Vietnamienne Et Godemiché.
Revenant de Tunisie, où jai pu sans trop forcer faire lamour avec une tunisienne plutôt chaude, je reviens chez moi en avion. Satolas, pas loin de Lyon me laisse le temps suffisant pour faire une connaissance du genre bizarre. Rencontrer une vietnamienne, nest pas insolite. Ce qui lest plus c'est son allure, lair presque hautain, elle toise tous les hommes qui osent la regarder.
Je la détaille : un corps élancé, petite poitrine, des cheveux très longs jusquau niveau des fesses, et un visage de fée asiatique, du moins je les imagine ainsi. Elle est assise au bar, dégustant je ne sais quoi. Je vais près delle sans intention particulière, sinon de boire une bière en attendant un bus. Je suis à quoi, un mètre de la « chinoise ». Je rêvasse un instant, je la regarde sans arrêt. Sen est trop pour elle et elle me gifle. Pour moi recevoir une beigne dune fille quand je le mérite, cest normal, mais quand je nai rien fait : attention je risque de répondre.
Là jhésite beaucoup, simplement je demande des explications :
- Mais quest-ce que jai fait pour ça ?
- Vous me regardez.
- Dun ce nest pas vrai, ensuite la politesse aurait voulue que vous soyez courtoise.
- Cest quoi être courtoise ?
- Je ne sais pas. Par exemple si je vous offre un verre.
- Pas question.
- Alors là vous nêtes pas courtoise.
Elle très étonnée. Son air courroucé disparait. Elle commence à me sourire. Ses yeux bridés semblent avoir été faits pour le sourire. Elle en est encore plus belle. Dun geste machinal elle arrange ses cheveux.
Elle naccepte aucune consommation, elle a trop bu un soda made in america (berk)
Nous papotons de son pays dorigine, que finalement elle ne connait pas tellement, de son travail dhôtesse daccueil dans une grosse boite et du mien. Lavion quelle attend arrive, les personnes quelle devait escorter de sont pas sur le vol. Tant pis. Elle me propose de memmener en ville.
- Vous êtes de Lyon ?.
- Non du tout, je marrête seulement pour affaire, jai retenu une chambre en pleine ville.
Elle connait ladresse et my mène.
- Jai fini ma journée, je peux vous emmener où vous voulez.
- Vous êtes gentille à coté de tout à lheure.
- Excusez moi, jétais énervée.
- Pour vous faire pardonner nous allons diner ensemble.
Elle connait des endroits, elle voudrait que nous sortions ensembles pour aller voir un concert de musique folk. Bref elle est la fille parfaite en apparence. Jai pourtant vu son jeu de jambes dans le voiture. Ou elle a cherché à me provoquer ou elle cache bien son jeu.
Je vais bien voir... nous arrivons à lhôtel, je lui demande de maccompagner, ce quelle accepte facilement.
Nous sommes dans la chambre, je pose ma valise, elle profite de cet arrêt pour mettre en route la télé comme si elle allait rester là. Elle sassoit sur un des deux fauteuil pour regarder le programme. Ses cuisses sont plus dénudées que dans la voiture. Je suis certain quand me mettant en face delle je verrai sa culotte.
Elle se lève pour aller dans la salle de bain, jentends de leau couler. Elle appelle. Je vais voir ce quelle veux, je frappe à la porte :
- Entrez cest ouvert.
Jentre voir et je jouis dun spectacle rare : une fille jolie comme tout, les cheveux longs remmenés en un chignon énorme sur la tête, une serviette autour des reins, la poitrine nue. Je ne sais pas ce quelle a fait avec leau.
Par contre la voir ainsi me donne envie delle.
Je ne la jette pas, je la pose délicatement, jai impression quelle est fragile. Quelquun frappe à la porte, cest un serveur, javais commandé deux repas juste avant de monter, je lavais oublié.
Elle se cache sous les draps pour ne pas être vue nue. Dès que le service est fini elle se lève, sassoit à mes cotés pour partager le repas. Nous partageons la nourriture à sa façon, une bouchée pour toi, une pour moi. Comme entre chaque bouchée nous nous embrassons, jai limpression que nous commençons un autre genre de repas.
