Camille Episode 6
(Parenthèse)
Il y a quelques semaines, jai passé une annonce proposant de me montrer en cam. Le résultat ne cest pas fait attendre. En moins de vingt quatre heures, ma boite e mail était saturée.
Je me suis montrée à certain, mais moi, je refuse de les voir. Ce qui mexcite, cest de penser que je peux connaitre lun deux, sans le savoir.
Ils enragent que je ne veuille pas les rencontrer. Ils aimeraient tant me sauter. Ca mamuse.
« Regarde ce que jai trouvé sur un site. Des photos de couples qui vont sexhiber dans les bois. Hummm ! Ca doit être excitant, non ? »
« Ca te tente on dirait ! »
« Je sais pas trop, et puis il faut savoir ou aller. »
« Ca, je te fais confiance. Tu trouveras. »
« En tout cas, ca me changerais de mes masturbations devant ma cam ! »
Il me connaît bien, mon Fab. Il sait que je ne lâche pas facilement.
Le soir même, grâce à mes contacts, je sais tout sur lexhibition et jai même les plans pour nous rendre dans des endroits intéressants et sans danger.
Bien sur, ces renseignements vont me couter. Enfin ! Façon de parler.
Mes contacts, mont fait promettre de leurs dire ou et quand jirais, si bien sur, je me décidais à le faire.
Me décider ? Ca, ce nest pas un problème ! Hihi !
Nous avons programmé notre viré pour ce week-end.
Jai prévenu six de mes nouveaux amis et je leurs ai donné le lieu et lheure. Bien sur, je leurs ai demandé, quune fois sur place, de ne pas me dire qui ils sont. Ainsi, je ne pourrais pas différencier mes contacts des simples voyeurs pervers, qui trainent les bois, à la recherche dune donzelle à se faire.
Hummmm ! Rien que dy penser
Nous sommes samedi soir et cest leffervescence à la maison. Jai aligné une quantité impressionnante de fringues sur mon lit, et jai entamé un grand débat avec Fab, pour savoir ce que jallais mettre.
Nous sommes daccord pour des bas et un porte jarretelle.
Fab, verrait bien une robe boutonnée sur le devant. Moi, ma micro jupe et un caraco légèrement transparent, ventre nu.
Devinez qui a gagné ?
Pour ne pas risquer de tomber sur des voisins, jai enfilé un long manteau, que je mempresse denlever, dès notre arrivé au parking.
Nous prenons, fébrile, la route pour un bois en dehors de la ville. Vingt minutes de route. Doucement, le doute sinstalle. Je me sens un peu glacée.
« Ben ! Si tu veux, on fait demi-tour. »
« Non ! Nous sommes trop avancés. Je vais aller jusquau bout. »
Selon les indications qui mont été donnés, nous entrons dans le bois. Une centaine de mètres plus loin, comme prévu, nous apercevons lentré dun parking.
Il fait encore jour. Fab, roule jusquau bout du parking et se gare sous un gros arbre.
Il y a dautres voitures, une dizaine, mais je ne vois personnes.
« Tu crois quils sont ou ? »
Ma question idiote, reflète mon stress. Mais Fab nest guère mieux.
« Ou veux tu quils soient, sinon dans le bois ? Bon ! Camille ! On fait quoi, maintenant ! »
« Ben ! On pourrait repérer les environs avant la nuit ? »
Nous descendons de voiture et je prends le bras de Fabien. Une allée senfonce dans le bois. Je regrette presque ma micro jupe. Je me sens trop provocatrice. Il faut dire quelle est plus courte que le haut de mes bas. Alors, pour le coup, je dois faire un peu pute.
Très vite, nous croisons un homme.
Trente ans, pas très beau, lunette ronde, célibataire, une intuition. Il porte un imperméable beige, froissé. Il marche lentement. Je sens quil voudrait me regarder, mais nose pas. Alors il lance de petits coups dil furtifs.
Au moment de nous croiser, il profite de nous dire un « Bonjour » souriant, pour me dévisager de la tête aux pieds.
Humm ! Rien que ce regard vicelard sur moi, me fait de leffet.
« Ta vu comment il ma maté ! Hihi ! »
« Oui, jai vu ! Tiens ! Ramasse le marron, là, sans plier les genoux.
« Ben pourquoi ? »
« Pffff ! Tes conne ou quoi ? Ramasse ! »
Je réagi dun coup. Je me penche et ramasse le marron. Entre mes jambes, japerçois le type qui se régale de mon cul.
