Camille Episode 10
(Secrétaire modèle )
« Ma petite Camille, jignore comment tu ty es prise, mais ce contrat est en or ! Je nen reviens pas. En plus, jai du mal à croire quil lait signé pour cinq ans. Cest incroyable.»
« Bah ! Il me suffira de ne pas masseoir pendant quelques jours. Voilà tout. »
Pour la première fois, je vois mon beau père rougir.
« Tu veux dire que
Oh ! Je suis vraiment désolé. »
« Mais non, vous ne lêtes pas. Cest bien ce que vous vouliez, non ? »
« Oui
Non
Enfin oui, mais je naurais jamais imaginé que tu le fasses ! »
Il semble vraiment gêné. Il en est attendrissant.
« Rappelez-vous. Vous mavez demandé un service. Un service que vous rendait déjà Valérie. Je nai fait que reproduire. »
« Oui, mais quand même. Tu sais, Valérie mavait dit que ce client nétait pas un tendre. Jaurai du te le dire. Je suis un salop. Je ne sais comment te remercier, Camille. »
Je passe mes bras autour de son cou.
« En me faisant un gros bisou, beau papa. »
Il me prend dans ses bras, me fait une énorme bise sur le front et me fait un gros câlin.
Il me sert contre lui. Je sens mes seins sécraser contre sa poitrine. Cest une étreinte amicale, jen suis sur. Du moins pour lui, car pour moi
je commence à avoir chaud au ventre. Salope que je suis.
« Dis-moi Camille. On en parle jamais, mais
Comment ca va avec mon fils ? Il te rend heureuse, au moins ? »
« Il est gentil et me baise bien. Mais, est on obligé de parler de lui ? »
« Oh ! Ce nest pas ce que je te
»
« Taisez vous et embrassez moi. Aujourdhui jai envi dêtre la putain de mon patron ! »
Je me plaque à lui et lembrasse fougueusement.
Dabord surprit, il relâche un peu son étreinte, mais sous les assauts de ma langue, il craque et mécrase contre le mur.
« Hoo, Camille ! Il y a si longtemps que jattendais cet instant. »
« Pourquoi ne pas men avoir parlé ? »
« Javais trop peur que tu refuse une nouvelle aventure.
Il remonte ma jupe tout en me parlant et je maffaire à ouvrir sa ceinture.
Ses mains passent sur mes fesses.
« Hummm ! Toujours pas de culotte ? »
« Jamais ! Hihi ! »
« Tu mexcite ma petite Camille ! Jai trop envi de toi ! »
« Jaccepte ! »
« Quoi ? Tu accepte quoi ? »
« Jai beaucoup réfléchi depuis cette histoire de contrat. Jaccepte dêtre la putain du patron. Je ferais ce que vous me direz de faire. Ou, quand et comme vous le voudrez. Mais par pitié, ne me parlez plus de votre fils et encore moins de cette salope de Valérie.»
« Accordé ! Alors commence par me pomper le dard ! Jadore ta bouche de pute ! »
Mince ! Cest pourtant vrai quil est excité mon ptit patron. Il bande tellement fort, quelle pourrait bien mexploser en plein visage ! Hihi !
Je la sens palpiter entre mes lèvres. Les veines qui courent sur sa longueur, sont gonflées et violacées. Je palpe ses couilles durcies par le plaisir.
Un premier jet puissant me surprend et me fais tousser.
Le membre dégagé de ma bouche, finit de se vider sur mon visage en longues saccades.
Le foutre coule sur mes joues et mon menton. Un filet se détache et sécrase sur mon tee-shirt noir.
Je me relève encore toussotante.
« Oups ! Ma pauvre Camille ! Te voilà dans un triste état ! Laisse-moi réparer mes dégâts. »
Il se penche vers moi et lèche mon visage, récupérant ainsi le foutre échappé.
Il semble apprécier le liquide blanchâtre et gluant. Ce doit être de famille. Hihi !
Il tire sur mon maillot pour lécher la tache, mais il le soulève très vite pour aspirer mes pointes dressées.
Il caresse mes seins, faisant monter mon envie, lorsque soudain on frappe à la porte.
Je veux me dégager pour me rajuster, mais il men empêche.
« Laisse ! Jattends un coursier
Entrez ! »
Un type entre un pli à la main.
Le spectacle a de quoi étonner. Un vieil homme, queue pendante de sa braguette, caressant une jeune femme, seins à lair, il ne doit pas voir ca tout les jours. Cest sur.
