Camille Episode 9
(Un contrat chaud bouillant)
Ca fait trois mois que je travaille avec mon beau père.
Contrairement aux craintes de Fabien, il est très correct avec moi. Il na jamais fait dallusion sur notre aventure et il est super cool et très agréable.
Il a tenu ses promesses. Jai une petite voiture sympa, avec toutes les options, un téléphone dernier cri et le forfait de fou qui va avec.
Je fais ce que je veux. Je peux arriver en retard, prendre une journée, ne travailler que cinq heures, je serais payée pareil. Que demander de plus.
Parfois, lorsquil a un diner avec des clients, il me demande dy participer. Il dit que les affaires sont plus faciles, sil y a une jolie fille à la table.
Alors, ces soirs là, je mhabille jolie, sexy, mais pas vulgaire.
A ses dires, ca marche et en plus je récupère une petite prime.
La belle vie, quoi !
Mon Piou-piou est de matinée cette semaine. Lorsque je me réveille, il est déjà parti.
Ce matin, jai du mal à émerger. Monsieur Félicien devra mattendre.
Je traine, je me prélasse. Je prends une douche et me ballade nue dans lappartement en grignotant des petits gâteaux. Je regarde dehors à travers le voilage de ma chambre.
Il fait un soleil merveilleux. Il semble y avoir un peu de vent. Jouvre la baie et mes rideaux se gonflent de temps en temps comme la voile dun bateau. Cest une belle journée de fin de printemps qui commence.
Je massois au pied de mon lit et je me laisse tomber en arrière sur la couette défaite.
Je rêvasse en regardant le plafond.
Un courant dair, un peu plus fort que les autres, glisse sur moi et me caresse doucement. Cest comme une main de soie, légère et douce, qui vient de passer sur moi, de ma chatte encore humide de la douche, jusquà mes seins.
Humm ! Cest bon !
Ma main descend doucement et vient en contact avec mon clito gonflé. Un doigt glisse sur ma fente, presque machinalement.
Trois courants dair plus tard, je me masturbe avec application et enthousiasme.
Je plie les jambes et écarte mon vagin pour recevoir trois de mes doigts qui vont et viennent en moi, à toute vitesse.
« Ho, ouiii ! Merde ! Cque cest bon ! Hummm ! Ho putain ! »
Je jouis comme une petite pute et je lèche mes doigts comme une grosse gourmande.
Je devrais avoir honte ! Mais je men fou ! Hihihi !
Je me redresse et reprends doucement mes esprits.
A cause du courant dair, mon voilage cest ouvert sans que je men aperçoive.
Notre chambre est en vis-à-vis. Pendant une fraction de seconde, jai bien cru voir un visage deux étages plus haut dans limmeuble face à notre chambre.
Japproche de la fenêtre et prend le voilage dans ma main pour le refermer, mais jattends un peu. Je regarde à droite, à gauche, mais du coin de lil, je surveille la fenêtre. Mon attente est vite récompensée. Je vois distinctement, un type avec une paire de jumelle, me reluquer caché dans langle de sa baie.
Je ne lui montre pas quil est découvert et je referme les rideaux.
Jarrive avec une bonne heure de retard au travail. Je minstalle dans mon bureau et me prépare un café.
Monsieur Félicien a du me voir arriver, car il frappe à ma porte.
Il entre, souriant, comme toujours.
« Bonjour ma petite Camille ! En forme ? Tu veux bien me taper ceci et venir me voir ensuite dans mon bureau ? »
« Oui, bien sur ! Je vous fais ca tout de suite. »
Je tape ce qui ressemble à un contrat, et je lui apporte.
« Parfait, parfait ! Assis-toi, Camille. »
Je suis un peu inquiète, car il est très rare quil me demande de minstaller dans son bureau.
« Dis-moi ! Est ce que tu pense que tu pourrais te libérer vendredi soir. Un gros client veut me lâcher et ce serrait une catastrophe pour la scierie. Tu la déjà vu je crois. Cest monsieur Idriss.