Nous éclatons de rire et reprenons notre promenade.
Nous croisons deux autres hommes et nous en apercevons quelques un dans le bois, entre les arbres.
La nuit commence à tomber. Nous retournons à la voiture.
Fabien est surexcité. Une fois installé, il me saute dessus et menlace pour membrasser et me caresser.
« Non ! Non, Fab ! Arrête ca ! »
« Ben quoi ? »
« Laisse-moi faire ! »
Vexé, mon petit cocu se replace derrière son volant.
Moi, je menfonce un peu dans mon siège et baisse légèrement le dossier.
« Pffff ! Ils ne vont pas te voir ! Ils ne viendront pas jusquici, si tu ne te montre pas ! »
« Tinquiète pas ! Il y a déjà longtemps quils mont vu ! »
La suite prouve que jai raison. Des types sortent du bois. Pour linstant, ils restent à distance, décrivant de grands cercles autour de la voiture.
Je me sens comme une faible proie entourée de loups. Ca mexcite.
Je roule ma jupe au dessus de mes cuisses et je caresse ma fente doucement.
Les cercles sont de plus en plus petits. Certains, commencent à se mettre sur la pointe des pieds pour apercevoir ce quil se passe dans la voiture. Puis, nayant plus de doute sur nos intentions, ils approchent.
Deux, trois, quatre hommes se pressent maintenant au carreau pour me regarder me masturber. Ils mexhibent leurs sexes dressés et se branlent doucement.
Je minstalle plus à mon aise, pour profiter du spectacle.
Je lève mes jambes. Je cale un de mes talons dans le volant et lautre dans le coin du tableau de bord. Jambes bien écartées, vagin bien visible, je me masturbe dune main. De lautre, je caresse mes seins. Je sens mes pointes dures à men faire mal.
Je glisse ma main sous mon caraco et le soulève jusquà mon cou, pour présenter ma poitrine à ses messieurs.
ses messieurs de plus en plus nombreux. Certain matent du carreau arrière, dautres penchés sur le pare brise, et encore deux coté conducteur.
Ca me rend folle de voir tout ses hommes excités grâce à moi.
Je plonge deux puis trois doigts dans ma chatte bouillonnante, et je frotte mon clito prêt à exploser, de toutes mes forces.
Je jouis en même temps quun type qui explose sur le bas du carreau.
« Putain ! Ma bagnole ! Il pourrait éjaculer ailleurs ! Merde ! »
« Fabien ! Je ne veux plus tentendre ! Compris ! »
Je suis très fière de lautorité que jai sur Fab, depuis quil est devenu mon cocu. Je nen pas, mais je me régale de le voir obéir.
Énervée quil mait ainsi interrompue au milieu de ma jouissance, jappuie sur le bouton de la vitre.
Pour un peu, je pourrais me croire dans un film dhorreur, lorsque des zombies essayent dattr quelquun.
Il y a tellement de bras qui essayent de venir me toucher. Mais il y a peu délus. Trois ou quatre, pas plus.
Ils parviennent à me caresser les cheveux et le visage. Dautres mes seins, mon ventre. Mais un seul a réussi à soctroyer ma chatte.
Je me laisse aller et moffre comme une poupée. Cest délicieux de faire plaisir à ces inconnus.
La nuit est maintenant tombée.
Les types, équipés, sortent des torches, des piles électriques. De vrais professionnels du voyeurisme.
Soudain, un jet de liquide chaud atteint mon ventre. Un homme ne pouvant plus se retenir, a jouit sur moi. Il sécarte et un autre prend sa place.
Cette liqueur chaude qui coule jusquà mon nombril, fait disparaitre le peu de décence et de dignité quil restait au fond de moi.
Jouvre la portière, descends de voiture et me laisse tomber à genoux.
« Venez ! Bande de salops ! »
En un instant, je suis entourée de queues raides et humides. Plusieurs se pressent à ma bouche et jen suce une au hasard. Puis quand elle eut déversé son flot de foutre, une autre prend sa place, et une autre, une autre encore.
Jaime leurs foutres. Ca me rend dingue. Il sen échappe de ma bouche qui coule sur mon menton, mes seins.
Mes mains branlent au hasard, faisant naitre de multiples jets de jus chaud, qui viennent sécraser sur mon corps. Quand soudain, une voix sélève.
