La Poupée Russe
Je corresponds depuis plusieurs mois avec une Russe par mail. Jai eu un jour la surprise de recevoir un courrier fort bien écrit en français, dune Russe de Sibérie, Anna. Elle écrivait quelle était divorcée, son homme lavait déçue. Coquin comme je suis, je nai pas tardé à lui demander des photos delle. Par retour jai reçu une série de clichés où une belle fille posait, accoudés à un muret en pierre, tenant un cheval, montant ce même cheval. Je la trouvais fort désirable, aussi en retour, jai envoyé trois photos de moi, dabord la première bien sapé, la seconde plus que décontracté, en simple slip de bain bien étroit et la dernière nu, vu de dos.
Jattendais avec impatiente les siennes. Elle na pas fait les choses à moitié : elle était toujours nue dans des positions les plus excitantes. Je désirais mieux la connaitre et je linvitais à venir chez moi ou si elle avait peur, daller dans un hôtel. Je crois quelle na pas du hésiter longtemps. Elle acceptait mon invitation chez moi, pour mieux connaitre la vie des Français. A moins que
Après un voyage de près de 3 jours, enfin elle débarque dun TGV. Je la reconnais facilement. Je mattendais à une fille avec un accent slave déplorable . Elle parle parfaitement français.
- Bonjour, comment vas-tu ?
- Je suis fatiguée du voyage.
- Allons chez moi pour te reposer.
- Jai sommeil.
Arrivée chez moi, je lui montre sa chambre, je pose sa valise. Elle sassoit sur le lit, se tourne un peu et plouf, elle sécroule sur le lit. Je crois bien quelle dort avant même dêtre arrivée sur les draps.
Je la regarde de près, je peux puisquelle dort. Cest une poupée, russe, bien sur. Un poupée fine avec de longs cheveux blonds.
Je me retire, il est encore tôt: pas loin de 16 heures. Jai des bricoles à faire dans le jardin. Jen profite et rentre vers 19 heures. Je fais un peu de bruit et je la réveille. Elle sort de la chambre la robe froissée, les yeux encore ensommeillés.
- Bonjour ou bonsoir, Anna. Bien dormit ?
- Oui, jai récupéré.
- Comment se fait-il que tu parles si bien les français ?
- Ma grand-mère était française, elle ma tout appris.
- Tout ?
- Oui en français.
Ella sait reconnaitre les sous entendu. Tant mieux.
Je lui demande ce qui sest passé avec son mari : il était souvent ivre, la battait et ne lui faisait lamour que rarement alors, quelle aime bien ça. Elle nétait pas vierge quand elle se mariait, doù un inévitable conflit. Cest quand le divorce a été légalisé quelle a pu faire enfin ce quelle voulait et son vu était de venir en France à la recherche de ses racines.
- Si je ne tavais pas envoyé mes photos de nu, Est-ce que tu serais venue quand même.
- Non, je préfère avoir des vrais personnes avec qui je correspond. Tu es une vrai personne. Et mes photos ?
- Tu mas fait bander.
- Bander ? Ça je ne sais pas ce que ça veut dire.
- Bien sur ta grand-mère ne ta jamais dit que bander voulait dire pour un homme très excité.
- Oui je comprends. Tu tes caressé en pensant à moi ?
- Cest ça, oui, je me suis branlé. Et toi tu te caresses ?
- Oui souvent. Dans le train jai caressé mon sexe et jai eu beaucoup de plaisir en pensant à toi.
- Tu sais que tu me donnes envie de toi.
- Je ne sais pas. Moi jai envie de toi aussi.
Nous voilà enfin partis vers je ne sais où, en tout cas vers le lit. Avant de nous trouver couchés, je lembrasse. Quel plaisir de lembrasser. Sa langue est très agile. Je ne suis pas son premier cest visible. Elle en a envie plus que moi je suppose. Elle pose une main sur ma bite : elle me fait bander depuis un moment. Sa main me masse lentement, sans gêne aucune. Je passe mes mains sur ses fesses quelle tend vers moi. Je me demande si elle connait la sodomie. Linverse métonnerai beaucoup.
Elle cherche à sortir ma bite sans y arriver. Je laide en ouvrant comme il faut la braguette.