« Ho, oui, bien sur ! Ca devrait pouvoir ce faire. »
« Heuu ! Ce nest pas tout. Tu sais Valérie, mon ancienne secrétaire, et bien elle connaissait bien ce client et ses gouts. »
« Ses gouts ? »
« Oui. Ce nest pas la première fois quil veut nous quitter et Valérie a payé de sa personne pour sauver cette affaire. Ce type fantasme sur les secrétaires. Haha ! Rassure toi, elle la fait delle-même, je ne lui ai rien demandé. »
Il rigole, mais il est bien le seul.
« Quest ce que vous êtes en train de me faire comprendre ? Que je fasse la pute pour sauver votre affaire ? »
« Non, Camille, pas la pute ! Il nest pas question quil tachète ! Se serrait comme un service que tu me rendrais, à moi, à la scierie, aux employés, rien dautre. Et puis, je ne fais que suggérer ! »
Je rentre dans une colère noire.
« Parce que jai eu la faiblesse, daccepter vos avances et de mêtre offerte à vous une unique fois, vous me prenez pour votre pute ? Vous osez demander à votre belle fille de se taper un de vos clients ? Avez-vous pensé aux conséquences si Fabien venait à apprendre votre demande ? »
Finalement, je mamuse bien. Le pauvre ne sait plus ou se foutre. Comment peut-il imaginer que sa proposition, memballe. Etre enfin, la putain du patron ! Hummm ! Jadore lidée.
« Ceci dit, je viendrais tout de même à ce diner. Jai besoin de ma journée ! Salut ! »
Je ramasse mon sac et je sors.
Je rentre à la maison.
Je jette un il à la fenêtre de mon voyeur. Il ne doit pas travailler. Il est là, accoudé à son garde fou et regarde dans la rue.
Lorsque je tire mes rideaux et que jouvre ma fenêtre, il disparait un instant et réapparait à moitié caché, jumelle à la main.
Bien sur, il ignore que je lai vu. Je rentre dans ma chambre et je me déshabille. Je sors du linge de mon armoire et je le replie, nue.
Jimagine mon bonhomme, la haut, sa lunette dans une main, sa queue dans lautre. Hihi ! Je me tourne dos à la fenêtre et je me penche pour ramasser un pull. Je lui présente mon cul et jaime ca. Il doit se régaler.
Je range mon linge et vais à la fenêtre. Je métire langoureusement face à mon voyeur et je referme fenêtre et rideaux. Fin du spectacle, pour aujourdhui.
Monsieur Félicien ne viendra plus me voir de toute la semaine. Ce matin, vendredi, jai trouvé un papier sur mon bureau.
- Hôtel-Restaurant « Le renard dor » 20h30. Merci et pardon.-
Monsieur Idriss aime les secrétaires ? Il va être servi.
Jarrive au restaurant avec un quart dheure de retard. Cest voulu bien sur. Il faut savoir se faire attendre.
Je suis habillée en secrétaire modèle. Tailleur cintré gris, avec vue imprenable sur ma poitrine, jupe droite moulante découvrant mes genoux, bas noirs, porte jarretelle, mais ca il faut le deviner, et une paire descarpin avec des hauts talons de onze centimètres. Je me suis fait un super chignon et jai ressorti une vieille paire de lunette qui me donne un air de maitresse décole.
Les deux hommes me déshabillent du regard. Mon petit déguisement, semble faire beaucoup deffet.
Le diner se passe. Monsieur Idriss me drague un peu, mais rien de flagrant. Ce qui minquiète, cest quà aucun moment ils ne parlent de ce fameux contrat.
Café, digestif et soudain, monsieur Félicien se lève.
« Bon ! Et bien je vous laisse. Vous avez le nouveau contrat. Étudiez-le et rendez-le à ma secrétaire
signé ! Haha ! »
« Ho, ca devrait être rapide ! Vous savez ce que je veux et ce que je ne veux pas ! »
Mon patron nous salut et il me plante là, avec le client.
« Bon ! Chère Camille ! Je vous propose que nous montions dans ma chambre. Ici, il y a trop de bruit pour me permettre de me concentrer sur la lecture de ce contrat. »
Je nai pas trop le choix.
Arrivés dans sa chambre, somptueuse au demeurant, il sinstalle sur un coin du lit, et y étale plusieurs documents.
