Camille Episode 12
(Lesprit de famille)
Une semaine jour pour jour après ma visite, mon beau père recevait le solde de la dette de Raimondin.
A mon avis, mon petit esclandre avec sa secrétaire de femme, ny est pas pour rien. Hihi ! Joli coup. Il la bien cherché après tout.
« Camille ? Peux-tu passer à la banque ? Jaimerai aussi que tu passe à la maison. Jai oublié ma sacoche sur le fauteuil de mon bureau. Tu serais mignonne. »
« Pas de problème monsieur Félicien. Jy vais de suite. »
« Pffff ! Tu ne voudrais pas laisser tomber ce « monsieur » ? Cest ridicule après ce qui se passe entre nous. Tu ne crois pas ? »
« Non ! Cest le seul moyen de ne pas éveiller les soupçons. Cest mieux ainsi. Et puis
jaime bien me sentir légèrement inferieur à vous, monsieur mon patron chéri ! »
Je me colle à lui et il menlace pour membrasser.
« Mais non, mais non ! Vous ny pensez pas, monsieur ! Le travail dabord ! Hihihi ! »
Je me dégage, ramasse les clefs de sa maison sur son bureau, et je sors.
« Petite allumeuse ! Tu ne perds rien pour attendre ! Hahaha ! »
« Hummmm ! Jen mouille déjà ! A tout à lheure monsieur Félicien ! Hihihi ! »
Vingt minutes plus tard, je me range devant son somptueux pavillon. Enfin
quand je dis pavillon, je ferais mieux de dire petit manoir.
Ma belle mère travaille, alors, je ne sonne pas et ouvre directement avec les clefs de mon beau père.
A lintérieur, le silence règne, seulement troublé par le tic tac dune horloge comtoise.
Je me rends dans le bureau. Sa sacoche est bien sur son fauteuil. Je mapprête à repartir, lorsque jentends des gémissements, des plaintes.
Mon sang se glace dans mes veines.
Je cherche à savoir doù vient le son. Pas de doute, cest du grand salon que me parviennent ces étranges lamentations.
Doucement, je pousse la porte et passe la tête
« Oh, merde ! ».
Surprise, je lâche la sacoche qui fait un bruit sourd en touchant le sol.
Je naurais, même en rêve, jamais imaginé le spectacle que je viens de découvrir.
Mylène, ma belle mère, est à quatre pattes sur le billard, nue, en porte jarretelles, ses seins pendant comme des mamelles et un type lui broute le minou.
En entendant le bruit, le couple se retourne et me voit.
« Camille ? Oh ! Je
»
Elle descend rapidement du billard et saute sur ses affaires. Lhomme en fait autant.
Ne sachant quoi faire, je ramasse la sacoche et referme la porte en mexcusant, gênée.
« Excusez-moi ! Javais entendu du bruit ! »
Cest avec les jambes coupées que je retourne au bureau.
Je ne suis pas très bien et monsieur Félicien sen aperçoit.
« Camille ? Ca na pas lair daller ? »
Impossible de lui dire que je viens de surprendre son épouse, en train de se faire reluire le berlingot.
« Si si, monsieur Félicien. Vous en faites pas. Juste un petit mal de tête. »
« Tu es passée à la banque ? »
« Ho, merde ! Jai oublié ! »
« Cest pas grave. Vas-y et rentre chez toi. Repose-toi, ca ira mieux demain. »
Cest un lourd secret. Je me demande même si je ne devrais pas en parler. Et puis, je me ravise. Qui suis-je pour la juger ? Moi qui me tape son mari, plusieurs fois par semaine.
Le samedi suivant, ils nous invitent à manger. Je trouve ca très courageux de la part de Mylène.
Je décide de ne rien changer à mes habitudes et de faire celle qui a tout oublié.
Mais elle, est très mal à laise. Je le vois. Je le sens.
Après manger, les hommes décident de partir à la pêche avec Romain.
Je finis la vaisselle avec Mylène, presque sans un mot. Puis, elle me prend par la main.
