Le Serveur Arrogant
Elle était venue à l'heure creuse, vers 15h. "C'est encore possible de manger? -Bien sûr, vous êtes toute seule? -...oui. -Suivez moi." Le serveur l'avait installée à une petite table, présenté la carte. Manger seule, "toute seule" au restaurant, la mettait mal à l'aise, mais de passage pour le travail, elle avait préféré le restaurant au sandwich trop vite avalé sur un banc..
"Bon appétit." La formule convenue est prononcée sans emphase lorsque le serveur pose négligemment son assiette sur la table. Il y a un gros homme seul qui mange bruyamment à l'autre bout de la petite salle déserte. Tagliatelles carbonara. "On aurait dû s'inviter à manger ensemble." pense-t-elle, un sourire moqueur sur ses lèvres.
Le serveur a surpris ce sourire. "Merde." Elle baisse instantanément les yeux. Voilà qu'elle se met dans une situation embarrassante maintenant.. Lui reste de marbre, adossé au bar les bras croisés. "Dieu sait ce qu'il s'imagine...oh et puis merde, s'il le faut il n'a rien vu du tout."
Elle est plutôt du genre discrète, du genre à avoir peur de déranger. Employée de bureau, mariée, la quarantaine qui darde son vilain nez. Elle avait essayé de convaincre son patron de l'inutilité de ce stage de formation.. et la voilà perdue dans cette ville qu'elle ne connait pas, cette salle de restaurant quasiment vide, le bruit de sa propre mastication qui la gêne.. et ce serveur qui la fixe maintenant, décontracté jusqu'à l'arrogance. Elle décide de porter son attention sur son morceau de pain, sa serviette en papier, l'écran de son portable.. et se surprend à penser à ce serveur mal aimable. "Il doit avoir 30 ans, peut être pas encore." Il recommence ses allers et venues entre les tables, une moue sur son visage. "Il pense que je le matte... mon dieu comme c'est ridicule." Mine de rien, elle le matte à présent. Pas très grand, les cheveux noirs de jais et le teint mat. Ses yeux s'agrandissent quand elle remarque un "sacré beau cul" sous le pantalon noir de service.
Il se retourne vers elle, s'avance avec une expression suffisante sur le visage. "Madame n'a besoin de rien? -euh non, tout va bien!" Il s'éloigne mollement et elle se recentre sur sa salade qui manque de vinaigrette, sa carafe presque vide, "et puis il n'était pas censé y avoir des anchois dans cette foutue salade?" Elle est contrariée, ce petit con a réussi à lui faire perdre ses moyens. Dès qu'il revient, elle lui demande une carafe d'eau!
Le gros client appelle, le serveur se penche en avant sur sa table pour l'écouter, son cul joliment en évidence, puis débarrasse et part vers la cuisine. "Excusez-m.." Trop tard il a disparu. A son retour il apporte une assiette de profiteroles surmontés de chantilly, la pose en la laissant claquer sur la table. "Garçon!" Son estomac se serre quand il la transperce de ce regard noir qu'ont les hommes du sud..et puis sans qu'elle sache pourquoi cette façon un peu désuète de l'interpeller l'a excitée..
"Madame? -J'aimerais avoir un peu d'eau s'il vous plait. -Tout ce que vous voudrez madame... Vous avez terminé? -Oui. -Un dessert peut être?" Elle réprime un rire nerveux. "Bon calme toi, tout ça est ridicule" s'alarme-t-elle. "...euh.. -Je vous apporte la carte. -euh d'accord."
Après lui avoir tendu la carte des desserts, il sort sur le trottoir fumer une cigarette. Elle lobserve ; il sadresse en riant au gars de la boutique voisine, promène son regard sur les passants, les passantes
et elle sent sa gorge se serrer étrangement, comme si elle était jalouse.
Cinq minutes plus tard il rentre. « Alors, quest-ce qui vous ferez plaisir ? » Elle sent lodeur de a cigarette mêlée à son parfum, un parfum épicé et un peu trop fort.
En baissant sa culotte elle se rend compte de lauréole humide et transparente sur le tissu. Elle se sent rougir, fronce les sourcils.
Elle sort des toilettes, se lave les mains, le regard dans le vide. Elle le fait lentement, comme si elle attendait quil se passe quelque chose
là dans ces chiottes de restaurant modeste, dans cette ville loin de la sienne, là dans sa vie bordel !
Mais il ne se passe rien, elle se sèche les mains, tire la porte.
