Camille Episode 4
(Étrange annonce)
Romain est né voilà quatre mois. Nous avons déménagé et habitons un bel et grand appartement, dans un quartier très sympa.
Tout va bien. Une nouvelle vie commence.
Bien sur, jai plus de travail à la maison, mais ce nest pas bien grave. Je suis très heureuse davoir mon bébé, mais japprécie quand même le moment ou il sendort, laprès midi.
Un moment de calme et de répit que je consacre, la plupart du temps, à lordinateur.
Mon appétit sexuel cest calmé depuis mon accouchement. Pourtant, depuis deux trois jours, je surf sur des sites pornos et je dois dire que ca me plais beaucoup.
Sans arrières pensées, je relis aussi toutes les réponses reçues à la suite de mon annonce. Ça fini par mexciter et je me touche en les relisant.
--- Je suis un homme mûr de 62a, bon niveau, bien physiquement (1m78 / 65kg), viril, très bien membré. Je suis disponible pour une rencontre très hot avec un couple amateur de jeux coquins. J'aime regarder, caresser, lécher et sucer longuement de belles fesses et une petite chatte avec gourmandise et délectation, offrir ma belle queue à vos jeux. Sans tabou, je serai votre complice actif et saurai répondre à tous ses désirs. Je reçois, en journée ou soirée, en toute discrétion, dans un appartement agréable et confortable. Hygiène, savoir-vivre et bonne humeur de rigueur !
--- Homme 45 ans. Très bonne situation. Élégant, correct, respectueux, cherche relation avec femme ou jf douce, jolie, très coquine mais bonne éducation. Bienvenu à couples coquin.
--- Je cherche aventure gratuite sans lendemain uniquement pour sexe soft avec femme de 18 à 45 ans en manque de caresses. Je suis libre en journée. Envoi photos sur demande sérieuse. A bientôt
--- Tu veux jouer ? Répond moi vite. Je propose scenario sur mon lieu de travail. 42ans, 1m82, 80kg. Tu ne le regretteras pas.
Lire toutes ces réponses me fait tourner la tête et me fait mouiller comme une salope.
Scenario sur mon lieu de travail. Quest ce quil entend par scenario ?
La curiosité me pique. Les annonces sont accompagnées de numéro de téléphone ou dadresse email. Pour celle-ci, il y a les deux.
Je ne risque pas grand-chose à téléphoner, surtout en mode privé.
Tremblante, je compose le numéro, espérant presque quil ne soit pas bon.
« Société Vilebor, Jérôme Durat, jécoute ? »
« Heu ! Bonjour. Je ne sais pas si je madresse à la bonne personne. Jappelle au sujet dune annonce. »
« Une annonce ? »
« Oui, enfin, non ! Cest au sujet dune réponse faite à une annonce que javais déposé il y a cinq mois. Vous comprenez ? »
« Cinq mois ? Soyez plus clair, je réponds à beaucoup dannonces, vous savez. »
« Cest
au sujet dun scenario. Mais jai du me tromper. Excusez-moi. »
« Ne raccrochez pas ! Cest bien moi qui vous ai répondu. Je ne veux rien savoir de vous, juste quand vous êtes disponible. Un après midi de préférence. Ensuite je vous parlerais du scenario. »
« Heuu ! Je ne sais pas ! Disons quaprès demain, je devrais pouvoir me libérer. »
« Très bien ! Jai peu de temps à vous accorder, là. Donnez moi votre émail et je vous envois un courrier dès ce soir. Ça vous va ? »
Je lui donne ladresse de ma messagerie personnelle et il raccroche. Ouf ! Jai eu peur, mais cétait terriblement excitant.
La journée passe et Fabien rentre enfin. Nous nous occupons de bébé, un film et au lit. Il ne faudrait pas que larrivé dun dans notre vie, nous plonge dans une monotonie triste à mourir. Jen parle à mon Piou-piou.
