Eric - Elodie 1

Elodie la salope

Elodie est un joli garçon, grand et élancé, qui adore s’habiller en femme.
Son fantasme préféré serait de trouver un maître qui le guide, le dresse et l’oblige à des situations érotiques et chaudes qui combleraient ses instincts exhibitionnistes.
Seulement son anxiété et sa peur le paralysent et l’empêchent de vivre cette vie qu’il souhaite.
Il cache ces défauts par de petites crises de colère et fait sa petite capricieuse pour résister à de ordres auxquels il a peur d’obéir.
Mais ses pulsions sexuelles sont tellement fortes que le sexe occupe son esprit toute la journée. Ce besoin de se montrer lui taraude le ventre et le maintien en état d’excitation quasi permanent. Ce qui l’amène à accepter et désirer de caresser, embrasser des hommes mais aussi de leur sucer la queue et de leurs offrir son petit trou dans lequel ils pourront prendre leur plaisir. Bien sur il sait qu’il fait des résistances idiotes et accepte d’être puni. Il souhaite même que ces corrections soient sévères et répétées pour lui rappeler sa soumission à son maître. Il rêve de tendre ses fesses pour recevoir des fessées, du martinet et même de la cravache. Et pourquoi pas du fouet !
Ayant besoin de travailler, c’est donc en temps qu’Eric qu’il se présente dans une petite entreprise de région parisienne pour y effec des travaux de comptabilité.
Il s’est donc presenté au patron.
Celui-ci a l’air sévère et très exigeant, un récent divorce lui fait avoir une certaine aversion et rancune contre les femmes. De plus il n’a pas eu de relations sexuelles depuis plusieurs mois. Tout cela le rend très nerveux et irritable. Des soucis d’argent viennent envenimer cette situation car les demandes de son ex le mettent dans une situation financière très précaire. C’est d’ailleurs sur un coup de tête qu’il a licencié sa comptable, cette femme venait lui demander une augmentation ; une femme, de l’argent ; il a vu rouge et l’a viré.


Voila pourquoi Eric se retrouve aujourd’hui devant ce patron.
Eric, habillé en homme, entre dans la pièce qui est très grande et s’approche du bureau du patron. Son costume d’homme ne peut pourtant pas cacher sa féminité. Sa chemise brodée, sa démarche élégante et ondulante, ses gestes aériens et un peu précieux trahissent en lui sa grosse part de féminité. Le patron le regarde s’approcher et s’asseoir. Une petite lueur s’allume dans son regard. Il regarde eric et lui dit :
- allez me chercher votre dossier, la chemise orange sur le meuble du fond.
Le patron ne le quitte pas des yeux le temps de cet aller retour.
-voila, monsieur Lui dit Eric en déposant le dossier sur le bureau
Eric se rassoit et est un peu rigidifié par l’angoisse .
Le patron :
– détendez vous mon gars, je ne vais pas vous manger !
Il compulse le dossier qu’Eric lui avait communiqué auparavant, sans rien dire
Durant cet instant eric tente de se décontracter et croise les jambes de façon très féminine. Ayant oublié qu’il avait revêtu le matin un string, porte jarretelles et bas résilles noirs (tenue qu’il adore porter tous les jours).
Sa position fit remonter son pantalon et on pouvait voir une partie des bas résilles
Le patron leva la tête et détailla eric de la tête aux pieds. Son regard marqua un arrêt lors de la vue des résilles. Eric suivant le regard de son patron, compris d’un coup la situation et fut très géné, il essaya de redescendre les jambes du pantalon mais sans succès.
Le patron :
-votre dossier est bon et vous me plaisez mais vos exigences salariales sont trop élevées.
Je vous offre donc 1500 euros par mois.
Eric, rougissante, se sentant déjà sous l’emprise de cet homme autoritaire répond :
- comme vous voudrez, monsieur, j’ai besoin de travailler.
Le patron :
-bien, mais ne m’appelez plus monsieur mon prénom est Jean par contre vous continuez à me vouvoyer, je n’aime pas que l’on me tutoie.

Eric :
-oui monsieur … Jean.
Le patron :
-Non Jean tout court.
Eric :
-oui Jean
Le patron :
- Je vous préviens tout de suite, il y a des soirs ou nous devrons travailler tard, votre épouse ne trouvera pas bizarre que vous rentriez tard ?
Eric :
-Je vis seul, Jean donc cela ne posera aucun problème.
Le patron :
-vous vivez seul, à votre age ! Pas de petite amie ?
Eric :
-non je n’ai pas encore trouvé la personne qui me convenait.
Le patron :
-vous êtes pourtant mignon, j’aime beaucoup votre habillement, vous devez plaire tout de même.
Eric très gênée mais sensible au propos de son patron :
- oui Jean mais que de l’occasionnel.
Le patron :
- enfin c’est bien que tu soies libre, au fait moi je te tutoierai.
Eric :
-comme vous voudrez Jean, je suis à vos ordres.
Le patron :
-j’aime ça aussi, en ce moment j’ai horreur d’être contrarié, j’ai même envie d’être très sévère, j’ai les nerfs à fleur de peau.
Eric :
- Je ferai attention de vous satisfaire et d’obéir à tous vos ordres Jean.
Le patron surpris de cette réponse :
- a TOUS mes ordres ?
Eric prisonnier du regard inquisiteur de Jean et déjà sous l’emprise de cet homme, le regard baissé.
-Oui Jean, à tous vos ordres...
Jean détaille encore Eric, puis le regard dans le lointain semble songeur et un grand sourire vient illuminer son visage.
Revenant sur Eric il dit :
-Si vos actes confirment vos paroles, je pense que nous ferons de belles choses ensemble.
Eric :
-Je vous promets de faire tout ce que je peux pour vous.
Le patron après un moment de réflexion et de silence qui met mal a l’aise Eric, il ne sait plus quelle position adopter. Il aimerait que Jean lui en ordonne une. Son esprit de soumission souffre du manque d’ordres. Il est déjà prêt à obéir à cet homme qui le subjugue.

