Camille Episode 5

(Cocu un jour, cocu toujours)
« Je suis ton cocu mon amour. »
« Mon cocu ? »

Nous avons usé beaucoup de salive à ce sujet. J’ai eu énormément de mal à comprendre le plaisir de Fabien à être cocu.
Je me demande même, si lui aussi a bien comprit ce qui lui arrive.
Mais, petit à petit, l’idée a fait son chemin et j’ai décidé de m’en servir et de prendre le pouvoir sur mon homme.
C’est ainsi que je lui ai interdit de me baiser, si je ne suis pas pleine de la souillure d’un autre mâle.
Une nouvelle complicité est née entre nous. Étrange et perverse.
Il m’a donné une liberté sexuelle totale et j’ai bien l’intention de l’utiliser.
A part ca, nous nous comportons comme un couple normal. Nous sortons, nous voyons nos amis, mais reste en permanence, mes envies sous-jacentes de sexe.
Depuis l’affaire de la société Vilebor Compagnie, je l’ai fait cocu deux fois.
Draguée un jour dans la rue, j’ai suivi un type à l’hôtel. Ce jour là, c’était plus pour tester Fab que pour autre chose. Je voulais rentrer souillée et voir sa réaction.
Comme la première fois, il m’a baisée en douceur, tandis que je lui racontais mon aventure dans le détail.
La seconde fois, je me suis tapée un de ses amis qui me courtisait depuis un moment. Je n’en avais jamais parlé à mon homme. L’occasion fait le larron. Il m’a baisée, mais je m’en suis débarrassée, Fab, l’ayant viré de son cercle d’amis.
Ce fut une épreuve pour Fabien. Il a très mal digéré qu’un de ses potes se tape sa nana. Mais il a accusé le coup et est toujours aussi motivé à être cocu.

C’est le week-end et notre petit garçon est chez mes parents. Fabien, m’a proposé un restau et un ciné. Ca fait longtemps. Je suis ravie.
Je m’habille sexy, avec ma tenue fétiche. Style uniforme d’écolières asiatiques. Une chemise blanche largement déboutonnée sur ma poitrine, un gilet noir, bien serré pour dessiner ma taille, un petit kilt, de longues chaussettes noires qui montent au dessus du genou et une paire d’escarpins vernis, noirs.

Pour finir, je noue un ruban blanc dans mes cheveux.
«Tu veux conquérir, toi ! »
« Je ne sais pas ! On verra ! »
Il me laisse le choix du restaurant. Je me montre très difficile. Pas tant sur les menus que sur les intérieurs des salles. Plus particulièrement sur les nappes. Je ne les veux pas longues.
Mon choix se porte sur un restau sympa qui propose des tables recouvertes de nappes en papier qui ne pendouillent pas sur les genoux. C’est parfait.
Nous entrons et je choisis une table.
La chance est avec moi. Je m’installe sur une banquette et Fab s’assoit sur une chaise, face à moi. Dans ma diagonale, à quatre mètres, un homme mange une pizza, seul. Une quarantaine d’années, habillé classe, il me plait beaucoup.
Ma tenue attire son regard et je le sens bien accroché.
Je déboutonne mon gilet et je dégage bien mon décolleté, faisant sauter même un bouton de plus à ma chemise. Mon Piou-piou s’en inquiète.
« Heuu ! Camille ! Ce n’est pas un peu trop, là ? »
« Ca, mon chéri, c’est mon problème. Mange et surtout ne te retourne pas. »
Le premier à se régaler, c’est le serveur. Le pauvre à bien du mal à prendre, en même temps, notre commande et lorgner mes seins à peine cachés.
Je tiens la carte grande ouverte et j’approche mes doigts de sa braguette. Je parviens, l’air de rien, à l’effleurer. S’en est trop pour le jeune homme qui, prit d’un frisson, recule un peu. Lorsqu’il s’en va, Fab me sermonne.
« Tu exagère ! Ne fais pas des trucs comme ca ! »
« Si mon petit cocu ne veux pas rentrer tout seul, il ferait bien de me foutre la paix et de me laisser faire ce que je veux ! Ok ? »
Je ne lui laisse pas le temps de réagir et je me lève. Je vais droit vers la table de l’homme seul.
Je me penche exagérément, pour mettre en évidence mes seins dans l’entrebâillement de ma chemise.
« Excusez-moi ! Je peux vous emprunter la sauce pimentée ? »
« Oui, bien sur mademoiselle ! Faite dont ! »
Je lui fais mon sourire le plus provocateur.