« Non, bien sur ! Tu a entièrement raison. Il ne faut pas que ca nous empêche de sortir ou de voir nos amis. Avec les grands parents, il y aura toujours moyen de sarranger. »
« Et puis pourquoi pas
nous pourrions refaire une expérience ! Non ? »
« Une expérience ? »
« Heu, oui ! Avec un couple, tu vois ? »
« Hahaha ! Ça te reprend ma chérie ? Tu sais, si cest pour me retaper la honte, je naime autant pas ! »
« Mais nonnn, Piou-piou ! Cétait juste une panne ! Rien de grave.
« Bon ! Nous verrons. En attendant, viens là que je moccupe de ton cas. »
Nous faisons lamour, mais mon esprit est ailleurs. Je ne peux mempêcher de repenser à la petite conversation que jai eu avec cet inconnu, cet après midi.
Le mot « scenario » tourne et retourne dans ma tête.
Fabien est enfin parti au travail. Je naurais jamais cru quun jour, je puisse être pressée de le voir partir. Je moccupe de bébé, puis nous nous installons à lordi.
« Voyons voir ce que nous dit ce monsieur, tu veux ? »
Fiévreusement, jouvre ma messagerie. Jai encore quelques messages en réponse à mon annonce. Incroyable, après autant de temps.
Puis jouvre celui qui indique « Mon scenario »
--- Bonjour.
Si tu te sens toujours prête pour un scenario, voilà les instructions à suivre à la lettre.
Rends-toi jeudi à 16h au 3 rue Marcel Chossin, au siège de Vilebor Compagnie.
Présente-toi à laccueil et demande le bureau de monsieur Jérôme Durat. Lhôtesse te demandera de la part de qui. Répond lui que tu représente la société Le fanion jaune.
Je saurais ainsi que cest toi. Après mavoir prévenu, lhôtesse tindiquera le cheminement jusquà mon bureau. Nen tiens pas compte.
Voilà ton parcours
Après les portillons de sécurité, prends lascenseur de gauche et monte au dix-huitième étage. Prends le couloir de gauche et vas tout au bout. Ouvre la porte du fond et entre dans le petit amphithéâtre qui sert de salle de réunion.
Ne toccupe pas des gens qui sy trouveront surement. Personne ne fera attention à toi.
Traverse lamphi par le haut et rends-toi aux toilettes pour hommes.
Rentre dans la troisième cabine et déshabille toi entièrement, chaussures comprises et dépose le tout sur le réservoir. Si tu a les cheveux longs, je les veux défait.
Ha ! Joubliais ! Emmène une cravate et bande-toi les yeux.
Lorsque tu seras entièrement nue, yeux bandés, tourne toi vers le mur et penche toi au dessus de la cuvette des chiottes.
Bien sur, laisse le loquet de la porte ouvert.
Entre le moment ou tu rentreras dans lamphi et le moment ou tu devras être prête, tu auras cinq minutes, pas plus. Sinon, je te balance à poil dans lamphi. Il te sera très dur de donner une explication valable.
Je te conseille dimprimer mes instructions pour ne pas te tromper.
A jeudi. ---
« Houlà, mon bébé ! Tu crois que ta maman est capable de ca ? »
Mon tout petit gazouille.
« Ça veut dire oui, ca ? Hum ! Je te soupçonne de vouloir voir papi et mamie, toi ! »
La journée se passe normalement, excepté les pauses fréquentes que je maccorde, pour relire le message.
Lorsque Fab rentre, je suis excitée comme une puce, et je lui fais savoir. Mais bien sur, jen garde la cause pour moi. Ceci dit, il en est ravit. Il préfère une femme qui baise à une femme qui matte la télé, cest sur.
Jeudi.
Jai conduit mon ptit bonhomme chez les parents de Fabien. Je lui ai raconté un blabla. Que jallais trainer les magasins avec Valérie, ma meilleure amie. Cest grâce à elle que jai rencontré Fab. Ils sont amis et cest la secrétaire de mon cher beau papa.