« Viens ! Il faut quon parle ! »
« Oh, mais
cest inutile Mylène ! Ne vous inquiétez pas, ca restera entre nous. »
« Alors disons que jai besoin de parler. Suis-moi. »
Elle mentraine dans sa chambre. Elle est somptueuse. Je suis étonnée de trouver aux murs, des tableaux représentant des femmes nues, dans des positions érotiques, très sensuelles.
Les volets sont fermés pour empêcher la chaleur de rentrer.
Elle allume une petite lumière mauve qui rend latmosphère troublante, très intime.
« Voilà ! Ici, tu es chez moi. Avec Félicien, nous faisons chambre à part depuis près de dix ans. »
« Ha bon ? Mais pourquoi ? »
Mon cher mari a toujours aimé la jeunesse. Tu nes pas sans savoir que nous avons vingt deux ans de différence. A lépoque, jétais une jeune fille de dix huit ans. Aujourdhui, que japproche de la quarantaine, je ne lintéresse plus. Non, ce quil veut aujourdhui cest une jeunette. Une fille comme toi, jolie et séduisante. »
Mon cur fait un bon. Est-ce quelle saurait ?
« Oh ! Mais je
»
« Haha ! Non, rassure-toi, je ne pensais pas à toi. Je voulais dire, une fille dans ton genre. Donc, voilà. Il ne me touche plus, ne me fait plus lamour. Ceci, explique cela.»
« Je comprends. Mais
qui était cet homme ? Et puis le faire chez vous, ce nétait pas prudent. La preuve. »
« Cest notre jardinier. Ce nétait pas programmé. Il avait chaud. Je lui ai proposé un verre deau, puis
Non, mais, ta vu comme il est bâti ? Jai craqué. Cest pas plus compliqué que ca. Et toi ? Tu nas jamais trompé Fabien ? »
« Myleneeee ! Vous parlez de votre fils ! »
« Ben oui, mais ca reste un homme et toi, une jeune fille très séduisante, charmante. Tu peux me le dire. Promis, ce sera notre secret. »
« Heuu ! Ca me gêne vraiment. »
« Je prends ca comme un aveu. Allez, dis men plus, sil te plait ! »
Elle a les yeux qui brillent, comme une ado excitée. Je pense que je peux lui faire confiance, mais hormis mes aventures avec son homme, quelles histoires lui conter. Il y en a tellement.
« Bon ! Daccord, mais plutôt que de vous expliquer, je préfère vous montrer. Venez ! »
Nous griffonnons un ptit mot aux hommes et nous partons en voiture.
« Ou memmène tu ? »
« Vous le verrez bien. »
Trente minutes plus tard, je me gare dans le parking du bois.
Je vois Mylène qui sinterroge. Merde ! Que lui dire ?
« Venez ! Promenons nous un peu. Jaime bien cet endroit. »
« Je ne vois pas ou tu veux en venir, mais bon ! Si tu insiste. Promenons nous. »
Nous nous engageons dans lallée du bois.
Très amicale, elle me prend le bras. Elle parle. Elle parle beaucoup. Elle parle delle, de son couple, et bien sur de son mari, qui loubli peu à peu.
Je lécoute mais jai bien du mal à me concentrer sur ce quelle raconte. Je scrute les sous bois, les buissons, cherche des mouvements suspects.
Nous sommes maintenant très éloignées du parking. Il y a moins de couples, et de plus en plus dhommes seuls. Ca linquiète, mais moi, ca me rassure. Je vais enfin pouvoir lui expliquer ce que je fais lorsque je mennuie.
« Houlà ! Nous nous sommes drôlement éloignées. Nous ferions bien de faire demi-tour, non ? »
« Non ! Attendez ! Venez par ici ! Faite moi confiance.»
Je la tire par la main dans un petit chemin très étroit. Des ronces parfois le traverse et nous progressons lentement.
« Camille ! Je me griffe les jambes ! Mais ou vat on ? »
« Franchement ? Je nen sais rien du tout. Je cherche un coin tranquille, sympa. Tient, comme ici, par exemple. »
Sur la droite, japerçois quelques arbres dégagés, sans buissons.
