Commençons Par Le Commencement...

Depuis ma dernière histoire, j’ai repensé à beaucoup de choses, des souvenirs bons ou mauvais et au bien que j’ai ressenti en partageant une part de ma vie avec vous. J’ai alors eu envi d’écrire encore et encore, toutes les histoires qui me sont arrivées depuis quelques années. Je pense et j’espère que ça remettra de l’ordre dans mes idées…
Je suis donc Thomas, jeune homme plutôt sportif depuis mon entrée en CM2 et le commencement de la natation. J’ai toujours été très timide, pas vraiment un sexe-symbole, si vous voyez se que je veux dire… Il n’empêche que je suis sorti avec plusieurs filles jusqu’à mon entrée au lycée. J’avais déjà regardé des mecs, mais je ne m’assumais pas assez pour penser à rendre concrètes ses attirances… Du moins jusqu’à la fin de le seconde : j’avais 16 ans, j’étais en pleine forme et plutôt bien foutu. Cette année la, nous finissions les cours en début juin, ce qui nous laissait du temps avant les vacances officielles pour organiser des soirées tranquilles et des chouilles d’enfer. Durant une de ses soirées, je me suis « un peu » lâché ; en réalité j’ai chauffé tout le monde ! C’est à partir de ce moment la où je me suis senti moi-même, où je me suis mis à me sentir bien, je suis devenu ce qu’on appelle un « excentrique », le premier à gueuler et à danser comme un taré, en se foutant complètement de ce que pensent les autres.
Soirée plutôt alcoolisée au cours de laquelle je me vois invité à une after tranquille chez un pote du club de natation. On est une dizaine de mecs à y aller, ce pote (Julien) est vraiment très cool, on rigole bien et on est assez proche. Ses parents ne sont pas là pour le week-end, on s’installe au salon avec des bières et on discute de tout. De filles, de sexe, de la soirée, des vacances. Certains charrient un peu Julien et lui demandent d’expliquer et de détailler ses rapports avec les mecs (il est homo, ce qui ne dérange personne dans cette bande de potes). Tout le monde part petit à petit et on se retrouve tous les deux à parler de tout et de rien.

On en est venu à ce dire que le levé allait être dur le lendemain. Julien me propose alors un remède efficace : quelques longueurs dans sa piscine et une bonne douche. On se met donc à poil et à l’eau (c’est bien plus agréable qu’en maillot). Après quelques longueurs, on fait une course que je gagne ! (il a toujours été plus fort que moi) ; on commence à se chamailler comme des gamins, mais à un moment, on bloque tout les deux. Une sensation bizarre m’a envahit, Julien à toujours été un très bon pote, mais là, j’ai envi de le serrer contre moi… C’est alors qu’il a approché son visage du mien et m’a embrassé comme jamais on ne m’avait alors embrassé. J’étais aux anges, jusqu’à ce qu’il se détache de moi et ne voit mon expression légèrement stupéfaite. Il est alors devenu tout rouge, s’est excusé en sortant le plus vite possible de la piscine. Il m’a alors dit que si je voulais partir il me suffisait de claquer la porte derrière moi. J’ai mis quelques minutes à réagir et à prendre conscience de ce qui s’était passé.