Je me suis habillée de façon fonctionnelle afin de faire vite dans les toilettes.
Une robe dété, string, pas de soutien gorge et un manteau.
Les bureaux se trouvent à lautre bout de la ville, dans un quartier daffaires. Je my rends en métro pour ne pas perdre de temps.
Cest en montant dans la rame, que je réalise que je ne me suis jamais posé la question, de savoir si jirais.
Pour moi, ca a été évident dès le moment ou jai lu les consignes à suivre.
Je pénètre enfin dans le grand hall de limmeuble. Au centre, un comptoir ou trois magnifiques hôtesses se partagent le travail. Laccueil.
De chaque coté du comptoir, des tourniquets comme dans le métro. Pour entrer, il faut se présenter.
Mon cur commence à battre fort.
« Bonjour ! Je voudrais voir monsieur Jérôme Durat. »
« Oui ! De la part de qui, sil vous plaît ? »
Et là
le trou noir. Je feins de chercher une carte de visite dans mon sac. Il faut que ca me revienne, que je gagne du temps.
« Votre nom ou celui de votre société suffira. »
Je suis en panique.
« Heuu ! Camille
Camille du dau jaune ! »
Je ne suis pas loin de me sauver en courant.
« Monsieur Durat ? Madame Camille du dau jaune désire vous voir. Oui, cest ca, le dau jaune. »
Mes jambes flageolent. Dans quelle galère ai-je été me fourrer.
« Désolée, madame. Monsieur Durat ne connait pas le nom de votre société. »
Il faut que je me sorte de là.
« Ha bon ? Il ne connait pas le fanion jaune ? Bon
tant pis, je lui téléphonerais. »
« Oups ! Attendez madame ! Vous maviez dit dau, pas fanion ! Hihihi ! Je le rappelle. »
Merde ! Ça mest revenu sans que je men rende compte. Ce coup là, je suis bonne pour aller jusquau bout.
Lhôtesse me dit que jai beaucoup amusé monsieur Durat, et mindique comment me rendre à son bureau et minvite à passer le portillon.
Me voilà dans la place.
Je sors de ma poche, le papier que jai imprimé. Mince ! Je tremble comme une feuille.
Ascenseur de gauche. Un homme monte avec moi.
« Combien, mademoiselle ? »
« Heu ! Dix huit. »
« Je ne demande pas votre âge, mais létage ! Hahaha ! »
« Heuu ! Cest bien létage que je vous indique. »
Le con ! Il me fait rougir.
« Tout comme moi. Cest parti ! Excusez-moi, je voulais plaisanter. »
Pendant lascension, jobserve lhomme. Et si cétait lui ?
Lorsque la porte souvre, il me salut et part sur la droite. Je suis tétanisée et je manque de repartir avec lascenseur. Jen sorts juste à temps.
Couloir de gauche. Dieu quil est long.
Je croise beaucoup demployés. Je suis tellement mal à laise, que jai limpression de ne pas marcher droit et que tout le monde me regarde.
Je parviens enfin à la porte du fond. Elle est doublée de cuir pourpre, avec des clous dorés tout autour.
Je la pousse. Je me retrouve dans une espèce de petit vestibule, avec une seconde porte. Je la pousse également.
Je pénètre dans lamphithéâtre par le bas, et en pleine réunion.
Tous les yeux se tournent vers moi. Jai la honte de ma vie. Je lâche un timide « Excusez moi ! » et je monte le long des rangées. Si jen crois le message, il me reste cinq minutes.
Dans le haut de la salle, il y a une porte de chaque cotés.
A droite Toilettes femmes
A gauche Toilettes hommes
Je me glisse discrètement vers la porte de gauche. Mais un homme en sort. Je marrête net et fais semblant de fouiller dans mon sac.
Sil y a dautres hommes à lintérieur, comment vais-je my prendre ?
