Changement Express

En vacances dans les alpes du sud, chez un ami, je profite de mon séjour pour câliner une jeune fille (majeure) qui était là. Toute petite mais avec des seins généreux, je la troussais toute une nuit. Lécher ses seins lui prodiguait beaucoup de plaisir, aussi je m’attardais sur ses aréoles, les suçotant, les léchouillant, tournant autour des pointes et les mordillant doucement.
Elle finit par attr ma queue et se mit à me la sucer lentement, me regardant de ses beaux yeux bleus. Je me sentais prêt à gicler mais me retenais, voulant la prendre auparavant.
Je commençais par lui mettre un doigt sur son bouton. Sa réaction non équivoque me conduisit à ajouter un puis deux doigt que je faisais aller et venir à des rythmes différents, jusqu’à la faire jouir.
Puis je la pris en levrette et devant son cul rebondi, je ne mis pas longtemps à lui remplir la chatte de ma liqueur.
Je passais deux nuits à découvrir son corps et à la prendre de tous côtés (mais la sodomie, hélas, n’a pas encore fait partie de mes jeux).

Je partis ensuite rejoindre ma copine « officielle », M, et une de ses amies qui passaient quelques jours dans une station de ski, logeant chez un moniteur. Dans le studio minuscule, il y avait trois lits pour une personne, remplissant quasiment tout l’espace. Ma copine était malade, et me demanda de ne pas dormir avec elle. Je me glissais donc dans le lit de son amie, P, pour une nuit réparatrice. Je me mis de dos, mais l’exiguïté du lit (1 place je le rappelle) faisait que nos corps se touchaient ment.
Je finis par sentir une main me caresser le dos, descendre vers mes fesses, remonter aux épaules.
La main finit par contourner le dos et arriva lentement sur ma queue qui s’était bien sûr déjà un peu réveillée… Je me retournais alors et commençais à caresser les seins de P, qui monta de suite en pression. Nous tentions d’être le plus discret possible pour ne pas gêner M, mais celle-ci ne tarda pas à se rendre compte de nos jeux.

Trop malade, elle ne pouvait réagir…
Cachés sous les draps, nous commençâmes une nuit de sexe. P me prit en bouche et me suça lentement. Je sentais ses lèvres s’ouvrir et serrer mon gourdin, une bouche chaude, caressante.
Je lui caressais en même temps son bouton, et lui caressait la fente lentement. Elle mouillait abondamment et mes doigts luisants titillaient sa motte, sa chatte, remontant à ses seins avant de redescendre dans sa toison.
Elle finit par se mettre à quatre pattes, toujours cachée sous les draps, et je lui léchais la moule assidument, la faisant jouir une première fois. Puis, en 69, nos langues fouillèrent le sexe de l’autre, ajoutant une nouvelle jouissance de part et d’autre.
Après quelques instants de repos, nous reprîmes nos caresses et ma queue se redressa lentement.
Nouvelles caresses buccales, nouveaux doigts insérés, nouveaux gémissements étouffés.
L’arrivée du moniteur, rentré se coucher, n’arrêta pas nos ébats qui continuèrent ainsi une bonne heure, puis je pénétrais P, pour la première fois. Sensation de douceur, de rentrer dans son monde humide, accueillant. Après qu’elle ait jouit, j’éjaculais dans sa chatte. Nous finîmes par nous endormir.
Le lendemain matin, M avait compris que j’étais maintenant avec P, sa meilleure copine. Elle fut certes un peu contrariée sur le moment, mais au final, je passais trois belles journées avec elles et nous recommençâmes, avec P, nos jeux de nuits sous les draps. Notre histoire dura trois ans. C’était il y a 30 ans…

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