Le patron :
-Bien vient demain pour 9h, la première opération sera de t’installer, nous devons faire des économies, donc nous allons quitter les anciens locaux de comptabilité et comme mon bureaux et vaste tu te mettras avec moi dans le mien.
Eric :
-Comme vous voudrez Jean.
Le patron :
-On mettra nos bureaux face à face dans la diagonale de la pièce, je te veux face à moi
Eric :
-Ce sera comme vous le souhaitez Jean.
Le patron :
- Tu as l’air obéissant même soumis et cela me va bien.
Eric :
- J’en suis heureux, je suis là pour vous satisfaire et j’espère réussir à remplir mes missions aux mieux pour vous plaire.
Le patron :
Cela me semble bien parti donc à demain matin.
Eric se levant, s’apprête à quitter la pièce.
-A demain Jean.
Il allait sortir quand le patron S’écrie :
-Eric.
-oui Jean.
-j’aime vraiment votre style d’habillement.
-Merci Jean.
- demain, restez dans ce style.
- Très bien Jean, ce n’est pas un problème pour moi, c’est le style que j’aime.
- pour moi c’est nouveau mais je trouve cela très joli.
- je suis heureux que cela vous plaise.
- merci Eric, à demain.
- à demain Jean.

Eric, de retours chez lui, quitte pantalon et chemise et s’allonge sur son lit.
Cette entrevue l’a fatigue et la tension nerveuse était à son comble.
Le bilan de cette journée lui parait très positive, il a retrouvé du boulot et avec un patron autoritaire et sévère qui aime ses tenues. Ce qui est inespéré pour lui. Jusque maintenant il n’avait jamais mêlé sa vie sociale et sa vie sexuelle. Il ne pensait même pas que cela puisse se produire. Aujourd’hui il sent que tout cela est en train de se mettre en place, et c’est en se caressant doucement le sexe par-dessus le string qu’il s’endort en fantasmant sur son patron.
De son cote le patron, resté dans son bureau, est songeur.

Que lui arrive-t-il ?
Pourquoi avoir tenu ce langage à Eric ?
Qu’est ce qui a fait monter cette excitation dans son corps et son esprit ?
Ce grand comptable doux, élégant, efféminé lui avait bien plu mais c’est en voyant les résilles que l’excitation est montée. Au fait est ce des chaussettes, des bas, des collants ?
Et cette chemise qui ressemble vraiment à un chemisier féminin...
Lui Jean n’a pourtant jamais été attiré par les hommes et pourtant cet « homme, femme » l’a séduit. Mais aussi c’est sa docilité évidente qui l’a attiré. Lui qui a un grand besoin de se défouler. Ce serait agréable de dominer ce garçon, le faire s’habiller en femme. Qu’avait-il en dessous de son pantalon ? Cette question obsède Jean. Il regrette de ne pas savoir. Et tout en continuant sa soirée de façon ordinaire comme il a l’habitude depuis quelques mois, il n’arrive pas à se sortir cette question de la tête. Il n’arrive pas à se concentrer sur quoi que ce soit : il a mangé rapidement puis la télé l’a énervé, il a pris un livre mais n’est pas arrivé à se concentrer à sa lecture. Cette question lancinante lui occupait l’esprit, c’est, appuyé à son balcon, regardant la rue sans y voir les passants que cette idée fixe le taraudait. D’un coup il décida de téléphoner à Eric il avait son numéro dans le dossier. Son appartement étant situé au dessus des bureaux, cela ne lui prendra que quelques minutes pour y aller.
Il descendit.
Ayant trouvé le numéro il se saisit du téléphone, au moment de composer le numéro,
Il se demanda :
Mais comment poser cette question ?
Quels engagements pouvait-il en découler ?
Était-il prêt à assumer ces engagements ?
Comment Eric allait il réagir ?
Avait-il le droit d’intervenir dans la vie privée d’Eric et le voulait-il vraiment ?
Serai-je en train de devenir homosexuel ?
Il raccrocha l’appareil il avait besoin de répondre à ces questions.
La dernière question le préoccupait le plus, c’était une atteinte à sa virilité, à son statut de male : un male saute une femelle. Il tourna la difficulté de prendre une décision en se disant qu’il ne serait pas obligé de le prendre, juste de le soumettre, et il pouvait accepter de se faire sucer, après tout ….Et puis personne ne le saurait et il restait le maître. Vu de cette façon hypocrite il ne remettait pas sa virilité en cause et ne devenait pas homo.
Mais il fallait qu’il sache, autrement sa nuit serai infernale.
Apres tout, un brin d’honnêteté lui fit penser que la meilleurs façon de demander était de le faire directement et si Eric acceptait de répondre, cela ne lui déplaisait pas de le dominer au contraire cet après midi cette idée lui était venue et lui avait bien plu ? Il en avait même rêvé quelques minutes : un fantasme.
Et puis il n’avait rien demande à ce garçon, c’est lui qui s’était présenté dans cette tenue.
C’est lui qui avait provoqué cette situation par sa féminité et ses résilles, résilles, résilles ….
Jean reprit l’appareil et appela :
Le téléphone se mit à sonner chez Eric ; celui-ci était toujours assoupi et dans son réveil il attrapa instinctivement le poste et le porta à son oreille et dit
-allo ici Elodie....

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