« Houlàlà ! Ca ne va pas ca ! Pas question ! »
Je mapproche et me penche sur le document. Je sens le décolleté de ma veste pendre et souvrir. Il doit voir ma poitrine. Mieux, il doit voir que je ne porte pas de soutien gorge.
« Montrez-moi, monsieur Idriss ! Cest peut être une erreur ! »
Les yeux vissés sur ma poitrine, il mexplique son courroux. Cest un jeu d que de lui faire changer dopinion sur toutes ses revendications. Je parviens même à augmenter certaines prestations. Monsieur Félicien sera content je pense.
« Voilà ! Vous navez plus quà dater et signer ! Ici, sil vous plait. »
Mais, il voit les choses différemment.
« Vous connaissez Valérie ? »
« Heuu ! Oui, je la connais bien, pourquoi ? »
« Nous étions très complice tout les deux. Je signais ce quelle voulait et elle savait me remercier. »
« Je ne comprends pas ce que vous voulez dire ! »
« Mais si ! Tu comprends très bien au contraire ! Je vais prendre une douche. Range les documents et mets-toi à quatre pattes sur le lit ! »
« Mais je
»
Je ne peux pas en dire plus, il disparait dans la salle de bain.
Ouai ! Enfin un peu daction ! Je jubile.
Je range les docs dans son porte document, sauf celui à signer, bien sur.
Je défais mon chignon, pose mes lunettes et grimpe sur le lit.
Je minstalle en position de levrette, jambes légèrement écartées et jattends.
Leau cesse de couler. Mon cur commence à taper plus fort. Lorsquil sort de la salle de bain, je me surprends à rougir.
Il faut dire quil a ôté son peignoir et me dévoile un corps dune beauté incroyable.
Ce marocain est taillé dans le roc. Son corps encore humide, dessine des muscles et des abdos magnifiques. Sa peau pain dépice est couverte dun poil noir, soyeux et brillant. Je suis en admiration. Cest de loin, mon plus bel amant. Vous parlerais-je de son dard dressé ? Impressionnant, imposant, tentant.
Il monte sur le lit et se place derrière moi.
Doucement, il remonte ses mains le long de mes jambes, frôlant mes bas de soie. Il relève ma jupe et la roule sur mon dos.
Sa main flatte mon vagin et sattarde sur mon clito.
« Pourquoi a tu retiré ta culotte ? »
« Je nen portais pas ! »
Une claque sabat sur une de mes fesses.
« Monsieur Idriss ! Tu mappelle monsieur Idriss ! »
Cette soudaine brutalité me surprends, mais ne me déplais pas.
« Je nen portais pas, monsieur Idriss. »
« Jen étais sur ! Tu es une petite salope ! Jai bien vu que tu ne portais pas de soutif non plus ! »
Accompagnant le geste à la parole, il se couche un peu sur moi et att ma poitrine au travers de ma veste et lécrase entre ses mains puissantes.
« Cest exact, monsieur Idriss ! Je nen porte pas non plus. »
Je sens sa queue frapper mon vagin. Quil me prenne, vite ! Quil me prenne !
« Tu sais que tu es beaucoup plus appétissante que Valérie ? Jadore ton cul ! Ton patron a bien fait de tengager ! »
« Je le crois aussi, monsieur Idri
.Hoooo ! »
Une violente douleur irradie mon antre. Son sexe vient de me pénétrer profond dans lanus.
Le salop na pas prit de gants.
« Monsieur comment ? Salope ! Monsieur comment ? »
« Monsieur Idriss ! Monsieur Idriss ! Moins fort sil vous plait, monsieur Idriss ! Moins fort ! »
« Tu veux que je signe, oui ou non ? Alors ta gueule salope ! »
Il me faudra un moment, pour quà force de concentration, la douleur disparaisse, laissant place au plaisir.
« Tu laime ma queue ? Hein, putain ? Tu la sens bien dans ton cul de petite morue ? »
« Hoo ouiii, monsieur Idriss ! Hummm, ouiii ! Défoncez-moi bien, monsieur Idriss ! Ouiiii ! »
« Non, ca suffit ! Couche-toi ! Je vais te démonter lutérus ! Je vais te mettre le ventre à lenvers, salope de secrétaire ! »
Son discourt meffraie un peu, je lavoue. Mais je me résonne en me disant que Valérie, était surement passée par là. Alors
Avant que je me tourne, il tire sur ma veste et me larrache. Il descend la fermeture éclair de ma jupe, et elle aussi vole dans un coin de la pièce.
