Mon Beau Voisin De Lit D'Hôpital

Cette histoire s’est passée pendant l’été 1986, j’avais alors 27 ans et pourtant je m’en souviens comme hier.
Pendant le mois d’août de cette année, j’ai eu une crise d’appendicite aigüe et je dus me faire opérer d’urgence dans une clinique. Le matin de mon opération, j’entre dans la clinique avec mon compagnon de l’époque et on m’amène dans ma future chambre.
Nous étions mon compagnon et moi en couple depuis quelques années et je n’étais pas vraiment heureux en ménage. Moi je suis très câlin et tendre, j’aime les mecs poilus et virils. Mon compagnon, imberbe commençait à virer tendance SM.
J’arrive dans une chambre à deux lits, plein sud, avec sur le lit côté fenêtre, un jeune mec blond, moustachu aux yeux bleus et un sourire. Il se présente comme Jean-Marc et j’apprends qu’il a 28 ans.
Je me présente ainsi que mon compagnon qui me laisse rapidement. Après quelques minutes de bavardage, nous sommes interrompus par l’infirmier qui vient me raser et me préparer pour l’opération.
Il tire le rideau qui sépare les deux lits et me demande de me déshabiller complètement. Il m’enduit le ventre de mousse à raser et me rase. Remarquant que je suis bronzé totalement, il me demande à haute voix où je fais du naturisme. Je lui réponds sur les bords du lac de Neuchâtel et nous discutons encore un peu le temps qu’il finisse le travail. Il me donne ensuite la prémédication et me dit qu’il vient me chercher dans une petite heure.
Lorsqu’il est sorti, Jean-Marc me dit :
- pas gonflé et assez folle l’infirmier !
- oui, on peut dire ça, heureusement que je ne suis pas pudique...
- comme ça tu aimes le naturisme ?
- oh oui, c’est agréable lorsque le soleil caresse toute ta peau et se baigner à poil, je te dis pas. As-tu aussi fait du naturisme ?
- j’en crève d’envie, mais j’ai pas encore osé.
L’infirmier rentre à nouveau et m’amène dans la salle d’opération…..
Les jours qui suivent l’opération, nous entamons avec Jean-Marc un nombre de partie de scrabble incalculable, nous bavardons sans cesse, nous charrions, bref la bonne entente.

Ce qui est bizarre, c’est que Jean-Marc prétextant la chaleur, se balade plus en short, T-Shirt mais en chemise d’hôpital, chemise juste attachée au cou. Ce qui fait qu’à chaque mouvement, j’aperçois un bout de son corps ou son slip qui me semble bien rempli.
Le 4ème jour, il vire même son slip et j’ai alors souvent une belle vue sur ses fesses poilues et bien rondes. De temps à autre, je vois aussi son torse velu et musclé, ses abdominaux.
Dans la soirée de cette 4ème journée, après la tournée de nuit de l’infirmière, nous recommençons à bavarder et tout à coup il me dit :
- Ecoute, j’ai toujours eu envie de faire l’amour avec un homme, mais je n’ai jamais essayé.
- Mais enfin Jean-Marc, tu as une copine. Es-tu sûr de ce que tu veux faire ?
- Oui, je suis sûr et c’est avec toi que je veux faire l’amour, la première fois avec un homme.
- Je suis flatté, mais je ne suis pas certain que ce soit une bonne idée. Bien que ce ne soit pas l’envie qui me manque, car tu es un très beau mec, tout à fait mon style.
- Moi par contre, à force de te chercher, je suis très excité et je veux faire l’amour avec toi.
Je rapproche alors les deux lits et me recouche près de lui. Je le regarde dans les yeux et commence à lui embrasser les yeux, lui caresser le visage et pose mes lèvres sur les siennes. Il entrouvre ses lèvres et une langue vigoureuse commence un ballet d’enfer avec la mienne.
Après quelques minutes, où on s’embrasse, on s’éloigne, on se regarde puis on recommence, j’enlève sa chemise d’hôpital. Lentement, je descends avec ma langue depuis sa pomme d’Adam vers ses tétons qui se dressent de plaisir. Je titille du bout de ma langue ses petits mamelons cachés dans sa belle pilosité blonde bouclée. Je passe d’un sein à l’autre et je sens bien que cela lui fait un effet terrible.
Je poursuis ensuite mon exploration de la langue en descendant des tétons plus bas, lèche ses abdominaux, puis contournant sa verge bien dressée, commence à lui lécher les testicules, les prends dans la bouche et les relâche.
Ensuite je lèche sa queue bien dressée de sa base au gland. Je m’amuse d’entrer le bout de ma langue dans son méat et enfin lui gobe d’un coup toute la queue.
Je m’applique alors à le pomper lentement, puis un peu plus vite, en lui tâtant les couilles, en lui caressant les jambes, le ventre et le torse.
Après un bon moment, il m’arrête et me dis : à mon tour maintenant.
Il enlève alors ma chemise d’hôpital et commence à me mordiller les tétons, me passe la main sur le torse que j’ai aussi velu que lui, me flatte les couilles et commence à me sucer en faisant attention à ma cicatrice. Après quelques instants, il me renseigne s’il sait s’y prendre. Je le rassure, trouvant que c’est un amant formidable.
Nous passons alors en position de 69 et nous nous suçons comme des fous. Nos jeux érotiques durent environ une heure, puis ne tenant plus l’un comme l’autre nous jouissons ensemble. Il m’arrose le torse de son sperme et le mien gicle sur mon ventre. Après s’être nettoyé un peu (on sait jamais qui peut rentrer…) on passe encore quelques minutes à s’embrasser, se caresser avant de se souhaiter bonne nuit.
Le lendemain matin, Jean-Marc apprend qu’il peut sortir le jour même s’il veut alors que moi je sors le jour d’après. Jean-Marc prétexte un empêchement et dit vouloir sortir le même jour que moi.
Le soir même, nous faisons à nouveau l’amour chacun pompant l’autre et avalant son sperme.
Quelques temps après notre sortie d’hôpital, Jean-Marc a quitté sa copine. Il s’est mis en couple avec un mec peu après. Nous nous sommes revus quelques fois, moi avec mon copain et lui en couple. Nous n’avons jamais refait l’amour ensemble.
Pour ma part, lorsque je suis sorti de l’hôpital, j’étais amoureux de Jean-Marc, mais je n’ai jamais osé le lui dire comme je n’ai jamais eu le courage de quitter mon copain. Courage que je n’ai eu que 10 ans plus tard.
C’est de l’histoire ancienne, mais j’aurais aimé faire un bout de chemin avec Jean-Marc.

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