Le Début D'Une Relation Très Chaude
Tout avait commencé quand je lui donnais des cours de piano. Ses parents étaient très riches et comme elle vivait encore chez eux, après tout elle était juste majeure, ils m'avaient fait venir. Au début, rien de particulier bien sûr, je me rendais chez elle, elle jouait pendant une heure puis le cours était terminé et je rentrais chez moi.
Sauf que depuis quelques temps, je remarquais que ses parents étaient de moins en moins présents pendant les cours et que lorsqu'ils n'étaient pas là, ses tenues avaient tendance à raccourcir. Elle était très bien faite, un tout petit peu plus petite que moi, de longs cheveux bruns qui lui descendaient jusque sur les fesses. Son cul d'ailleurs était adorable, souvent enfermé dans un mini short, ce qui donnait envie de l'attr et de le pétrir à pleines mains. Ses seins n'étaient pas très gros mais bien ronds et elle les mettait très en valeur par des soutiens-gorge assez osés, pour ce que j'en voyais. Elle était plutôt blanche de visage mais sa peau était douce et je m'attardais sur ses joues à chaque fois que je lui faisais la bise. Elle me rappelait la femme qui m'avait dépucelé.
C'est ainsi que le jour dont je veux parler, elle n'était vêtue que d'un petit chemisier blanc transparent qui laissait deviner l'absence de soutien-gorge et d'une jupe légère rouge. Je me trouvais juste à côté d'elle, debout parce que j'aimais bien faire les cent pas pendant qu'elle jouait. Le morceau qu'elle interprétait était très difficile et je la voyais trembler légèrement. Je posais doucement ma main sur son épaule :
« On se calme, on se calme. Ça ne viendra pas en s'énervant.
- Je sais mais c'est pas facile du tout...Je suis perturbée aujourd'hui, d'habitude, tout passe très bien et là...
- Qu'est-ce qui ne va pas ?
- Il y a un truc très gros qui est arrivé dans ma vie hier et... »
Je ne pouvais m'empêcher de penser au truc très gros qui se trouvait dans mon slip en voyant sa belle poitrine tressauter sous les sanglots.
« ...c'est mon copain, il voulait me...
- ...oui ?...
- ...me dépuceler comme il dit et je ne veux pas.
- Tu ne l'aimes pas ?
- Si beaucoup mais ça m'a fait peur. Son ...sexe...est trop petit en plus...
- Mais pourquoi ?
- Je ne sais pas, je ne sais pas, j'aurais dû accepter, j'en ai trop envie maintenant ! »
En entendant cela, je ne pus m'empêcher de bander encore plus fort, j'avais en plus une super vision sur son décolleté.
« Et puis, je ne sais pas pourquoi je dis ça, je suis trop moche !
- Mais non, tu es très belle !
- Je ne vous crois pas !
- Mais si Lucie, arrête de te faire mal, tu es très attirante, je te le promets ! »
Elle fit semblant de renifler encore un peu puis, soudain, prit ma main et la posa sur son sein.
« Merci, c'est gentil, mon coeur bat très fort maintenant. »
Elle me regarda alors avec des yeux où brillait une flamme qui disait : « Vas-y, touche mes seins, caresse-les, tire-les, mange mon minou, bouffe ma chatte, viens entre mes cuisses ». Enfin, j'ai peut-être imaginé la fin mais c'était le même début ! Je commençais alors tout doucement à caresser son sein, malaxant tendrement du bout des doigts tandis que ma paume frottait le téton à travers le tissu. Elle me laissa faire, sa main se retira et se posa sur le tabouret. J'avançais mon autre main sur son deuxième sein et je me mis à pétrir sa poitrine, la sentant gonfler et durcir tandis que de tous petits gémissements sortaient de ses lèvres. Ses tétons pointaient maintenant et je ne me gênais pas pour les pincer gentiment. Je l'embrassais dans le coup, posant mes lèvres sur sa peau si douce. Je n'osais pas aller plus loin de peur de la brusquer mais ses jambes m'invitaient à venir la caresser. Ma main droite stoppa son massage et descendit doucement sur son ventre pour venir se poser sur son entrejambe. Elle me laissa faire, écartant ses cuisses pour faciliter ma caresse.
