Piquenique
Limprévu est le sel de lamour. Avec Henri mon chéri nous sommes partis pour piqueniquer. Jai préparé les vivres et le boisons. Nous sommes allés à 50 kilomètres dans une foret. Henri installe la couverture où nous allons nous installer, je sors le panier avec le repas : jai bien pris un soda pour moi, jai oublié le vin. Sans vin, même à petite dose, Henri ne vit pas. Ce nest pas la quantité (juste un verre) que la qualité qui compte.
Je lui conseille daller au dernier village que nous avons traversé pour acheter une bouteille. Il mécoute pour une fois. Je reste seule à écouter les oiseaux, le bruit de la nature, le vent dans les branches. Avant quHenri revienne dici ¾ dheure, je ne sais que faire. Je décide de faire une surprise à mon amant : je le recevrai nue. Je suis sure quil me baisera. Cette idée trotte dans ma tête et jen suis toute excitée, trop sans doute. Je me déshabille, je me sens bien nue dans la nature, cest sans doute trop pour moi car je sens lenvie dans mon ventre. Quand je suis ainsi je ne connais quun seul moyen : me caresser. Je me couche sur la couverture, écarte les cuisses, juste ce quil faut pour que ma main y passe, je touche mon entrejambe, je me masturbe un moment pour finir par me doigter. Cest bon ce que je me fais, tellement bon que je me crispe juste avant que jéclate dans un bel orgasme.
Il me tarde quHenri soit là, il me finirai puisque jai besoin de sa bite et devant et derrière, surtout derrière.
Enfin jentends le bruit du moteur. La voiture sapproche de moi. Il va venir me prendre dans la nature, ce que jespère depuis notre départ de la maison.
Je me cache juste un peu derrière un arbre. Mauvaise pioche, nimporte qui peu me surprendre. La preuve, une voiture sarrête bien mais ce nest pas la notre. En descend un couple : lui grand, musclé, elle normale en taille, blonde et surtout bien faite ( je me trouve moche). Ce couple est étonné de voir la couverture et le panier sans personne autour.
Deux minutes plus tard arrive enfin Henri. Lui est étonné de ne pas me voir. Le couple explique quils nont vu personne. Henri remarque mes vêtements sur la couverture. Il comprend ce quil se passe. Il mappelle. Je répond un timide :
- Je suis là !
- Où là ?
- Je me cache, je suis nue !
Sans réfléchir, jajoute :
- Je mennuyais seule, jai voulu me branler en tattendant.
Le couple se regarde en souriant. Henri commence à mal le prendre, non pas le fait que je me sois donné du plaisir, il sait fort bien que je le fais souvent, surtout devant lui., mais de le dire tout haut.
Il vient me chercher suivi par la femme. Après tout une femme ce nest pas tragique. Je vais me réfugier vers Henri. La femme me regarde avec des yeux envieux ; je connais ce genre de regard, quand jétais jeune une femme plus âgée que moi le faisait, juste avant de mappendre lamour entre fille.
Cet épisode de ma vie antérieur nétait pas connu dHenri. Tans pis, il lapprendra aujourdhui, après tout ce nest pas mortel de baiser une fille. En plus elle ne me déplait pas du tout.
Entourée par une jeune femme et mon amoureux, jarrive toujours nue près de la couverture. Lhomme qui accompagne la jeune femme se rince lil. Henri voudrai me protéger. De quoi veut il me protéger de lautre, delle ou de moi ?
Je suis capable de ne pas me protéger : je vois que la bite de cet homme enfle dans son pantalon, Henri aussi commence à bander. Quant à la fille je ne sais pas si elle mouille comme moi en ce moment. Je mallonge sur la couverture, les jambes ouvertes, mon sexe à la disposition de qui le voudra : homme ou femme je men fiche. Je me donne simplement.
La première à le comprendre cest cette jeune femme blonde. Elle vient se déshabiller sur la couverture, se penche sur moi et membrasse. Il y a longtemps que ma bouche navait pas eu une bouche de femme. Nous nous caressons les seins, le pubis et nous allons très en bas, sur le clitoris.
Je crois que je lui donne au moins autant de plaisir. Nous jouissons comme deux lesbiennes. Elle se tourne pour que nous puissions faire un 69.
Je ne sais même pas ce que font les hommes, ils se branlent sans doute. Nous, nous suçons les chattes. Cest bon de lécher un sexe de fille, ça a bon gout et les langues ne rencontrent que des choses douces.
La première je lui met un doigt dans lanus : elle ouvre son cul pour que jentre facilement. Jai de la chance, elle aussi mencule avec deux doigts. Nous partons ensemble.
Je me tourne pour être contre elle, nous nous caressons les seins et les fesses.
Henri nous regarde faire, il est nu comme lamant de la blonde. Tous les deux bandent dur. Nous pouvons faire les comparaisons entre les deux bites. Elles sont difficiles à séparer. Aujourdhui à tout prendre jaimerai que ce grand bonhomme vienne me baiser. Surtout jaimerai voir Henri baiser une autre femme. Ca fait parti de mes fantasmes.
Cest bien ce qui se passe : Nous sommes sur le dos quand les hommes viennent nous baiser. Nous écartons les jambes pour nous faire mettre au même endroit dans la chatte.
Il faut reconnaitre que se faire baiser par un homme est aussi agréable quavec une femme, cest seulement lintérieur des chattes qui sont ramonées. Et cest bon de se faire limer.
Je vois enfin Henri qui baise. Cest émouvant de voir son plaisir arriver.
Il ne le sait pas encore, je vais moi aussi jouir avec une pine étrangère dans mon ventre : il me baise bien cet animal.
Les deux hommes jouissent dans nos ventres. Jai encore envie de jouir, mon amante recommence à me branler. Cest bon, nous nous faisons encore jouir.
Les hommes sont en forme rapidement puisquils aiment nous voir baiser entre filles. Henri a envie de mon cul comme le compagnons de mon amante. Je ne veux pas choisir : je leur donne et mon cul et mon con.
Les hommes sont résistants et ils sattaquent à lautre fille qui comme moi ne demande pas mieux. Elle jouit aussi.
Lamusant de la chose est quand les hommes qui bandent encore se serrent les mains comme des complices. Avec lautre fille nous échangeons un dernier baiser.
Finalement le piquenique est plein de surprises.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!