Un Si Bel Été, Et Ses Suites (2)
Après des vacances, jétais bien décidé à ne pas rester sur cette unique expérience. Agnès mavait fait prendre conscience que des femmes matures pouvaient être sensibles à ma jeunesse et comme cétait vers elles quallait mon attirance, tout aurait dû être pour le mieux. Restait un problème de taille : comment les aborder ? En effet, cet été cétait Agnès qui avait pris linitiative. Les semaines passaient, jévoquais les femmes de mon entourage susceptibles daccepter mes avances et je narrivais pas à trancher.
Je pensais à mes deux tantes, qui alimentaient depuis longtemps mes fantasmes. Elles avaient lune et lautre lavantage (mais en était-ce vraiment un ?) dêtre proches. Aline, de trois ans plus âgée que ma mère, belle femme élégante mais à lallure assez stricte, professeur de maths, mimpressionnait un peu. Mariée, deux fils plus vieux que moi, il était peu probable quelle trompe mon oncle, et qui plus est avec son neveu plus jeune que ses propres s. En revanche Julie, la cadette, était célibataire, ou plutôt divorcée. Cétait une petite brune très sexy, rieuse et pétillante. Quand jétais petit, elle avait souvent eu loccasion de venir me garder les soirs où ma mère devait sortir. Jaimais particulièrement quelle me donne mon bain. Elle jouait parfois en toute innocence ( ? ) avec mon zizi et elle avait dailleurs été à lorigine de mes premières érections. Mais javais grandi et cela avait pris fin. Alors elle, peut-être ? Je narrivais pas me décider.
Cest alors que survint ce qui allait mettre fin à ces tergiversations. Un samedi doctobre, ma mère étant à la librairie où elle travaillait avec sa sur, jétais seul quand on sonna avec insistance. Cest Cécile, lamie de maman, qui entre en trombe, jette ses sacs sur le canapé et se précipite vers la salle de bain : « Vite ! Jai une terrible envie de faire pipi ! »
Quand elle en ressort, elle ôte son élégant blouson, se laisse tomber dans un fauteuil et me demande : « Tu ne veux pas me faire un thé, tu seras un ange.
Elle bavarde, mexplique quelle faisait les magasins dans le quartier quand elle avait eu cette envie pressante. Elle me parle de ses emplettes, se lève à mon grand regret, mais elle sort de ses sacs divers articles de lingerie, soutien-gorge, culottes et strings dont elle me vante les mérites. « Les hommes adorent ça, me dit-elle, et il faut toujours être prête ! »
Elle sassoit près de moi.
« A ton âge, bien-sûr, on nest pas sensible à tout ça, et je suppose que tes copines portent des petites culottes toutes simples, mais tu verras
»
Ce disant, elle a négligemment posé sa main sur ma cuisse, à proximité immédiate de la bosse que fait mon sexe en érection. Elle me parle toujours mais à présent ses doigts se posent comme par inadvertance sur ma bite raidie, puis exercent de légères pressions, comme pour en éprouver la fermeté. Je reste dabord immobile, ne sachant que faire, mais la pression se faisant plus appuyée et sans ambiguïté, Je rassemble tout mon courage et pose à mon tour la main sur un de ses seins moulés par le fin pullover.
« Ah, tout-de-même ! » me dit-elle en riant.
Elle colle sa bouche à la mienne, nos langues se trouvent et se mêlent, je plote son sein. Pour me faciliter la tâche, elle se débarrasse de son pull et je peux glisser la main sous le soutien-gorge. Je sens son téton durci dans le creux de ma paume. Dune main experte et sans quitter ma bouche, elle a défait le bouton de mon pantalon, fait glisser le zip et sorti ma bite quelle branle lentement. Elle baisse la tête et prend mon gland entre ses lèvres, le suce en continuant à me branler. Je ressens des contractions incontrôlables dans le bas-ventre, je crois que je gémis de plaisir et enfin je jouis.
« A ton tour de me faire jouir, mon petit salaud » me dit-elle en guidant ma tête vers ses cuisses écartées. Sa chatte largement ouverte mest offerte, parfaitement épilée, les lèvres formant deux épais festons de chair dun rose brun de part et dautre du vagin béant aux parois humides allant du rose au rouge vif. Son clitoris proéminant se dresse comme un petit doigt pointé vers moi, presquune bite miniature. Au comble de lexcitation, je colle ma bouche à cette vulve ouverte, ma langue sintroduit le plus profond possible. Cécile respire bruyamment, gémit, prononce des mots crus : « Vas-y, mon salaud, bouffe-moi
Fais-moi jouir
Oui
oui
» Je suce son clitoris comme pour le téter. Elle sagite, à plusieurs soubresauts et pousse un cri « Ouiiii. » tandis que je sens de petits jets poisseux me gicler par à-coups dans la bouche. Elle se détend, se laisse aller. « Ah, petit salaud
petit salaud
»
Nous restons quelques minutes silencieux côte à côte, puis elle regarde sa montre :
« Déjà six heures et demi ! Il faut que je file ! »
Elle se rajuste prestement, tire sur sa jupe, rassemble sacs et blouson. Au moment de franchir la porte elle se retourne : « Cétait pas mal du tout, tu sais. »
Elle ajoute en riant : « Ne parle pas de ça à ta mère ; je ne suis pas certaine quelle apprécie » et disparaît, me laissant tout étourdi, le visage poisseux et en mémoire lodeur de sa chatte, une odeur un peu marine subtilement mêlée à un parfum que jidentifierai plus tard comme étant le mythique N°5 de Chanel.
Au retour de ma mère, je lui dis simplement :
« Cécile est passée. »
Elle me regarde dun air soupçonneux, me semble-t-il :
« Tiens ! Et quest-ce quelle voulait ?
-Elle avait envie de faire pipi.
-Cette Cécile, quel numéro ! » dit ma mère en riant.
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