« Bon ! Et maintenant ? »
« Regardez ! Vous voyez lhomme là bas ? Et là, celui-ci ! Et encore là ! »
« Heuuu, ils approchent ! Quest ce quils veulent ? Viens, partons ! »
« Non ! On reste ! Ce quils veulent, cest nous. Ou tout du moins ce quon voudra bien leurs donner. »
« Je comprends pas ! Explique-moi, Camille ! Je ten supplie ! »
« Promettez moi que ca restera vraiment notre secret. »
« Je te le jure ! »
Il y a un type à environs quinze mètres, qui vient vers nous, sans se cacher vraiment.
Je déboutonne mon chemisier et louvre en grand.
« Camille ! Quest ce que tu fais ? Tu es folle ! »
« Vous vouliez savoir ? Et bien voilà ce que jaime. »
Lhomme nous rejoint et sans un mot, il se penche pour sucer mes seins. Il aspire mes pointes durcies et malaxe ma poitrine avec un plaisir non dissimulé.
Ma belle mère écarquille les yeux. Elle est rouge comme une pivoine.
Un autre type qui nous a rejoints, se plaque dans mon dos. Il me prend par la taille et frotte lexcroissance de son pantalon contre ma jupe.
Je suis déjà très excitée et, la crainte de dévoiler un de mes jeux de salope à ma belle mère, disparait totalement. Je me sens libérée.
Je prends sa main.
« Mylène ! Regarde comme il bande ! »
Je pose sa main sur la braguette du type dans mon dos. Elle a opposé une très légère résistance, puis, cest laissée faire.
Tandis que je moccupe de la fermeture éclair de celui qui me suce les seins. Je sens sa main, contre mon cul, qui malaxe lautre type.
« Sil te plaît, Mylène ! Sors sa queue, jai envie quil me prenne ! »
Je suis surprise, mais elle le fait. Même mieux que ca. Une fois le membre libéré, elle relève ma jupe. Elle est certes tremblante, intimidée, mal à laise sans doute, mais elle le fait.
Charmée par son courage, je passe une main derrière sa nuque et attire son visage vers le mien.
« Attends Camille ! Je ne sais pas si
»
« Moi non plus, je ne sais pas ! Je ne sais plus ! Mais je men fou ! Embrasse-moi, Mylène ! Je ten supplie, jai été trop loin, maintenant ! Embrasse-moi ! Évite-moi la honte dun refus ! »
A son tour, elle passe une main derrière ma nuque et nous nous embrassons tendrement.
Le type qui me suçait, passe derrière elle et tout comme lautre le faisait tout à lheure, il se frotte comme un malade, contre ses fesses.
« Hooo, merde ! Camille ! Moi, aussi ! Moi aussi, je veux me faire prendre ! »
Le type derrière elle me fait un clin dil. Il sort son membre, relève la robe de ma belle mère et lui vire son string.
Ma jupe, tout comme sa robe, est relevée. Je me plaque à Mylène. Je sens sa toison effleurer mon coquillage lisse. Je me frotte à elle, tout en continuant à lembrasser.
Les types se frottent à nos raies. Ils bandent fort.
Nous nous penchons et nous nous appuyons au même arbre, afin de pouvoir continuer à nous embrasser de temps à autre.
Je suis prise la première. Le type est bien monté et il me fait du bien dès lintroduction.
Le partenaire de Mylène semble en difficulté. Elle est stressée et surement un peu sèche. Lhomme crache dans sa main et lapplique à sa fente.
« Camille ! Quest ce que tu me fais faire ! Je dois être folle daccepter ! »
« Détends-toi ! Le temps nest plus aux questions, mais aux plaisirs. Hummm ! Fais comme moi ! Houuuuu ! Profite du moment présent ! Ho, ouiii ! Plus fort ! »
Soudain sa bouche forme un O. Son homme vient de glisser sa chair dans son fourreau.
Son visage change. Elle ferme les yeux et se mord les lèvres.
Elle est très belle dans le plaisir.
Le type derrière moi se vide en rallant. A ma grande surprise, il est aussitôt remplacé par un autre.
Je tourne la tête. Hors de notre vue, une dizaine dhommes, queues à la main, attendent sagement leurs tour.
