Mon Nounours
Putain, il était quand même temps quil sorte de chez sa compagne, car cela fait quasi une heure que je suis en ville et bien quétant arrivée avec 15 heures davance, je ne peux mempêcher de me le faire, mon Nounours, et je tiens à le surprendre dès quil sort de chez elle. En fait je la connais de loin, et en gros, elle lui fait honneur à lui, mon amant, qui me ramène à chaque instant passé avec lui à une vie plus normale, en me redécouvrant femme, ce que javais quasi oublié depuis quasi 20 ans de vie de mère, mariée à un connard qui na eu de cesse de me démolir mentalement.
On je sens quil va falloir que je vous explique
rien de bien sorcier, mais jai quand même eu le sursaut de courage de planter ce trouduc de mari et par la même occasion mes deux moufflets qui sabîmaient leur avenir à rater leur études post-secondaires, trop occupé à singer leur paternel dans lart de brasser du vide, mais sans avoir le même talent que leur géniteur. Sans parler de leur aptitude à mépriser les femmes de cette familles, à un tel point quils sont plus que probablement toujours puceaux. Donc après avoir plaqué tout ce (très) petit monde, je me trouvais tout de même encore moralement au 36ième dessous, mais en transfert direct du 40ième ; et donc je men confiais à une de mes rares amies qui avait résisté à lisolement que mon trouduc dex avait tenté dopérer autour de moi. Ce nétait que ma dixième séance de geignement auprès delle et elle avait une patience dange à mécouter. Devant un café, elle ma parlé dune soirée chez une amie, où il y aurait un type invité qui avait déjà fait des miracles auprès de deux amies à elle. Bien quelle ne soit pas sur delle sur que cela puisse se faire, elle ma tout de même invitée à venir avec elle, mais habillée en jupe longue et quasi pas fardée comme les autres greluches. Sexy, mais sobre, quoi. Je suis loin dêtre moche et mon état mental délabré ne se reflète pas (encore) sur mon physique, qui pourtant pourrait être celui dune mère approchant la 50-aine qui aurait pu sabandonner encore pire dans les circonstances qui furent les miennes ; donc pas trop mal foutue avec des rides mais pas de rondeurs exagérées.
Arrivée à cette soirée semi-mondaine où lon se flatte et méprise à la fois, lendroit est peuplé à quasi 3 femmes pour un homme « potable » (définissez « potable » en 100 lignes maxi, un quart dheure
top chrono
), et donc je me dis que cest un coup dans leau, surtout que cela regorge de pétasso-pouffiases, qui dépensent la moitié de leur semaines à leur physique. Pourtant il y a un mec qui sort du lot, définitivement hors ton niveau vestimentaire, avec sa dégaine daventurier. Mais il a lair quand même à laise, du moins il parvient à cacher son ennui dêtre là autour dun public XXXX, bien quil sait se complaire volontairement aussi dans le rôle de lours mal léché envers les prétentieuses, comme jai pu le voir. Je crois quil a vu que lon était plus ou moins sur la même longueur donde et sest amené avec son verre et lon a discuté, et la connexion fut assez directe
exactement le genre de type à qui je fais confiance et que je sais quil ne me décevra pas
et je ne suis pas la seule dans ce cas-là, si jen juge par les regards portés sur lui par mes compétitrices.
Bien quà priori, il ne soit pas vraiment mon genre, il est physiquement pas mal, loin dêtre un Apollon, même sil fait un peu homme des bois avec ses cheveux longs tombant sur ses épaules et dans son dos, mais relativement courts aux oreilles et au-dessus. La barbe de 10 jours lui va comme un gant, ainsi que son T-shirt noir et jeans délavé et baskets noires hautes, qui lui donnent un air entre étudiant et Hells Angel. Cest un moitié-Canadien (ce qui confirme un peu son statut dours grizzly), et il est scientifique, sans se prendre la tête ou même être universitaire. Même sil ne parle pas des masses, sa conversation est fascinante et totalement anti-conformiste ; et pourtant ce type écoute comme quasi-personne, pose les bonnes questions, devinant quasi par magie où vous voulez en venir, rendant une jérémiade des trois heure en un condensé de 5 minutes.