Sa main sen empare, commence à me branler légèrement, avant de me manger le sexe. Ses lèvres sont très douces sur ma bite, elle fait descendre ainsi le prépuce. Quand il est sous le gland, sa langue prend la relève. Elle me lèche tout le long de la colonne avant de venir sur le gland directement. Sa langue est aussi agile sur ma queue que dans ma bouche. Je suis étonné de la pratique quelle a de la fellation. Elle fait descendre le pantalon et le slip. Elle ralenti beaucoup sa langue et elle me caresse les couilles, passe une main derrière les fesses et sans le demander elle enfonce un doigt dans le cul. Je ne sais si cest une pratique russe, en tout cas ce nest pas mauvais. Je suis sur le point de jouir quand elle arrête tout pour revenir membrasser. Je sens le gout de ma bite sur sa langue. Je reprends la direction de ses fesses en levant le bas de sa robe. Je dois passer ma main sous son slip vielle Europe. Ses fesses sont agréables à caresser. Sa raie fessière lest tout autant. Je laisse un seul doigt descendre à la recherche de son anus.
Elle sait fort bien où je vais : quand jarrive elle écarte bien ses fesses, son anus et déjà prêt. Jentre facilement dans son fondement. Cest là quelle commence à soupirer de plus en plus fort au fur et à mesure de la montée de son plaisir. Quand elle jouit elle me mordille les lèvres.
- Cest bon, ce que tu viens de me faire. Je crois que tu es le premier à mavoir faite jouir ainsi.
- Tu aimes bien baiser ?
- Jadore quand un sexe dhomme est dans mon ventre.
- Tu sais cest rare les filles qui jouissent la première fois avec un homme qui leur met un doigt dans le cul.
- Si tu veux tu peux le mettre devant.
- Maintenant ou tout à lheure au lit.
- Au lit.
Cest bien là où nous allons. Mon premier soin est de la déshabiller. Bien sur ses sous vêtements datent. Ce qui ne date pas cest Anna : elle est très belle, très sexy avec ses seins durs aux aréoles bien prononcées qui attirent ma bouche.
Jai trop envie delle pour mattarder à lui lécher le sexe, je le ferai plus tard. Je la couche sur le dos et elle prend immédiatement ma bite, la cajole un peu avant de la guider vers son entrée de sexe. Je nai plus quà me laisser aller sur elle. Jentre dans une véritable fournaise. Dire quelle a envie est une litote. Je glisse dans son con. Je suis tout au fond de son vagin. Nous nous regardions dans le yeux quand elle a envie de mes lèvres sur sa bouche. Baiser à deux est normal, mais baiser comme nous sommes en train de le faire est une rareté : elle murmure des mots russes que je ne comprends pas du tout, jen murmure dautre quelle comprend peut-être, je nen sait rien. Putain que cest bon, que tu niques bien. Ce quelle comprend bien cest JOUIR. Je la sens jouir autour de ma bite. Jaime sentir ses spasmes.
Delle-même, sans que je le lui demande elle se met en levrette, se met de la cyprine sur son petit trou, elle ne demande rien. Elle a simplement envie que jaille dans son cul.
Je ne la connais pas suffisamment pour la pénétrer rapidement. Je ne fais que poser ma bite sur son entrée arrière. Elle me guide encore avec ses mains. Je sens bien sa pastille qui souvre un peu, elle nest pas vierge de ce coté, tant mieux. Jentre dans un royaume de volupté, elle aime se faire enculer, cest certain, en plus de son désir il y a la disposition de son intérieur. Ces franchement jouissif, pour elle dabord, qui en profite pour se branler sans pudeur pour notre première fois, et pour moi qui ne sais comment me retenir pour ne pas jouir rapidement. Jadore quand elle resserre son sphincter sur ma bite.
Elle en voudrait encore. Elle sait que je ne peux pas la pénétrer encore. Elle patiente un moment avant de se mettre juste à coté de moi, sur les genoux, les cuisses écartées pour se caresser. Je vois ses doigts aller et venir sur le clitoris pendant quavec lautre main elle se doigte : elle est sur le point de jouir, jaimerai le vois de près. Elle arrive surtout à son but, me faire bander.
Ce quelle désire est simple : une dernière fellation. Elle se penche vers ma pine, la prend encore dans la bouche. Jarrive à me tourner pour lui bouffer la chatte. Je dois y réussir puisquelle jouit ou plutôt nous jouissons ensemble.
Elle peut rester en France après la prolongation de son visa. Si je vous dis que nous sommes sages comme des images, vous ne me croirez pas et vous aurez raison. Nos corps se sont tellement habitués à lautre que nous ne pouvons plus nous passer de baiser ensemble.
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