« Approchez ! Approchez ! »
« À qui parles-tu Camille ? Ouiii ! Hoooo ! »
Inutile de lui répondre car trois hommes sont déjà sur elle. Ils lui caressent les seins, le dos, lui frotte le clito. Lun deux tend son membre vers le visage de Mylène. Elle se penche un peu plus et prend le monstre entre ses lèvres.
Elle est belle.
De mon coté, je subis pratiquement le même traitement.
Je guette le prochain qui voudra me prendre. Celui-ci, je le veux dans le cul. Etre ici avec ma belle mère mexcite. Je veux moffrir toute entière, sans restriction.
« Ho ouiii ! Salope ! Je viennnns ! »
De la bouche de Mylène, sécoule de longs filets de foutre. Le type se libère sans retenu.
Une fois fait, elle se tourne vers moi, les yeux plus brillant que jamais. Elle me sourit.
« Il y avait si longtemps que je nen avais pas bu ! Je vais devenir folle ! Je ne vais plus pouvoir marrêter. »
Je la vois se laisser tomber à genoux dans lhumus. Elle att deux bites au hasard et les suce avec envie, à tour de rôle.
Un nouveau gland se place contre mon vagin dégoulinant.
« Oh non, chéri ! Prend mon cul ! Sil te plait ! »
Il ne le se fait pas dire deux fois et me pénètre sans forcer. Jaime sentir mon fondement se faire remplir et être longuement pilonner.
Je suce un type tout en me faisant enculer. Un autre sest pratiquement couché sous moi, pour pouvoir me sucer les seins.
Un coup dil à Mylène.
Elle est à quatre pattes et se fait défoncer, tout en se faisant baiser la bouche par un grand black, monté comme un taureau.
Cette femme, est une pure salope. Si elle lignorait, maintenant elle le sait.
Pendant une heure, nous nous faisons sauter par tout se qui bouge, puis, épuisée, nous décidons de rentrer.
Mylène saccroupie et urine, pour, dit elle, en ramener un peu moins dans son string.
Je fais de même, mais moi, je nai rien à enfiler. Lorsque je me relève, du foutre coule sur mes cuisses.
« Attends ! »
Elle se penche et lèche les trainées qui me souillent.
La maison est toujours déserte. Les hommes ne sont pas rentrés.
« Viens Camille ! Allons prendre une douche ! »
« Ensemble ? Mais sils rentrent entre temps ? »
« Bah ! Nous prétexterons quil faisait une chaleur incroyable dans le magasin ! Hihihi ! Nous avions besoin de nous rafraichir, cest tout ! Allez, viens ! »
Elle me prend par la main et mentraine au premier. Dans la salle de bain, nous nous déshabillons mutuellement, tout en nous embrassant.
Nos lèvres sont toujours soudées lorsque leau commence à couler sur nous.
Apres les actes un peu bestiaux que nous venons de vivre, sinstalle une douceur infinie entre nous.
Nos mains glissent sur nos peaux mouillées. Elles ségarent dans nos orifices encore poisseux. Elles caressent, palpent, pincent.
Nous nous étreignons et nos seins sécrasent et se frottent, les uns contre les autres.
Très vite, grâce à nos caresses expertes, nous allons à lorgasme, presque ensemble.
Une fois séchées, elle me refera jouir en me léchant le minou, lorsque je suis assise sur le bord de la baignoire.
« Hoho ! Les filles ! Vous êtes là ! »
« Hum ! La fête est finie ma chérie. »
« Je vous remercie, Mylène, pour cette magnifique après midi. »
« Tu rigole ? Cest à moi de te remercier. Cétait déroutant, mais exquis. Dis moi, après ce que nous venons de vivre, nous pourrions supprimer ce stupide vouvoiement, non ? »
« Non ! Cest le seul moyen de ne pas éveiller les soupçons. Cest mieux ainsi. Et puis
jaime bien me sentir légèrement inférieur à vous, ma très chère belle maman. Hihihi ! »
Tient ? Ca me rappelle quelque chose !
Finalement
Jai un esprit de famille très développé, non ?
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!