Nos Aventures Aux Antilles (3)
Nos aventures aux Antilles (3)
Récit de jean
A mon retour de la douche, le derrière en feu, nous avons pris lapéro ; je voyais bien quune certaine tension sétait établie et je ne fus pas surpris quand René pris congé, alors que nous avions prévu une sortie en boite ; il promit de revenir après le diner, ce dont je nétais pas très sur ; sans importance pour nous, bien au contraire, cela nous permettrait de nous retrouver tous les deux, ce que nous apprécions particulièrement après nos escapades.
Après son départ, Mico se blottit contre moi et jeus lexplication de ce départ. Après mon départ pour la douche, René avait proposer à Mico de passer la nuit seule avec lui ou même avec des copains qui avaient tous un gros sexe ;mais sans moi, car avait-il dit que sans aucun doute leurs queues lui apporteraient plus de plaisir que la mienne ; et cela avait froissé Mico qui avait vertement répondu que pour nous cette situation nétait quun jeu et en aucun cas un manque de plaisir et que la grosseur dune queue en soit ne fait pas tout ; Mico vexée pour moi lavait assez fermement remis à sa place. Devant sa mine déconfite , je pars dun grand éclat de rire et de lui expliquer que je navais aucun complexe sur les dimensions de ma queue (un bon 18 quand même)et que le principal pour moi était le plaisir que nous prenions ensemble et que si cela lui plaisait de passer une soirée avec lui, cela ne me dérangeait pas, à condition de remettre les points sur les i , auparavant avec lui. Nous parlons de cette nuit et de cette journée et petit à petit Mico se détend ; il faut reconnaitre quil a su nous donner du plaisir et que le reste ne compte pas ; finalement elle espère quil va venir pour sortir en boite. Nous sortons pour trouver un bon restaurant ; un bon repas bien arrosé plus tard, nous rentrons quand René reprend contact avec nous et nous propose la sortie prévue ; un rapide regard vers Mico et je lui donne mon accord.
23 h, il passe nous prendre au bungalow ; pour loccasion, Mico a mis un petit corsage blanc, transparent avec en dessus sur soutien gorge en dentelle ; on devine la pointe de ses seins ; sous sa jupe noire, un string ficelle, qui même devant, ne cache pas grand-chose ; finement maquillée, légèrement parfumée elle est resplendissante et en la regardant, mon bonheur quelle soit ma femme est immense.
La boite en question est typiquement antillaise, le décor, la musique, les danseurs ; nous sommes les seuls blancs et il ny a que deux couples antillais ; une table nous est réservée, discrète, en léger retrait, mais aussi très bien placée car elle permet de voir toute la salle ; en arrivant il nous présente à quelques danseurs et à leurs regards, je crois comprendre quil na pas été très discret ; même si cela ne me gène pas, ici nous ne sommes pas connus ,mais je nen apprécie pas le principe. Jinvite Mico a dansé et joublie le reste ; je la caresse tendrement quand René vient se joindre à nous ; il se plaque derrière elle et ses mains enserrent ses seins ; dabord surprise, coincée entre nous eux, Mico commence à vibrer et elle ronronne de plaisir ; ses lèvres se posent tantôt sur les miennes, tantôt sur celle de René. La piste est occupée par un jeune couple antillais et autour surtout des hommes qui nous regardent ; dans un coin de la salle, le deuxième couple se plote sans gène. Je comprends mieux pourquoi René est revenu, cette boite me semble libertine ; je pense que la soirée va être chaude.
Le corsage est vite ouvert, laissant apparaitre le soutien gorge ; les pointes sont tendues, je les titille à travers la fine dentelle ; Mico maintenant se livre à nos caresses ; le tête renversée sur lépaule de René, offerte, les jambes écartées ; les pans de sa robe sécartent quand elle bouge et ses cuisses se découvrent ; cest moi qui la dégrafe et la jupe tombe à ses pieds ; son corps est presque nus et les hommes se sont rapprochés du bord de la piste ; nous ne dansons plus ; elle se cambre, offrant son pubis à la vue de tous ; me mettant à genoux, je lui embrasse le ventre, mes doigts écartent les bords du string ; ses lèvres sont à portée de ma bouche et ma langue vient lui lécher le minou ; elle réagit aussitôt et ses gémissements doivent être entendu des voyeurs ; le jeune couple sest rapproché de nous ; le fille est aussi dévêtue, seul son string est en place.
« Tu dois être en manque car à part une nana, tu nas rien fait » ; je lui avoue que certains mont fait envie, mais ne nai pas osé sachant que ici, la sodomie entre homme nest pas toujours bien acceptée.