« Relève toi, salope ! On veut te baiser ! »
A ces mots, Fabien sort de la voiture et prend une couverture quil pose sur le capot avant.
Je ne suis pas mécontente de me relever.
Mes genoux sur les cailloux commençaient à me faire souffrir. Mes bas sont déchirés. Ceci rajouté à mon corps recouvert de traces de spermes, je dois renvoyer une image bien pathétique.
Pathétique, mais visiblement excitante. A peine allongée sur le capot encore tiède, un homme lève mes jambes, pose mes chevilles sur ses épaules et me pénètre dun coup.
Il na aucune difficulté à le faire, tant je mouille.
Un homme, plus équipé que les autres, arrive avec une lampe à gaz de camping.
Elle éclaire suffisamment pour me permettre de voir tout ce petit monde.
Combien sont-ils ? Je serrais incapable de le dire. Mais plus de dix, ca cest certain.
Je me fais prendre à la chaine par plusieurs dentre eux. Je multiplie les orgasmes.
Jaime cette situation. Je me sens poupée de chiffon entre leurs mains.
Lorsque jétais à genoux, jen ai entendu un, dire : « Putain ! Elle a à peine seize ans, cette pute ! »
Mon visage dangelot a encore fait son effet. Quils pensent que je ne suis pas majeure, ne les a pas freinés pour autant. Au contraire. Je pense que ca a eu pour effet de décupler leurs libidos.
Le temps passe. Peut être deux heures. Je pense quils ont tous joui au moins une fois. Sauf celui qui se présente face à moi.
Cest lhomme à limper. Le premier que nous ayons croisé.
Il ouvre son imperméable. Dessous, il est torse nu. Mais le plus effarant, cest son pantalon, savamment découpé. A la place de la braguette, il ny a plus rien. Plus rien que sa verge dressé.
Le petit homme, que je croyais timide, sapproche et prend mes jambes. La lueur de la lampe à gaz fait briller ses yeux dune étrange manière.
Il caresse ma chatte dun doigt. Il semble vouloir en extirper du foutre. Je comprends très vite. Il graisse ma pastille brune.
« Je vais tenculer bien à fond, ma petite bâtarde ! »
Il plonge en moi en poussant très fort. Je pousse un cri de douleur, mais il nen tient pas compte et commence à me pilonner.
Dautres hommes, me caressent et mencouragent.
« Détends-toi ! Respire ! Cambre tes reins ! »
Un type, profitant de mon vagin libre, sapplique à me masturber. Le plaisir remonte au fur et à mesure que la douleur disparait. Je me caresse et me pince moi-même le clito.
Jexulte.
« Hoo ouiii ! Encule-moi bien à fond ! Salop ! Défonce-moi ! Ouiii ! Plus fort ! Plus fort !
Plus
.Hummmm ! Je viens ! Je viens ! Hooo ! Je viiii
OUIIII !»
Il jouit avec moi, déversant son flot de miel au plus profond de mes entrailles. Puis il se retire.
Épuisée, semi inconsciente, je glisse doucement du capot et me retrouve assise à terre.
Fabien sapproche et caresse mes cheveux, très largement souillés, avec tendresse.
« Camille ? Ca va, mon ange ? Allez, viens, relève toi. Nous rentrons à la maison. »
Mes jambes ne me portent plus. Deux hommes laident à me faire monter dans la voiture.
Je dors tout le voyage de retour.
Dans le parking, je passe mon manteau et nous prenons lascenseur pour notre appartement. Fabien est obligé de me soutenir. Je nai pas encore retrouvée toutes mes forces.
Je mécroule sur le lit. Fabien, attentionné, veut me déshabiller.
« Ho non ! Laisse, mon cocu damour ! Je veux rester encore souillée ! Je veux encore me sentir gluante de leurs plaisirs. Sentir les odeurs de leurs jouissances. Mais je tautorise à nettoyer ma chatte et mon cul. »
Après avoir vu tout ses hommes se vider en moi, je pensais quil se dégonflerait.
Et bien, pas du tout.
Il aspire consciencieusement tout se qui veut sécouler de ma grotte et de mon cul. Il se délecte de toutes ses secrétions, comme un avec une boisson sucrée.
Cest plus fort que moi. Mon ventre me chauffe à nouveau.
« Viens me baiser ! Vite, viens, mon cocu ! »
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