta faiblement :
- Alain pas encore là.
Pour toute réponse, jenfonçais déjà mon doigt, savourant pour la seconde fois la pression du muscle autour. Je fis tourner lentement mon doigt dans lanus, puis je le ressortis pour le porter à mes narines. Tout en le humant jexigeais delle quelle se masturbe devant mes yeux.
- Tout ce que tu veux Alain, mais pas ça !
- Tu ne la jamais fait devant ton mari ?
- Jamais ! Dailleurs il nétait pas question pour lui que je me caresse !
- Eh bien tu vas le faire pour moi.
- Si tu insistes.
Elle écartait alors ses cuisses, tiraillai sur une touffe de poils au passage. Puis elle étala la mouille qui collait les poils de sa fente. Puis doucement elle se tripotait doucement son clitoris.
- Dis donc ! Tu nas pas honte de te branler devant moi ?
- Cest toi qui me la demander !
- Jai rarement vu un bouton aussi gros ! On voit que tu te lastique souvent.
Elle ne répondit pas. Ce contentant de chatouiller le bouton gonflé.
- Mais tu mouilles bien ! Comme une fillette.
Sous la remarque, Fernanda se raidit de honte.
- Et en plus ça sent fort. Comme je les aime. Sois gentille Fernanda, mène toi jusquà la jouissance, veux-tu, pour me faire plaisir.
Elle laissa à nouveau glisser ses doigts au bas de son ventre. Et reprit sa branlette. Incapable de résister à lexcitation qui la submergeait. Elle se caressait avec des gestes saccadés. Avec animations, et cela de plus en plus rapidement. Puis dun coup, elle emprisonna sa main entre ses cuisses. Elle ouvrit la bouche sur un cri étouffé. Encore quelques contorsions et elle simmobilisa.
Jen profitai pour avancer mes narines à la hauteur du sexe, humant lodeur pisseuse qui sen dégager. Puis je la regardai avec curiosité avant de lui dire :
- Tu aimes ça, hein, quon te touche la moule ?
- Je reconnais que ce nest pas désagréable !
- Tu as envie que je te suce ?
- Fais comme tu veux ! Répondit-elle, en écartant les cuisses dans une invite impudique.
Cela me fit ricaner, avant de lui donner un petit coup de langue entre ses lèvres, qui la fit tressaillir. Jétais très content de moi. Javais réalisé le pourquoi jétais venu, jusquà ce salon. Je me mis à lécher tendrement le sexe bien ouvert. Promenant régulièrement ma langue, du périnée jusquau pubis. Fernanda nessaya même pas ne retenir ses plaintes de plaisir.
À deux mains, elle prit ses genoux pour tenter de sécarter davantage. Je la remerciais de son initiative en aspirant son clitoris. Et cela avec un bruit abject. Elle gémissait sourdement.
Il était temps pour moi de penser à mon plaisir. Pour cela je lenlaçais tendrement par derrière et me mis à lui caresser tout doucement les seins. Fernanda restait totalement immobile. Je bandais et son sexe se lovait entre les fesses. Je my sentais bien, jappuyais ma poitrine contre son dos et poursuivis longuement mes caresses. Insensiblement elle fléchit les genoux. Je compris ce quelle voulait et jécartai ses jambes afin de descendre de quelques centimètres. En même temps, jaccentuai la pression de mon ventre sur ses fesses et je me mis à bouger légèrement de haut en bas, me faisant du bien. Elle se mit à contracter puis à relâcher ses muscles fessiers afin de rendre le frottement plus agréable. Jentrepris alors de lui donner de petits coups de verge dressée à lentrée de lanus. Se dressant sur la pointe de ses pieds, Fernanda modifia quelque peu sa position et fit en sorte que ma verge, frôlant son périnée, sapproche de lentrée de son vagin par derrière. Pour ce faire elle se pencha en avant, puis, serrant les cuisses, elle immobilisa entre ses jambes mon sexe dont le bout touchait ses petites lèvres. Cétait délicieux. Nous restâmes longtemps dans cette position, jouissant de sensations fantastiques.
- Ce serait le moment, enfin si tu le désire de me baiser, dit Fernanda.
Je mexécutais. Et je tentai de faire pénétrer mon sexe dans son vagin. Je ny parvenais pas, ma verge avait un peu tendance à se dérober. Fernanda vint maider. Mattrapant la queue pour la guider entre ses petites lèvres et faire pénétrer dabord mon gland, puis la verge toute entière dans son vagin. Jentrepris alors des mouvements de va-et-vient très lents, veillant à ce que le gland ne ressorte pas et quil se contente dallers et retours amples et intenses à lintérieur de du vagin. Fernanda prit appui sur les bords de la table. Et put ainsi donner un rythme plus rapide aux allées et venues de son vagin sur mon sexe. Je jouis brusquement car je ne pouvais plus me retenir. Je lâchais trois longues giclées de sperme tout au fond du vagin.
Quelques instants plus tard, elle se retirait, et je pus voir mon propre sperme coulait le long des ses cuisses.
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