Bref, cela fait quasi un an quil est mon amant et quil soit avec une autre (surtout quelle est superbe et loin dêtre conne) ne me dérange pas du tout : cest même ce que je recherche, car pour linstant je ne veux pas dun mec dans ma vie pour essayer de la réglementer. Mais si jen voulais un, ce serait lui, et de connaître un tant soit peu sa compagne, je sais quelle est heureuse comme pas possible, surtout quelle nest pas jalouse non plus.
On arrive à la fin de notre accord tacite et bientôt, nous ne nous verrons probablement, car il estime (enfin nous estimons) que je suis prête pour avoir dautre relations, que je sais ne seront pas exclusivement hétéro, car il ma convaincu dessayer avec dautres femmes, pour encore parfaire ma découverte de mon propre corps et sexualité. Bon, merci mesdames (et messieurs
mais prenez en de la graine) davoir patienté à travers mes explications scabreuses, mais essentielles pour moi.
Donc, en sortant de chez elle, par ce froid de canard, en marchant paisiblement avec son long manteau en cuir sur sa veste de jeans et son chapeau à la Jimi Hendrix, tout de bleu clair et noir vêtu, mon sexe senflamme instantanément, car il a une allure folle avec une élégance certaine, qui colle parfaitement à ce quil est. Au moment de rentrer dans sa bagnole, il me voit, jette un oeil à la façade du bâtiment duquel il est sorti, puis vient à ma rencontre et memmène hors de vue. Nos lèvres sécrasent et il sent « elle », mais cela mexcite encore plus: je le veux comme tel, le plus vite possible. Jai mon sac avec moi et on file chez lui, dans son appart, sobre et élégant, masculin mais bien tenu (du moins pour un mec seul) juste à son image, quoi. Une de ses plus grande qualité, cest sa connaissance musicale (je crois quil joue de la guitare) et ses choix musicaux reflètent entièrement sa personnalité, des trucs tout à fait inhabituels (pour ne pas dire franchement obscur), mais parfaitement à propos, et pas juste pour les joutes XDXDX. Avec son nectar secret de thé glacé au bord du lit, un éclairage bougie, il est tout simplement divin, procédant par des caresses et des baisers qui me font sortir de es gonds sexuels. Il me le faut tout de suite, donc je lempêche daller se rincer pour ne pas mimposer sa légitime et ses restes sur lui, mais je le pousse sur le lit et lui fait comprendre que je le veux comme il est et jai une telle soif de sa semence. Cela ne fait pas vingt minutes quil a quitté sa compagne et en dégrafant son jeans, je sens quelle a laissé son empreinte partout sur son entrejambe, et cela mexcite encore plus de savoir quil la fait jouir intensément, elle aussi.
Son sexe est en train de regagner une belle forme, cette belle tige assez épaisse, mais pas trop longue (il est sans doute dans la moyenne) surmonté dun gland énorme violacé et circoncis et mes mains nont plus grand-chose à faire pour quil se dresse à travers son slip, duquel il déborde aisément. Ny tenant plus, je promène ma langue sur sa hampe via le tissu, humant son odeur et celle de femelle dessus, et puis je le fais bondir en dehors. Son odeur à elle est divine aussi, et je crois que je naurais aucun mal à lui faire minette, elle qui accueille ce superbe pieu de chair, si un jour je devais changer davis, mais cest vraiment hors de question. Donc leurs odeurs respectives se mariant aussi bien, quils ne font un beau couple. Cest clair que ces deux-là sont fait pour sentendre, donc pas question de foutre le bordel là.