Assez réfléchie ! Je fonce et pousse la porte.
Il y a huit cabines à gauche et autant durinoirs à droite et un petit lavabo.
Un, deux, trois. Jouvre la porte et entre.
De la poche de mon manteau, je sors une cravate noire que jai piquée à Fabien. Dailleurs, cest la seule quil ait.
Jenlève mon manteau et le pose sur le réservoir. Je quitte ma robe, mon string et les pose aussi. Tremblante, jenlève mes chaussures, lorsque jentends la porte dentrée des toilettes souvrir.
Je reste pétrifiée, mes chaussures à la main. Ça ne fait pas cinq minutes. Si il ne triche pas, ca ne peux pas être lui.
Je suis glacée.
Jentends des pas, puis un zip de fermeture éclair. Le type sifflote en pissant. Ça dure longtemps. Il a du boire des litres. Et le temps qui tourne. Il ne doit même pas me rester une minute.
Doucement, sans faire de bruit, je pose mes chaussures.
De nouveau un zip, puis la chasse deau. Un robinet coule. Il doit se laver les mains.
Mais soudain !
« Salut Jérôme ! Ça va toi ? »
« Oui, jai réglé le problème de Toulouse ! »
Mince, cest lui et je ne suis pas prête. Je défais à la hâte la broche qui retient mes cheveux. Parle ! Parle encore !
« Cest cool ! Tu vas prendre du galon. »
La poignée de la porte bouge. Il va entrer.
Je passe la cravate sur mes yeux, fais un nud et je me penche, jambe écartées.
« Jespère bien ! Allez salut ! »
La porte dans mon dos souvre, se referme, et jentends le bruit du loquet qui se ferme.
Je suis morte de trouille et contrôle à peine mes tremblements.
Je sursaute lorsque deux mains se posent sur mes hanches et je suis prise de chair de poule.
« Reste muette ! Je ne veux pas entendre le son de ta voix ! »
Les mains caressent doucement mon dos, puis glissent vers mes seins.
« Alors là ! Tu dois être une sacrée salope pour être là. Tu dois être chaude bouillante ! Tu es la première pute à venir, en cinq ans que je fais tourner lannonce sur internet. »
Il malaxe mes seins grossièrement et tire sur mes pointes, à men faire presque mal. Le con !
Je sens un gros paquet toucher mon cul, au travers de son pantalon.
« Et en plus tes super bien gaulée ! Tu me fais bander, pouffiasse ! Quel beau cul ! »
Il glisse une main sous mon ventre et caresse ma chatte.
« Putain ! Tu mouille comme une grosse truie ! Tu vas me bouffer la queue, avant que je tenfile ! Tourne toi et assis toi. »
Je mexécute et il découvre mon visage
« Merde ! Tes une môme ! Tes toute jeune, toi ! Humm, petite salope ! Tu promets toi ! »
Un gros gland humide vient heurter ma bouche. Cest énorme !
Je ne peux mempêcher de le toucher et je comprends ce que Pierre Perret veut dire lorsquil chante : Le zizi musclé chez le routier, Ô gué, ô gué, Se reconnaît à son gros col roulé.
Je souris et je ne peux mempêcher de chantonner dans ma tête.
Il me prend par les cheveux et enfonce son gros boudin entre mes lèvres.
« Ho ! Salope ! Tu suce bien ! »
Mon front cogne sur son ventre. Prise dun doute, je pose mes mains sur ses cuisses.
Cest bien ce que je pensais ! Ce type est gras comme un cochon.
Effectivement, il vaut peut être mieux que je ne le voie pas.
« Camille
Camille ! Cest un prénom de vide couille, ca ! Humm ! Lève-toi sac à foutre ! »
Je recrache son morceau de bidoche et je me lève. Il plaque ses paluches sur mon cul et me colle à lui.
Le salaud me lèche le cou et le visage, puis il plante sa langue entre mes lèvres. Il membrasse de façon répugnante, salivant, crachant dans ma bouche.
