La Secrétaire Du Garage
Je suis embêtée avec cette voiture qui commence à avoir des tentations de pannes à répétition. Une semaine cest le tableau de bord, une autre semaine cest léclairage qui chahute. Maintenant cest daprès le mécano une courroie qui est détendue. Jai besoin de mon véhicule pour aller travailler, ce nest pas du luxe. La secrétaire du garage me propose un marché : elle me prête un véhicule de courtoisie, jaccepte car je nai rien à débourser. Il y a une condition que jaccepte : comme moi elle a sa voiture en panne et elle me demande de la rammener chez elle au passage.
La fille me semble sympa. Pourquoi pas et puis une fille ne me fait pas peur. Enfin pas toutes, pas celle là en tout cas : une petite bonne femme blonde, avec un charmant sourire et le reste que je ne peu pas voir, au moins maintenant. Pourtant jaimerai bien la voir plus en détail car je suis une fille qui aime les filles. Dans mon quartier en tout cas, je suis cataloguée ainsi. Ce nest pas de ma faute, après tout si je naime pas les hommes depuis que jai été dépucelée, mal dépucelée par un sagouin. Ce nest pas de ma faute si une copine ma fait du bien en me caressant une première fois quand javais 16 ans. Depuis jai aimé toutes les fois quelle ma caressé, embrassé, et sucé. Jaime ça. Je lai toujours rendu avec plaisir, jaime les filles.
Je remmène donc la secrétaire chez elle. En cours de route elle bavarde surtout delle et sans le savoir de moi : elle a rompu avec son ami et cest une amie qui la consolée. Japprouve ce choix, je lui dis que jaime les femmes. Elle me regarde étonnée. Cest vrai que jai lair dune femme normale (quest ce que ça veut dire une femme normale ?) Jai des cheveux longs, porte toujours des robes ou des jupes, je nai rien dune hommasse. Je ralenti à cause des encombrements. Elle se demande certainement ce quelle peut faire. Je sais que si elle insiste je dirai oui, elle me plait beaucoup, jaimerai bien partager sa couche.
Et le moment est là, elle pose sa main sur ma cuisse, vers le genoux. Je ne réagis pas, elle insiste en tenant mon genou. Jécarte un peu les jambes. Enfin elle se décide à passer sa main sous ma jupe, ses doigts viennent au contact de la peau si sensible à cet endroit.
Elle commence à monter comme la petite bête, sauf que sa main est là dans un but bien précis, mon sexe. Je commence à mouiller. Je la regarde en coin. Je lencourage à continuer sans que je dise un seul mot, elle a compris que je ne résisterai pas, cest rare de tomber sur une femme qui vous désire.
Elle continu vers ma chatte. Je suis obligé de me garer dans une ruelle pour quelle me caresse longuement. Jai absolument besoin de ses mains sur moi.
Je me tourne pour offrir ma chatte comme il faut. Elle ne se prive pas de venir me toucher la chatte. Je ne me prive pas de lembrasser. Pendant quelle cherche dans ma moule le seul endroit facile je prend un sein dans la main pour le caresser. Quand elle trouve le clitoris je sursaute un peu, pourtant jattend ce moment depuis le début. Elle me masturbe normalement comme si elle me connaissait depuis toujours. Je suis totalement détendue. Je murmure des bêtises :
- Oui, jaime ça, baises moi, encules moi, mets moi tes doigts dans le con et dans le cul, encore, je jouis.
Ce qui est vrai, je jouis pour cette première fois. Je ne regrette rien. Nos lèvres sont à nouveau soudées, nos langues jouent ensemble. Je lui propose de partir doù nous sommes, si jamais quelquun nous surprenais nous aurions lair fines : deux filles qui saiment en pleine rue.
Nous repartons pour aller chez elle.
Dans lascenseur déjà nous nous embrassons à nouveau. Je suis obligée de me baisser un peu, vu sa taille. Dans lentrée chez elle nous recommençons. Cest moi maintenant qui veut aller très loin, elle le sait et me laisse faire, jembrasse son cou, ses épaules que je découvre. Jarrive sans trop de peine à la déshabiller. Je peu « mattaquer » à ses seins avec ma bouche.
Je la vois nue enfin. Cest en miniature une véritable beauté, digne dune bonne baise. Je sais quelle mouille, sa culotte par terre le montre. Moi, je sais que je mouille également. Jai une boulle dans le bas ventre, jai envie de jouir.
Tranquillement elle me fait aller dans sa chambre. Je voulais être la première à la faire jouir, elle ma eu, elle me pousse pour que je tombe sur le lit la première. Je ne peu me relever quand elle vient entre mes jambes. Je me laisse faire, quand sa tête est sur ma chatte. Sa langue ne cherche plus elle est aussitôt sur le clitoris. Elle me lèche dune façon remarquable. Je me sens obligée de passer mes jambes sur ses épaules pour mieux la sentir. Je la sens tellement que je suis parti dans les cieux des lesbiennes. Je suis aux anges, mon plaisir envahi mon corps en entier. Mon dieu quelle baise bien.
Je la veux maintenant, son gout me manque, le contact de son sexe avec ma langue ou mes doigts me presse. Jarrive à la convaincre de venir sur le lit. Je larrête en route quand elle passe à hauteur de ma bouche. Je lemprisonne, jai levé la tête pour mieux la téter par en bas. Je trouve enfin le gout de sa moule, doux et salé à la fois, pas désagréable pour moi. Ma langue fait des ravages dans sa chatte. Je passe partout où cest possible. Même son petit trou y a droit. Je dois être la première à lui sucer lanus. Cest bon pourtant un cul, pour ma bouche en tout cas. Pour elle aussi, elle prend son pied quand ma langue visite son cul.
Puis, enfin nous sommes coté à cote. Elle prend mes seins dans sa bouche et me les suce admirablement bien, elle pourrait me faire jouir ainsi comme ça mest arrivé une fois. Pendant quelle soccupe de mes seins, sa main est sur ma chatte. Elle me masturbe encore et encore. Entre ses mains, sa bouche et ses lèvres je suis dans un autre monde, il y a longtemps quune fille ne mavait faite jouir ainsi.
Jai envie que nous nous fassions jouir ensemble alors nous nous mettons en 69. Quelle furie encore. Je ne peux pas suivre tout ce quelle fait. Je jouis ne sais combien de fois.
Quand elle sort un gode, je le refuse dabord, je ne veux pas quelle me le mette dans le vagin. Elle arrive à le mettre très lentement, je commence à y prendre gout et du plaisir : pour la première fois de ma vie je jouis grâce à mon vagin. Elle le sort pour menculer, je refuse cette familiarité. Simplement pour lui faire plaisir, jaccepte quelle me sodomise. Jai un mal de chien quand elle entre dans mon cul. Quelle idée de se faire mettre par là, seules les dégénérées doivent accepter et en jouir. Je fait parti de ces dégénérées quand je jouis également. Elle en a profité pour me sucer en menculant. Je mécroule totalement vaincue et crevée. Je nai même pas le courage de lui rendre ce quelle ma donné.
Maintenant je peux le faire, nous vivons ensemble depuis. A mon tour de la baiser et de lenculer, elle adore.
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