J’ai alors rejoins Julien qui se trouvait dans la salle de bain où il avait l’air très mal. Je lui ai dit qu’il n’avait pas à s’excuser et qu’il m’avait promis une douche… J’entre dans la douche, bientôt rejoins par Julien qui me regarde sans trop comprendre, je l’embrasse et on s’enlace. On a du alors faire la même conclusion mentale : on n’était pas assez frais pour tout comprendre de l’instant, nous avons donc décidé de le savourer sans aucune mesure. Je ne me souviens pas en détail ce qui s’est passé, le fait est que je me retrouvais à genoux devant Julien, et que son sexe pointait devant moi. Je fis donc ce que j’aimais qu’on me fasse : je commençais par mordiller la base de son sexe avec mes dents et mes lèvres, pour remonter jusqu’à son gland. J’ai eu du mal à le mettre en bouche, mais je trouvais cette sensation nouvelle tellement excitante ! D’après les râles de plaisir de mon pote, je ne devais pas trop mal me débrouiller. Il paraissait tellement excité que ses mains en tremblaient. Il m’a alors demandé d’arrêté, à fouillé dans le tiroir de la commode pour en sortir une capote et un pot de crème Nivea. J’ai eu peur, mais cette sensation s’est assoupi quand il s’est agenouillé devant moi et qu’il a pris mon sexe en bouche. Alors le cours du temps s’est arrêté… Je pensais que c’était la plus belle pipe qu’on m’eut jamais faite. Il enroulait sa langue autours de mon gland, pour aussitôt m’aspirer la bite sur toute la longueur pendant qu’il me caressait les couilles d’une main. Cette main n’en est pas restée là… Quand j’ai senti une pression et des caresses autours de mon anus je pensais d’abord « mon trou de sorti restera un trou de sorti ! », puis je l’ai laissé faire en pensant que je l’arrêterais s'il allait trop loin. Mais plus vite que je ne le pensais, ses caresses ont ajoutés à mon plaisir et il me mit un doigt. D’abord un peu de douleur, puis un plaisir étrange m’a envahi tendis qu’il continuait sa fellation. En voyant mon plaisir mais aussi ma douleur, il m’a retourné : je me retrouvais face au mur, l’eau dégoulinant sur mon dos. Je sentis alors sa langue sur ma rondelle, peu à peu la douleur s’éteignit pour ne seulement laisser place au plaisir. Julien me remis un doigt qui passa sans problème, il en enfonça un deuxième et attendis un peu que mon sphincter s’y habitue et que la douleur ne passe. Il commença des vas et viens de plus en plus profond en me disant sous mes soupirs qu’il en avait toujours rêvé mais qu’il n’avait jamais pensé que j’aimerais autant ça. Il retira alors ses doigts et me demanda si je voulais aller plus loin. Incapable de parler et pour toute réponse je cambrais un peu plus mon arrière train… Il arrêta la douche et m’étala de la crème sur la rondelle, il mit alors la capote, mit ses mains sur mes hanches, et présenta sa bite devant mon entrée déjà largement ouverte. Il poussa petit à petit, j’avais mal, mais je pensais à la douleur que j’avais déjà ressentie et qui m’a tant donné de plaisir par la suite. J’avais raison. Je senti les poils de son pubis contre mon ventre, la douleur disparue peu à peu, alors qu’il commençait des vas et viens d’abord lents, puis plus rapides et quasiment brusques. Je n’avais jamais pensé prendre mon pied de cette manière, je n’avais jamais pensé que je serais tellement excité à l’idée qu’un mec (mon pote !) prenne son plaisir en moi.
Mes gémissements se mélangeaient à ses soupirs, il n’arrêtait pas de changer de rythme, et je l’accompagnais de mes propres coups de rein. On était en extase, il prit ma bite en main et commença à me branler, je voulus le repousser mais il me dit de me laisser faire. Comment le plaisir à t-il put être encore plus intense ?! Il n’empêche que ce traitement me rendait dingue, je criais mon plaisir, pendant que les soupirs de mon amant devenaient de plus en plus rapprochés. J’éjaculais dans sa main en sentant mon anus se contracter autours de sa bite et presque aussitôt il empli la capote en poussant des râles de plaisir à mon oreille. Nous sommes resté quelques secondes ainsi, puis il a enlevé la capote, à rallumé la douche et nous mous sommes lavés en nous embrassant et en nous caressant l’un l’autre. Je ne me sentais pas gêné le moins du monde, ce qui s’est passé était un acte d’amour entre deux personnes. Nous nous sommes séchés et il m’a pris la main pour m’entrainer jusqu’à son lit où nous nous sommes endormis enlacés avec un grand sourire.
Le lendemain matin, on s’est réveillé dans la même position, on a beaucoup parlé, puis je suis rentré chez mes parents. Les potes ont fait une drôle de tête en nous voyant nous embrasser ! Et on a eu quelques questions et remarques salaces sur la fin de soirée…