Il me broie le cul et essaie de menfoncer un doigt.
« Je vais te faire jouir, ma putain ! Tu ne regretteras pas le voyage, sale pute ! »
Mes seins son écrasés contre lui et son ventre épouse le creux du mien.
Nous tournons et il madosse à la porte. Il lève mes bras et je sens un porte manteau.
« Tiens le et le lâche pas ! »
Il me caresse sans tendresse ni douceur, appuyant sur la moindre parcelle de ma peau. Puis il commence à embrasser mon corps. Il me crache dessus et lèche ensuite, encore et encore. Il est répugnant, mais il mexcite comme une folle.
Je commence à gémir et je respire fort.
« Je savais que taimerais ca, fille de chienne ! »
Soudain, nous entendons le grincement de la porte dentrée.
« Chuttt ! Arrête de couiner ou on va être repéré ! »
Deux types viennent dentrer. Nous les entendons discuter tout en pissant.
Comme un défi, mon gros porc cest accroupi et me bouffe la chatte, tout en branlant mon clito gonflé.
Je me mords les lèvres pour ne pas crier de plaisir. Jouir en silence nest pas facile. Et ces types qui trainent à partir. Jen peux plus.
« Hummmmm ! Rrrahhhhhhh ! »
Par chance, je craque pendant le grincement de la porte.
« Idiote ! Tu veux me faire perdre ma place ? Penche-toi, raclure ! »
Je maccroche au siège du chiotte et jécarte les jambes, reins bien cambrés.
« Humm ! Jadore quand des gobeuses de couilles comme toi, soffrent comme tu le fais ! »
Ses mains écartent mon cul et il se plante dans ma chatte sans préliminaires. Je me sens pleine dun coup. Sil nest pas très long, ce type est super large et la sensation est terrible.
Il me bourre sans complaisance et je jouis très vite et très fort.
« Ho ouiiii ! Cest bonnnn ! »
Je reçois une énorme claque sur le cul.
« Je tavais interdit de parler, salope ! Les voix de putains me font jouir ! Hachhhhh ! »
Je me remplis de foutre chaud comme une bouteille à un robinet. Ce type a une réserve incroyable. Sensation extraordinaire qui me fait jouir de nouveau.
Je ne peux pas tout contenir. Il est encore en moi que du jus déborde de mon vagin.
« Hummmmm ! Cest trop bonnnn ! »
« Conasse ! Ta rien compris ! Tes trop conne ! Tu ne sais pas fermer ta gueule ! Tu ne bouge pas pendant cinq minutes, après, tu peux aller te faire foutre ailleurs ! »
Jentends le loquet de la porte, le grincement de la porte dentrée
et plus rien.
Je reste un instant courbée sur la cuvette des chiottes. Je sens ma chatte se vider et jentends la semence froide qui me quitte, tomber et éclabousser le sol.
Je me demande sil est vraiment parti.
Puis, nentendant rien dautre quune chasse deau qui fuit, je défais mon bandeau.
Je suis nue, chatte dégoulinante, dans une cabine de chiotte dont la porte est ouverte, donnant sur des urinoirs. Je penche la tête hors de la cabine pour vérifier que je suis bien seule.
Jimagine, si quelquun entrait subitement.
Et
cest ce quil se passe.
Un homme rentre précipitamment, la main déjà en train de descendre sa braguette.
Je suis désorientée et surprise. Je nai pas le temps de refermer la porte avant quil ne maperçoive.
Je referme le loquet et me plaque à la porte, le souffle coupé.
« Y a quelquun ? Qui êtes-vous ? Quest ce que vous foutez à poil dans les chiottes ? » Jatt ma robe et je la passe sen prendre le temps de la reboutonner, puis je mets mes chaussures.
« Mademoiselle ? Je peux vous aider ? »
« Heuu ! Non ! Tout va bien ! Je me suis trompée de toilettes. Je suis désolée. »
Jenfile mon manteau et je sors, rouge de honte.
