A Trois C'Est Mieux

Un samedi soir, je devais aller à une soirée déguisé chez un ami. Je ne savais trop quoi mettre alors je décidai de me déguiser en travesti.
Arrivé à la soirée, bon nombre d’amis furent surpris par mon déguisement car ils croyaient être en la présence d’une vraie femme : mini jupe vintage bleue pale, bas noirs auto agrippant, chaussures talons hauts, petit haut décoleté sur fausse poitrine, perruque brune. Lors de la soirée l’ambiance battait son plein.
Sur les coups de 2h30 du matin les derniers invités partirent, je me retrouvais seul avec l’organisateur de la soirée Jérôme et Jacques un copain black.
Embué par l’alcool et la fatigue, on s’asseyait sur le canapé. Jérôme me dit que je les ai bien bluffés et veux me voir debout et tourner sur moi pour voir. Puis quand je me rassois il me dit que je suis super bonne en meuf. Et me demande comment sont mes seins. Je réponds, en silicone, que ce sont des faux et Jacques se penche pour les peloter. Je lui dis d’arrêter et de retirer sa main mais cette fois c’est Jérôme qui se penche, pose sa main sur ma cuisse et de l’autre tente de passer dans mon décolleté et me dit que je suis vraiment trop bonne et lui donne trop envi. Puis pose ses lèvres sur les miennes. Et c’est au tour de Jacques de poser sa main sur ma cuisse. La soirée dé et je ne contrôle plus rien.
La langue de Jérôme force mes lèvres, me refusant à lui. Mais, malin, il me mord la lèvre, ce qui me fait ouvrir la bouche pour gémir un petit « aie ». Il en profite pour m’y mettre sa langue en me maintenant la tête fermement. Je cède et mélange ma langue à la sienne.
Sans m’en rendre compte ma main se pose sur sa cuisse puis remonte sur le haut pour caresser sa bosse. Jacques n’était pas en reste car il me mit face à Jérôme pour se positionner derrière moi et remonter ma jupe pour me caresser les cuisses.
Après le baiser, je sortis de ma torpeur et sentis quelque chose frotter sur mes fesses : c’était Jacques qui avait sortit sa queue et qui se frottait à moi.

Jérôme se recula et pris ma tête pour l’inviter à se faire sucer. Et là je vis qu’ils avaient deux belles et grosses queues et que j’allais m’en prendre plein le cul.
Penché en avant je gobais le sexe de Jérôme et m’appliquais à le sucer goulument. Jacques en profita pour me lécher l’anus avec délectation. A quatre pattes sur le canapé, ma tête entre les cuisses de Jérôme entrain de le sucer, jupe relevée sur les fesses, je n’entendis pas Jacques sortir un préservatif. Je m’en suis rendu compte que quand il posa son gland contre mon œillet. Je commençais à relever la tête mais Jérôme l’attrapa pour la bloquer sur sa queue et Jacques, m’attrapant par les anches, me glissa sa queue entière dans les fesses. Je poussais un cri étouffé par la queue de Jérôme que j’avais dans la bouche.
Excité par mon cul cambré ferme et rebondit, il sortit sa queue entière pour me la renfoncer jusqu'à la garde dans un grand coup de rein qui me projeta un peu plus en avant, m’enfonçant la queue de Jérôme dans la gorge.
Quand il ressortit sa queue je sortis la queue de Jérôme de ma bouche. Jacques en profita pour me limer les fesses comme il se doit et je commençais à gémir. Jérôme m’incita à continuer à le sucer. Et le coup de queue que je prenais me faisait tellement de bien que je suçais Jérôme avec plus d'ardeur encore.
N’en pouvant plus Jérôme demanda à Jacques de s’arrêter car il voulait aussi mon cul. Jérôme s’asseyait sur le canapé et je suis venu m’empaler sur sa queue face à lui. Puis Jérôme attrapa mes fesses et me lima comme un fou. Jacques se mit à coté de moi, queue à hauteur de mon visage pour que je le suce. Position inconfortable, je le suçais tant bien que mal, mais il apprécia énormément car il me dit que j’étais vraiment super bonne, une vraie salope comme il aime.
Il sortit sa queue de ma bouche et demanda à Jérôme de se reposer car il voulait reprendre mon cul dans cette position.
Collé à Jérôme, je sentis la queue de Jacques s’enfoncer dans mon cul sans hésitation ni résistance.
Puis il se déchaina sur moi. Jérôme m’embrassa avec fougue tellement on était excité. J’avalais sa langue comme une folle et il sentit que je perdais pied.
Il demanda à Jacques de se pousser, il voulait me terminer. Je n’avais jamais vu Jérôme dans un tel état. Il devait être excité comme un fou, tout comme moi. Ce qui fait que quand il repositionna son gland c’est moi qui m’asseyait d’un coup dessus. Il poussa un gémissement mélangé de plaisir et d’étonnement. A chacun de ses coups de queue je descendais mes fesses pour buter contre lui. Je l’embrassais, lui léchais la langue et dans un gémissement il me traita de belle salope qu’il aimait.
Je pensais que Jacques se finissait à la main quand je sentis le canapé s’abaisser sur chaque coté de mes jambes. Je ne fis pas trop attention jusqu'à ce que je sentis la queue de Jacques pointer à l’entrée de mon anus. Je me dis que ce n’était pas possible, qu’il ne voulait pas faire çà. Me prendre deux queues en même temps n’était pas concevable mais pour Jacques surement.
Je sentis le froid du gel sur sa queue et, m’attrapant le bassin poussa comme un forcené.
Jérôme m’attrapa la tête pour m’embrasser en me rassurant que tout allait bien se passer. Je gémis quand il m’enfonça le gland. Une fois le gland rentré, je disais que ça ne pouvait pas rentrer et je le répétais sans arrête. Mais Jacques se positionna et m’attrapa par les hanches fermement. Je continuais à protester : ça rentre pas, ça rentre pas, ça rentre pas. Mais quand il poussa tout son membre dans mon trou et buta contre mes fesses, je dis dans un grand gémissement : ho si ça rentre ou ah hum. Jacques et Jérôme attendirent quelques secondes avant de remuer. Puis ce fut un festival. Ils remuèrent à tour de rôle. J’avais l’anus dilaté mais ça me fessais du bien. Je m’exclamais à Jérôme que j’étais une vraie salope, et il me répondit que je le méritais bien. Puis je sentis un soubre saut, c’était Jacques qui venait d’éjaculer. Épuisé, il s’allongea par terre.
Jérôme en profita pour me mettre à quatre pattes sur la longueur du canapé pour me reposseder en me glissant à l’oreille : maintenant je te récupère et tu restes rien qu’à moi. Et il me remit sa queue dans les fesses d’un grand coup de rein. Il me défonça le cul et moi je gémissais comme une folle jusqu'à ce qu’il se vide en moi. Fatigué, Jacques rentra chez lui, pendant que Jérôme m’invita à partager son lit pour dormir.

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