« Oh ! Désolé, mais vous mavez dit dentrer ! Excusez-moi ! Heuu ! Il me faut une signature. »
« Approche, je vais signer ! Nai pas peur, elle ne mord pas ! »
Peur ? Surement pas. Juste surprit. Il sapproche tendant un bordereau à monsieur Félicien, mais son regard ne se détache pas de ma poitrine. Moi, amusée, je reste collée au mur, sans bouger, un grand sourire aux lèvres et le bout dun doigt entre mes lèvres entrouvertes.
« Tu la trouve comment, ma secrétaire ? »
« Elle est
.Elle est jolie ! »
« Oui, tu a raison ! Jolie et bonne ! Baise-la si tu veux ! »
« Hein ! Heuu !... »
Monsieur Félicien signe le papier et le glisse dans la poche du coursier qui reste paralysé.
« Mais siiiii ! Vas-y, cest ma putain ! Je te la prête ! »
Et bien, et bien ! Mon cher patron a vite comprit ce que jattendais de lui. Il fait ca très bien.
Devant limmobilité du motard, je prends les choses en mains.
Je latt par les avants bras et lattire à moi.
« Viens là, mon joli. Tu aime mes seins, regarde comme je pointe. Hummm ! Tu mexcite ! Jai très envi de toi ! »
Je pose ses mains sur mes seins et je moccupe de la braguette de son pantalon de cuir.
« Humm ! Que me caches-tu là ? »
Il bande comme un taureau. Une belle queue toute fraiche.
Je remonte ma jupe et frotte son membre sur ma chatte baveuse denvie. Il me caresse et membrasse avec fougue, laissant échapper de petits grognements de satisfactions. Pas question de le laisser jouir avant quil ne me saute.
Je lève une cuisse très haute contre sa hanche.
« Houu ! Prends-moi vite ! Baise-moi fort ! Hummm ! »
« Oh, putain ! Je vais te faire crier, ma belle ! Oh, putain ! Oh, putain ! »
Il dit « Oh, putain ! » à chaque coup de butoir, comme un automate.
« Hé, chéri ! Change de disque ! Hihihi ! »
« Rhann ! Oh, pardon ! Oh putain de merde ! Cque cest bon ! Cque tes bonne !
Huuuug ! Houchhhhh ! Houchhhhh ! Hummmm ! »
Je me fais une raison. Je naurai pas mieux.
Il me soulève et me pose sur un petit placard. Il passe ses bras sous mes jambes et accélère le mouvement.
« Harchhh ! On est mieux comme ca, hein ? Petite pute ! Taime ca, hein ? Taime la queue toi, hein ? »
« Hooo ! Ouiiii ! Jaime ca ! Mais tais-toi et bourre-moi ! Hummm ! »
« Houuuuu ! Jarriveeee ! Hennnn ! Je te donne touuuuut ! Haaaaarg ! »
« Oui ! Oui ! Jouiiiis ! Oh ouiiiii ! Je viens aussiii ! »
Il me donne tout dans un ultime effort, et se déverse en moi en longues giclées chaudes.
Il me donne un dernier baiser et se rajuste.
« Ben si on mavait dit ca ! Oh, putain ! »
Mon beau père, jusquici à lécart, intervient.
« Bon ! Jeune homme, la fête est finie. Vous pouvez disposer ! »
« Ok, jy vais ! Salut beauté et merci ! Change rien, tes trop bonasse ! »
Voilà une course quil noubliera pas de si tôt.
Monsieur Félicien sapproche de moi et plonge deux doigts dans ma moule.
« Hummm ! Il ta bien rempli, dis dont ! Ca ta plu ? »
« Daprès vous ? »
Il extrait ses doigts et les suce un moment.
« Je pense que oui. Il me semble déceler le gout de ton plaisir dans tout ce jus. »
Le soir venu, cest ce que me dira également Fabien, lorsquil me videra la chatte.
Être la putain de mon patron. Voilà bien une chose que je ne voulais pas rendre officielle à ses yeux. Mais plus que sa putain, je suis devenue sa maitresse et de ce fait, lui, mon amant. Le seul que je ne peux avouer à Fabien.
Oui, bien sur, je sais ! Cette situation est très scabreuse et licencieuse. Mais linterdit me plait et attise mon excitation en permanence.
Mon beau père me plait de plus en plus. Il est bel homme, drôle, riche et en plus il me donne du plaisir comme personne.
Entre lui, mon Fabien et mes aventures, je suis une fille comblée.
