De Mon Temps
Jai rencontré Josiane une nuit dans un lieu réservé à des amateurs éclairés, une maison où seuls sont admis les vrais adorateurs du seul dieu depuis toute éternité : le sexe. Je venais de faire lamour avec deux hommes avec toutes les satisfactions quune femme peut tirer dune double, quand pour me reposer un brin je la rencontrais. Elle nétait pas ma première femme, je la voyais comme telle. Nous avons passé le reste de la nuit pour nous seule. Quelques semaines plus tard, nous habitions ensemble chez moi.
Mais chez moi, cest aussi chez Marthe. Marthe est dans ma famille depuis presque sa naissance, elle est « servante », ne veut surtout pas partir, elle entend finir ses jours dans son « chez elle ». Finalement elle remplace mes parents. Nous nous aimons bien et elle ne se gêne jamais pour dire ce quelle pense. Quand jinvite des amis à la piscine, elle trouve à redire à cette jeunesse qui ne sait pas se tenir sous prétexte quils se mélangent souvent pour échanger de partenaire.
-De mon temps, je ne faisais jamais une chose pareille.
- Tu te gênais sans doute.
- Non, si javais envie dun autre homme après le premier je laissais passer un peu de temps.
- Tu attendais combien ? 10 minutes ?
- Oh et puis tu mennuies à la fin.
Quand Josiane est arrivée, Marthe qui connaissait mes gouts commençait déjà à râler, dautant plus que lété arrivant, nous nous sommes mises nues dès le début de son séjour. Après quelques instant de bouderie, je voyais le regard de Marthe sadoucir: elle venait dexaminer le corps de mon amante qui lui plaisait. Je sentais que si elle avait été plus jeune elle maurait demandé de la baiser elle aussi.
Josiane aimait bien ma maison, mes amis et nos nuits. Nos nuits étaient fabuleuses. Nous nous comportions comme de vrais amants. Elle était à ma gauche, jétais couchée sur le ventre, une main sur son sein droit, mes lèvres sur les siennes, ma langue dans sa bouche.
Il me semblait que chaque parti de son sexe était indépendante de Josiane. Pourtant cest bien elle qui gémissait sous mes caresses forts indécentes. Cest vrai que jaimais lui caresser un petit bouton qui me plaisait juste en haut de sa fente. Je le frottais avec deux doigts et elle se laissait faire en poussant de temps en temps un cri que le lendemain Marthe me reprochait. Elle ne le reprochait jamais à Josiane.
Ensuite je mettais trois doigts dans son vagin humide et chaud. Jaimais beaucoup la faire jouir ainsi, malgré ses cris. Javais les doigts suffisamment mouillés pour en mettre deux sur son anus pour les entrer après dans son cul.
Jattendais mon tour, elle me faisait à peu de choses près ce que je venais de lui faire « subir ».
Nous nous recouchions normalement pour nous embrasser encore et nous dire des mots doux.
Cest elle qui prenait linitiative suivante. Elle menjambait pour me donner son sexe à voir de très près et donc le lécher. Elle mettait sa langue sur le mien la première ; je la laissais faire pour jouir de sa langue sur le clitoris. Je la tenais par les fesses en ayant mes bras sur ses cuisses, jen faisait le tour. Jaimais bien voir son sexe intégralement et son cul à moitié ouvert. A nous deux nous nous occupions pour mieux jouir.
Presque tous les samedis nous allions un peu plus loin : nous faisions comme les ménages normaux: un extra. Pour certains cétait jour de baise, pour dautre pratiquer la sodomie, pour nous, cétait la fête aux clitoris.
Cest Josiane qui mavait convertie, nous étions presque assises sur le lit, les jambes mêlées, les sexes à quelques millimètres. En nous tortillant nous arrivions à faire toucher nos clitoris. Nous pouvions nous embrasser et caresser les seins. Bref la totale, une totale bien fatigante.
Marthe, toujours elle, avait parfois des idées excellentes : ainsi pour Noël elle nous offre un paquet bien fermé. Je venais de lui offrir un foulard neuf.
Avec Josiane nous ouvrons ce drôle de paquet. Nous étions stupéfaites : un double gode. Que faine sinon dembrasser ma servante pour cette attention. Elle explique son geste:
- Vous vous branlez, vous jouissez, tant mieux pour vous. Tans pis pour moi quand Josiane cri en jouissant. Il nempêche que vous navez jamais le con plein. Avec ça au moins vous jouirez normalement, pas comme des gouines que vous êtes. Je vous aime toutes les doux, mes chéries. Aimez vous longtemps toutes les deux, filles de rien.
Filles de rien ou non, nous nous précipitons au lit sous lil attendri de Marthe. Nous nhésitons pas une seule seconde à nous mettre les fesses faces à faces. Cest Josiane qui pour linstant se prête à faire la meneuse de jeu, et quel jeu. Nous sommes surexcitées. Josiane nhésite pas à entrer un bout du gode dans son vagin. (son con aurait dit Marthe) elle le met au fond, je mapproche encore plus delle : elle le ressort presque de son ventre pour le rentrer dans mien. Je sens mes chairs sécarter avec ce vieux plaisir qui réapparait. Une bite dans la chatte, je nen avais pas eu depuis je ne sais combien de temps. Josiane se débrouille mieux quun homme car elle sait quand arrêter et quand reprendre. Elle sait quand accélérer pour ne plus sarrêter quaprès nos orgasmes. Nos cris doivent se confondre.
Le lendemain nous nétions pas belles à voir. Marthe reprend sa ritournelle : vous avez crier trop fort cette nuit. Josiane métonne en répondant : cest de votre faute, pourquoi nous avoir donné de quoi jouir plus fort.
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