Hervé Et Marie (4)

HERVE ET MARIE (suite3)


Le dernier week-end nous a apporté à nouveau le beau temps et par la même occasion, les bienfaits de la piscine chez nos amis hervé et marie ;il fait 24° dehors et l’eau est à 28, un vrai bonheur ; la journée se termine et Mico est encore dans le bain, avec hervé et son fils, un gaillard du même gabarit que son père ; 1m90, environ 120 kg , un corps musclé par la compétition de judo ; pour ma part , je suis rentrer sous la véranda, un verre à la main ; d’où je suis-je vois parfaitement le bain s’ébattent les deux hommes ; après un regard vers son fils, qui en réalité ne s’occupe pas deux, hervé se rapproche de Mico et la ceinturant , il la plaque le long du bord, se collant contre elle ; elle se débat, sans beaucoup de conviction, surtout en raison de la présence de Franck ; manifestement hervé n’en tient pas compte car son corps se frotte de plus en plus et je ne vois plus ses mains ; où il est , lui à pied, pas Mico ; elle ne se défend plus, agrippée au rebord, elle se laisse aller sans doute aux caresses d’hervé, Franck lui a repéré le manège et dans son coin, il observe son père peloter Mico ; d’où je suis-je ne vois que les mains sur les seins , mais je suppose qu’il doit frotter son sexe contre elle sans un regard pour son fils, hervé sort du bain en entrainant Mico par la main ; son slip est déformé par une grosse bosse et celui de Mico n’est plus à sa place, enfoncé entre la raie des fesses, signe qu’il a du lui caresser la moule, le haut du maillot remonté, découvrant ses seins. Ils s’étendent sur les coussins le long du bassin et ignorant la présence de son fils qui s’est rapproché, il retire son slip de bain, laissant apparaitre une queue que je connais bien, lourde, épaisse de gros calibre, et selon son habitude sans autre préambule, il enfonce brutalement sa bite dans la chatte Mico encaisse le chibre une grimace aux coins des lèvres ; toujours aussi peu doux, il la pistonne avec fureur, déclenchant rapidement la jouissance de sa partenaire Franck est sorti du bain, une grosse bosse dans la slip ; comme son père, il doit avoir un gros membre ; il se rapproche deux en se caressant le sexe à travers son slip de bain ; celui-ci déborde et 10 bons centimètres sortent de l’élastique ;sous la vigoureuse pénétration Mico rugit de plaisir, écartant au maximum les cuisses pour faciliter la saillie, et pour la deuxième fois elle jouit sous la possession bestiale ; hésitant Frank s’est approché et le voyant, Mico tend la main vers le membre tendu et sen emparant, elle le masturbe, laissant apparaitre un gland violacé ,de gros diamètre manifestement les deux hommes conversent et après un signe d’accord de Mico, Franck s’allonge sur le dos et Mico se libérant de l’emprise d’hervé vient se planter sur le sexe tendu ; pourtant déjà dilaté par hervé , je constate que Mico s’empale doucement sur le sexe offert ; petit à petit sa chatte engloutit le gourdin et son visage traduit la difficulté de la pénétration le sexe doit être au moins aussi gros sinon plus que celui de son père ; enfin ses fesses touchent le bassin et petit à petit elle commence à le branler avec sa vulve ; il l’att par les épaules et la plaquant sur sa poitrine , il prend à sa charge de rythmer la pénétration, lui donnant de grands coups de reins dans cette position, elle offre une vue grand large sur son anneau et hervé prend aussitôt l’initiative , lui graissant le sillon avec de la salive ; puis son doigt s’enfonce dans le conduit qu’il triture , puis rapidement , il se retire et présente son gland an bord de l’anneau ; Mico a compris qu’il allait l’enculer sans précaution, et elle se débat afin d’éviter le gland ravageur ; rien n’y fait et hervé, d’une seule poussée la pénètre, faisant éclater la résistance de l’anneau ; un hurlement déchire l’air ; la douleur doit être énorme car Mico supplie hervé d’arrêter n’en tenant pas compte, il continue sa poussée, s’enfonçant jusqu’à la garde ; je suis prêt à intervenir quand soudain Mico, malgré la douleur les encourage de la voix « vas-y défonce moi……, j’aime ta bite dans mon cul ……… prenez-moi comme une pute …….

j’aime quand vous me défoncez » ses cris entrecoupent ses paroles ; je retourne dans mon observatoire et je me masturbe doucement ; je ne veux pas encore jouir car le spectacle retire toute mon attention ; maintenant les deux hommes la baissent alternant leurs mouvement ; la double pénétration transporte vite Mico ; elle jouit en continue ; elle doit être dilatée au maximum car les deux membres sont conséquents et le souvenir de celui d’hervé lors de notre sortie me stimule et j’accentue ma branlette, les jets de spermes se répandant sur le carrelage ; un grondement jaillit des lèvres de Franck qui doit jouir car j’entends Mico le solliciter « vas-y remplir moi….. Je sens ta gosse queue lâcher ta purée …..Putain c’est chaud encore,…. baise moi encore « lui ne bouge plus le corps tendu se vidant dans sa chatte ; hervé suit bientôt, enfoncé jusqu’aux couilles, il se vide en beuglant son plaisir ; Mico ne se contient plus « « putain hervé t’es vraiment un salaud , mais ta bite me comble à chaque fois et celle de ton fils me donne des envies « je suis sur que jean qui nous regarde doit lui aussi penser la même chose » je rebande à nouveau et je m’apprête à les rejoindre quand une main emprisonne mon sexe. Je me retourne et je découvre une jeune femme, la trentaine, en slip, les seins à l’air ; gros au moins 110, et malgré leur taille les deux globes sont ronds et fermes, de grosses pointes au milieu d’une auréole brune ; les pointes sont saillantes ; sans être très joli, son visage est plein de soleil, souriant ; c’est en résumé une jolie brune, qui manifestement n’a pas froid aux yeux. C’est la femme de Frank
« de ma chambre, j’ai assisté aux ébats, ta femme a fait le plein de plaisir ; je me suis caressée et ma chatte est prête pour que tu me prennes » joignant le geste à la parole, elle se retourne et en se penchant, elle se plante ma queue entre les lèvres de sa chatte ; l’agrippant par les épaules , je m’enfonce dans le conduit déjà plein de cyprine et rapidement je la laboure ; il n’en faut pas plus pour lui faire remonter le plaisir et ses gémissements emplissent la véranda mes mains ont quitté ses épaules et elles s’attaquent à ses seins , lui pinçant les tétons ; son mari , alerté par les cris de sa jouissance vient de rentrer et il nous regarde ;
« Je t’ai vu tout à l’heure et je prends mon pied ; sa queue me remplie et je vais jouir » se plantant à fond sur ma queue, elle m’agrippe les fesses « remplie moi …… je veux sentir ta jute » il ne m’en faut pas plus et je me répands dans ses entrailles, les couilles collées à ses fesses ; Franck a pris le visage de sa femme entre ses mains et tendrement, il lui pose un doux baiser sur les lèvres :
« Invitons jean et sa femme à diner ce soir, et si tu veux papa, puisque marie n’est pas là ce soir, tu peux te joindre à nous, il y a de la place pour tout le monde »
La soirée va être chaude (à suivre)