« Camille, mon petit ! »
Il vient dentrer dans mon bureau et me tend des feuilles.
« Regarde et dis moi ce que tu en pense. »
Je lis les documents avec attention.
« Ben ! Ce client vous doit dix milles euros. »
« Exact ! Je reviens de son entreprise. Sa secrétaire à fait barrage. Impossible de le voir et den discuter avec lui. Est-ce que tu crois que
»
« Haaa ! Je vois ! Vous voulez envoyer vos gros bras ! Hihihi ! Mais je nai pas de poing américain, ni de calibre ! Hihi ! »
« Haha ! Non, je ne veux pas envoyer mes gros bras, mais ma petite chatte ! Tu crois que tu pourrais faire quelque chose ? »
« Qui ne tente rien,
»
Je me lève et lenlace tendrement.
« Et pour vous, je veux bien, tout tenter. »
Direction lentreprise RAIMONDIN et FILS.
Jarrive devant une bâtisse de trois étages, pas très classe. Lintérieur est tout aussi vieillot. Et que dire de cette femme de soixante ans, rigide, acariâtre, qui menvoie balader.
« Hooo ! Votre patron est déjà venu ce matin ! Vous êtes bouché chez vous ou quoi ? Il faut prendre rendez vous ! »
Je nai pas de poing américain, mais je lui collerais bien une baffe. Il y a peut être plus subtile à faire.
Je hurle dans le couloir.
« MONSIEUR RAIMONDIN !... MONSIEUR RAIMONDIN ! »
La secrétaire, bondit hors de son bureau.
« Tu va te taire, petite peste ! »
Cette conne me sauterait bien dessus si son patron, alerté par mes cris, ne sortait pas de son bureau.
« Et bien, Georgette ! Quest ce que cest que tout ce raffut ? Qui est cette jeune femme ! »
Ce type est antipathique à souhait. Le sourcil épais, il fait les gros yeux et serre les dents et les poings. Pas très grand, gros, les cheveux gras et lunettes triple foyer, il porte un pantalon tenu par des bretelles sur une chemise qui devait être blanche à lachat.
Je lui fais mon plus beau sourire.
« Enchantée monsieur Raimondin. Mademoiselle Camille, société FELICIBOIS. Vous êtes surement très occupé, mais puis je vous importuner cinq minutes ? »
Jentends la secrétaire, retournée derrière son bureau, faire des « Gnagnagna ! » dans sa moustache.
Il me déshabille du regard un long moment. Je suis sur quil me voit à poil, ce gros dégueulasse.
Il me fait signe dentrer.
« Georgette ! Quon me dérange sous aucun prétexte ! »
Je la regarde et lui fait un clin dil. Je viens de bousiller sa journée. Hihi !
Le bureau ressemble à son propriétaire. Sale et mal rangé.
« Bon ! Asseyez-vous ! Je sais très bien ce qui vous amène ! Mais ce nest pas parce que Félicien menvoie une pin-up, que je payerai ! »
Je menfonce dans un fauteuil dun autre âge et je croise les jambes. Ma jupe remonte jusquà mi cuisse et jespère quil aperçoit le haut de mes bas. Puis, lentement, je défais le bouton de ma veste et louvre. Mon chemisier blanc laisse deviner les auréoles de mes seins et mon décolleté est bien ouvert. De quoi faire bander un eunuque, tout ca !
Jouvre ma mallette, sors les documents et plonge mon regard dans le sien en souriant.
« Une pin-up ? Vous voulez me faire rougir monsieur Raimondin ! Vous êtes un charmeur. »
Je le sens fondre comme un glaçon en plein soleil.
« Valentin. Appelez-moi Valentin. »
« Valentin ? Comme le saint des amoureux ? Je sens que lon va sentendre monsieur Valentin. »
Je me penche sur le bureau et dépose les papiers devant lui.
« Vous devez la dernière livraison. Mais je suis sur quil sagit dun oubli. Nest ce pas ? »
« Non, pas du tout ! Le bois était de mauvaise qualité ! »
« Monsieur Valentin ! Cest vous qui lavez choisi ! Effectivement, cest une gamme de qualité inférieur, mais le prix est très raisonnable. »
« Pas question ! »
Le plan numéro un ne fonctionne pas. Il est temps de passer au deuxième.
Je me laisse retomber dans le fauteuil. Jefface mon sourire, je penche la tête et je fais sangloter ma voix.
