Owner's Suite 7114
Owner's Suite 7114
Ma femme et moi et un couple d'amis sommes sur un navire de croisières qui a quitté le port de Buenos Aires.
Le lendemain, nous avons fait escale à Montevideo en Uruguay.
Nous sommes en mer pour les deux prochains jours.
Depuis notre départ de Buenos Aires, nous avons pris nos déjeuners au restaurant terrasse du 9e étage situé à l'arrière du navire.
Lors du déjeuner de notre premier jour en mer, je me lève pour quitter la table afin de me rendre à la salle de toilettes des hommes située au bout du restaurant intérieur attenant au restaurant terrasse.
« Je m'en vais à la toilette puis je vais me rendre au gymnase. Je vais te retrouver plus tard à la piscine. »
« À bientôt! »
Tout en me dirigeant vers la salle de toilettes, je ne remarque pas le présence d'un homme qui me suit.
J'entre dans le salle de toilettes.
L'homme entre à ma suite.
Je m'installe devant l'urinoir du centre.
L'autre homme s'installe devant l'urinoir situé à ma droite.
Je suis en train d'uriner lorsque je sens que quelque chose frôle ma fesse droite.
Je jette un coup d'il à ma droite et je constate que l'homme qui est à ma droite me regarde.
Il n'en faut pas plus pour que je sois troublé.
Je baisse les yeux pour ne pas affronté son regard.
L'homme s'adresse à moi en anglais:
« You want to be suck? »
Sa demande me trouble au plus haut point.
« You want to suck me? »
« Yes, I want to suck your dick. »
« Not here? »
« Surely not; follow me outside the restrooms. »
Je suis l'homme à l'extérieur de la salle de toilettes. Nous nous dirigeons vers les cages d'ascenseurs qui sont situées en face des escaliers qui relient tous les étages de la section arrière du navire.
Je suis l'homme dans l'escalier et nous nous arrêtons sur le premier palier situé entre le 9e et le 8e étage.
« My stateroom's number is 7114. »
« I don't speak English very well. »
« It's not a problem: my friend speak French. I want that you come at my stateroom with the white dressing gown and slippers that you have in your stateroom.. Is it ok? »
« It's ok but when? »
L'homme met sa main droite dans la poche droite de son pantalon et en sort un tube ressemblant à un tube de pâte à dents.
Il me le tend tout en me regardant dans les yeux.
« You know what is it? »
Mon regard quitte celui de l'homme pour tendre ma main droite et prendre le tube qu'il me tend.
Je jette un coup d'il sur le tube qu'il me tend.
Je devine immédiatement à quoi sert ce produit.
Je sais pertinemment bien que si je consens à utiliser le produit que l'homme me tend, ça équivaut à lui dire que je suis prêt à accepter de me faire sodomiser.
Mon regard croise à nouveau celui de l'homme:
« Yes, I know this type of product. »
« You accept to use it? »
Je lui fait « Oui » de la tête et je met le tube dans la poche.
L'homme sourit. Il met cette fois sa main gauche dans la poche gauche de son pantalon et en sort une canule scellée dans une enveloppe de plastique clair.
Il me tend l'enveloppe.
Je la prend de la main gauche et je la dissimule aussitôt dans la poche gauche de mon pantalon.
« Go to your staterom and phone me 7114 when you will be ready.
L'homme et moi descendons par l'escalier jusqu'au 7e étage.
Nous nous quittons non sans qu'il me dise:
« Don't be too long! »
Il avance sa main droite et elle touche la braguette de mon pantalon.
Ma réaction ne peut dissimuler mon état d'âme.
Je prend une rapide respiration et je clignote des yeux:
« I'll be at your room in about 45 minutes. »
À l'instant même, je me dis:
« Tu viens d'accepter de livrer ton corps à un couple homosexuel probablement à la recherche de plaisirs pervers.
Nerveusement, je continue de descendre jusqu'au 4e étage niveau où ma chambre est située.
Lorsque j'arrive à ma chambre, cette dernière a été faite et tout est propre à l'intérieur.
Je sort le tube et la canule des poches de mon pantalon et je les dépose sur le lit. Je verrouille la porte de ma chambre pour m'assurer que personne ne puisse entrer même avec une carte magnétique.
Je retire la canule de son enveloppe, je dévisse le bouchon du tube contenant un produit pour un lavement et je fixe la canule au bout du tube.
Je place le tout au pied du lit
Seul avec moi-même, c'est à ce moment précis que je réalise l'ampleur de la décision que j'ai prise et du geste que je m'apprête à faire.
Je dénoue les boutons de ma chemise et je l'enlève. Je retire mes souliers de me pieds et j'enlève mes bas.
Je dénoue la bouche de la ceinture de mon pantalon, je baisse le fermoir-éclair de ma braguette, je laisse choir mon pantalon par terre, je le dégage de mes pieds et je le place sur le dos d'une chaise.