Une fois allongée, il lève mes jambes et pose mes talons sur ses épaules.
« Humm ! Tu a de très belles jambes. Jaime les jambes habillées de bas. Tu me gâte, petite putain. »
« Merci, monsieur Idriss. »
Il embrasse mes mollets, mes genoux. Moi, je regarde son pieu énorme qui pointe vers mon vagin.
Ses mains glissent sur mes jambes, viennent caresser mon sexe, énervent mon clito et remontent jusquà mes seins.
« Humm ! Ils sont parfaits ! Rien à voir avec Valérie. Les tiens se tiennent mieux et sont bien plus fermes. Hummm ! »
Je le remercie une fois de plus, mais si il savait comme il ménerve, à me comparer à cette pute de Valérie.
« Dis-moi que tu me veux ! »
« Ho oui, monsieur Idriss ! Jai envi de vous ! Je veux vous sentir en moi ! Baisez-moi ! Sil vous plait, monsieur Idriss, baisez moi ! Je suis à vous ! Hummm ! »
Je me tortille comme une anguille. Putain ! Cest pourtant vrai que jai envi de lui.
Il seffondre enfin sur moi et me pénètre brutalement. De me sentir pleine dun coup, fait monter mon plaisir en flèche. Mais alors que je commence à gémir de bonheur, il se met à me parler, tout en continuant à me pilonner.
« Tu a déjà baisé avec ton patron ? »
« Hummm ! Quoi ? Pardon ? »
« Est que tu tes déjà fait troncher par ton patron ? »
« Non, monsieur Idriss ! Jamais ! »
« Ne me mens pas, salope ! »
Jignore sil est au courant ou si cest du bluff. Alors, javoue.
« Une fois, monsieur Idriss ! Une fois seulement ! Cétait une erreur. »
« Ca te plais dêtre la putain de ton patron, réponds ! »
« Je ne suis pas une putain, monsieur Idriss ! Hummm ! Je ne suis pas
.Hooo, ouiiii ! »
Sa conversation mexcite et je ne suis pas loin de jouir.
« Si tes pas la putain de ton patron, pourquoi tu baise avec moi ? »
« Hummmm ! Je suis une
hummmm, ouiiii ! Hoooo ! »
« Tes quoi, sac à foutre ? Tes quoi ? »
« Une salopeeee ! Je suis une salope ! Haaaaa ! Ouiiii ! Je jouiiii ! Hummmm ! Ouiiiii ! »
Jexplose. Jai la sensation duriner tant mon plaisir est fort. Je ne crois pas avoir déjà eu, un orgasme de cette intensité. La tête me tourne. Je crois bien mévanouir un instant.
Lorsque jouvre les yeux, monsieur Idriss se vide sur mon visage. Le sperme chaud coule sur mes joues, glisse vers mes oreilles, mes cheveux.
Son foutre est abondant et gras. Il me semble que ca ne sarrêtera jamais.
« Vas-y ! Nettoies-moi comme il faut ! »
Il plante son sexe qui se ramolli, entre mes lèvres. Je mapplique à faire disparaitre toutes traces de sa jouissance.
Il respire encore très fort et transpire comme un buf.
« Alors toi ! Pour être une bonne salope, tu es une bonne salope ! Jen parlerais à ton patron. »
« Non, sil vous plait, monsieur Idriss ! Nen parlez pas ! »
« Mais si, mais si ! Il faut quil te rebaise à nouveau, putain ! Tu auras une augmentation, cest sur ! »
Je baisse la tête, honteuse.
« Monsieur Félicien est
mon beau père. »
« Hahaha ! Tu tes fait baiser par ton beau père ? Hahaha ! Trop fort ce vieux cochon ! »
Il minsulte, me traite de tout les noms et me fait promettre de baiser de nouveau avec mon patron.