« Monsieur Félicien ma promit de me virer si je ne revenais pas avec le règlement. »
« Cest donc ca ! Ho, ma pauvre . »
Il se lève de son bureau et vient vers moi.
Ca marche !
Il sassoit sur le bras du fauteuil et passe un bras autour de mes épaules. De son autre main, il caresse mes cheveux.
Je profite de ce moment de tendresse.
Je penche la tête de coté et pose ma joue sur son ventre, comme une petite fille qui a besoin de réconfort.
« Faut pas te mettre dans des états pareils ! Il y a toujours moyen de sarranger. Tu ne crois pas ? »
« Je ne sais pas monsieur Valentin. »
« Bah ! Parfois, il suffit de se montrer gentil. »
« Gentille ? Mais je le suis gentille ! »
Sa main glisse sur mes cheveux et viens flatter ma joue, puis, elle passe sous mon menton et son pouce se pose sur mes lèvres. Je le sens appliquer une pression. Sans doute pour que je le prenne dans ma bouche. Mais je ne le fais pas.
« Il faut être gentille, certes, mais aussi disponible et ouverte. »
Sa main sur mon épaule glisse en direction de mon décolleté et y plonge.
Ses doigts boudinés jouent avec mon téton, puis devant mon manque de réaction, il prend confiance et palpe mon sein outrageusement.
« Regarde ! Tu vois sur le bureau ? Mon chéquier attend. »
Jentrouvre les lèvres et je laisse son pouce se poser sur ma langue. Je le suce comme je le ferais avec un sucre dorge.
Il tire sur mon corsage pour le sortir de ma jupe et défait les boutons fébrilement.
« Hummm ! Jadore tes petits nichons. Ils sont bien durs ! Ton cul aussi doit être bien ferme ! »
Je ne réponds pas et tends une main pour ouvrir sa braguette.
« Voilà ! Gentille, disponible et ouverte. Je vois que tu comprends vite. »
Je fouille son slip kangourou et dégage un sexe court et large, mais bien dur.
Avec ma langue je repousse son doigt hors de ma bouche, et je laisse glisser ma joue sur son ventre pour dévorer sa queue.
Sa main quitte mes seins et coure vers ma jupe. Il la remonte et palpe mon cul.
« Humm ! Pas de culotte ? Ca cest une bonne surprise ! »
Tout en me pelotant, il appuie sur ma tête, me forçant à engloutir toute sa verge. Ainsi bloquée, je salive et jai bien du mal à déglutir.
« Allez ! Salope ! Active ta langue de pute ! »
Il sen prend à mon anus et y enfonce un doigt. Il me le branle avec force, le rentrant et le ressortant à toute vitesse.
Ma bouche ne peut plus contenir ma salive et sa queue. Je tousse et ses couilles sont inondées de bave.
« Cochoooone ! Nettoie-moi ca tout de suite, saloperie ! »
Sans un mot, je lèche et aspire ses burnes trempées et je reprends sa bite en bouche.
Je le suce avec application, provoquant de petites contractions à la bête.
« Ouiii ! Hummm ! Continu comme ca ! Tes douée petite pute ! Harggg ! Ouiii ! Je viens ! Je
viennnns ! »
Ma bouche se remplit de liqueur grasse et chaude. Jaspire et avale plusieurs gorgées. Je nettoie son membre consciencieusement, ne laissant aucune trace.
Je me redresse doucement, frottant mon visage à son corps, jusquà ses lèvres.
Il est laid et repoussant. Sa bouche est grosse et gonflée, mais je lembrasse quen même avec gourmandise, comme si jétais amoureuse de ce type.
Il mécrase contre lui et me roule une pelle baveuse et répugnante avant de se relever.
Il se penche sur son bureau et remplit le chèque.
Jai gagné.
Je me rajuste rapidement et prends le chèque quil me tend.
« Cinq milles euros ? Mais non, monsieur Valentin ! Cest dix milles ! »
« Tes contente ? Tu devras revenir ! Hahaha ! »
Je comprends quil est inutile de discuter. Je devrais effectivement revenir pour compter obtenir le reste. Mais pas question de lui montrer mon aversion à son égard.
Je lui fais un beau sourire et je lui donne un petit baiser.
« Et bien
à la semaine prochaine, monsieur Valentin ! »
Je sors du bureau et passe devant le comptoir de Georgette. Je lui refais un clin dil, tout en replaçant mes cheveux ébouriffés.
« À bientôt, chérie ! »
« Salope ! Trainée ! Pouffiasse ! »
« Hihihi ! Hihihi ! »
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