« Viens, allons sur mon lit ! »
Et elle me tira sur son lit où elle se laissa glisser, me jetant un regard lubrique en passant la main sur son petit cul. Je m'allongeais à côté d'elle et je l'embrassais. Nos langues se touchèrent et se mêlèrent. Sa bouche avait une petite saveur fruitée que je ne pouvais lâcher. Mais l'attrait de sa chatte était plus fort que tout et ma main retourna à sa caresse. Après plusieurs longs baisers, je parvins à m'arracher de ses lèvres enivrantes et je descendais tendrement sur son cou en baisant sa peau si douce jusqu'à la naissance de ses seins. Ses doigts défirent lentement sa chemisette et mes deux mains vinrent l'aider à la défaire de son vêtement. Ses deux beaux seins, petits mais fermes, ronds, les tétons tendus et durs, n'attendaient que moi. Je pris un de ses seins et commençais à le téter, mes lèvres mordillant son téton tandis que ma langue le harcelait. Elle semblait apprécier puisqu'elle poussait de petits cris et se cabrait pour mieux offrir sa poitrine.
Mais je ne pouvais m'arrêter là et mes lèvres continuèrent leur descente vers son sexe humide. J'enlevais lentement sa jupe, dévoilant une magnifique culotte de dentelles noire sur laquelle je déposais un baiser en appuyant fortement. Je levais les yeux vers elle, interrogateur, demandant si je pouvais continuer. Elle avait la tête en arrière, les yeux fermés, attendant sa délivrance et son plaisir. J'attrapais sa culotte et je la descendais le long de ses jambes en prenant bien soin de frôler de mes deux mains sa vulve toute mouillée. Mes doigts remontèrent le long de ses cuisses et se rejoignirent sur son sexe. Elle ne put s'empêcher de gémir en sentant mes doigts entrer en contact direct avec sa chatte. Attentif à son plaisir, je faisais passer mes doigts dans un va-et-vient sur ses lèvres, m'enfonçant à chaque fois un peu plus dans son sexe.
« Raaaaaah....c'est trop bon. Tu as bouffé mon minou....Aaahh... »
Elle se laissa retomber sur le lit, les yeux fermés, savourant son orgasme. Je venais l'embrasser tendrement sur les lèvres pour partager son jus et nos langues se mélangèrent à nouveau dans sa bouche. Nous nous embrassâmes pendant de longues minutes tandis que ses mains glissaient sur mon corps. Elle défit petit à petit les boutons de ma chemise, décrocha ma ceinture. Bientôt, ma chemise et mon pantalon tombèrent sur le sol à côté de sa culotte légèrement humide. Sa main prit doucement mon sexe qui était tendu et dont le gland dépassait du slip. Je finis de me déshabiller et elle vint se blottir contre moi.
« J'ai envie que tu me dépucèles. Je n'attends que ça depuis longtemps. Vas-y doucement, ton sexe a l'air si gros pour mon petit minou. »
Elle m'embrassa tendrement et je lui rendis son baiser. Elle s'allongea langoureusement sur le lit, les seins de nouveau durs et les jambes assez écartées pour m'offrir une vue imprenable sur son sexe si accueillant. Je m'approchais d'elle, m'insérai entre ses deux jambes et vint frotter lentement mon gland sur sa vulve.
« Viens en moi, baise-moi, j'en ai trop envie. »
Je ne pus résister plus longtemps à l'appel de ce corps en rut et j'enfonçais lentement ma verge dans son vagin. Je brisais son hymen et faisais entrer mon sexe entier dans le sien. Elle eut un petit hoquet au moment où je la déflorais mais une expression d'intense plaisir illumina aussitôt son visage. Je lui laissais le temps de s'adapter à mon pénis puis commençais des vas-et-vients en m'agrippant à ses hanches. Elle ondulait pour que la pénétration soit plus forte, criant de plaisir à chacun de mes coups. Ses mains malaxaient ses seins, tiraient sur ses tétons, glissaient sur son ventre, s'accrochaient sur son lit. J'accélérais encore en sentant venir notre jouissance à tous les deux et je déchargeais à grand flot mon sperme en hurlant ! Elle aussi eut un orgasme et son cri se mêla au mien. Nous nous laissâmes retomber sur son lit en haletant...Je ne pouvais détacher mon regard de sa poitrine qui bougeait au rythme de sa respiration. Nos lèvres se joignirent une autre fois encore, savourant les dernières gouttes de plaisir qui faisaient encore vibrer nos corps...
À suivre...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!