« Excusez moi ! » Le garçon pousse la porte violemment, la forçant à reculer pour ne pas être assommée. Il referme derrière lui, dégrafe son pantalon sans prêter attention à elle. Elle, interloquée, se demande pourquoi il nattend pas dêtre dans la cabine pour baisser sa braguette. Mais il la baisse devant elle, ainsi que son pantalon et son caleçon. Elle reste figée quand il pose enfin son regard insolent sur elle, prend son sexe au repos dans sa main et décalotte son gland. « Excite moi maintenant. »
Son cur bat douloureusement dans sa poitrine. « Allez ! Ca fait une heure que ten meures denvie, viens là ! -
-Viens là ! » Elle essaye de réfléchir, affolée : « Cest une blague ou quoi ?? » Elle va obéir puis il va la repousser, rire aux éclats
« Allez ! » En deux pas il a son visage presque collé au sien ; plus que sa main puissante sur son épaule, cest son regard noir qui lui ordonne de se baisser. A genoux sur le carrelage, elle ne le quitte pas des yeux, le souffle coupé. Il touche négligemment sa joue avec son pénis. « Cest maintenant ou jamais. » Est-ce lui qui a parlé ou son esprit qui sagite ? Là maintenant, le sol dur sous ses genoux, lodeur de ce sexe si prés de son visage, elle ne sait plus comment elle en est arrivé là ; est-ce vrai quelle en meure denvie depuis une heure ?
en tout cas maintenant cest vrai.
Elle ouvre la bouche craintivement, goûte le bout de son gland, avance ses lèvres sur cette peau veinée et douce ; ses lèvres sont sèches, elle les mouille avec sa langue. Il enfonce son sexe dans sa bouche. « Avale la pendant quelle est à demi molle. » Elle sexécute, sent le gland qui sécrase contre les parois de sa gorge. Elle reprend sa respiration avec difficulté ; il lui colle son pubis contre le nez, et soudain force sa gorge, qui aspire pendant une seconde le bout de sa bite. Un spasme soulève la poitrine de la femme, il se retire instantanément. « Putain tu mas avalé la teub. » Elle nen revient pas, elle navait jamais senti un pénis pénétrer sa bouche aussi profondément. Elle en veut encore.
Cest elle cette fois qui vient chercher son sexe et laspire à fond ; mais le membre a déjà doublé de volume, impossible de pousser le gland nouvellement rigide contre sa glotte. Un spasme survient pour la deuxième fois, elle le repousse puis se laisse forcer la bouche de nouveau. Il vient taper au fond, elle ne parvient plus à avaler sa salive qui commence à goutter à chacun de ses va et vient. « Jaime comme tu me trempes la bite. » Il accentue ses mouvements en lui tenant la tête, et alors quelle shabitue à ce traitement, lui écrase les narines entre son pouce et son index. « Taime te faire baiser la bouche comme ça ? » Suffoquée elle tente de reculer sa tête mais il empale toujours plus loin son membre en la tenant fermement. Il se retire enfin, elle tousse en lui lançant un regard plein de reproches. Au maximum de son érection, son sexe est vraiment beau, long et volumineux, une grosse veine le parcoure tel un serpent. Le jeune homme la saisit par le bras, la relève énergiquement.
Il soulève sa robe et glisse doucement ses doigts dans sa culotte. « Tes toute mouillée ! » dit il dans un souffle. « Tu sens comme ton clito est gonflé ? » Dun gémissement elle acquiesce. Il lui baisse son sous vêtement, mais elle serre soudain les genoux.
Il sapproche delle, glisse ses doigts entre les lèvres de son sexe, tâte son clitoris dur et sensible. Il colle son gland contre louverture de son vagin, lenduit de sa cyprine.
« Tu veux que je te la mette ? » Elle est gênée quil lui parle aussi vulgairement ; elle, elle a toujours fait lamour dans le respect mutuel, la discrétion et -
« Tu veux ? oui. »
Le gland senfonce doucement dans son vagin, qui sécarte progressivement pour laisser entrer cette belle bite dans son entier. Elle gémit, elle na pas lhabitude de cette position qui la rend complètement ouverte. Il commence ses va et vient, alterne les pénétrations profondes et les allers et venues rapides du bout de son gland dans lentrée de son vagin ; il joue littéralement avec sa chatte. Elle a limpression que son vagin attendait dêtre rempli de la sorte, elle se cambre pour accueillir cette bite encore plus loin.
Soudain il lui soulève une jambe dont il pose le genou sur le rebord du lavabo. Elle sent quelle est baisée à fond ; son clitoris semble sur le point dexploser.
Elle se met à gémir de plus en plus fort ; lassurance de ce jeune homme lui donne les moyens doublier la gène, le client en bas, le cuisinier ou dieu sait qui dautre qui pourrait lentendre.
(à suivre...)
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