Je passe ma main droite sur le devant ce mon caleçon. Mon pénis a un début d'érection.
Je baisse mon caleçon et je la laisse choir par terre. Je le dégage du bout de mon pied droit. Je suis complètement nu.
Je m'avance de quelques pas et je me place devant un miroir: ça me plait de me voir nu avec mon pénis en légère érection.
Je me dis: « Mon corps devrait leur plaire. »
L'appartement contenant la toilette, le lavabo et la douche étant exigu, je préfère me donner le lavement sur le tapis de la chambre à coucher.
Je me place à coté du lit, je m'agenouille sur le tapis du plancher. De ma main droite, je prend la canule sur le pied du lit et je la place par terre à coté de moi.
Je me penche vers l'avant jusqu'à ce que mon front touche le tapis.
Je prend la canule entre les doigts de ma main droite et j'en dirige la pointe vers ma rosace.
Des doigts de ma main gauche, je facilite l'accès à ma rosace.
Une fois que je sens la pointe de la canule au milieu de ma rosace, je la fais pénétrer dans mes entrailles aussi loin que je peux avant de déplacer ma main vers le centre du tube et d'appliquer une forte pression pour que tout le liquide pénètre dans mes entrailles.
Quand je sens que le tube est vide, je le retire de mes entrailles et je le dépose par terre.
Je demeure en position pour empêcher que le liquide ne sorte de mes entrailles.
La douleur commence à se faire sentir dans mes entrailles: je la supporte.
Au bout d'un certain temps, la douleur devient insoutenable: je me lève et je vais m'asseoir sur le cabinet d'aisance.
Presqu'aussitôt, mes entrailles se libèrent de tout ce qu'elles contenaient.
Ensuite, je me lave les cheveux et je prend une douche.
Je m'essuie, je me fais sécher les cheveux, je me fais la barbe et je me peigne.
Je sort de cet appartement et c'est alors que je me remémore les directives de l'homme: robe de chambre blanche, pantoufles blanches.
Avant de revêtir ma robe de chambre et mes pantoufles, je vais me placer devant le miroir pour vérifier que mon corps puisse plaire à mes hôtes: mes cheveux poivre et sel sont bien peignés, ma barbe est fraichement coupée, mon poids de 155 livres est bien proportionné à ma grandeur de 5 pieds 9 pouces, et mon ventre est relativement plat.
Je suis satisfait de mon apparence d'autant plus que je ne fais réellement pas mon âge de 71 ans.
Mon corps devrait plaire à mes hôtes.
Pensant les exciter un peu plus, je commence par mettre un caleçon blanc immaculé avant d'enfiler ma robe de chambre et mes pantoufles.
Je crois que je satisfait maintenant aux demandes de l'homme.
Je me dis: « Tu dois maintenant aller te livrer aux occupants de la chambre 7114. »
Pour aider à chasser mon anxiété, je prend de profondes respirations avant de prendre le téléphone et de composer le 7114.
Cette fois c'est un interlocuteur qui parle français qui me répond.
Hello! »
« Je peux monter à votre chambre? »
« Bien entendu, nous vous attendons. »
Je quitte ma chambre en espérant ne pas rencontrer trop de monde et surtout pas ma femme. Je me dirige rapidement au bout du couloir des chambres tribord du niveau 4 et je commande l'ascenseur.
Il arrive au bout de quelques secondes et heureusement, il est vide.
Je pousse sur le bouton de l'étage 7.
Les portes se ferment et heureusement, l'ascenseur monte directement au 7e étage.
Je quitte rapidement l'ascenseur et je me dirige vers le corridor bâbord qui mène aux chambres paires.
Je prend le corridor vers l'arrière du navire.
Je constate que la chambre 7114 est située complètement au bout du corridor.
Située à cet endroit, il faut que cette chambre soit une suite.
Je me rend jusqu'à la chambre et je frappe à la porte.
La personne qui m'ouvre m'apparait beaucoup plus jeune que l'homme qui m'a accosté dans les toilettes des hommes.
Cette personne, elle est d'une rare beauté: ses cheveux sont dissimulés par une serviette nouée derrière sa tête. Elle porte une robe de chambre de couleur or qui touche par terre, laissant à peine deviné les sandales or à talons hauts qu'elle chausse.
Je me demande: est-ce un homme, une femme ou encore un travestie.
« Bonjour, je suis Alexa! »
« Bonjour Alexa. Mon prénom est Paul »
« Entrez, Paul, je vous en prie! »
« Merci! »
« Paul, suivez-moi! »
Je me retrouve dans le salon de la suite.
Je ne vois pas l'homme qui m'a accosté.
