Le Serveur Arrogant (2/2)
Dans le miroir elle admire le corps de son amant, dont les muscles se contractent sous la peau hâlée, son visage crispé par leffort et le plaisir ; il aime profiter delle ; elle regarde alors les courbes de son propre corps, apprécie de voir ses seins, comprimés contre le carrelage, trembler à chaque coup de rein ; et sa peau luisante de sueur irradie comme jamais. Elle gémit, tour à tour langoureuse et plaintive, elle simagine actrice dans les bras dun jeune premier. Dans un film très salace.
Soudain il se retire, reprend son souffle. Elle sent quil aurait pu jouir linstant davant. « - Mets toi par terre. » Elle obéit sans un mot. « Non, à quatre pattes. » Là elle na plus le miroir pour observer les gestes du jeune homme, elle attend, se surprend à vouloir quil retourne en elle le plus vite possible. Quand elle sent quil sagenouille derrière elle, elle cambre son dos sans même sen rendre compte, offrant sa vulve à son bon plaisir.
« Jai vu ta bague. Tes mariée ? » Lévocation inattendue de son mari lui pince le cur. «
Oui, depuis 14 ans. Tu aimes baiser avec lui ? -
Oui
cest différent. Est-ce quil te doigte le cul ? » Alors quil linterroge froidement, il se met à frotter doucement son gland contre sa chatte, elle ne sait sil faut couper court à ces humiliations verbales ou tendre un peu plus son sexe pour sempaler encore sur sa verge. Il caresse maintenant de ses doigts son clitoris trempé, garde sa pine collé contre lentrée de son vagin ; chaque fois quelle se cambre presque inconsciemment pour lavaler, il se recule légèrement pour empêcher la pénétration. Alors, tout en gardant cette position, il pose simplement son pouce mouillé sur son anus fermé. Elle esquisse un frisson, puis inspire violemment lorsquil enfonce ce pouce dans les plis de son cul en murmurant : « Alors, Il te doigte le cul ton mari ? -
N-non ! Jai très envie de tenculer maintenant. Non ! Tinquiète pas, tu mouilles tellement que ça va passer comme dans du beurre.
La pointe de son pénis appuie sur son anus qui résiste et senfonce sur lui même ; puis lun et lautre ressentent ensemble le moment de flottement où le sphincter commence à céder, et suce comme une bouche le gland qui savance lentement, jusquà lavaler. Elle expérimente pour la première fois lagréable et désagréable sensation de son cul autour dune pine dure comme du bois ; elle en a le souffle coupé, les jambes en coton ; il continue de caresser son dos de sa main chaude, et avec lautre écarte une fesse pour profiter de la vue de son sexe enfoncé dans ce cul. « Cest juste mon gland, là tout va tout prendre. » Il avance, avec lenteur mais fermeté, dans les plis successifs de son rectum, qui résistent puis cèdent. Elle se crispe, pousse un cri plaintif. « Putain jy suis jusquaux couilles, je vais te les faire claquer contre la chatte tu vas voir. » Un tremblement discret dans sa voix trahie son extrême émotion.
Il commence alors ses va et vient, très doucement, crache sur sa bite pour la rendre encore plus glissante. « Putain cest bon ton cul tout serré sur ma teub ! » Il se met à la limer, retire toujours sa bite presque en entier pour ensuite lécraser profondément dans son cul. « Je vais tellement te casser le cul ! Je vais te dilater au maximum ! » En effet elle se détend de plus en plus, sent la douleur laisser la place à un plaisir très singulier. Elle a laissé son torse et sa tête reposer complètement sur le sol et ses genoux. Elle se sent nêtre plus quun cul. Toute sa sensibilité se loge à présent dans cet endroit pourtant inexploré le moment davant.
La déferlante monte en elle, les terminaisons nerveuses de son anus, de son clitoris et de son vagin, semblent prendre feu. Elle hurle de plaisir : le plaisir de sentir son doigt trempé sur son clito, le plaisir frustré de son vagin qui happe le vide, celui de son cul éclaté sur une bite magnifique. Les spasmes de son rectum avancent la montée de son amant, qui pousse un cri de détresse et de soulagement. Il se laisse tomber sur elle, trempé de sueur, le souffle court, puis latt doucement par les flancs pour la faire basculer sur le côté. Sans quil se retire, ils restent 5 minutes blottis lun contre lautre.
Au moment où il quitte enfin son intimité, ils poussent tous deux de longs soupirs.
Quand ils redescendent, les jambes flageolantes, le gros client a disparu. « Le salopard
enfin
perdre un client pour gagner une cliente, cest de bonne guerre. Alors, Madame, votre appréciation du service ? La bouffe est pas terrible. »
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