9 Jours Tranquilles À Antibes
Jme présente, je mappelle Henri. Oui, je sais, ça commence comme une chanson, mais la suite est très différente.
Jai 26 ans.
Je viens darriver à Antibes, sur la cote dazur. Je compte y rester 10 jours.
Jai des parents dans le coin, mais ce nest pour eux que je viens. Je viens surtout pour draguer !
A Paris je suis déjà déchainé dans ce domaine, cest même ma principale occupation. Je prétends que je suis Artiste peintre ou journaliste, pour me donner un statu valorisant. En réalité, je vis de largent que ma laissé mon père à sa mort.
Nayant pas dactivité professionnelle, je passe mon temps libre de la manière la plus agréable possible
Les années précédentes, javais préféré rester lété à Paris pour moccuper des petites touristes et leur laisser de bons souvenirs de la France.
Il faut changer un peu, cest pourquoi je suis là.
Ici ce sera sans doute encore plus facile de me taper des meufs. Le « sea, sex and sun » nest pas une légende. La chaleur, la promiscuité des corps dénudés, lambiance libérée des vacances, la volonté de samuser un maximum, labsence des voisins et des parents : tout cela titille la libido de ces demoiselles.
Pour beaucoup dentre elles, les vacances cest des « journées portes ouvertes », on peut venir visiter ! On aurait tord de ne pas en profiter. Moi je compte faire beaucoup de visites !
Je nai pas le physique dun Chippendale, mais jai dautres qualités qui me rendent attrayant aux yeux du sexe faible :
-Je suis sympa et souriant.
-Jinspire confiance ce qui est primordial-. Les filles ressentent instinctivement que je ne suis ni un voleur, ni un violeur, ni un malade, ni un vicieux, ni un pervers, ni un salaud. Elles ont raison. Sauf peut-être pour les 2 ou 3 derniers qualificatifs (je plaisante).
-Je suis soigné et propre. Les filles détestent les types sales. On peut comprendre quelles soient rebutées à lidée de sucer une bite qui pue.
-Je sais bien mentir. Par exemple, jarrive facilement à faire croire quil ny a pas que leur cul qui mintéresse. Comme dirait lautre, il y a aussi leur chatte ! Toute lastuce consiste à faire en sorte que la fille comprenne que je veux coucher avec elle et quelle simagine que je mintéresse sincèrement à sa personnalité.
-Je nai pas de problème dargent. Ça va faire hurler les féministes (si ce nétait déjà fait), mais il faut bien reconnaître que largent facilite grandement les choses. Non pas que les femmes soient des catins. Mais elles apprécient les hommes généreux. Et il est plus facile dêtre généreux quand on a plein de fric.
Je ne suis pas lun de ces dragueurs-collectionneurs-accumulateurs, en permanence frustrés de ne pas avoir celle qui manque à leurs tableaux de chasse.
Non, moi je narrive pas à choisir la femme qui me rendra heureux. Je suis un jouisseur indécis.
Il y a bien longtemps, Thomas MOORE disait quil fallait examiner une femme sous toutes les coutures avant de la choisir, comme on le ferait avant dacheter un cheval. Moi, je vais plus loin, je pense quil faut aussi les essayer, en essayer plusieurs, en essayer beaucoup
Pour en revenir à mes vacances qui commencent, jai loué un studio confortable dans le centre-ville. A Paris, je préfère aller chez mes conquêtes et jévite parfois de leur donner mon adresse. On ne sait par sur qui on peut tomber : une harceleuse, une psychopathe, une amoureuse. Je comprends quon maime, mais pas quon me pourrisse la vie. Ici, ce sera différent. Je ne reste que 10 jours. Elles pourront toujours venir sonner à ma porte, je ne serais bientôt plus là.
Pour le téléphone, jai pris un nouveau numéro. Ainsi je ne serais pas dérangé par mes connaissances de Paris.
A mon arrivée, hier soir, le type de lagence immobilière ma expliqué tout ce que je devais savoir. En le questionnant, jai appris, malheureusement, que mes voisins sont tous des vieux.
MARDI, 1er jour à Antibes
Le matin, la première chose que je fais (après avoir pissé et mêtre habillé, bien sûr), cest daller louer un scooter. Je lavais réservé par Internet. Je prends 2 casques, ça peut être utile.