Je sais quil aime particulièrement bien que ma langue se promène sur la grosse veine sur la face inférieure de son phallus, alors que mes mains se promènent partout sur ses fesses et son torse. Je prends son gland en bouche (cest le plus difficile) et le suce/nettoie avidement des jus de son accouplement précédent. CRAVATE ESPAGNOLE
Jai tellement envie de lui tel quil est, que jhésite à nettoyer sa tige plus loin, car il ne me dérangerait pas davoir sa présence à elle au plus profond de mon intimité non plus, mais là, je crois que je déraille, et donc je me contenterai de lavoir en bouche. Javance petit à petit son braquemart dans ma bouche et le ressort de temps en temps. Quel bonheur davoir la bouche remplie de sa présence bienfaitrice, et bientôt je lai au maximum de mes possibilité et salive un maximum, de façon à faire que ma bouche lemprisonne comme si cétait un vagin avec un organe lingual qui sentoure autant que possible autour de cet envahisseur bienvenu. Je le fait basculer sur le coté et lui fait écarter les jambes, posant ma tête sur une de ses cuisses encore sportive en guise de coussin. Mais mains se promènent partout sur son corps (sans lui donner la possibilité de réciproquer autre que ses mains sur ma tête), mais aussi dans ma propre intimité qui suinte de jus damour. Mes doigts se promènent entre ses fesses et explore un peu sa raie culière et frôle son anneau fripé, une caresse quil accepte sans broncher; alors que je sais que une énorme quantité dhomme moins bien mâle refuseraient, par manque ou par peur. Cest un plaisir récent que je me suis découvert, cest lenvie dêtre pénétratrice de ce corps qui me pénètre si souvent, une envie de me hisser à son égal en amour, même si cest impossible. En amant idéal et attentif, il la compris accepte volontiers et écarte ses jambes pour me faciliter encore plus laccès. Jabandonne son sexe quelques instants pour promener ma langues sur ses bourses et plus loin sur son périnée, pendant que je malaxe ses fesses comme je peux. Puis, je change de position et me met tête-bêche et lui présente mon sexe et il installe sa tête sur ma cuisse, lutilisant comme un coussin.
Il commence doucement à soccuper de mon entrejambe, pendant que moi jai dépassé son périnée avec ma langue et jai rejoins mes doigts sur son anus. Je me mets à saliver rien quà lidée que je serais la première à venir lui faire une feuille de rose comme il men a déjà fait tant, et doucement jhumecte et adoucit les alentours. Mes doigts font des allers retours entre mon sexe en feu et son anneau et petit à petit ma langue entrouvre cet endroit encore vierge de tout intrusion. Je me surprends un peu à effec réellement ce dont je ne faisais que fantasmer avant, alors que je nétais pas sure dêtre capable de le faire. Mais sa propreté quasi immaculée (et bientôt enculée) mencourage à y aller fraîchement, ayant comme référence ce quil ma faitXXX, jy aventure un index bien lubrifié. Celui-ci peut déjà faire son chemin entre son sphincter, mais ja rajoute une bonne rasade de salive dans la demi ouverture, ce qui provoque un frisson dans son corps et son orifice souvre pour accepter mon doigt en entier. Je reprends son sexe en bouche, et il me semble quil a encore augmenté depuis mes explorations anales. De son coté, il est en train de faire la fête à mon entrejambe comme il le fait si bien, sa langue sur mon petit bouton, deux doigts dans ma fente et déjà deux dans mon fondement.
Je décide de passer à la vitesse supérieure, et jintroduis un deuxième doigts dans son conduits si étroit et cela provoque un électrochoc de plaisir dans son corps et je sens arriver son liquide pré-éjaculatoire venir parfumer mon gosier. Pour calmer le jeu, je laisse sa hampe un instant et prends ses testicules en bouche, et les suçoter une à la fois, pour encore les stimuler et les encourager à me lâcher une grosse livraison. Dès que je le reprends en bouche, jaccélère mes pénétration culières, ce qui le rend fou, et en moins de temps quil ne faut pour lécrire, je sens sa semence monter et parcourir la longueur de sa hampe et séchapper de son gros gland, pour se retrouver dans le fond de mon gosier. Je me fais un devoir de tout garder en bouche et davaler ce que je ne peux pas faire la place, vu que son braquemart occupe limmense majorité de ma bouche. Mes agaceries ont dailleurs bien fonctionné, vu que son éjaculation est fort importante, surtout en sachant quil y à, peine une heure, il était dans sa légitime.