« Vous êtes seul? »
« Non, Jim, mon copain, vous attend sur la véranda. Je vous y conduis. »
Je suis cette personne: elle me fait passer à coté du lit au dessus duquel je remarque la présence d'un grand miroir puis elle me guide vers l'immense véranda extérieure à l'abri de tout regard indiscret.
« Jim, Paul, our guest. »
« Paul, welcome in our Suite. Come here !»
« Thank you Sir. » Je m'approche de l'homme et je constate qu'il est étendu entièrement nu dans une chaise longue.
Tout en sirotant un Martini, je vois qu'il se masturbe lentement et que son pénis est en pleine érection.
« You like my dick? »
« Yes Sir! »
« Get on your knees and give a kiss to my dick. »
J'hésite à faire ce qu'il me demande.
« Get on your knees. »
Je m'agenouille le long de la chaise longue, à un endroit qui puisse me permettre de satisfaire à la demande de l'homme.
« Bend down over my dick. »
J'approche ma bouche très près de son pénis. Il sent bon et il est circoncis.
Je préfère les pénis circoncis.
L'homme enlève sa main de sur son pénis en pleine érection.
Son membre se tient à la verticale.
« Kiss it. »
Je place ma main droite autour de son pénis et je pose mes lèvres sur le bout de son gland.
« Lick it. »
Tout en continuant à tenir le pénis de l'homme entre mes doigts, je commence par passer ma langue sur le bout de son gland avant de l'insérer délicatement entre les lèvres de son méat.
« Great! Now, open your mouth. »
Je pense:
« Il veut se faire sucer! »
J'ouvre la bouche et je m'apprête à le satisfaire quand il me dit:
« No, not now. »
Je relève ma tête.
« Alexa is waiting for you. »
Je tourne la tête et je vois Alexa. Elle est étendue sur une chaise longue. Sa robe de chambre est légèrement entre-ouverte laissant entrevoir une culotte en satin doré.
Je me dis:
« Un homme ne porte généralement pas ce genre de vêtements, à moins que..... »
« Approches-toi de moi! »
Tout en demeurant agenouillé, je m'approche.
Elle écarte un peu plus les jambes me permettant de discerner la bosse que dissimule sa culotte.
Je pense:
« Cette personne ne peut être qu'une travestie, mais comme elle est belle! »
Je suis toujours à l'admirer quand elle me dit:
« Lève-toi que je vérifie certaines choses. »
Je me lève face à elle.
« Tu as respecté les demandes de mon copain Jim? »
« Je me suis donné un lavement, j'ai pris une douche, je me suis lavé les cheveux et je me suis rasé la barbe. J'ai ensuite revêtu la robe de chambre et les pantoufles blanches que ton copain m'a demandé de revêtir. »
« Tous semble beau: dénoue le cordon de ta robe de chambre. »
Je m'exécute.
Écarte les pans de ta robe de chambre que je puisse vérifier la qualité de l'appareil qu'elle dissimule. »
J'écarte les pans de ma robe de chambre.
Au lieu de voir mon pénis, Alexa voit mon caleçon blanc.
« Très mauvais pour ta santé: tu n'as pas respecté les demandes de mon copain. Il ne fallait surtout pas que tu dissimules ton pénis derrière cette pièce de linge. Tu vas devoir souffrir pour payer cette faute grave. »
« Je pensais que vous apprécieriez que je porte ce caleçon blanc immaculé signe de mon entière soumission à ce que vous me réserviez. »
« Il ne fallait pas. »
« Qu'allez-vous m'infliger comme punition que je m'y conditionne? »
« Un seul mot: Fisting. »
« Non, pas ça? »
« Regarde mes mains: elles sont étroites et élancées. Avant que tu nous quittes, je les aurez introduites toutes les deux dans ton cul. Maintenant, enlève ton caleçon que je puisse voir ton pénis et en apprécié la taille. »
Je baisse mon caleçon, je laisse choir par terre et je l'écarte de mes pieds.
« Avance-toi un peu vers moi. »
Je m'approche d'Alexa.
« Ton pénis est beau et très propre. Tes poils sont bien taillés et bien rasés. Approche-toi encore un peu plus que je te sente. »
Je m'approche jusqu'à ce que le bout de mon pénis soit très près de son visage.
« Il sens bon. »
« Merci! »
Du bout des doigts, Alexa prend le bout du gland et elle fait ouvrir les lèves du méat.
« Tu t'es déjà fait introduire des tiges métalliques dans l'urètre? »
« Oui! »
« Tu as aimé? »
« Beaucoup! »
« Masturbe-toi un peu devant moi. »
Pour qu'elle me voit bien faire, je passe ma main gauche sous mon pénis et je l'entoure de mes doigts.
Je commence à me masturber très lentement, puis un peu plus vite.
L'érection de mon pénis ne se fait pas tarder.
« Laisse-moi m'en occuper. »
Je retire ma main.