Après cela, je vais faire quelques courses au supermarché le plus proche.
Dans les allées il ny a que des mémères il est trop tôt pour les jeunes femmes-.
Je prends de quoi grignoter, du café, du PQ, des mouchoirs en papier, quelques bouteilles dalcool, 2 boites de préservatifs XL et 1 tube de lubrifiant.
Au moment de payer, je choisi la caissière la plus jolie (le choix est limité puisquil ny a que 2 caissières).
« Bonjour mademoiselle. Auriez-vous lamabilité de me dire comment vous trouvez mes habits ? »
-« Ils sont bien. Pourquoi ? » Me répond-elle avec un fort accent du midi.
-« Je viens darriver pour les vacances. Vous pensez que je peux plaire à une fille ? »
-« Hi, Hi, Hi. Pourquoi pas
»
-« Vous, vous sortiriez avec un garçon comme moi ? »
-«Hi, Hi, Hi. Je suis fiancée
Alors
»
-« Il en a de la chance ! Tant pis pour moi. Mais vous avez peut-être une amie qui serait intéressée ?
Je mappelle Henri, voici mon numéro de téléphone. » (jai toujours sur moi des petits papiers avec mon nom et mon téléphone. Cest très pratique).
-Elle fait loffusquée « vous êtes pas gêné vous alors ! »
-« Il faut bien que je trouve le moyen de me servir de tout ça » (je montre les préservatifs).
Ça la fait rire une nouvelle fois et elle se met à rougir la coquine-.
Il faut que je parte car il y a dautres clients qui attendent. « Au revoir Françoise » (son nom est inscrit sur son badge).
Déjà une touche. Jy crois pas trop, mais il faut savoir saisir toutes les occasions. Et puis jaimerais bien me taper une indigène.
Je sors mon calepin « spécial vacances ».
Françoise. Caissière au supermarché. Brune. Gros seins. Doit me présenter une copine. Fiancée.
Après avoir déposé les courses chez moi, il est temps de passer à lattaque. Il est 10h30. Je prends mon scooter et je me rends à la plage.
Le matin, cest lidéal. Il ny a pas encore trop de monde et la « concurrence » nest pas encore à luvre.
Je fais dabord un tour général pour repérer les lieux et les filles baisables.
En dautres circonstances, je les aurais trouvé presque toutes consommables, mais ici, il y a l embarras du choix. Je peux me permettre de faire le difficile.
Sur la plage il y a des gamins, des vieux, des familles, qui pour moi nexistent pas. Je me concentre sur mon gibier : les filles seules.
En voilà une très jolie, mais malheureusement elle lit un livre. Les intellos, très peu pour moi ! Non, vous laurez deviné, je plaisante ! Pour ce que jaurais voulu faire avec elle, peu mimporte quelle soit cultivée. En plus elle lit du Barbara Cartland ! En vérité ce qui me fait fuir cest cette serviette vide à coté delle qui doit appartenir à son petit copain.
Whaoo ! Celle-là elle a un cul ! Une véritable invitation à la sodomie ! Malheureusement, elle est bronzée, ce qui veut dire quelle est là depuis plusieurs jours. Donc elle sest forcement déjà faite draguer. Donc, si cest pas une lesbienne, elle doit avoir un mec. Je préfère mattaquer aux filles à la peau blanche : à celles qui viennent darriver.
Là, 2 filles ensembles. Lune est un vrai boudin. Lautre est canon. Je pourrais essayer la technique : draguer la moche pour amadouer et sauter la belle.
A quelques mètres de là, celle-là avec tous ces boutons dacné sur le visage, elle est pas terrible. Elle doit être prête à tout pour quun beau garçon comme moi soccupe delle.
Un peu plus loin, il y a 2 filles de toute beauté. En plus elles sont très jeunes. Plus elles sont jeunes, plus elles veuillent samuser et à faire des expériences.
Ma promenade continue et jarrive à une fille mignonne comme un cur. Elle a lair timide et prude. Quel plaisir ce serait de la dévergonder !
