Débauche Avec Madeleine
Au début de notre relation Madeleine, ma future épouse était une fille exemplaire. Elle avait eu des aventures comme toutes les filles, sans plus. Notre première fois ressemblait, je pense à toutes les autres : complètement ratée de ma part. Nous avons remis ça une demi heure après. Cest elle qui insistait pour que je recommence. Elle avait raison, tout cest fort bien passé, surtout pour elle, je la faisais jouir, oh pas le grand chemin vers lau-delà des sens, non une jouissance banale.
Nous avons attendu une bonne année avant de parler mariage, je ny tenais pas tellement, elle oui. Alors nous sommes passé devant le maire. Notre vie de couple démarrait bien. Si nous baisions maintenant couramment, nos désirs de varier nos étreintes devenaient plus fortes. Chacun de nous avait ses idées et je crois que les siennes étaient plus chaudes que les miennes. Il y avait longtemps que nous avions passé les désirs de sodomie que nous pratiquons toujours, les 69, les masturbations à la vue de lautre. Elle avait acheté un godemiché comme il lui plaisait : elle ne sen privait pas de se faire jouir seule ou devant moi. Souvent , elle men avait donné le gout, pendant que jétais sur elle, ma bite dans son sexe, elle menculait.
Voyant mes orgasmes augmenter pendant quelle me sodomisait elle désirait que nous fassions lamour à trois. Pendant nos baises courantes, elle me demandait toujours la même chose, avoir ma bite dans son cul et mon cul occupé par une vraie bite. Je nétais pas préparé à une telle chose : donner mes fesses pour y recevoir du sperme.
Jexigeais pour lui faire plaisir quelle aussi accepte une autre femme dans notre couple, pas en même temps quun autre homme.
Elle se voyait mal se faire lécher par une autre femme.
Finalement nos désirs arrivaient à se réaliser sans que nous y prenions garde.
Javais une lointaine cousine Ghislaine qui vivait en couple avec une autre femme. Un jour elle avait besoin de passer chez nous pour un court séjour pour régler une affaire de famille.
Ghislaine arrive, Madeleine la reçoit normalement, ça commence à se gâter pendant le premier repas. Ghislaine passait un cap difficile avec son amante.
Un peu bêtement Madeleine lui dit quune de perdue, dix de retrouvées. Ma cousine boude.
Je mets un peu de calme dans laffaire qui commence à devenir menaçante. Pour ce faire pardonner son impair, Madeleine embrasse tendrement Ghislaine sur les joues. Sans le vouloir, nayant pas vu le geste de ma femme, elle tourne la tête : leurs lèvres se rencontrent. Madeleine se laisse faire, acceptant même la langue de cette autre femme dans la bouche.
Je regarde les deux femmes en espérant quelles iront loin ensemble. Elles se retrouvent debout, bien serrées comme de véritables amoureuses, elles commencent à se désirer, cest visible quand les deux poitrines sont lune contre lautre, les pubis bien resserrés, les bras autour de lautre.
Je commence à bander quand elles cherchent à se caresser les seins. Les mains de Ghislaine vont sous la jupe de ma femme qui, je le vois bien, écarte les jambes. Madeleine ne peut tenir longtemps, elle entraine ma cousine dans la chambre sans même me regarder. Je les suis pour voir la suite, cest digne dun film porno. Elles sembrassent en se déshabillant. Ghislaine prend ma femme dans ses bras, lembrasse encore pour finir par la coucher sur le lit. Sa bouche va dun sein à lautre. Puis lentement descend vers la chatte. Je vois la langue fouiller le sexe de ma femme qui se laisse faire avec plaisir. Ghislaine enjambe Madeleine pour lui donner son sexe à sucer. Je ne pensais jamais quelle soit capable si vite de se transformer en adepte de Lesbos. Il sensuit un 69 fabuleux.
Je voudrai me branler. Pourquoi se branler quand on a deux femmes à sa disposition , Je suis vite nu, ma bite bien droite, je vais la loger dans le premier orifice venu.
Je suis hors jeu. Les deux femmes continuent leurs jeux. Madeleine est secouée souvent pas des orgasmes il me semble plus forts que quand je la lui met.
Elles se tournent sur elles même, Madeleine est dessus. La voir ainsi être léchée me donne à nouveau la trique. Cette fois je connais le chemin qui mène à son vagin. Je la baise avec une force que je ne connaissais par, elle non plus. Je suis dautant plus excité que je sens mes couilles toucher la figure de Ghislaine. Jai le gland plein de plaisir. Je jouis une dernière fois. Elles aussi.
Nous nous couchons, bien sur nous parlons de cette baise: Madeleine ma contenté, sans lavoir cherché. Elle se propose même de rejoindre Ghislaine un peu plus tard dans la nuit. En attendant elle a besoin encore de ma queue. Elle vient sur moi pour commander elle-même son désir et son orgasme.
Le lendemain je sais quelles ont même dormi ensemble : quand je me réveille, Madeleine nest pas dans notre lit.
Pendant toute la durée du voyage de ma cousine, les deux filles ne mégottent pas sur leur relation lesbienne. Ghislaine est un peu regrettée à son départ.
Nous reprenons nos habitudes. Maintenant elle me demande davantage de cunnilingus. Pour moi ça ne change rien surtout quelle devient une ardente fellatrice.
Nous sommes en vacances dans un hôtel 4****, comme toujours.
Elle lattire vers le lit, prend la bite dans le bouche et sans gêne le suce jusquà son explosion finale dans la bouche. Elle sait parfaitement ce quelle fait : il sera en forme plus tard. Elle ouvre ses jambes pour que jaille dans son ventre. Comme toujours ma bite aime entrer dans elle. Nous allons et venons avec Madeleine. Son Allemand reprend du poil de la bête. Il bande pas mal. Elle fait un simple geste. Je trouve mon cul bien mouillé par la cyprine et la salive de lautre. Je narrête pas mes vas et viens, sil veux mon cul, quil vienne le chercher.
Il arrive à venir sur moi, il bouge comme moi. Je sens quelque chose senfoncer dans mon anus. Jai mal. Je fais comme si je ne sentais rien de particulier car je veux faire plaisir à Madeleine.
Soudain cest la révélation, je commence dabord à mhabi à cette queue dans le cul et ensuite à trouver normal de me faire défoncer la pastille en baisant ma femme. Jarrive même à éprouver un drôle de plaisir qui se transforme en plaisir tout court. Je vais jouir dans le con de ma femme, cest logique, je vais jouir par mon cul, cest moins normal. Enfin je jouis pour la première fois grâce à une vraie bite plantée dans mon cul.
Madeleine voudrai que nous nous enculions encore devant elle. En attendant elle se branle devant nous avec une certaine exhibition. Le résultat est là : nous bandons à nouveau. Notre amant se penche pour sucer le sexe de ma femme. Jen profite pour lui mouiller le cul, à mon tour de gouter au joie dun cul dhomme. Jentre facilement, il a lhabitude, le salaud. Je vais et viens dans son anus. Cest aussi bon que le cul de Madeleine. Je ne peux retenir ce que je voulais faire durer et je jouis dans ce cul.
Madeleine a eu ce quelle voulait voir, jai eu ma part avec ma cousine. Nous sommes à égalité. Quel va être son nouveau désir ?
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