« Aujourdhui, je signe, mais si tu ne rebaise pas avec lui, je ne signe pas lannée prochaine ! »
Cause toujours mon lapin. Je viens de te faire signer un contrat de cinq ans. Hihihi !
Cest le cur en fête que je rentre à la maison.
Il est quatre heures du matin. Je réveille Fabien qui ronchonne un peu.
« Baise moi, sil te plais ! »
« Putain, Camille ! »
« Oui, cest ca, chéri ! Camille la putain ! »
« Tes folle ou quoi ? »
« Oui ! Folle de toi mon amour. »
Fabien ne comprend pas tout, mais il commence à me caresser gentiment, quand soudain, au travers des rideaux, japerçois la fenêtre du voyeur allumée.
« Attend Fab ! Jouvre la fenêtre, il fait chaud ! »
« Mais on pourrait nous voir ! »
« Mais non, tout le monde dort ! Et puis on sen fou ! »
En fait, je ne souhaite quune chose, cest que mon voyeur nous aperçoive. Sil pouvait se mettre à sa fenêtre.
Il doit avoir un sixième sens, car il sy met. Surprit il se cache rapidement, et nous observe avec ses jumelles. Je nen dis rien à mon Piou-piou.
Mon chéri jouit et se rendort presque aussitôt.
Je me lève, vais jusquà la fenêtre et métire gracieusement. Puis, je passe une main sur ma chatte et, me lèche ensuite les doigts avec gourmandise.
Une douche plus tard, la fenêtre de mon curieux est toujours allumée et il me semble bien quil épie encore.
Jai tellement envie de folie. Je reste nue et jenfile un imper.
Je ne prends même pas le temps de le fermer. Je le maintiens juste de mon poing fermé.
Je saute dans lascenseur, traverse la cour, reprends lascenseur de la tour den face et monte deux étages plus haut que mon appartement.
Se sont les mêmes bâtiments et je nhésite pas une seconde pour sonner à la porte du mateur.
Je pose mon doigt sur le Juda, afin quil ne me voit pas au travers de la porte.
« Qui cest ? »
Je sens sa voix inquiète. Il faut dire quà cette heure
« Une bonne surprise, je crois ! »
« Quoi ? Une bonne surprise ? Quest ce que
»
Tout en parlant, il ouvre sa porte. Lorsque je laperçois, je lâche mon imper et le laisse souvrir.
Mon bonhomme a encore ses jumelles à la main. Il fait des yeux tout ronds et semble comme paralysé. Il est torse nu et caleçon, quune bosse énorme déforme.
« Vous ne minvitez pas à entrer ? »
Comme il ne bouge pas, jentre et referme la porte.
Cet immeuble est constitué de petits studios. Celui-ci est la caricature parfaite de celui dun célibataire. Boites de pizzas, canettes vident, revues pornos et linges sales un peu partout.
Je passe devant lui et je me dirige directement vers la fenêtre. Tout en marchant, je laisse glisser mon imper au sol.
« Humm ! Effectivement ! Vu dici, on voit bien ma chambre ! »
Je me retourne. Le type est toujours à la même place, ne sachant plus ou il vit.
« Quest ce qui ce passe ? Je suis moins jolie de près ? Vous me préfériez à la jumelle ? »
« Hein ? Heu non ! Bien sur ! Mais
que faite vous là ? Je
Vous êtes
nue ! »
« Oui, je suis nue, chez toi, et je veux que tu me baise. Tu crois rêver ? »
« Heuu ! Oui, un peu, je lavoue ! »
« Crois moi, parfois le rêve rejoint la réalité. Je sais de quoi je parle. Enlève ton caleçon et viens me prendre là, debout, à la fenêtre. »
Je me tourne, mappuie à la balustrade et tends mon cul en arrière.
« Sois mignon, prête moi ton portable. Tu veux bien ? »
Il me donne son téléphone, puis il se place derrière moi et me pénètre doucement. Puis, me tenant par les hanches, il bourre mon vagin en cadence.
Dans son plaisir, je ne sais même pas sil mentend téléphoner.
« Allo ? Fabien ? Ben oui, cest moi ! Ou je suis ? Ben
regarde à la fenêtre, un peu plus haut. COUCOU MON COCUUU !!! »
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