« Merci ! J’aime bien pimenter ma vie ! »
Je lui fais un petit clin d’œil et je retourne m’asseoir en tortillant du cul.
« Quand tu t’es penchée, j’ai vu ton cul ! Fais attention quand même. »
« Je ne t’avais pas interdit de te retourner ? »
« Oui, mais je me demandais ce que tu faisais. N’empêche que dans la salle des gens auraient pu voir que tu ne porte rien. »
« Tiens, ca ne m’étais pas venue à l‘esprit ! Hihihi ! »
Nous prenons un apéritif.
Je suis bras croisés sur la table. J’ai passé un pouce dans ma chemise et je me caresse un téton. Il est dressé, dur, sensible. Je sens ma grotte s’humidifier.
« Putain ! Je mouille comme une salope ! »
« Normal ! C’est ce que tu es, non ? »
« Toi, mon mignon, tu seras puni pour ta remarque ! »
Les entrées nous sont servies. Je décroise les jambes, mais je ne peux résister à l’incroyable envie de les écarter, pour le plus grand plaisir de l’homme qui me dévisage. Il me fait un large sourire et passe ses mains sous la table.
Il se touche.
Ce con m’excite et je m’écarte un peu plus pour lui rendre la pareille.
Désormais, il doit voir ma chatte.
Lorsque le serveur nous apporte nos plats, il manque de les lâcher, lorsqu’il m’aperçoit largement ouverte. Il est rouge de honte.
Je mange d’une main et de l’autre, sous la table, je me caresse.
Mon nouvel ami semble apprécier. Plus vicieux que je ne le pensais, il déboutonne son pantalon et sort sa queue discrètement. Je la vois, bien bandée. Il se masturbe doucement.
« Ne te retourne pas Fabien, mais le type derrière toi se branle en me matant. »
« Ca te plais bien, salope ! »
« Ben oui, plutôt ! Je fais pareil. »
« Un futur amant ? »
« Faut voir ! Pourquoi pas ! »
Lorsque les desserts arrivent, j’ai deux doigts dans la chatte et je suis sur le point de jouir.
Je me penche un peu en avant pour me cacher du serveur. Ce serrait trop pour lui.

« Camille, je ne veux pas t’interrompre, mais il faudrait qu’on accélère le mouvement, si on ne veux pas rater la séance. »
« Ok ! Paye, je fais un saut aux toilettes. »
Je me lève et en passant devant le type, je me suce le bout d’un doigt. C’est sur, je peux laisser la porte des chiottes ouverte, il va m’y rejoindre.
Mais rien. Il a du se dégonfler.
Je retourne dans la salle et ma déception est grande. L’homme n’est plus là.