Je vois ses seins qui mattirent. Je pose mes lèvres sur le premier venu, elle ne dit rien, elle se laisse faire en tenant ensuite ma tête pour que je ne parte pas. Aucun risque, ma bouche cherche à bien faire les choses. Je la suce longuement. Je change de sein pour recommencer. Je profite lâchement de sa nudité pour descendre lentement avec mes ongles vers sa chatte. Sa touffe naturelle nest pas très importante. Jy passe mes doigts avant daller sur son paradis. Je trouve une chatte trempée. Je la caresse à deux doigts. Je ne sais comment jarrive à la faire jouir si vite.
- Cest bon, je ten parlerai après, continu.
- Je vais continuer, raconte.
- Voilà, tu es le premier hommes depuis que je couche avec des filles, je naime pas les hommes par ce quils sont brutaux, quils ne pensent quà leur quéquette. Tu nes pas comme ça. Baises moi.
Je ne dit rien, je la caresse comme toutes les filles que jai connu.
Elle sest couchée dans lattente. Quand je viens sur elle, elle écarte les cuisses. Je sens quelle se méfie. Comme je viens de la faire jouir, je sais quelle va se laisser faire pour avoir un autre orgasme. Jentre en elle, son vagin est resserré. Ca doit venir de ses origines. Je me sens à laise dans son ventre. Je vais et viens pas longtemps car elle jouit en salve dorgasme.
- Merci, tu ma faite beaucoup jouir .
- Tu veux que je te sodomise ?
- Oui.
Réponse rapide : je vais en profiter, je nai heureusement pas encore craché mon venin. Elle a déjà du se faire mettre par le cul, elle mouille son anus avec sa cyprine. Elle mattend maintenant.
Toujours sur le dos, elle doit aimer cette position alors que jaime sodomiser en levrette. Elle se tourne, je ne sais pourquoi, la voici sur le coté, elle farfouille dans son sac. Elle sort je ne sais quoi. Enfin elle est en position. Je pose ma bite sur son cul. Sil est aussi étroit que son vagin je vais me régaler. Il est étroit, je men aperçois dès lentrée. Jentre par millimètres, très lentement. Jarrête quand je sens que mon gland à passé son sphincter. Je craignais quelle se crispe, au contraire elle est totalement détendue. Par contre, je suis à peine mes poils sur ses fesses quand je la sens jouir. Quand un tel cul jouit, la bite est sur le point déclater, ce qui arrive.
- Restes dans le cul, nen sors pas.
Je force pour ne pas sortir, de toute façon je le ne pourrais pas tellement son anus est fermé pour memprisonner.
Je la vois prendre ce quelle a sorti de son sac : un joli godemiché de taille normale, adapté à son anatomie. Elle le met elle-même dans le vagin et entame des vas et viens qui ont double effet, sur moi qui bande et sur elle qui se retrouve en doublé pénétration.
Pour une fille devenue adepte du saphisme elle est étonnante.
Je la baise encore en prenant toujours le même plaisir dans cette grotte. Je sens sur mon anus, le gode.
- Tu ne vas pas menculer ?
- Si, jaime faire ça en baisant.
De toute façon je nai plus rien à dire, jai le gode dans le cul. Elle le manie de main de maitre, elle arrive à me décontracter et me donner un début de plaisir anal. Je commence à sentir un drôle de plaisir qui mêlé à celui de la bite est plus quagréable.
Je ne me souviens que de la fin quand je jouis comme jamais. La nuit est longue. Très longue. Trop pour elle qui toujours devant moi, sans pudeur se masturbe lanus avec deux doigts avant dy mettre le gode. Finalement jai encore envie delle. Elle me veut bien, mais en 69. Lintérieur de sa bouche est aussi chaude que son sexe ou son cul. Jai subtilisé le gode, à moi de men servir: je la lèche et lui entre le gode dans le cul, comme elle a fait devant moi, je sais comment elle sencule jen fait autant.
Au matin nous sommes réveillés par une femme de chambre qui porte les petits déjeuners. Nous sommes nus sur le lit, totalement découverts. Ni elle ni moi ne faisons leffort de nous cacher un peu. Jen bande un peu. La jeune femme nous regarde intéressée, si nous insistions elle se joindrait à nous. Pas question de partie ce matin, par contre ce soir si elle veux nous serons encore là. Elle accepte sans problème.
Ce sera pour la suite.
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