Cest décidé, je vais commencer par elle. Au travail ! Il faut un peu se casser le cul pour pouvoir profiter du leur
-« Bonjour, tu es de la région ? »
-« Non, je suis en vacances. Je viens darriver. » Tu parles ! Ça je lavais deviné, elle est aussi blanche que son Ipod.
Je lui réponds enthousiaste « Ça alors, moi aussi ! Je suis arrivé hier soir. Jai de la famille à Antibes, mais je ne connais personne de mon âge et jai peur de mennuyer. Quest-ce quil y a à faire ici ? »
-« Ben, il y a la plage. » Dit-elle sans oser me regarder cest trop mignon-.
-« Mais à part la plage, quest ce quil y a ? Tu fais quoi toi ? ».
Je lui raconte que je viens pour régler un problème dhéritage. Mais que je compte bien aussi profiter de mon séjour. Cette histoire est fictive, mais elle pourra me servir dalibi pour justifier des rendez-vous. En plus les héritages ça fascine tout le monde : largent, les disputes, les secrets de familles
La conversation est lancée. Je massoie à ses coté. Et cest parti
Après une quinzaine de minutes, je sais tout ce que je voulais savoir. Je la quitte sous prétexte dun rendez-vous.
Je sors mon calepin et à la lettre « G » : Gaëlle, 17 ans, un visage dange, blonde, lycéenne, timide, en vacances avec ses parents, na pas le droit de sortir le soir. Et je recopie sur numéro de portable.
Je reviens sur mes pas. Les 2 superbes filles repérées tout à lheure sont déjà prises en main par deux dragueurs. Je déteste la concurrence et la compétition. Et encore plus la bagarre. Ce sont deux types musclés, bronzés, et très « lourds » (dans le sens pas raffinés). Ils insistent pour passer de la crème solaire aux filles. Elles refusent, mais rigolent. Le pire cest quelles vont probablement finir par accepter. Jaurais mieux fait de me dépêcher un peu. Tant pis pour moi et tant pis pour elles
Jarrive maintenant à la fille aux boutons. Tout compte fait, elle est plutôt bien foutue. Elle a un coté Lara Croft des plus bandant. Et puis si je ne trouve rien dautre à me mettre sous la dent, celle-ci pourra toujours servir.
Je lui sers la même salade quà lautre. Comme je le pensais, ça marche ! Elle nest pas timide et elle glousse à chacune de mes blagues. Une dizaine de minutes plus tard, je la quitte sous le même prétexte que tout à lheure.
Celle-là, ça va être facile de la sauter. Je note dans mon calepin : Coralie, 23 ans, fonctionnaire à la préfecture dAuxerre, visage couvert de boutons, brune, yeux verts, piercing sur la langue. A installé sa tente au camping. Elle part pour une autre destination dans 5 jours. Puis son numéro de portable.
Le boudin et sa jolie copine sont trop proches. Jai peur quelles aient remarquées mon manège ou que Coralie me voit. Jabandonne.
Japerçois un peu plus loin une très belle femme avec un petit garçon. Pas dhomme alentours. Une femme avec cest pas dans mes habitudes, mais jai un peu de temps à perdre, je tente le coup.
-« Bonjour, quel beau jeune homme » (je désigne le petit garçon) « cest votre fils ? »
Elle me répond sèchement « Oui ».
Je my suis mal pris, elle doit me prendre pour un pédophile.
Je change de tactique.
-« Euh
Vous connaissez bien cette plage ?
« Un peu, nous venons ici depuis 3 jours ». Elle est toujours sèche.
-« Euh, cest un peu délicat, Euh
Jai un besoin pressant. Savez-vous ou il y a des toilettes près dici ? ».
Elle me répond de manière détendue :
-« Mais oui, vous pouvez aller au café, là-bas. Les toilettes y sont très propres. »
Grace à ce stratagème, je ne suis plus un dragueur. Je suis un homme (séduisant) à qui elle rend service.
Je la remercie et je profite de mon avantage :
-« Oh ! Merci ! Vous me sauvez la vie !
Votre mari nest pas avec vous ? »
-« Non, je suis divorcée ».
Elle est maintenant souriante.
-« Votre petit ami, alors ? ».