Lorsque nous arrivons au cinéma, la séance vient juste de commencer. Sur l’écran, les bandes annonces se succèdent.
J’aime être en hauteur. Nous nous sommes installés au dernier rang. Il n’y a pas grand monde. Il faut dire que le film que nous avons choisi, est à l’affiche depuis plusieurs semaines.
Il s’agit d’un film d’horreur, très glauque, très sombre. J’aime ce genre de films, même si ils me terrifient. Je m’accroche au bras de Fabien et me cache à moitié derrière son épaule.
Soudain, je sursaute.
Une main vient de se poser sur mon genou. J’ai l’agréable surprise d’entrevoir le visage de l’homme du restaurant. Humm ! Les affaires reprennent.
Je me redresse doucement, pour ne pas éveiller de soupçons chez Fab.
Devant mes jambes qui s’écartent, la main remonte sur ma cuisse et se pose sur ma fente.
Mon bon monsieur ayant sorti son engin, je m’empresse de l’empoigner. Nous commençons alors à nous branler doucement, mutuellement.
Piou-piou, absorbé par le film, ne remarque rien.
Je commence à avoir du mal à cacher mon plaisir et n’y tenant plus, je me lève. Je fais un bisou à Fabien.
« Je tiens plus ! Je vais aux toilettes, je reviens ! »
« Ok ! Fais vite tu vas rater le meilleur. »
Le type m’ayant entendu, me devance et est déjà sorti de la rangé.
Je le ratt facilement dans les escaliers des toilettes. Il n’y a personne. Excités, nous ne prenons pas la peine d’aller plus loin. Je lui saute au cou et il m’enlace avec force.
Nous nous embrassons et laissons courir nos mains. Il soulève mon kilt et malaxe mon cul. Moi, je ressors sa queue que je glisse entre mes cuisses.
« Hummm ! Salope ! Je vais te baiser ! »
« Ouiii ! Prends-moi ! vite ! »
Il ouvre rapidement mon chemisier et palpe mes seins. Il ne prendra pas le temps de me les sucer. Il me lève une jambe et me pénètre bien à fond.
« Ouiii ! Défonce-moi la chatte ! »
« T’es une petite putain, toi ! J’aime les femelles comme toi ! Tiens, prends ca morue ! »
C’est violent coups de reins me plonge dans un orgasme fantastique.
« Ouiiii ! Jouis avec moiii ! Viteee ! Je veux ton jus ! Donne-moi ton foutre, viteee ! »
« Tiens ma belle ! Laisse-moi te remplir ! Hargggggg ! »
Nous restons un moment sans bouger, jusqu’à ce que sa queue ne me quitte naturellement.
Gentiment, il me tend un mouchoir.
« Non, merci ! C’est gentil, mais je garde tout. »
« Hummm ! Tu aime te sentir sale, c’est ca ? J’adore les trainées dans ton genre. Téléphone-moi quand tu veux ! »
Il me tend une carte de visite, que je m’empresse de déchirer en petits bouts et je jette le tout en l’air.
« Les histoires les plus courtes sont les meilleures, même quand ce sont des histoires de cul. Bye chéri ! »
« Dommage ! Adieu ma belle. »
Je rejoins mon homme dans la salle obscure.
« T’a été longue ! Tu as raté le meilleur. Si tu avais vu ce qu’a prit la gonzesse ! »
« Ben moi, si tu avais vu ce que j’ai pris ! »
Je prends sa main et la plaque sur mon vagin.
« Quoi ? Hein ? Ho ! T’es trop forte toi ! Qu’est ce que je t’aime. Viens ! On rentre ! »
« Pas question, cocu ! On regarde le film jusqu’au bout, et tu ne touche pas ! Hihi ! »
« Vicieuse sadique ! »
Il a bien du mal à se concentrer sur le film. Autant dire qu’il zappe complètement la fin, les yeux rivés sur mes cuisses, et l’échancrure de ma chemise.
Le film terminé, je tente de calmer ses ardeurs en l’entrainant dans un bar, puis un autre.
Je le rends fou et j’adore ca.
Mais lorsque nous rentrons dans notre appartement…le fauve est lâché.
Il me pousse à la renverse dans le canapé et saute à genoux entre mes jambes.
Pour la première fois, il goutte mon antre poisseux et malodorant.
C’est moi qui en suis gênée.
« Viens ! Viens chéri ! Mon cocu à moi ! Viens vite me baiser comme une chienne ! »
« Pas temps que je n’aurais pas bu tout ce que ce type t’a donné ! »
Je le sens m’aspirer, me lécher. Il me vide, me vidange.
L’image m’excite et je jouis, rajoutant du jus à la dégustation de mon cocu.
Ce soir là, il me baise avec très peu de tendresse, presque violemment. Peut être ai je été trop loin. Ressent-il de la haine, de la rage, du délire ou de la passion ?