Quand je lui ai tout pompé, je relâche son chibre et laisse sa semence tapisser entièrement ma bouche, en me délectant de ce goût que jai appris à aimer. Je nai pas beaucoup le temps de savourer, car il parviens à me faire jouir incontrôlablement et je me retrouve a le repousser pour me recroqueviller sur moi-même en subissant des séries de spasmes qui ont lair de prendre quelques minutes. Putain, quest-ce quil est doué !!! On sallonge lun près de lautre et je lembrasse en le forçant un peu à goûter le fruit de sa propre jouissance. Je remarque quil est absolument trempé et je réalise quune fois de plus, il ma fait éjaculer-fontaine, ce qui ne métonne même plus. On se repose, se débarbouille les doigts avec des lingettes, on se réhydrate et se raconte toutes sorte de délires sexuels. Il me confirme que je suis bien la première à emprunter sa petite porte, que cela la bien plus et surtout à joué un rôle dans son éjaculation monstrueuse dans ma bouche. Il me dit quil navait jamais pensé à se faire pénétrer et quil na jamais ressenti dattraction homo, mais quil aurait bien voulu de mon pieu, si jen avais eu un et se faire remplir le fondement de mon foutre-fontaine. Il considèrerait cela comme un juste retour des choses, mais ne lenvisage quavec moi. Je lui dis que je fantasme un peu sordidement de me faire faire encore un autre orifice (agrandir et approfondir mon nombril) dans lequel il pourrait aussi se soulager, que je voudrais que sa semence se mêle avec mon sang et dautre noirceur du genre. Cest fou le genre de conneries que je sais lui raconter, et que je nenvisagerait même pas en dehors de sa présence.
Après avoir changé la musique et fait un brin de toilette, on se rallonge sur son lit et je lenjambe et décide de le stimuler avec mes seins plutôt lourds. Je promène mes pointes sur son torse et sur ses joues et lèvres, puis jenferme son visage entre mes deux seins, je les fais ballotter latéralement de façon à ce quils sécrasent doucement sur ses joues, puis me relevant un peu à ces que mes tétons dur comme du béton effleurent ses lèvres. Heureusement que le reste de mes seins sont moins dur et plus doux, bien quils soient encore assez fermes. Petit à petit je descends sur son corps et je joue avec son nombril en lui faisant lamour et lui introduisant mes tétons. Cest dingue ce que je suis inspirée ce soir et mon improvisations sont vraiment réussie. Continuant ma progression, je descend du lit et magenouille devant son sexe et je lagace avec mes rondeurs douces sur sa bite qui se redresse comme XXX. Jemprisonne ce pal de chair dans les miennes et le fait coulisser entre mes globes que jai légèrement lubrifiés sur les faces internes, puis je change et lenfouis sous mon sein gauche que jécrase un peu pour parfaire mon emprise. Jamais son organe naura été aussi près de ma tocante et si je le pouvais, je marrangerais bien quil sen rapproche encore; cest encore un de mes fantasmes bizarres: je rêve que son pieu puisse carrément venir se frotter à ma source de vie.
Ny tenant plus, je regrimpe sur lui et je mempale sur sa bitte et je mauto-ramone le con en le chevauchant, dabord de face puis en me retournant pour lui présenter mon derrière dans toute sa splendeur. Me prenant à demi-mot, il commence à me malaxer les fesses, puis entreprend de redécouvrir mon petit trou damour. Ses doigts remplis de salive ont vite fait de me re-lubrifier et il soccupe de me lélargir pour pouvoir me lhonorer. Ses efforts ne sont pas évidents, car je continue à le sauter et donc les gestes et intentions sont parfois interrompue, mais il parvient bientôt a glisser trois doigt dedans, ce qui logiquement est suffisant (vu son épaisseur) pour quil me sodomise sans me blesser. Rien quà lidée de me faire enculer, je jouis une nouvelle fois, mais je chancelle et je sais que je naurais pas la force de mempaler sur lui par larrière. Toujours aussi attentif, il le remarque, me soulève de sa bitte flamboyante et mallonge sur le ventre sur le matelas. Il se place entre mes jambes et les écarte gentiment et ré-inspecte mon anneau en écartant mes fesses et y déposant de la salive ainsi que sur sa queue. Il me fait écarter moi-même mes fesses et y fourre sa langue aussi profond que possible et me fouille tout les recoins, me faisant chavirer. Quel bonheur de le sentir me faire le truc le plus intime possible entre amant.