Le type est en train de pisser. Il tourne la tête vers moi. Lorsque jouvre la porte, mon manteau et ma robe souvre et il me revoit nue. Je ne lui laisse pas le temps de réagir et je file dans lamphi en courant. Il est vide.
Je cours appeler lascenseur, me rafistole et finis de reboutonner ma robe en lattendant.
Lorsque jarrive dans le hall, jai retrouvé un rythme cardiaque à peu près normal.
Cest la sortie des bureaux et il y a beaucoup de monde.
Et si Jérôme Durat était là.
Je guette des hommes emprunt dembonpoint qui pourraient me regarder étrangement.
Jen vois. Jen vois même beaucoup, mais, rien ne me laisse penser que le foutre qui est encore en moi, appartient à un de ceux là.
Cest dans le métro qui me ramène, que je réagis que le Jérôme Durat ma piqué mon string et ma broche à cheveux.
Je fais un saut chez mes beaux parents pour récupérer mon bébé, mais ils ont décidés de le garder un peu.
Cest donc seule que je rentre à la maison. Une surprise de taille my attend.
« Piou-piou ? Tu es déjà rentré ? »
Il est dans le canapé, une main bandée.
« Ho ! Quest ce qui tes arrivé ? »
« Rien de grave. Il ny a pas de casse. Jai pris un poids sur la main. Mais ca vas aller. Jai huit jours darrêt de travail. Et toi, tu étais ou ? Ou est Romain ? »
« Chez tes parents. Je suis allée faire les magasins avec Valérie. »
« Valérie ? Ah bon ? Je te cherchais, je viens de lappeler, elle ta pas vu. Tétais ou ? »
Aille ! Ça pue pour moi. Je penche la tête. Je ne sais plus quoi dire.
« Tenfonce pas dans des mensonges. Dis-moi la vérité, ca vaut mieux ! »
Je prends mon courage à deux mains. Je ne dois pas lui mentir, il a raison.
Jallume lordi et cherche lannonce.
--- Tu veux jouer ? Répond moi vite. Je propose scenario sur mon lieu de travail. 42ans, 1m82, 80kg. Tu ne le regretteras pas. ---
« Voilà ! Jai répondu à cette annonce. Je suis désolée Fab. Je tai fait cocu. Je nai pas dexcuse. Jai tellement honte. Pardonne-moi, je ten supplie ! »
Je me prépare à une scène, mais une autre surprise mattend.
« Viens avec moi ! »
Il me prend par la main et mentraine dans la chambre.
« Déshabille-toi ! »
« Non Fab ! Ce nest pas
»
Je nai pas le temps de finir ma phrase. Il tire sur ma robe et tous les boutons sautent.
« Tu ne porte rien en dessous ? »
« Si, mais
il me les a volé. »
« Enlève ca et allonge toi ! »
Par peur de le contrarier davantage, je lui obéis. Il se déshabille aussi et se couche sur moi.
« Tu es encore pleine de ce mec ? »
« Oui, enfin non ! Je suis
oui, je suis souillée. Je suis sale. »
Il me maintient les mains au dessus de la tête et me pénètre lentement.
« Dis-moi tout ! Comment ca cest passé ? »
« Et bien, il ma dis daller dans les toilettes et
»
« Non, non Camille ! Raconte-moi tout dans le moindre détail. »
Il a une étrange lueur dans les yeux.
« Et bien, quand jai vu lannonce, je lui ai téléphoné
Cest dans le métro que jai réagi que Jérôme Durat mavait piqué mon string et ma broche à cheveux. »
Durant mes aveux détaillés, Fabien ma pénétré doucement, lentement. Puis.
« Hooo, ma Camille ! Je taime tant ! Je mélange mon foutre au sien, en toi, et je veux quil en soit ainsi à chaque fois. Je suis ton cocu mon amour. »
« Mon cocu ? »
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