Je Suis Un Voyeur

Il fait beau, trop sans doute. Moi, le soleil me donne des envies de flânerie. En revenant du travail je décide de faire un détour, pourquoi aller m’enfermer. Coup de chance, je trouve un banc, juste derrière une haie épaisse, sur lequel je m’assois rapidement. Je prends le soleil tout simplement. Derrière moi une maison aux vitres ouvertes. J’entends de drôles de bruits. Je vais écouter près de la fenêtre et il me semble qu’un couple fait l’amour. Je joue l’indiscret en regardant ce qui se passe dans ma maison.
Je vois deux nanas qui s’aiment. J’en ai bien vu, comme tout le monde dans des films pornos, jamais en réalité.
Je bande pas mal, dès les premières secondes. Ces deux corps enlacés me donnent la trique. Elles sont serrées, leur bouche sur celle de l’autre. Celle qui doit dominer, caresse la poitrine de la seconde. Je vois leurs jambes mêlées presque comme tressées. A travers le pantalon je me caresse la queue, ce n’est pas possible, ou elles me voient, ou c’est dans la nature de leur relation, ce qu’elles font est des plus bandant. L’une d’elle passe sa main derrière le dos de son amante pour aller très lentement vers les fesses qui de toutes façons sont prête pour la suite, je vois cette main se faufiler entre les fesses de la fille. De là où je suis, je peu suivre le mouvement de bout en bout. Elle se met sur le ventre, ouvre ses fesses à deux mains. Les jambes s’écartent assez pour que je vois distinctement la chatte de la fille.
Deux doigts vont se poser sur l’anus, le caresse avant d’entrer dans le cul. Je vois les mouvements de vas et viens.
Je n’en peux plus, je suis obligé de sortir ma bite après avoir jeté un coup d’œil : personne ne peux me voir. Je prend la pine dans ma main droite, je la regarde, il me semble qu’elle est bien plus grosse que d’habitude. Je commence à me branler lentement, je n’ai aucune idée de la durée d’une baise entre filles.
Celle qui se trouve avec deux doigts dans le cul pousse de léger couinements, avant de dire :
- Oui, je jouis, encore.


- Tout à l’heure, je veux te sucer d’abord.
Il faut croire que la perspective de se faire lécher est des plus forte, elle se retourne d’elle-même. Sur le dos, les jambes bien ouvertes elle attend la bouche de son amie. Celle-ci se couche tout en long, les pieds dépassent même du lit. Elle commence à lui lécher l’intérieur des cuisses depuis les genoux en montant très haut, lentement. Si je pouvais voir la moule, maintenant elle est cachée par la tête de la principale. Dommage, je trouve qu’elle a un beau con. L’autre fille doit penser comme moi à voir l’avidité avec laquelle elle bouffe la chatte.
Je suis sur le point de jouir. J’arrête tout mais le spectacle continu, je reste la queue en l’air pour rien. Si je pouvais entrer je le ferais avec un grand plaisir, d’autant que je n’ai jamais baisé avec deux femmes.
Celle qui est sucée prend une sacrée dose de plaisir :
- Oui, continue, lèche moi dans le con.
- Chérie je vais d’apprendre autre chose que tu ne connais pas encore : je vais t’enculer avec la langue.
En effet elle baisse la tête, elle doit lui mettre dans le cul.
- Oui, c’est bon, encules moi encore.
- Tu ne veux pas me sucer aussi ?
- Oui, bien sur, donne moi ton nid, je le couverai.
Elle veut le nid pour le couver. Je ne sais pas trop ce qu’elle veut dire mais il suffit de voir : en 69, les amours entre filles deviennent plus simple, au moins elle peuvent jouir ensemble. Pour elles se doit être excellent, pour moi aussi. Je reprends ma bite pour la secouer un peu. Sacrebleu que j’aimerai être avec elles. Je me maintien à la limite de l’orgasme.
Elles n’ont pas ces problèmes. Elles prennent leur temps. Si j’étais à leur place je ferai comme elles.
Le reste pour elle est soit de recommencer, soit d’arrêter. J’opte pour la deuxième solution. J’ai raison, elles se lèvent ensemble, elles s’embrassent comme de véritables amants...
- C’était délicieux, je voudrai recommencer avec toi.

- Que dirait ton mari ?
- Je ne vais pas lui en parler.
- Il serait jaloux ?
- Un peu, il voudrait surtout qu’on recommence devant lui et nous baiser toutes les deux.
- Remarque qu’il aurait raison. Il te baise bien ?
- Je le pense oui, c’est pas comme avec une femme. Tu vois la seule chose qu’y m’ai manqué est que tu n’ais pas de bite pour te sucer et faire gicler du sperme dans ma bouche. J’ai bien aimé ta cyprine.
- Alors dis lui de venir avec toi la prochaine fois.
- Non, je préfère te baiser seule.
- Comme tu veux mon ange.
Encore un baiser, elles s'habillent, encore un baiser et sortent. J’ai juste le temps de jouir, de rentrer ma bite quand elles sortent. Une paire de filles du tonnerre.
J’aurai en souvenir les silhouettes des filles qui s’éloignent.

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