Quelques jours plus tard, lors d’un après midi shopping pendant les soldes, je repère une adorable micro jupe. Je fais le tour du magasin pour trouver un petit boléro qui pourrait être assortit. Ma jupe à la main, je fouille dans les bacs.
Il y a un monde fou et nous sommes collées les unes aux autres, nous bousculant, nous marchant même sur les pieds. De vraies folles, mais c’est un peu la tradition des soldes.
Pourtant, au milieu de ce troupeau de femmes, il y a un intrus.
Un homme d’une cinquantaine d’année, se penche pour essayer d’atteindre les vêtements.
Mais, à y regarder de plus près, un doute m’envahit.
Je me fraye un chemin jusqu’à lui. C’est bien ce qu’il me semblait. Le bonhomme bande comme un cerf et se frotte aux culs des nanas.
Les malheureuses, plongées dans leurs batailles, ne s’en rendent même pas compte.
Je le regarde faire un bon moment. Il a bien du mal avec toutes ces femelles qui bougent trop.
L’idée me plaît.
Je m’approche et me glisse entre lui et une de ses potentielles victimes.
Je fais semblant de chercher et je bouge mon cul contre sa bosse. Pas trop, juste pour la caler entre mes fesses.
J’applique quelques petits mouvements d’avant en arrière, l’air de rien.Ca semble lui plaire car il s’écrase de plus en plus à moi.
Ses mouvements prennent un rythme régulier, tout comme celui d’un coït. Il est trop excité pour se contrôler.
Ce type va jouir dans son froc, si je ne le sors pas de là. Mais comment ?
Ma micro jupe dans une main, un caraco dans l’autre, je me retourne face à lui. Je lui fais un grand sourire.
« Ho ! Vous tombez bien ! Vous voulez bien m’aider ? »
Surprit, il rougit un peu, puis pensant que je n’ai rien remarqué, il se reprend.
« Hein ? Heuu ! Oui, bien sur ! »
« Ho ! C’est gentil, venez ! »
Nous fendons péniblement la foule des femelles déchainées. Je crois bien qu’il en profite pour me passer une main sur les fesses.
« Ouf ! Quel monde ! Vous voulez bien m’accompagner à la cabine d’essayage ? J’aimerais votre avis. »
Évidement, il accepte avec plaisir.
J’entre dans la cabine, mais ne tire pas le rideau parfaitement. Dans le miroir, je l’aperçois regarder discrètement. Humm ! J’adore !
Tout doucement, j’ôte mon tee-shirt dévoilant mes seins nus.
Je me régale de le voir m’épier.
Je déboutonne mon mini short et je le fait glisser au sol. N’ayant pas de string, je suis entièrement nue dans la cabine.
L’homme reste bloqué, bouche ouverte.
Je passe le caraco et la micro jupe et j’ouvre le rideau. Je sors de la cabine et tourne devant lui. Je prends plaisir à jouer l’ingénue. La fille qui ne voit pas le mal.
« Voilà ! C’est pour faire une surprise à mon chéri. Vous trouvez que les couleurs vont ensemble ? Ce n’est pas trop court ? Dites-moi, ca ne fait pas vulgaire ? »
Le pauvre n’arrive même plus à parler.
« Nan ! Ha nan, nan ! C’est… bien ! C’est… »
Je décide de passer à la vitesse supérieure. Je rentre de nouveau dans la cabine, mais laisse le rideau grand ouvert, au risque de me faire voir par les autres clients. Mais je m’en fou.
Je retire les deux vêtements et je les tends au quinquagénaire. Je me présente à lui de face et entièrement nue.
« Je vous plais ? »
« Je…Je. Je suis…Oui, bien sur ! Vous…Vous êtes belle ! »
« Vous aimeriez…. »
Je me suce un doigt.
Il rougit et me sourit.
« Vous êtes cruelle ! Bien sur que j’aimerai ! Mais que ferriez-vous d’un vieux comme moi ! »
« Comme avec un jeune. Je m’offrirai ! Hihi ! »
Je referme le rideau et me rhabille. Moins intimidé, il passe sa tête.
« Permettez-moi de vous offrir la jupe. »
« Ok ! Mais vous venez boire un café à la maison. J’habite à deux pas. »
« Ho ! Je ne sais pas si… »
« Ben moi, je sais ! »
Je lui prends la main et l’entraine vers les caisses.
Cinq minutes plus tard, nous sommes dans l’ascenseur qui conduit à mon appartement.
Fabien qui est de repos est étonné de mon retour.
« Déjà ? Ben t’a fais vite dis dont ! Ho ! Excusez-moi, je ne vous avez pas vu ! Bonjour, moi c’est Fabien ! »
L’homme est surprit et très gêné de se retrouver face à Fabien.
« Enchanté, je suis Raymond. »
Je viens à la rescousse.
« J’ai invité Raymond à prendre un café. Nous avons fait connaissance dans le magasin. »
« Houlà ! Les soldes ne vous font pas peur ? »
La tentation est trop forte. Je m’installe sur les genoux de mon nouvel ami et je passe mon bras autour de son cou.
« Ho non ! Raymond n’y va pas pour les soldes ! Il y va pour les femmes. Il aime bien leur cul ! »
Ma façon de mettre ce pauvre homme, mal à l’aise, déplait à Fab.
« Camille ! Arrête ca ! »
« Heuu ! Je suis désolé, je dois y aller. Vraiment navré, je ne savais pas que vous étiez en couple. Il y a méprise. »
Mais avec moi sur ses genoux, il ne peut se lever.
« En couple ? Ahhhh ouiii, en couple ! Oui, mais non ! Lui c’est mon cocu ! Ne vous inquiétez pas ! Il adore ca ! »
« Camille ! »
« Quoi ? Ose dire que c‘est pas vrais ! Hihi ! Nous, nous sommes venu pour baiser et on va baiser ! »
Sur ces mots, je retire mon tee-shirt et je pose les mains de Raymond sur mes seins.
Au début, gêné et réticent à me prendre devant Fabien, il s’avère être un amant exceptionnel.
Fabien, bien décidé, finalement, à vivre son délire jusqu’au bout, reste assis sur une chaise au pied du lit.
Épuisée, je laisse Piou-piou raccompagner Raymond à la porte. Puis il revient dans la chambre.
« Petite pute ! T’a fais fort ce coup ci ! »
« Tais toi et bois pendant que c’est chaud…Cocu ! »


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