Donc, d'un léger coup de rein, il parvient à rentrer le gland de sa verge dans mon petit trou, mais c'est très serré, et je il est un peu contraint d'y aller à la hussarde, mais sans brutalité aucune. D'un grand coup de rein, il force un peu le passage et se retrouve avec son chibre à moitié enfoncé dans mes entrailles, et n'ayant plus trop le choix, il continue jusqu'au bout, provoquant une légère paralysie de mon corps. Une fois arrivé au fond, il ne bouge plus, laissant mon corps s'habi à cette présence intruse et permettant à mes chairs de s'écarter pour lui faire place, pendant que son sexe reprend un volume plus conséquent, car en rentrant dans un endroit aussi serré, il s'est débarrassé d'une bonne partie de son sang. Nous retrouvons notre état sexuel ensemble et une fois que je suis habituée à sa présence là, il se retire doucement par étape, sortant doucement de ma croupe et, bien que lubrifiée, je sens que ton conduit n'est pas encore fort habitué à sa présence. Il hésite à sortir complètement de moi, et se résout à rajouter un peu de beurre sur et atour de son chibre et dans mon petit trou et celui-ci fondant instantanément (je le sens fondre et couler jusque profond on moi), rendant nos chairs vraiment très glissantes. Il se renfonce en moi de manière facile et déconcertante et ceci sans provoquer la moindre douleur chez moi et commence à m'arracher des gémissements de bonheur, qui le rassurent et l'invitent à continuer.
Je suis maintenant de nouveau complètement abandonnée à lui comme avant et offerte à tous ses désirs de mâle et le fait de voir ceci renforce son érection encore. il glisse et savoure lentement chaque pénétration centimètre par centimètre dans la chaleur, la douceur et la moiteur de mes entrailles; tout en me remerciant de mon accueil si généreux et confiant dans un endroit où jamais un autre que lui n'est jamais allé. Je parviens à renter des doigts dans ma mimine et instinctivement je tâte la paroi arrière pour sentir mon envahisseur bienvenu, sentant les allées et venues de sa hampe et surtout son gland énorme. Jen profite pour lui faire des petites agaceries à travers mes chairs, ce qui le rend dingue et lencourage encore. Une ou deux fois, il sarrête encore pour éviter de ne juter trop vite, et lors de la reprise, jen profite pour augmenter son plaisir, cette fois-ci en contractant tout mes muscles pelvien pour rendre plus difficile ses reculs et les relâchant pour ses pénétrations.
Ceci ne fait que renforcer ses ardeurs et il me pénètre l'anus de plus en plus vigoureusement et profondément et se retire franchement, à un tel point que j'ai un peu peur quil retourne mes chairs comme une chaussette, mais tout va bien (il glisse extraordinairement bien dans mon conduit) et il continue avec tendresse pendant encore un certain temps. Il ressort entièrement de ma croupe une ou deux fois, pour contempler l'orifice béant et surtout me permettre de reprendre composition, avant de replonger doucement dans ma plus-si-petite porte et puis sentant sa sève monter dans mon sexe, il s'enfonce comme jamais dans mes entrailles et bientôt lâche des giclées de semence dans mes intestins. Encore une ou deux pénétrations dans mon colon à chaque fois ponctuée d'une giclée et il se vide totalement en toi, pendant que mon corps joui dans des soubresauts qui doivent en dire long sur la force de tes orgasmes successifs. Mazette, quelle enculade!!
Exténué, il essaie de ne pas s'écrouler sur moi, qui es à moitié dans le cirage, et il nous laisse glisser sur le coté en mentraînant par le bassin, son dard encore fiché dans mes entrailles. Nous passons quelques minutes à récupérer, lui toujours sans déculer, car son pieu est vraiment trop bien dans mon fondement, et je voudrais qu'il y reste le plus longtemps possible. Mais suite à son flétrissement partiel, mes chairs finissent par regagner le terrain qu'elles lui avaient laissé si gentiment conquérir. il finis par sortir de moi et il en profite pour mettre des baisers partout sur ma croupe et jeter un il dans mes entrailles qui se referment et qui demain auront repris leurs formes habituelles et tout sera à recommencer. Je suis heureuse que rien ne séchappe de mon anus, car jespère bien garder sa semence en moi suffisamment longtemps, pour quelle se mélange avec celles que jai avalée il y une heure. Jai donc accomplis les 2/3 de mon envie et jai vingt heures pour le faire jouir dans ma grotte officielle.
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