-« Non, non, je suis seule. »
-« Je vous laisse quelques minutes. Mais surtout ne vous sauvez pas ! Je reviens. Vous me promettez de ne pas vous enfuir. »
Mon insistance la fait rire. Je méloigne. Je fais semblant de me rendre au fameux café.
Elle a un corps de déesse cette nana ! Et puis avec son lardon sur les bras, elle doit faire fuir tous les mâles. Et elle ne risque pas de me faire le coup de la vierge effarouchée. Pas de mari, pas de copain, elle doit être en manque. Cest très bon pour moi tout ça ! Je me frotte les mains et je salive davance.
Cest avec ces réflexions en tête que je reviens la voir. Nous sympathisons très vite. Après quelques minutes de conversation, je prétexte le même rendez-vous bidon et je méclipse après avoir pris son numéro de téléphone.
Sur mon calepin je marque : Sarah, 25-30 ans (jai eu le tact de ne pas lui demander son âge), prof danglais dans un collège, 1 Paul 4 ans. Cheveux courts, gros seins (sont-ils vrais ?). Habite un appartement en ville. Et son téléphone.
Bilan de la matinée : 3 filles abordées. Toutes mont laissé leurs coordonnées. Cest une bonne moyenne ! 3 sur 3 ça narrive pas tous les jours, faut pas rêver. Il y a celles qui ont déjà un copain, il y a celles qui en ont marre de se faire aborder (harceler) continuellement.
Reste maintenant à concrétiser.
Il est maintenant 12h30, je vais déjeuner dans un café. La bouffe est quelconque et le prix prohibitif, mais peu importe, je ne suis pas venu pour gueuletonner. Jen profite pour consulter mon calepin. Laquelle des 3 vais-je essayer en premier ? Jopte pour la timide Gaëlle. Ça risque dêtre assez long pour lamener dans mon lit. Il faut donc attaquer tout de suite.
Je lui téléphone. Je lui propose une ballade en scooter dans larrière pays. Elle accepte sans hésiter. Nous nous donnons rendez-vous dans 1 heure.
Je téléphone ensuite à Sarah pour lui proposer de sortir ensemble ce soir. Jarriverais surement pas à tirer Gaëlle aujourdhui (et elle na pas lautorisation de sortir le soir), je serais donc libre et en pleine forme. Malheureusement, elle ne peut pas faire garder son fils Paul. Mais elle me propose un rendez-vous demain soir.
Jappelle ensuite la fille aux boutons (Coralie) pour la tenir au chaud. Je lui dis que jaimerai beaucoup la revoir (elle aussi), mais que jai un repas de famille auquel je ne pourrais sans doute pas échapper. Je la rappellerai plus tard.
Gaëlle est ponctuelle. Elle arrive habillée (très peu habillée) dun tee-shirt et dun bluejeans taille basse moulant. Tellement moulant quon devine la forme de sa vulve ! Comment peut-elle supporter cette pression constante sur cette zone si sensible ?
Sur le scooter, Gaëlle est bien obligée de menlacer ce qui est très agréable. Je compte sur les trépidations de ma machine pour échauffer ses sens.
Arrivés dans une pinède avec une vue magnifique, je marrête. Nous nous promenons main dans la main.
Dans ce lieu romantique, je menhardie et jessaye de lembrasser.
MIRACLE ! Elle se laisse faire. Mieux, elle met du cur à louvrage !
Nos langues sont comme 2 limaces qui copulent dans leur bave. On échange tout : quelques aliments restés coincés entre deux dents, des bactéries provenant dune carie naissante, peut-être un peu de pue qui suinte dune écorchure. Que sais-je encore
A sactiver ainsi, la salive se met à mousser, ça déborde de nos bouches. Il nous faut arrêter quelques secondes pour avaler tout ça. Et on recommence.
Comment les filles maniaques de lhygiène, peuvent-elles pratiquer le roulage de pelle sans dégout ? Cest de lobscénité ! Quant à moi, ce qui est sale nest pas pour me déplaire, bien au contraire.
Au point ou nous en sommes, je lui caresse les seins à travers son teeshirt. Elle se laisse faire !
Je soulève son teeshirt et je lèche ses petits seins adorables. Elle se laisse faire en gémissant !
Je lui propose daller chez moi. Elle ACCEPTE !
Fin du premier chapitre.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!