Elle prend mon pénis entre le pouce et l'index de sa main gauche directement à la naissance du gland et le serre fortement.
Mon gland prend de l'ampleur
Alexa approche sa bouche du bout de mon gland et tout en le maintenant fermement entre ses doigts, elle le mord avec force.
« Aaahhhhhhhhh! »
Mes jambes ont de la peine à me supporter; je me laisse tomber à genoux.
« J'aime causer ce genre de souffrances aux hommes qui me plaisent. »
« Merci de m'avoir fait souffrir. »
Je me penche et je vais baiser lascivement la cuisse droite d'Alexa à la jonction du bord de sa culotte.
« Tu aimes mes jambes? »
De vrais belles jambes de femmes sans aucun poil, des mollets bien galbés et des chevilles fines.
« Elles sont magnifiques! »
« Tu veux me les caresser? »
« Oui, je veux te les caresser et je voudrais également caresser le bijou qui semble se cacher sous le devant de ta belle culotte de satin doré. »
« Le bijou que tu soupçonne sous le devant de ma culotte, il t'est réservé mais pour plus tard juste avant que je me serve de mes mains pour t'infliger ta punition. »
J'écarte un peu plus un pan de sa robe de chambre et je lui dégage complètement sa jambe droite.
Je pose ma main droite sur le haut de sa cuisse droite et je caresse sa jambe sur toute sa longueur en descendant ma main droite tranquillement jusqu'à sa cheville.
« Tu fantasme sur les pieds? »
« Sur les beaux pieds. »
« Les miens? »
« Oui, je fantasme sur tes pieds! »
Je pose ma main droite sur la sandale de son pied droit.
« Tu as de vrais beaux pieds de femme. Tes orteils sont graciles et bien manucurés. J'aime le vernis de couleur or pour les orteils. »
« Enlèves ma sandale droite. »
Je m'exécute et je la dépose sur le plancher.
« La gauche maintenant! »
Je retire la sandale de son pied gauche et je la dépose à son tour sur le plancher.
« Sens mes pieds. »
Je me penche au-dessus de ses pieds et je prend une profonde respiration.
« Ils sentent bon! »
« Embrasse le dessus de mon pied droit. »
Je penche la tête et je pose mes lèvres sur le dessus de son pied droit.
« Lèche le. »
Je sort ma langue et je la passe sur le dessus de son pied, de la cheville à la naissance de ses orteils.
« Lèche le dessous de mon pied. »
Je lève son pied droit et je le maintien dans le creux de ma main droite au niveau du talon d'Achille. J'approche ma bouche. Je pose ma langue sur l'arrière de son talon droit et je le lèche sur toute sa surface puis je fais glisser ma langue partout le long de la voûte plantaire jusqu'à ce que finalement ma langue atteigne son appui antérieur que je lèche et que je mordille.
« C'est très bon: lèche moi les orteils, passe ta langue entre et suce les un à un. »
Je déplace ma main droite du talon d'Achille à la voûte plantaire que je maintiens solidement.
J'ouvre la bouche et j'introduis toutes les orteils dans ma bouche. Je passe ma langue sur chacune et entre chacune. Je les mordille au passage.
Les réactions d'Alexa trahissent ses émotions.
Sa respiration se saccade: elle devient de plus en plus rapide.
Je retire son pied de ma bouche et tout en continuant à le maintenir fermement, je m'attaque à son gros orteil que je suce avec force et que je mordille à plusieurs reprises à la naissance de l'ongle.
« Oui, c'est bon, fais-moi mal un peu! »
Je place son gros orteil dans ma bouche de sorte que mes dents puissent morde les cotés de l'orteil et non le dessus de son ongle.
Je serre un peu les dents pour lui permettre de deviner ce qui l'attend.
« Laisse-moi le temps de prendre une profonde respiration. »
C'est le signal qu'elle accepte ce que je vais lui faire.
Je lui laisse le temps de prendre sa respiration.
Je sers les dents avec force contre les cotés de son orteil.
Tous les muscles de son corps se crispent instantanément.
Je lui mord le gros orteil que pendant quelques secondes.
Je desserre ensuite les dents et je lui suce le gros orteil avec une force décuplée.
Je sens ses muscles se détendre.
Je sors son gros orteil de ma bouche et je la regarde en souriant.
« Je sais que tu vas me la remettre au centuple, mais je l'accepte. »
« Tu m'as procuré une jouissance qu'aucun homme m'a procuré à ce jour. »
« La prochaine fois que tu m'inviteras dans ta suite, je m'occuperai de ton autre pied. »
« J'ai déjà hâte à cette prochaine fois. Maintenant si tu t'occupais de mon copain Jim avant que je m'occupe de toi? »
« Jim, are you waiting for Paul? »
« Sure, come here, Paul. »
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