Soumission D'Un Soir

J’ai écris et envoyé ma première histoire à HDS, et je l’ai dis à ma femme le sujet étant l’annonce d’une femme au foyer délaissée par son mari. La première réaction de ma femme fut de ma demander si c’était seulement une histoire, hé oui c’est une histoire qui ma bien fait bander, car cela me donne de drôle de sensation d’écrire et je sens ma bite se durcir dans mon slip, et de temps en tant je me décalotte le gland et je me coince la bite entre l’élastique du slip et ma peau, je sens le tissus de mon pantalon sur la peau de mon gland c’est très excitant.
Après que ma femme eut lu ma première histoire elle me dit je voudrai que tu écrives une autre histoire sur nous, sur moi, oui ma salope sur toi il y à beaucoup à écrire.
Ma femme est une grosse salope elle à beaucoup de qualités mais un très gros défaut, elle aime se faire défoncer comme une salope mais jamais elle osera faire le premier pas, dommage. Mais il ne faut pas que je lui mette le martinet entre les mains mes fesses sans souviennent encore, mais quel bonheur.
Cela ce passait un soir de cet été, il était passé 23 h car elle revenait de conduire son cousin au train, en son absence j’avais préparé un petit scénario de ma composition, au programme soumission de ma belle salope, comme j’adore la soumettre lui ordonner de prendre des positions très hard de l’insulter comme une grosse salope qu’elle est, et j’ai une grande perversion pour l’attacher et la fouetter, j’avais préparé sur la table le martinet des godes et à un crochet à la poutre j’avais fixé une corde, avec deux sangles à son extrémité pour les poignets, j’avais éteins les lumières, passé un peignoir et assis je l’attendais. L’attente ne fut pas longue, lorsqu’elle arrivât elle fût surprise de me voir dans le noir, me demandant ce que je faisais, je lui dis que je l’attendais, en lui ordonnant de se mettre en sous vêtements, elle portait un soutien gorge et une culotte noire, et me levant je lui pris ces mains pour les passer dans les liens de la corde, elle ne disait rien car elle savait que lorsque j’avais décidé de la soumettre il valait mieux qu’elle obéisse, à notre contrat de soumission que nous avions passés depuis déjà longtemps.

Une fois ces poignets ligotés je tirais sur la corde pour lui monter les bras et repassant la corde je la lui mis dans ces mains lui disant de bien la tenir que je ne voulais pas qu’elle la lâche. J’en profitais pour l’embrasser sur la bouche lui disant qu’elle était ma grosse salope et que j’étais fier de sa soumission, je lui caressais ces seins et bien sur elle avait les tétons en érections j’en profitais pour les lui pincer, elle est assez sensible des seins mais résiste très bien aux pinces et au martinet aussi, surtout elle aime se surpasser de plus en plus. Lui passant derrière je lui retirais sa culotte entièrement, et je revins m’asseoir devant elle, en prenant le martinet au passage, la laissant ainsi je jouais à faire tourner le martinet au dessus de ma tête, lui ordonnant d’écarter les jambes je remontais mon pieds entre ces cuisses jusqu'à sa chatte que je caressais avec mon gros orteil, j’ouvris mon peignoir et j’entrepris de me caresser ma bite qui était bien en érection, elle me regardait me masturber j’ai bien envi de me faire jouir et de te laisser la comme une salope qui attend je ne sais quoi, toujours en me caressant je décidais de lui donner quelques coups de martinet d’abord sur le ventre les jambes et entre les cuisses pour enfin m’occuper de sa chatte je me levais pour la fouetter les cuisses bien écartées en prenant bien soins de faire glisser les lanières de cuir sur sa chatte en remontant sur les fesses, elle commençait à se dandiner, les coups n’était pas fort, lui passant la main sur la chatte entre les coups je constatais qu’elle mouillait un maximum, tu es excitais ma belle salope que je lui fis remarquer, oui beaucoup Maître me répondit elle, je suis très excitais. Je laissais le martinet pour un gode long en forme de bite que je fis glissais entre ces deux belles paires de cuisses en cherchant l’entrée de sa grotte d’amour la caressant par des vas et viens je n’ai pas eu du mal à lui introduire tellement elle mouillait, petit à petit il disparut entièrement dans sa chatte elle se dandinait se débattait mais ne pouvait éviter l’assaut de ce corps étranger dans sa chatte elle haletait comme une chienne pour enfin jouir, lui retirant le gode je lui fis sentir lui disant tiens salope sens ta chatte il sens la chienne, maintenant tu vas un peu me donner du plaisir et souffrir pour ton Maître et joignant le geste à la parole je pris le martinet et prenant du recul je lui donnais quelques coups sur son cul, ce qui la fit sursauter et pousser un petit cri, je venais me placer devant elle pour lui fouetter sa poitrine opulente, elle à de beaux seins gros en forme de poire, après l’avoir fouetté quelques fois, je lui empoignais ses nichons pour les faire passer par-dessus son soutien gorge ce qui les fis encore plus gros, et je repris la flagellation une fois à gauche une à droite, alors qu’ils commençaient à rougir je décidais d’arrêter un peu, tu peux lâcher ta corde que je lui dis, et je la détachais, et la fis s’asseoir, ainsi je me trouvais à hauteur de sa figure pour me faire une pipe, prenant ma bite je lui dis, tiens maintenant c’est à moi de jouir tu vas me sucer comme tu sais le faire,