« nous nous aimons cela et tu vas y passer avec nous deux » je vois en effet que les deux pantalons sont tendus et javoue que cela ne me déplait, même si je sais que je vais déguster ; ils sont tous les deux faces à moi, le sexe sorti de leurs pantalons ; les deux bandent et je les empoigne pour les branler ; mais ce nest pas ce quils veulent et se mettant debout, ils me présentent leurs bites à sucer ; à tour de rôle, je les embouche et jessaie de ne pas aller trop loin ; je ne peux les engloutir , ils sont trop gros et quand , ils essaient de se branler entre mes lèvres , je mets ma main entre les deux ; malgré cela, ils senfoncent au plus profond ; lautre main saventure sur leurs couilles et je les maltraites, les tirailles, les enserres fortement ; me libérant, je leur lèche le gland et titille le méat, puis à nouveau je les gobes ; ils essaient de mettre les deux glands en même temps, mais cela ne passe pas ; je suis vite à poil et leurs mains sinvitent dans mon sillon, mécartant les fesses, ils me triturent lanneau, puis me prenant par le bras, ils me tirent dans la deuxième chambre et me jettent sur le lit, à plat ventre ; leurs queues sont maintenant en pleine érections et je constate que la deuxième na rien à envier ; un peu plus courte, mais épaisse, parcourue par une grosse veine, le gland turgescent. Les doigts vrillent mon anneau, le violent sans ménagement ; René ma fourré sa queue entre les lèvres alors que lautre dilate mon anus en crachant dessus et en infiltrant deux ,puis trois doigts ; il me retourne et me remontant les jambes, il engage son gland, pousse puis se retire pour mieux lubrifier avec sa salive et engageant à nouveau son gland, il pousse sans ménagement ; je sens lanneau résister ;je lui demande de sarrêter, mais il nen tiens pas compte , bien au contraire, dun coup de rein, il mencule à fond, ses couilles frappent mon fessier ; la douleur me vrille le ventre, je crie, me débat, mais rien ny fait, bien au contraire « « tu voulais te faire baiser, tu vas être satisfait ; quand jaurais fini, tu en voudras encore, petite frappe » » il accompagne ses paroles de grands coups qui me résonnent dans les entrailles, il me laboure le conduit, pendant que René me prend par la bouche ; je suis prisonnier de ces deux zobs , mais au fond le plaisir monte ; la douleur est là ; je ne sens plus ; elle passe au second plan car la jouissance arrive, déferle et me submerge ; je ne peux plus sucer René car je cris mon bonheur ; soudain un jet chaud me remplit le cul, il jouit bruyamment « tes un bon coup , autant que ta femme que jai ramoné cette nuit » » loin de me vexer, ces paroles mexcitent et jai envie quil continue et quand il se retire, cest avec envie que je me tourne vers René « prends moi, jai envie de ton zob, défonce moi « je nai pas longtemps à attendre ; dune seule poussée , il me pénètre, et même si jai le trou plein de sperme , jai le souffle coupé pas une simple douleur, mais limpression que mon anneau va éclater .
« Tes aussi bon que ta femme
..elle va être en manque ; cest une bonne salope
cette nuit je vais te la prendre pour lui faire passer une nuit quelle noubliera pas
. Elle va en prendre partout et elle va en redemander « « il accompagne ses paroles de claques sur le fesses ; loin de perturber, cela mexcite de plus en plus ; je ne sens plus la douleur et son zob me déclenche des vagues de chaleur.
« « Tu aimes une grosse bite, si tu veux demain je tenvoie des mecs qui vont ten mettre plein le cul »
« « Vient Paul on va lui en mettre deux dans le cul » » sen ai trop pour moi, je ne pourrai pas me faire mettre en double et jessaie de me retirer ; mais il me cramponne et me prenant les cheveux, il me tire la tête en arrière ; heureusement Paul sans doute excité par la scène et ma bouche qui le sucer, vient jouir et son sperme sétale sur mon visage ; déçu René redouble de force et de vitesse. Jai le derrière en feu et je ne sens plus mon anneau tellement il est dilaté ; « « remplis moi, donne ta jute, vides tes couilles « « enfin il se libère et ses jets me déclenchent une nouvelle jouissance, brutale, bruyante qui me laissa pantois.
Retour au calme, et jai envie de retrouver ma petite Mico qui dort profondément malgré le raffut ; les deux comparses voudraient la réveiller, mais je ne cède pas ; pour ce soir cela suffit ; nous verrons demain et encore. Après leur départ, je vais rejoindre Mico et je me colle contre elle ; à demi réveillée, elle frotte ses fesses contre mon ventre : « prend moi , jai envie de toi « ma main part à laventure dans son entre jambe ; elle se met le sur dos et mes doigt sinfiltrent dans sa chatte ; elle est encore poisseuse, tellement elle a pris du foudre pendant la soirée ; sa main masse doucement mon sexe qui reprend de la vigueur ;lui remontant les jambes, je me glisse doucement entre ses lèvres rouges et gonflées ; elle gémit et pourtant sa chatte est encore toute humide, puis peu à peu elle se détend , son plaisir arrive petit à petit, et ses gémissements maintenant traduise une douce jouissance ; je me repends en elle, et mallongeant à son coté je commence à lui raconter ma soirée ; sa respiration sest ralentie, elle dort !
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